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paris - Page 194

  • Plan vélo 2010-2014

    Double-sens cyclable et zone 30 dans le 10e

    Bertrand Delanoe l'avait annoncé lors de la cérémonie de voeux. Après deux réunions de concertation sur les doubles sens cyclables dans le 10e auxquelles Action barbès a participé, une réunion publique aura lieu le 6 mai à 18h30 à la  mairie du 10e . A l'ordre du jour : zone 30 et double sens cyclables et " plan vélo 2010-2014".

    image-018-bicyclette.jpg

     

    Si les cheminements vélos peuvent  être facilités, il n'en demeure pas moins que les difficultés resteront très prégnantes dans le nord de Paris et de manière générale dans les arrondissements périphériques. En effet, le réseau cyclable est mieux développé dans le centre de Paris et  peut davantage se faire en continu. C'est pourquoi nous avons  demandé que soit réaménagé l'axe porte de La Chapelle - place de La Chapelle notamment. Nous avons également fait des propositions de mise en zone 30 autour de l'hôpital Lariboisière et dans le secteur de l'église St Vincent-de-Paul. Les services de la DVD ( Direction de la voirie et des déplacements) représentés par Christelle Godinho devraient les étudier. Saluons ici la qualité d’écoute de notre interlocutrice et sa volonté de tenir compte des avis des plus grands utilisateurs de la voirie parisienne, les cyclistes, les piétons et les habitants des quartiers.

    Pour être à jour en matière de circulation à vélo, Action Barbès vous propose une visite au site de Mieux se déplacer à bicyclette (MDB), association avec laquelle nous nous sommes associés pour demander une analyse des entrées automobiles par la porte de La Chapelle et un aménagement de cet axe La Chapelle - Marx-Dormoy, dont dépendent en partie les embouteillages récurrents dans notre quartier.

  • Une fresque murale rue Myrha


    Le mardi 27 avril 2010 à 19h00
    au 60/62 rue Myrha 75018 Paris

     

    en attendant Daniel VAillant.JPGEn attendant les élus du 18e et de la mairie de Paris qui étaient annoncés par les invitations et la brève dans Le Parisien, Action Barbès a fait un tour dans le quartier pour observer les changements dans la rue Myrha et les rues voisines. Beaucoup de chantiers en cours, certains immeubles déjà livrés, d'autres sur le point de l'être dans les mois qui viennent, et toujours des panneaux annonçant un nouveau programme de logements. Il y a deux ans nous avions déjà fait une telle promenade, appareil photo à la main. Nous avons eu des difficultés à retrouver l'emplacement des vieux immeubles, vétustes et insalubres, qui ont disparu, malgré la planche contact qui nous guidait dans nos observations, tant les changements sont considérables. On peut penser que la vie des habitants de la rue Myrha n'est pas rendue aisée par cet immense chantier, entrecoupé de petits immeubles, soit rénovés, soit en passe de l'être. On saute ici d'un trottoir à l'autre, pour échapper à un camion ou à une palissade. L'ambiance générale ne semble pourtant pas trop en pâtir. Les commerces continuent leurs activités.

    L'idée de verdir -même s'il s'agit d'un trompe l'oeil - une partie de pignon au 60/62 de la rue Myrha est la bienvenue.

    Daniel Vaillant, avec une partie de son conseil municipal (nous avons reconnu Dominique Lamy, Félix Bepo, Michel Neyreneuf...) et Gisèle Stievenard, adjointe au maire de Paris, chargée de la politique de la ville et de l'engagement solidaire, sont venus dans la Goutte d'Or pour voir l'effet rendu et remercier le collectif Mosko et Associés de sa création. Le soleil était aussi au rendez-vous.P1010252 web.JPG

  • Le voeu du conseil de quartier Louis Blanc en mairie du 10e

    Conseil d'arrondissement du 10e le 29 avril

     

    Vœu concernant l’occupation des trottoirs
    par la douzaine de magasins de deux-roues motorisés du 10e

    Le conseil d'arrondissement du 10e entendra le voeu du CQ Louis Blanc Aqueduc, adopté pendant la réunion plénière du 8 avril, à laquelle Action Barbès assistait (voir notre article du lundi 19 avril ).

    Dans le 10e, à partir de 18h30, avant les délibérations du conseil d'arrondissement (CA), associations membres du Conseil d'initiative et de consultation d'arrondissement (Cica) et conseils de quartier peuvent présenter un voeu qu'ils soumettent au conseil muncipal.

    Pour présenter un voeu,  il faut avertir le cabinet du maire ou le bureau du Cica au moins 8 jours à l'avance.

    Plusieurs voeux peuvent être présentés à chaque CA. Le maire, un adjoint ou conseiller municipal, donne une réponse circonstanciée. Elle sera reprise dans le procès verbal de la séance. Depuis l'élection du maire Rémi Féraud en 2008,  il est même possible d'intervenir après la réponse des élus.

    Tous les arrondissements de Paris n'ont pas intégré cette disposition dans leur règlement. Le 9e en est un. Le 18e le pratique depuis longtemps, mais ce sont les élus qui présentent les voeux.

     

    Prochain Conseil d'arrondissement

    Séance publique ouverte à tous, salle des mariages de la Mairie du 10e, 2e étage.

    • jeudi 29 avril à 18h30

    Mairie du 10e arrondissement
    72 rue du Faubourg Saint-Martin
    75475 Paris Cedex 10


  • Enlèvement soudain des motos dans le haut du faubourg Poissonnière

    Après midi ensoleillé, ce 21 avril.

    Les passants étaient surpris de voir la fourrière enlever les unes après les autres toutes les motos  "débordant" des aires de stationnement qui leur sont dédiées dans le haut du faubourg Poissonnière, côté 1Oe. Ces espaces ont été créés peu avant la fin du réaménagement du boulevard de Magenta. Les riverains se plaignaient, c'est vrai, des nombreuses motos, des scooters, garés sur les trottoirs, pas très larges entre la rue du Delta et la rue de Dunkerque. Profitant des travaux sur le boulevard de Magenta, les sections territoriales de voirie du 9e et du 10e s'étaient rapprochées du chef de projet pour envisager cet aménagement, et rendre les trottoirs aux piétons.

    Entre temps, le nombre des deux-roues mototrisées n'a cessé de s'accroître et les espaces qui leur sont réservés ne suffisent plus. Là, où les aménageurs, encouragés par les élus, ont vu grand, la situation est correcte : peu de deux-roues en dehors des stationnements prévus. C'est le cas dans les rues qui convergent vers le Magenta, dans le 10e. Avec une exception de taille : le parvis de la Gare du Nord et la rue de Dunkerque. A l'époque, le conseil de quartier Lariboisière avait pourtant alerté la mairie du 10e que le nombre des places réservées motos était largement insuffisant. Ailleurs, là où les stationnements deux-roues sont rares ou de taille réduite, les motos encombrent les trottoirs.

    Dans le faubourg, on voit beaucoup de motos en dehors des espaces délimités, mais elles sont le plus souvent à la suite de l'espace licite, comme on le voit dans la vidéo. L'enlèvement, ici, a suivi de très près le passage des policiers qui ont mis les amendes (et les papillons "demande d'enlèvement"). Ils ont laissé peu de chance à leur propriétaire pour échapper à l'enlèvement. Les passants étaient surpris et assez interrogatifs sur la méthode. En effet, le camion remorqueur est conçu pour les automobiles et les accessoires de levage ne s'adaptent pas franchement aux deux-roues. C'est peut-être même un peu risqué...


    Paris Hold up sur 2 roues motorisées 171 rue fg Poissonnière
    envoyé par cageverte. -

  • Le Louxor prendra-t-il le chemin du 104 ?

    Le 104 fait partie des grands projets culturels de la Ville de Paris.

    Situé au 104, rue d'Aubervilliers dans le 19e arrondissement, il est conçu comme "un espace de production d'art", qui a la fois accueille des artistes, mais permet aussi aux citoyens de partager cet espace créatif avec ces mêmes artistes. Inauguré voilà quelques mois à grand renfort de communication, le projet est en crise. Crise financière d’une part – 500 000 € de déficit en 2009 sur un budget total de 12 millions d’ euros subventionnés à hauteur de 8 millions par la Ville de Paris, démission de l’équipe dirigeante, mais surtout crise parce que le projet culturel s’avère inopérant : peu ou pas de visiteurs dans cet ensemble architectural rénové à grands frais – 100 millions d’euros - pas d’insertion dans le quartier. Le magazine Mouvement, relayé par le site Paris-Art, s'est lancé dans une campagne alternative pour dénoncer le projet de la Ville et essayer de trouver des solutions.

    Louxor sur ciel orageux.JPG

     

    Sans traiter plus longuement de la question du 104, on ne peut s'empêcher de faire un rapprochement avec le projet culturel prévu pour le Louxor. Les questions, pourtant simples, demeurent : pas de concertation dans la définition du projet culturel décidé dans l’opacité de quelque cabinet municipal, pas d’adéquation du projet au quartier qui l’accueille. Hélas, la situation actuelle du 104 ne nous rend pas optimiste pour l’avenir du Louxor.

    La mobilisation des artistes et des sympathisants autour du 104 est réconfortante. Elle vous intéresse ? Cliquez.

    Elle rencontre des difficultés pourtant, à en croire le reportage - court - entendu hier matin sur France Inter en ouverture de Esprit critique vers 9 heures.

     

  • Pensez au Don du sang....

     

    Le site de collecte Lariboisière à Paris a rouvert ses portes !

     

    don du sans façade web.JPGDon du sang R. Guy Patin web.JPG

     

    Après quelques mois de fermeture pour cause de travaux, le site Lariboisière de l'Etablissement Français du Sang Ile-de-France, situé dans le 10e arrondissement, a rouvert ses portes. Depuis le 1er mars, les équipes de collecte vous accueillent du lundi au vendredi de 8h30 à 16h. L’accès est direct par le 2, rue Guy Patin.

     

    Pour plus d'infos, contactez l'accueil au 01 42 15 77 81

     


     

  • Comment nos voisins traitent-ils un aménagement de voirie rue du faubourg Saint-Denis ?

     

    AB est allé voir de près, le 8 avril, comment se déroulait le CQ Louis-Blanc-Aqueduc, afin de tirer profit du savoir faire des autres conseils de quartier. Par intérêt aussi, car il nous semble important de faire connaître la commission Circulation & voirie de notre association. Le cadre : école élementaire de la rue La Fayette, au-delà du faubourg Saint-Martin, presque à la Rotonde de Ledoux, 19 heures. Affluence normale, une  quarantaine  de personnes. Au mur s'étale un plan, longue bande de papier, de la rue du faubourg Saint Denis, depuis la Gare du Nord (rue de Dunkerque), jusqu'à la place de La Chapelle. Un peu loin des participants, difficile de suivre les indications de l'intervenante de la Direction de la voirie et des déplacements, Florence Fargier.

    faubourg ST DENIS vue de La Chapelle.jpgfaubourg ST DENIS vue vers le sud .jpg

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  • La ligne 85 détournée !

     

    Pour une brève période, l'autobus 85 ne pourra suivre son itinéraire habituel dans le 9e. Du 19 au 30 avril, il suivra, en effet, une partie du boulevard de Magenta, à partir du carrefour Barbès, puis la rue de Maubeuge, qu'il rejoint sinon en bas de la rue Rodier.

    bus 85.JPG

    Pourquoi ce détour ?

    Il s'agit de mettre aux normes d'accessibilité aux personnes à mobilité réduite l'arrêt du 85 situé au 33 rue Rodier, soit l'arrêt proche de la rue de la Tour d'Auvergne. Le trottoir sera surélevé et le caniveau refait à la suite de cette surélévation.

    Seuls les véhicules de la poste, de la propreté de Paris, et d'urgence seront autorisés à circuler sur le tronçon compris entre la rue Condorcet et la rue de la Tour d'Auvergne.

    Et les piétons, bien sûr !

     

  • La CANTINE AFGHANE à la Java

    affiche 18 avril 2010 La JAVA et la cantine afghane web.jpg

     

    Les Richesses De L'Exil

    La Cantine afghane nous convie à une soirée à la Java le 18 avril prochain.

    La Cantine afghane est une association d'habitants du 10ème qui fait cuisiner les éxilés afghans du bord du canal pour leur rendre leur dignité et faire partager leur culture pour balayer les préjugés...

    L'argent ainsi récolté est consacré à des cours de Français.

    Le 18 avril, l'association organise avec les réfugiés un évènement festif et culturel à la Java, 105 rue du Faubourg du Temple, où se cotoieront des artistes de styles différents depuis la musique afghane traditionnelle jusqu'au rap et drum and bass.

    Une soirée où vous aurez également l’occasion de découvrir la richesse de la cuisine afghane à travers différents plats préparés par « La Cantine Afghane ».

    L'entrée est à 10 Euros.

    Une soirée « melting-pot » garantie !

    jpg_Shams4.jpg

     

     

     

     

     

     

     

    Pour en apprendre un peu plus sur la musique afghane, sur les Afghans en exil, regardez ce film de Franck Schneider, découvert sur Dailymotion, bien sûr, produit par Stratis et La Cuisine aux Images, avec les Ateliers d'Ethnomusicologie de Genève. Très intéressant, particulièrement pour les amoureux des musiques du monde.
    L'ensemble Kaboul en exil
    envoyé par 51_PEG. - Clip, interview et concert.

    En exil, les musiciens de l'Ensemble Kaboul jouent pour leurs compatriotes contraints au silence. Malgré les conflits incessants, ils chantent l'amour de leur terre natale. Ici, on retrouve Khaled et Hossein Arman, Ustad Malang Nedjrabi, Paul Grant, Osman Arman, Yosuf Mahmood, Bismilah Khusravi et Ustad Mahwash. Certains seront à la Java.

    lajava.gif

  • Logement social et mixité sociale : face à la réalité

    Le logement et la mixité sociale au dernier conseil de quartier Goutte d'Or Château rouge : vaste sujet, qui a permis d'entendre quelques déclarations intelligentes et circonstanciées, parmi des développements hors sujet, que le thème favorisait.

    rue Myrha mars 2008 -4-.JPG

    Pourquoi parler d'erreurs de la part de la mairie du 18e dans le choix des peuplements du quartier de la Goutte d'Or, quand son pouvoir d'attribution de logements n'excède pas une quarantaine par an, comme l'a expliqué Michel Neyreneuf, qui pour un deuxième mandat a accepté d'assumer la délégation au logement. Quel impact ont ces quelques familles sur les milliers de résidents déjà installés ? Aucun.

    Le problème, c'est l'habitat insalubre, qui régresse trop lentement, malgré les efforts poursuivis par la municipalité, y compris du temps du RPR. C'est l'habitat dégradé, sans confort, où seuls les plus démunis acceptent encore de se loger. Or, ces immeubles appartiennent au parc privé. La Ville a tenté de mettre en place des aides et des structures pour amener les propriétaires à rénover et mettre aux normes les logements mis en location. Quand rien n'avance, elle use de son droit d'expropriation et de préemption, si le bien est mis en vente. Malheureusement l'éradication des poches d'insalubrité est longue, car elle relève d'une procédure légale qui passe par le relogement de tous les actuels locataires.

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  • Exceptionnel CIRCUL'LIVRES ce dimanche

     

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    Dans le 10e, au marché Saint-Quentin,

    En raison du week-end de Paques, le conseil de quartier Lariboisiere St Vincent de Paul modifie exceptionnellement le rendez-vous du marché Saint-Quentin : au lieu du dimanche 4 avril, il se tiendra dimanche 11 avril.

    Et le prochain........... le 2 mai !

  • Place du vélo et doubles-sens cyclables au conseil de quartier Lariboisière-St-Vincent-de-Paul

    Une assemblée clairsemée... le 30 mars, à l'école de la rue de Belzunce, 10e.

    Comme toujours, piétons et cyclistes s'opposent parce que sur le boulevard de Magenta, les pistes cyclables sont sur les trottoirs. Qui a donc la priorité? On n'a pas fini d'en débattre !

    piste cyclable bd de Magenta impairs.JPG

    Les piétons protestent contre la vitesse des cyclistes, le non respect des feux ; les usagers des bus se plaignent de devoir franchir la piste cyclable, lorsqu'ils descendent aux arrêts... Toujours la même rengaine. Oui, les piétons ont bien la priorité sur les trottoirs. Mais l'enjeu, ce n'est pas la « guerre » entre piétons et vélos, c'est le partage de l'espace public, le vivre ensemble, comme il est souvent dit et rarement vécu. Ce n'est pas chose facile. Chacun a raison, chacun voit midi à sa porte. Comment progresser dans ces circonstances ?

    On met en avant, parfois, le taux d'accidentologie. Est-il significatif ? Tous les accidentés ne font pas état de leur accident... Pas de statistiques fiables dès lors.

    En revanche, dans le cas précis des doubles-sens cyclables, l'expérience d'autres villes montrent que ces aménagements sont sûrs. Dans le jargon des municipalités et de la prévention routière, ils ne sont pas « accidentogènes ».

    Alexandra Cordebard, première adjointe au maire du 10e, rappelle que chacun se doit de respecter les règles. « L'espace a été regagné pour les piétons, mais il fut un temps pas si lointain, où ces derniers trouvaient difficilement leur chemin au cœur d'embouteillages monstrueux. Il faut maintenant rationaliser les parcours cyclistes pour leur faire économiser les détours et ainsi leur éviter des conflits avec les autres usagers de la voirie. La volonté assumée de la Ville est bien de favoriser les circulations douces. »

    rue de Maubeuge vers Bd Chapelle - future zone 30.JPGL'un des thèmes de la réunion était le double-sens cyclable, qui devra faire son apparition dans toutes les voies où la vitesse de circulation des automobiles est limitée à 30 km à l'heure. Dans notre quartier, pas de zone 30, donc pas de double-sens cyclable en vue. Du moins pour le moment. On pourrait imaginer une zone 30 autour de Lariboisière, par exemple, comme l'a suggéré Action Barbès, qui met toute son énergie à pacifier la circulation aux abords de l'hôpital et notamment sur le boulevard de La Chapelle.

    L'équipe d'animation avait aussi convié un responsable de la société Decaux en charge de Vélib' pour faire un point. Celui-ci n'est jamais arrivé, malgré une présence promise. Chacun y donnera le sens qu'il veut...

    Les habitants non plus n'étaient pas au rendez-vous. Seulement une petite trentaine, dont toute l'équipe d'animation qui appelait, ce soir-là, au renforcement des troupes... Une seule personne s'est proposée pour intégrer l'équipe : un jeune homme, habitant de la rue de Rocroy, curieux des affaires du quartier, prêt à s'impliquer dans la vie de ses habitants.  Elu dans l'instant, bien sûr.

    De quoi interpeller... Il est vrai qu'il faut se rendre disponible, avoir du temps libre, pour s'impliquer dans une action. Pas simple pour de jeunes parents, pas simple non plus lorsqu'on a des activités professionnelles qui exigent toujours plus, et que l'on rentre tard.

    Côté motivation :  plus de grands réaménagements dans notre quartier, plus de grands projets en cours, des projets qui tardent, pas vraiment de concertation non plus sur les aménagements courants, on se contente de dispenser de l'information et on garde en tête des questions ... sans réponse. Les maires d'arrondissement ont peu de pouvoir et les décisions sont prises à l'Hôtel de ville. Un cocktail démobilisateur?

    Y aurait-il également un manque de visibilité sur les pouvoirs du conseil de quartier ? Autant de raisons qui n'aident pas à la vitalité démocratique.

    Espace public, espace partagé, vivre ensemble.... beaucoup de travail de sensibilisation en perspective !!!

    partage espace public - Stationnement illicite angle Rcroy-Magenta.JPGpartage espace public - Stationnement illicite angle Rcroy-Magenta 2.JPG

     

     

     

    Ci-contre, deux vues des trottoirs au carrefour du  boulevard de Magenta et de la rue de Rocroy... un samedi, mais quand même.