Pour connaître la liste des ateliers d'artiste et leur localisation, cliquez
paris - Page 141
-
les ateliers d'artiste qui ouvrent leurs portes
-
Le renouveau architectural et urbain de Paris, Bertrand Delanoé dans le 18e
Compte rendu de mandat
rendez vous Jeudi 15 novembre à 18h30 centre sportif PAJOL
22ter rue Pajol
Si vous voulez anticiper quelque peu, voici une courte vidéo qui décrit la transformation de la Zac Pajol, pour partie déjà réalisée.
-
Un festival pas comme les autres
Des concerts gratuits dans les bars du 18e.... ne serait-ce pas un peu comme au Printemps de Bourges, en marge du printemps officiel ? On boit un coup et on écoute la "sic".
Si cela vous tente, voici tous les lieux où vous pourrez partager verres et chansons :
jeudi 15 novembre de 19h30 à 21h30, au POINT BAR, 99 rue Championnet, avec les Guyom Touseul & les Jambons Volants
Vendredi 16 novembre de 18h30 à 21h30 au BISTROT SAINTE ISAURE, 4 rue Sainte-Isaure, avec Jamais 2 sans toi, L'ombre de ton chat.
Dimanche 18 novembre de 15h à 19h, à LA PISCINE, 45 rue du Poteau, avec LES COPAINS CHANTENT LEPREST, Jamais 2 sans toi, Guyom Touseul et les Jambons Volants
Jeudi 22 novembre de 19h30 à 21h30, à LA MASCOTTE, rue Letort, avec Killabizz & Ursa Major
Vendredi 23 novembre de 18h30 à 21h30, au CAFFE POTEAU, 8 rue du Poteau aec Yadjo
Samedi 24 novembre de 19h30 à 22h00, au POINT BAR, 99 rue Championnet avec, en clôture du Festitival, L'OMBRE DE TON CHAT, GRAND LOU LE CHAMBRAYEUR, GUYON TOUSEUL & LES JAMBONS VOLANTS, YADJO et de nombreux invités
Voir le portrait de Titi, l'organisateur du festitival, sur dixhuit-info.
-
On peut déjà penser à Noël aussi
Pour en savoir plus, consultez le site de la Croix Rouge Française ici
Cette collecte nationale permettra à tous ceux qui le souhaitent de déposer pendant tout le mois de novembre, dans tous les Points Relais® (4 300 en France), des jouets neufs (ou en excellent état), pour apporter un peu de joie à des enfants souvent privés de Noël.
-
De l'art africain dans la Goutte d'Or
L'échomusée se situe au bout de l'allée qui traverse le square Léon.
Vous ne pouvez pas le rater, la façade est toute jaune, à droite en quittant le square.ECHOMUSEE
21, rue Cavé /// 75018 – Paris
01 42 23 56 56
echomusee@yahoo.fr -
l'UMP embarrassé dans le 18e
A la suite de l'enquête de Tracfin (Traitement du renseignement et action contre les circuits financiers clandestins) en décembre 2010, le Canard Enchaîné avait levé un lièvre, il a repris la chasse en octobre dernier. Il ne s'agit pas d'une histoire de bêtes mais d'une affaire judiciaire. Le cas de Roxane Decorte semble peu à peu faire l'unanimité, et presque tous, y compris dans son propre parti, demandent sa démission. Le dernier en date est Bruno Le Maire, ancien ministre et actuellement député de l'Eure, qui s'exprime ainsi face au journaliste du Parisien
«Lorsqu'un élu est impliqué dans une affaire judiciaire il doit remettre sa démission (...) C'est une question de respect dû aux électeurs. Dans cette période difficile les élus doivent faire preuve d'exemplarité.»
On ne peut qu'adhérer à cette déclaration, que l'on voudrait voir appliquée à chaque fois.
La condamnation pour abus de confiance, quatre mois de prison avec sursis et 6000 euros d'amende, date de décembre 2011. Elle était passée assez inaperçue du fait du choix de la procédure, car l'élue UMP reconnaît les faits et s'expliquait, déjà dans le Parisien, le 25 octobre dernier.
Le détail de l'affaire était déjà traité en décembre 2010 dans DixhuitInfo.com et n'avait pas éveillé un grand intérêt. Sans doute la présomption d'innocence. Les règles sont telles que le maire de Paris ne peut pas exiger la démission d'un des élus du Conseil de Paris. Il s'agit d'une affaire interne à chaque parti et en passant, également, d'une affaire de déontologie... Attendons de voir comment se comportera Mme Decorte.
-
Armistice de la Grande Guerre : 11 novembre 1918
Les abords de la gare de l'Est sont marqués par les dates et les souvenirs des guerres du 20e siècle. Jusqu'en 1966, la rue du 8 mai 1945 portait le nom de Strasbourg, ville perdue en 1870, abandonnée aux Prussiens à l'époque. On repense aussi avec nostalgie à la très belle brasserie dont l'enseigne était "Aux armes de Strasbourg" et qui a laissé la place à un supermarché, un de plus. Vous retrouverez à la fin de notre article une vidéo - peut-on déjà dire une vidéo ? - sur la libération de Strasbourg le 21-22 novembre 1918, grâce au concours d'un caméraman des armées et au Commandement Meyer qui raconte l'entrée des troupes françaises dans Strasbourg, troupes libératrices de l'Alsace.
- Voici quelques affiches historiques rencontrées sur le site de l'Assemblée Nationale. Il y en a beaucoup d'autres dans la section qui traite de la chronologie de la guerre de 14-18.
- Premières offensives françaises en Alsace et en Lorraine 7-10 août 1914
- 6-14 septembre 1914 : les taxis de la Marne ralentissent l'avancée allemande.
Les taxis de Paris -au total 630 payés au compteur par le Trésor public- ont été réquisitionnés par le général Gallieni afin d'accélérer le transport des troupes vers la Marne. En fait, bien que leur apport militaire ait été modeste par rapport aux effectifs engagés leur valeur a été un symbole du « miracle de la Marne ».
Du 6 au 8 septembre la bataille est indécise sur un front de 160 km.
Le 9 septembre l'aile gauche de la Ve armée commandée par Franchet d'Esperey franchit la Marne.
La bataille de la Marne arrête la progression allemande. Le nombre des victimes est élevé, jusqu'à 100 000 au total.
Toute la chronologie de la guerre de 14-18, illustrée par des documents historiques, des affiches, des liens vers des allocutions, des films d'époque, des interviews, etc....les commémorations qui ont suivi , jusqu'à celle de 1984 qui a vu le Chancelier allemand Helmut Kohl et le Président de la République française François Mitterrand se reccueillir sur les tombes des soldats des deux pays, au cimetière militaire de Douaumont. Tout est disponible sur le site de l'Assemblée Nationale.
- Ci-dessous la libération de Strasbourg avec les images d'époque
-
Il est passé par ici, il repassera par là....
Avez-vous suivi nos articles sur les porte-huit ?
Porte-huit ??? Ce sont ces camions de longueur remarquable qui transportent les voitures de location des particuliers, et dont les agences sont nombreuses dans la gare du Nord. Au passage, et pour faire court, ces camions longs stationnent aux abords de l'hôpital Lariboisière, au plus près des rampes des parkings Vinci, là où ils déposent ou prennent en charge les voitures de location. Leur but est de réduire au maximum la distance et le temps de transfert.
L'hôpital s'est plaint depuis longtemps des vibrations des moteurs, nécessairement en marche pour produire l'énergie indispensable aux mouvements des voitures. Des aménagements ont été faits rue de Maubeuge, pour marquer les espaces réservés à ces camions aux places les moins dérangeantes pour les services de réanimation, notamment.
Mais rien n'y fait. Les porte-huit se sont déplacés vers la rue Ambroise-Paré, en façade de l'hôpital, entre l'entrée des urgences et l'entrée principale, ajoutant au nombre des mécontents les riverains de la rue Ambroise-Paré.
Une réunion a eu lieu au début du mois d'octobre, précisément le 10, sur place et en présence de responsables de la mairie, de la voirie, de l'hôpital, administration et corps médical, du commissariat, de la préfecture de police, en présence des riverains et de notre association. Chacun a pu exprimer son opinion, faire part de ses observations, livré sa perception des nuisances liées à ces camions. Entre nuisances sonores, pollution indéniable, et nécessaire présence d'une activité commerciale qui est liée à la gare et aux nombreux utilisateurs de voitures louées... les solutions rapides et simples avaient beaucoup de mal à émerger.
La réunion a duré plus d'une heure. Des plans ont été déployés au vent mauvais du nord... Les policiers ont affirmé que chaque jour la patrouille verbalise... mais peine perdue, les enjeux commerciaux sont trop élevés. On a également évoqué la charte qu'auraient du signer depuis plus de deux ans les professionnels du transport... signature reportée plusieurs fois, car la charte est trop restrictive sur les horaires de circulation. Dans ces conditions, rien n'est signé et les porte-huit continuent à encombrer le secteur.
On a pourtant doucement atteint les limites du supportable, aussi bien à l'hôpital que chez les riverains. Quelle solution dès lors ?
Le responsable de la section de voirie du 10e a donc décidé de gêner le stationnement des porte-huit. Gêner physiquement puisque les PV seuls ne sont pas dissuasifs. Dans un premier temps, avec une dose d'optimisme qui s'avérera bientôt excessive, il a fait placer des palissades de manière à réduire la circulation de la rue Ambroise-Paré à une seule file. Et donc à empêcher l'arrêt des porte-huit. Arrêt est bien le terme exact, et non stationnement, puisque les moteurs sont en marche. Or, le représentant de la Préfecture nous a appris que l'arrêt est autorisé sur cette portion de rue... ce qui limite la répression que pourrait exercer la police à l'encontre d'un stationnement illicite.
Qu'à cela ne tienne, les porte-huit se sont décalés un peu plus loin, entre la rampe de sortie du Parking Vinci et le feu tricolore à l'entrée de l'hôpital.
Mais à malin, malin et demi... la section de voirie avait encore quelques palissades en réserve... qu'elle s'appliqua à ranger devant l'espace réservé au stationnement des motos et autres deux roues. Ce qui donne des choses bizarres, mais qui sont temporaires toutefois. Voyez vous-mêmes sur les photos que nous avons faites hier :
Nous en sommes là.
C'est une expérimentation, qui en fonction des résultats, devrait déboucher sur la création d'un petit nombre de stationnements voitures, côté des numéros pairs de la rue Ambroise-Paré, entre l'entrée des urgences et la rampe du parking Vinci, toujours dans le but de ne laisser qu'une seule voie de circulation qui empêche l'arrêt du porte-huit. Autant dire une guerre de tranchée...
-
Deux Etats américains légalisent le cannabis à des fins récréatives
Le résultat de l'élection présidentielle américaine a oculté tous les autres résultats de la consultation à laquelle participent les citoyens sur des sujets divers le même jour.
Nous avons retenu ce paragraphe d'un article du Monde paru hier:
Pour la première fois, deux Etats américains ont autorisé le cannabis à des fins récréatives. Des référendums dans le Colorado et l'Etat de Washington ont reçu une majorité de "oui", selon des résultats quasi-définitifs diffusés mercredi 7 novembre. De nombreux Etats américains autorisent la consommation de cannabis à des fins médicales (le Massachusetts est devenu le 18e mardi), mais aucun n'était allé aussi loin que le Colorado ou Washington dans un pays où la "guerre contre la drogue", imaginée en 1970 par Richard Nixon, fait figure d'évangile.
C'est le processus qu'a proposé à plusieurs reprises Daniel Vaillant, maire du 18e arrondissement, en rapprochant la consommation de cette drogue, déjà très consommée même dans l'illégalité la plus totale, de la consommation de l'alcool. Il préconisait une légalisation du cannabis à des fins thérapeutiques, en constatant que la législation française est une des plus dures d'Europe alors que la consommation nationale est aussi une des plus fortes d'Europe. Un constat d'échec de la lutte en fait. Dépénalisation* et légalisation* sont un peu différentes, mais tout aussi exigeantes du point de vue de l'organisation des modalités d'application. La proposition, outre qu'elle a provoqué de violentes protestations de tous bords, est restée au stade de projet sans lendemain.
Le Colorado et Washington disposent d'un an pour mettre au point la procédure : créer des licences pour les producteurs, organiser la distribution et la vente, de même que la publicité qui vantera le produit..., des règles de consommation (a priori à partir de 21 ans et au maximum 28 gr sur soi), etc.... Autre difficulté : ces deux Etats sont des îlots dans un océan où le cannabis reste interdit. Ne verront-ils pas dès lors affluer des masses de fumeurs potentiels, et les trafics qui s'ensuivent ?
On tâchera de suivre les conséquences de ce vote singulier dans un pays où le cannebis reste interdit au niveau fédéral, et où d'autres expérimentations ont été tuées dans l'oeuf par application de la règle fédérale, justement. Il semble que les taxes que supporte la vente de cannabis (la version thérapeutique) font entrer des sommes rondelettes au budget de l'état fédéral, et que les électeurs de ces deux Etats "d'avant-garde" aient jugé que la manne pourrait tout aussi bien renflouer leurs caisses régionales.La tolérance vis-à-vis du cannabis ne serait donc, cette fois, qu'une histoire de comptables ?
_/_/_/_/ En complément :
- Ci-dessous un tableau comparatif extrait de l'enquête de l'ESPAD publié en mai 2012 :
- Encore un lien vers un témoignage récent et anonyme paru dans Rue89 en octobre.
- *Dépénalisation : la consommation de drogue est autorisée, la culture et le commerce restent interdits
*Légalisation : le cannabis est légal et commercialisé dans les pharmacies et/ou bureaux de tabac.
-
La brasserie de la Goutte d'Or
Qui est allé boire une pinte à la nouvelle brasserie de la Goutte d'or ? Vous vous souvenez tous de l'ancien café social "Les lectures gourmandes" installé au 28-30 rue de la Goutte d'Or, angle rue des Gardes. Il est resté un certain temps derrière des vitres badigeonnées qui occultaient l'intérieur. Puis, après des travaux et des accords avec la ville, une brasserie est née... avec une inauguration le 5 octobre dernier.
L'excellent article du Dixhuit-Info paru l'année dernière donnait en avant-première tous les détails de l'opération pilotée par Thierry Roche, brasseur à la Goutte d'Or. Sa brasserie a été inaugurée il y a quelques mois et nous n'avons pas encore trouvé le temps de nous y rendre. L'aventure est pourtant assez singulière pour qu'on s'y arrête. Et même pour qu'on y aille en groupe goûter la boisson....
Vous qui habitez à côté et qui avez testé le lieu et la bière, donnez nous vos impressions !
-
Bientôt les portes ouvertes D'Anvers aux Abbesses
Bientôt les portes ouvertes des ateliers d'artistes de notre quartier (au sens large...), pourquoi ne pas le noter dans votre agenda et réserver ce weekend-là, les 17 et 18 novembre, à les rencontrer.
Suivez le guide :
Ci-dessous l'atelier de Joëlle Courtois (10 rue Germain Pilon 75018 Paris) et celui de Josiane Chevalier (11 passage Lathuille, 75018 Paris )
Ci-dessous l'atelier d'Anne de Seynes (13 rue André Antoine, 75018 Paris) , puis celui de Patrick Pinon (187 rue du Faubourg Poissonnière, 75009 Paris).
(La suite sur www.anversauxabbesses.fr )
et surtout sur place, dans tous les ateliers que les artistes ouvrent volontiers pour vous accueillir... Ne ratez pas ces quelques instants de dépaysement.
-
Et un million d'économie !
"Après examen attentif de la situation du club, et en accord avec ses dirigeants, il apparaît que le maintien d'une subvention municipale au PSG n'est ni nécessaire, ni opportun dans un contexte de rigueur budgétaire".... nous le pensions très fort depuis un certain temps (voir notre article du 17 juillet dernier), Bertrand Delanoë l'a écrit dans une délibération.
On retrouvera les détails de ce projet dans une délibération de la majorité parisienne qui doit être débattue lors du prochain conseil de Paris, le 12 novembre.
Dans la genèse de cette décision, qui a toutes ses chances d'être adoptée, on trouve un vœu du groupe communiste qui souhaitait à l'été dernier que la Ville baisse sa subvention au PSG et augmente en contrepartie ses aides au sport de proximité à travers les associations qui oeuvrent dans ce sens.
Par ailleurs, on trouve aussi la déclaration de Sylvain Garel, co-président du groupe d'Europe Ecologie Les Verts au Conseil de Paris, qui s'étonne que la délibération prévoit une augmentation de l'aide versée à la fondation de l'entreprise Paris-Saint-Germain, quand elle aide déjà beaucoup en achetant des billets en grand nombre... pour près de 650 000 Euros par an. Ces places au Parc des Princes sont distribuées à des jeunes ou aux personnels municipaux.
_/_/_/_/
Pensez que vous avez toujours la possibilité de regarder les débats au conseil de Paris en direct sur votre écran d'ordinateur en vous connectant au site de la Ville à cette adresse : site de la Ville.