Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18e - Page 40

  • Et si on allait faire un tour rue Léon ?

    Au fil des années, la rue Léon est en train de devenir une artère centrale pour sortir dans le 18e. Et l’ouverture imminente du 360 Music Factory, un lieu de création musicale qui réunit des studios d’enregistrement, une salle de concert, des bureaux administratifs et même un restaurant (nous avions présenté le projet sur ce blog en 2015), en fera le dernier arrivé d’une longue liste.  Car les lieux pour se divertir et se cultiver, ou simplement pour prendre un verre, ne manquent pas dans cette rue étroite qui commence au square Léon pour finir quatre-cents cinquante mètres plus loin rue Ordener. Petit tour d’horizon des enseignes "où l'on sort" dans la rue Léon :

    IMG_6642.jpg

     

    Le 360 Music Factory - 32 rue Myrha / 8 rue Léon : Nouvelle salle de concert consacrée aux musiques du monde. Ce lieu réunit des acteurs de la production musicale et offre un service de restauration en rez-de-chaussée (rue Myrha).

    thumb_IMG_6935_1024.jpg

    L'Embuscade - 9 rue Léon : Petit bar restaurant de quartier fréquenté essentiellement par une clientèle d'habitués.

    rue-leon,18e,bar,spectacle,théâtre,café

    Les Trois Frères14 rue Léon : Le bar restaurant "historique" de la rue Léon, où les habitants du coin viennent se mélanger. Une ambiance conviviale et des petits prix.

    thumb_IMG_6938_1024.jpg

    La Table Ouverte - 19 rue Léon : Le café de l’Institut des Cultures d’Islam vous propose une cuisine du monde le midi, à des tous petits prix, et un salon de thé. La cour intérieure est une véritable oasis à découvrir.

    thumb_IMG_6942_1024.jpg

    L’Olympic café20 rue Léon (angle rue de Laghouat) : un bar au pied d’un bel immeuble art-déco, qui propose aussi des brunch le dimanche, de nombreux concerts dans la salle du sous-sol.

    thumb_IMG_6941_1024.jpg

    L’Omadis - 43 rue Doudeauville / 29 rue Léon : Bar à l’ambiance sympathique et à la clientèle éclectique, des concerts se jouent dans la petite arrière-salle.

    thumb_IMG_6945_1024.jpg

    Le Lavoir Moderne Parisien (LMP) - 35 rue Léon : célèbre salle de spectacle, une programmation riche et diversifiée. À noter : des tarifs réduits pour les habitants du 18e arrondissement.

    thumb_IMG_6948_1024.jpg

    Le bar des Amis32 rue Léon : un tout petit café qui fait face au LMP avec une clientèle d'habitués.

    thumb_IMG_6947_1024.jpg

    Le 34 - 34 rue Léon (angle rue d’Oran) : Un piano bar au joli décor cosy, des concerts y sont régulièrement proposés.

    thumb_IMG_6952_1024.jpg

    Le Barbès Comedy Club – 39 rue Léon (angle rue d’Oran) : un tout nouveau café théâtre dédié au one(wo)man show, sous la houlette de Shirley Soignon. Une adresse à retenir !

    IMG_6135.jpg

    Le Garage Mu - 12 rue d'Oran / 45 rue Léon : Certainement la plus méconnue des adresses citées. Une salle de création, de répétition et parfois de concert dans cet ancien garage, comme son nom l'indique.

    thumb_IMG_6954_1024.jpg

    Chez Léon  - 23 rue Marcadet / 50 rue Léon : restaurant et bar à tapas, une ambiance chaleureuse et sympathique pour se retrouver entre amis.

    thumb_IMG_6956_1024.jpg

  • Festival d'hiver au Lavoir Moderne Parisien

    Le Festival d’Hiver revient pour sa seconde édition, une nouvelle édition qui se déroulera sur deux week- ends, les 24, 25 et 26 janvier au Lavoir Moderne Parisien et les 14, 15 et 16 février au Théâtre El Duende à Ivry sur Seine. Deux lieux attachés au soutien de la jeune création. La pluridisciplinarité et la mixité ethnique sont à l’honneur, des débats viendront également compléter ce cocktail culturel destiné à tous.

    Durant ces six jours, treize événements multiculturels seront présentés au public : théâtre, musique, poésie, lecture et débat. Le Festival d’Hiver accueille des compagnies professionnelles émergentes, qui présentent en exclusivité leurs dernières créations.

    Avec cette édition 2020, sera abordé au Lavoir Moderne le thème de la toxicomanie. Pour cela, le théâtre travaille de concert avec l’association ACERMA, qui vient en aide aux populations touchées par les addictions. Il s'agit de rendre accessible à tous les publics, les grands textes, de les rapprocher des problématiques contemporaines et d’intéresser des personnes rarement amenées à aller au théâtre.

     

    Le programme au LMP :

     

    VENDREDI 24 JANVIER

    17H45 | Présentation du festival
    Venez découvrir la présentation du festival !

    18H | Beaucoup de verre, un peu d’acier | THÉÂTRE | Juste avant la CompagnieTexte et mise en scène : Baptiste Dezerces / Avec : Valentine Krasnochok, François Clavier, Alexandre Lecroc et Baptiste Dezerces

     

    SAMEDI 25 JANVIER

    15H | Vers | POÉSIE | Collectif Chien Mange Chien
    De Gérard de Nerval / Avec et de : Ella Benoit, Coline Fairfort, Josué Ndofusu, Manuel Viallet

    18H | Beaucoup de verre, un peu d’acier | THÉÂTRE | Juste avant la Compagnie

    Texte et mise en scène : Baptiste Dezerces / Avec : Valentine Krasnochok, François Clavier, Alexandre Lecroc et Baptiste Dezerces

    21H | The Peppers & shivers them blues feet | CONCERT | Rock, blues, tribal

    The peppers 1 shivers them blues fett est un trio de musiciens originaires du Chili et du Portugal, qui propose des compositions hybrides de blues, rock, tribal.

     

    DIMANCHE 26 JANVIER

    15H | Les filles de Lear | THÉÂTRE | Compagnie Le Sens Opposé
    Texte et mise en scène : Angèle Peyrade / Avec : Charlotte Berthemet, Loulou Hanssen, Angèle Peyrade et Laure Prioul.

    18H | Carte blanche autour de l’addiction | CRÉATION | Juste avant la Compagnie
    Avec Mathilde Panis et Valentine Krasnochok

     

    19H | Rencontre
    Avec les artistes de la Carte blanche, l’association l‘ACERMA et Virgile Clergue-Duval, médecin addictologue à l’hôpital Fernand Widal.

    20H30 | Machiavel Machine | THÉÂTRE | Compagnie Théâtre Machine
    Texte et mise en scène : Jason Barrio avec la collaboration artistique de Raphaël Henriot.

    lmp,lavoir-moderne-parisien,18e,festival-d-hiver

    C'est où ?

    Lavoir Moderne Parisien, 35 rue Léon, Paris 18e

    C'est quand ?

    Du 24 au 26 janvier 2020

  • Inauguration de la place des Messageries de l’Est

    Jeudi 23 janvier prochain, se déroulera l'inauguration de la place des Messageries de l’Est, qui sera donc la nouvelle dénomination de la petite place formée par le croisement des rues Philippe de Girard, Jacques Kablé et Pajol.

    Ce nom vient rappeler le passé ferroviaire du lieu. En effet, en 1926, à l’occasion de l’agrandissement de la gare de l’Est, les services des Douanes et messageries des chemins de fer de l’Est sont transférés à l’angle des rues Pajol et du Département.

    Ce nouveau nom revient à l'initiative du Conseil de quartier de la Chapelle - Marx Dormoy. En mars 2017, suite aux travaux de ce conseil de quartier en vue de valoriser le patrimoine architectural, la richesse culturelle et l’histoire industrielle du quartier, le Conseil d’arrondissement a émis un vœu relatif à cette proposition de dénomination. Dénomination qui a été votée au Conseil de Paris en novembre 2018.

    La rendez-vous est donc fixé jeudi 23 janvier à 11 h, pour dévoiler les nouvelles plaques de la place des Messageries de l'Est.

    Paris_rue_Pajol_rue_Philippe_de_Girard1900.png

    C'est où ?

    Place des Messageries de l'Est, Paris 18e

    C'est quand ?

    Jeudi 23 janvier 2020, à 11 h

  • La Promenade urbaine prend des couleurs

    La Promenade urbaine va prendre des couleurs. Elle avait commencé a se parer de jolies teintes avec les demi-terrains de basket de Stalingrad et l'espace d'apprentissage de vélo à la Chapelle (hélas, remis en chantier, voir notre article d'hier). À présent, c'est l'ensemble de son parcours qui va bénéficier d'un véritable fil conducteur coloré.

    En effet, la Ville a convié l'artiste Momies pour qu'il déroule tout au long du parcours de la Promenade urbaine un véritable tapis de couleurs. Nous vous dévoilons ici, et en exclusivité, l'oeuvre telle qu'elle va se déployer sous le viaduc du métro dans les semaines qui viennent. 

    propositions Momies - copie.jpg

    Vue d'artiste

    Ce tapis de couleurs aux motifs abstraits, caractéristique du travail de l'artiste, se déroulera donc depuis le métro de Barbès-Rochechouart jusqu'à Stalingrad, au centre du terre-plein central, sur approximativement la largeur de l'allée centrale du marché de Barbès.

    propositions Momies.jpg

    Motif

    Les nouvelles peintures colorées produites aujourd'hui, très résistantes à l'usure et au nettoiement, permettent d'imaginer à présent ce genre d'aménagement de manière relativement durable. Cependant, cette oeuvre de streetart sera renouvelée tous les ans.

    Le chantier a commencé, la toute première couche a été étalée hier au niveau des rues de Maubeuge et de Tombouctou. On imagine déjà le bel effet de perspective que l'on aura en bout de viaduc lorsque l'oeuvre sera livrée !

    thumb_IMG_6901_1024.jpg

    Le fond bleu attend ses arabesques

  • Trous

    Trou

    Les travaux de voirie de la Promenade urbaine étaient presqu'achevés en ce début d'année 2020, lorsqu'un affaissement du sol est apparu sur le trottoir boulevard de la Chapelle, au droit de la station de métro, créant un trou. Un trou bien inquiétant, puisqu'en dessous de la chaussée à cet endroit passe le couloir de communication souterrain entre la station la Chapelle et la gare du Nord. Il est donc normal que des mesures conservatoires aient été prises pour couper la circulation automobile à proximité immédiate (entre la place de la Chapelle et la rue Philipe de Girard dans le sens ouest-est).

    trous,promenade-urbaine,10e,18e

    Le trou sur le trottoir du boulevard de la Chapelle

    Mais cette coupure a des conséquences catastrophiques sur la circulation, et bien au-delà de la place de la Chapelle : aux heures de pointes les bouchons se forment jusqu'à Pigalle, Marx Dormoy ou encore vers la gare du Nord. Voilà un trou qui parait bien insignifiant mais dont les répercussions se sentent sur tout le nord parisien. On espère qu'un fléchage de contournement de la zone sera très rapidement mis en place par la Ville à l'attention des automobilistes et que la préfecture dépêche des agents pour régler la circulation, au moins aux heures de pointe, en attendant la réouverture de ce tronçon.

    trous,promenade-urbaine,10e,18e

    Les piétons sont informés place de la Chapelle, les automobilistes beaucoup moins

     

    Trou bis

    Mais ce trou n'est pas le seul a être apparu sur la Promenade urbaine. En effet, lors des travaux de mise en place des suspensions pour l'éclairage du viaduc, un engin de chantier s'est dangereusement enfoncé dans le sol, sur le terre-plein central sur le pont Saint-Ange. Un trou est ainsi apparu, remettant en cause le calendrier des travaux. En effet, le pont Saint-Ange appartient à la SNCF concernant sa structure, mais l'entretien de sa surface (sur 8 cm exactement) revient à la Ville, et sachant que sous le pont passent des conduites et câbles d'autres opérateurs (eau, gaz...) et qu'on ne saurait imaginer une coupure de la circulation ferroviaire, la programmation de travaux de consolidation va donc mettre un certain temps à se faire, et l'espace de glisse prévu ici devra attendre. Lorsque l'Hôtel de ville a informé les associations locales de ce problème, on nous a promis que la zone concernée serait sécurisée par des palissades, et que cette clôture ferait l'objet d'un traitement esthétique particulier. Nous l'attendons.

    trous,promenade-urbaine,10e,18e

    Le trou du pont Saint-Ange

     

    Des p'tits trous, toujours des p'tits trous

    Et il y a encore d'autres trous qui sont apparus, cette fois volontairement, sur la Promenade urbaine. En effet, alors que l'espace d'apprentissage du vélo sous le viaduc derrière la station La Chapelle venait à peine d'être livré, on s'est rendu compte que l'évacuation des eaux pluviales du viaduc ne se faisait pas correctement à cet endroit et que des mares d'eau se créaient au pied des descentes d'eau. On a donc percé le sol au pied des piliers de soutien, et l'espace joliment coloré est redevenu une zone de chantier, un chantier dont on ne connait pas les délais.

    trous,promenade-urbaine,10e,18e

    Un trou au pied d'une gouttière du viaduc

    trous,promenade-urbaine,10e,18e

    L'espace d'apprentissage du vélo est redevenu un chantier

    La démultiplication de ces problèmes structurels pose inévitablement la question du diagnostic préalable, de son effectivité et de sa réalisation. Et plus généralement, la question de la qualité des travaux réalisés se pose aussi, mais nous reviendrons dans un prochain article sur ce sujet. Aujourd'hui, il nous semble nécessaire qu'un état des lieux exhaustif soit fait très rapidement sur l'ensemble du parcours de la Promenade urbaine, histoire de ne pas voir nos boulevards finir en passoire !