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Prévention & sécurité - Page 106

  • Ventes à la sauvette... d'été

    La vente à la sauvette restant un phénomène très présent à Barbès et autour de la station de métro Barbès-Rochechouart, malgré le dispositif policier renforcé et les interpellations régulières, selon les bilans de la préfecture de police, nous nous sommes penchés sur les nouvelles lois qui devraient « tout changer » dans ce domaine.

    En effet, il y a un an, la police opérait une saisie importante de tours Eiffel et le JDD s’en faisait l’écho en ces termes La police fait main basse sur les tours Eiffel.  Près des sites touristiques très fréquentés florissent les stands ou les tapis des petits marchands illégaux, dont le surnombre conduit certains à adopter des attitudes plutôt agressives. Au moins ressenties comme telles par les touristes qui s’en plaignent. La police avait alors décidé de remonter les filières d’approvisionnement et de saisir massivement les produits mis en vente illégalement. Elle regrettait également son arsenal répressif inadapté.

    Un long article de Libération, le mois suivant, décrivait à la fois la situation sur le terrain (devant le Sacré Cœur et au pied de la Tour Eiffel) et l’opinion des forces de police confrontées au problème.

    Cécile Beaulieu, la journaliste du JDD, ajoutait : « les vendeurs… sont désormais des centaines à arpenter les trottoirs parisiens, peu dissuadés par la sanction encourue : une simple contravention » Et de compléter : « Toutefois, un amendement récemment déposé par le député UMP Philippe Goujon et adopté par la commission des Lois devrait faire de la vente à la sauvette un délit passible de six mois d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende. Les personnes interpellées, quant à elles, devraient être poursuivies pour infraction à la législation sur les étrangers, aide au séjour irrégulier et association de malfaiteurs. »

    Plus récemment, le 19 mai 2011, la police renouvellait son opération et saissisait dans une boutique du 3e arrondissement 200 000 petites tours Eiffel, de fabrication chinoise.

    Tours EIffel, souvenirs là et/ou cigarettes ici... Nous pouvons maintenant nous interroger légitimement sur les efforts de la police et de la collaboration entre police, justice, douanes, administration fiscale,  et sur les effets de l’adoption de l’amendement annoncé. Qu’en est-il ?

    paris,vente-à-la-sauvette,métro-barbès,loppsi-2,philippe-goujon,cigarettes,contrefaçon,souvenirs,mafias,réseaux-mafieuxSi l’on en croit nos adhérents qui sont familiers de la station de métro ou garent leur voiture au parking Vinci situé non loin, sur le boulevard  de La Chapelle, la présence des vendeurs de Marlboro et de Legend est aussi dense que par le passé. Ils sont tout aussi nombreux. Les palissades devant Vano incendié récemment gênent bien un peu. Alors ils vont et ils viennent, en fonction de la présence des policiers. Et l’amendement de loi proposé par la député maire du 15e ? Est-il appliqué ? Loppsi 2 a-t-elle fait avancé les choses ? Par exemple, peut-on détruire la marchandise au lieu de la revendre par les Domaines, comme c’était le cas ? Ou bien doit-on s’accoutumer à la libre circulation des biens et des produits, et courir derrière les filières mafieuses à travers lesquelles ils sont commercialisés ? Loppsi a d’autres chats à fouetter malheureusement, souvenons-nous à ce propos des débats houleux (surenchère sécuritaire ?) qui ont accompagné les discussions autour de son adoption.

    C’est sûr que des pauvres types qui cherchent à gagner trois sous, il y en aura toujours…. Et vu l’état de la planète, la source est loin de tarir. En parallèle, il semble aussi que les réseaux mafieux se sentent plutôt à l’aise… dans des domaines aussi variés que les tours Eiffel et tous les gadgets touristiques, les cigarettes de contrefaçon, les narcotiques, les copies illégales de CD et DVD, la prostitution…. Oui, nous en oublions, la liste est longue.

    Ventes-a-la-sauvette_medium.jpg

    Comme aucune action ne peut être négligée, la Préfecture de Police lance ces jours-ci une opération de distribution de flyers, oui, de flyers, pour avertir les touristes que ce qu’ils achètent n’est pas une marque déposée… : le produit est illégalement sur le marché, et l’acte d’achat est illicite aussi.  Je me demande s’ils ne le savaient pas déjà.

     

    Et "just for fun", jetez un regard sur cette page qui vous offre tous les contacts nécessaires, en Chine bien sûr, pour assurer vos futurs approvisionnements en tours Eiffel, les prix sont FOB (free on board Port de départ) et les quantités minimales rarement au-dessous du millier.

  • Retour sur la soirée du 14 juillet

    A l'heure où le sentiment patriotique, le bien fondé des défilés militaires et la légitimité des "bons Français" à en débattre font  la une de la presse et des JT, nous revenons sur un communiqué de la Préfecture de police qui tire un bilan de la soirée festive du 14 juillet.

    Nous allons tenter de positiver (l'influence des vacances peut-être...?) et de regarder objectivement ce que nous dit la PP :

    Bilan de la nuit du 14 au 15 juillet par la Préfecture de Police


    Lors de la nuit du 14 au 15 juillet, la préfecture de police a mobilisé l’ensemble de ses services ;  à cette occasion, 217 personnes ont été interpellées et 125 placées en garde à vue.


    500 000 personnes étaient rassemblées au Champs de Mars (7ème) pour assister au concert et au spectacle pyrotechnique, aucun événement grave n’a été signalé, 9 personnes ont été interpellées pour vols, ivresses et jets de pétards.
    269 interventions sanitaires ont été effectuées dont 10 évacuations.

    Du fait de leur dangerosité pour leurs utilisateurs mais aussi pour leurs cibles – humaines ou matérielles- les engins pyrotechniques ou incendiaires ont fait l’objet d’une attention particulière, conduisant à une stricte application des textes réglementaires (décret de 2009 sur les mortiers, arrêtés préfectoraux pour le transport d’hydrocarbure, transport et port d’engins d’artifice).

     

    images?q=tbn:ANd9GcS-P3cZrIk8CZVyBcDcYxcmq_3AhnN59sT-IVIpmF6inFn-p2WtyANous ne sommes pas naïfs au point de tout croire. La Préfecture se sert aussi de ses communiqués pour faire passer les informations qui lui sont favorables : elle agit au nom du Ministère de l'Intérieur, bien sûr. Cependant ne pourrions-nous regarder avec quelque satisfaction ce bilan et apprécier que 500 000 personnes rassemblées en un même lieu réussissent leur soirée, puisque seules 217 personnes ont été interpellées et parmi celles-ci moins de la moitié ont été placées en garde à vue ? Interpellations pour vol seulement 9 ! (reste à savoir si les autres voleurs n'ont pas été interpellés...) et pour finir 10 évacuations sanitaires.

    Ce sont des chiffres tout à fait satisfaisants, comparables à ceux d'une grosse bourgade de campagne, si on les rapporte à l'affluence. Or les présents avoisinaient le demi-million de personnes, même si pour une fois, les chiffres de la Préfecture ont été un peu gonflés...

  • Le changement de sens de la rue Chabrol : quelle conséquence ?

    Il était question depuis un certain temps dans les réflexions de la direction de la voirie de tenter le changement de sens dans la rue Chabrol. La partie située entre la rue La Fayette et la rue d'Hauteville était déjà interdite à la circulation de passage, n'autorisant que les riverains. Mais le respect de ces subtilités circulatoires n'est pas le fort des automobilistes parisiens. Pour être efficace en terme de réduction de flux, il faut trancher dans le vif et interdire radicalement ou inverser le sens de circulation.

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    Le but est de trouver des solutions pour réduire les embouteillages récurrents qui ralentissent à la fois la circulation générale sur le boulevard de Magenta et les circulations douces (bus et taxis) sur les voies qui le traversent. Pour illustrer la situation, et nous rendre compte de ce que vivent les usagers des lignes de bus qui empruntent la rue La Fayette vers la Gare du Nord, par exemple, nous avons pris le 43 entre la place d'Estienne d'Orves et la Gare du Nord à 18 heures, lundi 4 juillet.

    Le lundi n'est pas connu pour être le jour le plus chargé de la semaine, et le mois de juillet... disons que certains sont déjà en vacances. Malgré ces données favorables, il a fallu plus de 20 minutes au 43 pour aller du square Montholon à son terminus, la Gare du Nord. Le chauffeur, interrogé, a déclaré que la voie en site propre, protégé derrière son séparateur en granit, n'empêchait pas la vitesse d'escargot tous les soirs à la même heure ! A 16h, la rue était déjà très encombrée. Même constat le jour suivant à 17h30.

    De plus, il est navrant de constater que la piste cyclable très pratique est utilisée par de très nombreux deux roues motorisées et parfois à grande vitesse.

    Alors ? Que pensez des déclarations récentes sur l'inauguration du Mobilien 26, fêtée en fanfare par les élus du 9e et du 10e, de la Ville et de la Région, rassemblés, et les instances de la RATP ?

    L'inversion du sens de la rue de Chabrol, nous y revenons, aurait pour but de supprimer une entrée de véhicules sur le Magenta et donc de le fluidifier. Le Magenta plus fluide, moins d'embouteillage aux carrefours, moins de ralentissement des bus qui le traversent... vous saississez ? Dans le même ordre d'idée, le changement d'itinéraire du 26, en abandonnant sa sortie par le boulevard de Denain pour prendre la rue La Fayette à contre sens, avant les travaux, avait également permis de supprimer un cycle de feu. En effet, tout se joue sur des secondes grapillées à droite et à gauche.

    Mais tout cela est-il suffisant pour obtenir une circulation fluide - et réduite !- au coeur de Paris, tant que des boulevards, voire des autoroutes, laissent pénétrer en ville des milliers de véhicules par les entrées ouest notamment. Se souvenir de la largeur de l'avenue de la Grande Armée et de l'avenue du bois, qui déversent leurs flots quotidiens de voitures qui ne s'arrêtent certes pas aux Champs Elysées.

  • Notre perception du compte rendu de mandat de Rémi Féraud à mi-parcours

    La salle des fêtes de la mairie du 10e était raisonnablement remplie pour un tel événement. Il s'agissait de ne pas se présenter devant une salle vide pour ce compte rendu de mi-mandat et la majorité municipale sait convaincre ses partisans pour s'assurer de leur présence. Responsables associatifs et membres des équipes d'animation des conseils de quartier se sont donc retrouvés avec quelques autres habitants.

    Les réalisations de l'actuelle équipe depuis 3 ans ont été présentées dans une vidéo, assez courte et plutôt bien faite, déjà en ligne sur le site de la mairie, et accessible ci-dessous d'un clic :

    Bilan de mi-mandat de l’équipe municipale du 10e par MAIRIEDEPARIS10

    Rémi Féraud est revenu sur tous les sujets que nous évoquons dans ce blog, régulièrement, de façon critique souvent, mais où nous reconnaissons aussi les progrès accomplis. Plutôt que de reprendre les thèmes traités, nous nous contenterons de relever dans le discours les propos qui nous ont étonnés, surpris agréablement et qui montrent une prise de conscience qui nous semble aller dans le bon sens.

    Dans la salle, des habitants n'ont pas manqué d'évoquer le récent règlement des terrasses et étalages, voté par le Conseil de Paris en mai. Jusque là les élus nous avaient fait comprendre que si les règles n'étaient pas vraiment plus contraignantes pour les commerces, c'est aussi qu'il fallait veiller à la bonne santé économique de Paris. Ils annonçaient à la suite de Lyne Cohen-Solal l'élaboration de chartes (dites de bonne conduite...) dans les quartiers où le seul règlement global ne serait pas suffisant ou mal adapté. Or, hier soir, nous avons entendu Hélène Duverly, élue chargée du commerce dans le 10e, admettre que les chartes ne pouvaient tout régler, en ce sens que seuls les commerçants déjà respectueux du règlement apposeraient leur signature. Les autres s'en garderaient bien. Quand bien même le feraient-ils, une charte n'est pas un document contraignant. Les élus ont reconnu ouvertement que le problème dans Paris, pour les terrasses, mais pour d'autres objets aussi, n'est pas la loi, la règle, le réglement, mais bien les moyens pour faire respecter ces cadres nécessaires à toute vie collective.

    De même pour traiter du problème des cycles motorisés garés sur les trottoirs : la Ville n'a pas le pouvoir de verbaliser, elle ne peut que s'efforcer de créer des stationnements plus nombreux. La verbalisation relève de la police, or le préfet se montre assez conciliant, du fait du nombre insuffisant de places de stationnement. A noter toutefois que la tolérance des policiers est variable selon les quartiers. La norme serait que là où la moto ne gêne pas la déambulation des piétons, elle a moins de risque d'être sanctionnée. A très juste titre, Christiane Izel, qui est membre de la commission Accessibilité du 10e, a fait remarquer que la ligne des immeubles est un repère de guidage pour les personnes non voyantes et que toute moto stationnée au pied d'un immeuble est perçue comme un obstacle, comme le sont les chevalets publicitaires des commerces, les menus sur pied des restaurateurs, égarés au milieu du trottoir, etc. 

    Le Balcon vert et l'escalier de la rue d'Alsace ont une fois de plus été évoqués. Pour ce dernier, la dégradation est réelle et un coffrage de qualité sera réalisé d'ici à la fin de l'année. Quant au projet Balcon vert, si la SNCF ne participe pas financièrement, le projet ne pourra voir le jour. Rémi Féraud a annoncé que s'il était candidat à sa succession en 2014, le Balcon Vert ne ferait plus partie de son programme. La balle est bien dans le camp de la SNCF. Il faudra toutefois attendre une reprise économique très soutenue pour que des entreprises acceptent de louer ou d'acheter les surfaces au taux très élevé que propose la SNCF dans l'immeuble qui est sensé être coiffé du fameux Balcon vert. Même si sa situation est particulièrement attractive du point de vue des communications....

    Un autre thème a fait l'objet d'interpellations venues de la salle : les marchés de la misère sur les boulevards nord de l'arrondissement, improprement appelés marchés des biffins. La question était de savoir comment organiser ces marchés très invasifs du point de vue de l'espace public et de les limiter de  sorte que les habitants des quartiers ne se sentent pas littéralement occupés par les trop nombreux étals au sol. L'expérimentation du Carré aux biffins, créé l'an passé dans le 18e, a été naturellement mise en avant comme une solution à renouveler. Rémy Féraud puis Olga Trostiansky, adjointe au maire de Paris chargée de la solidarité, de la famille et de la lutte contre l'exclusion, ont expliqué pourquoi cette création offrait une solution pérenne dans le 18e, terre d'origine des biffins, qui sont les héritiers des chiffonniers du Maquis montmartrois en quelque sorte, ou encore de la "zone', mais peut-être pas une bonne solution pour le 10e. En effet, le Carré des biffins est le résultat d'une étroite collaboration entre l'équipe du 18e et la mairie de Paris, assumée sur le terrain par l'assocation Aurore. Financée par la Ville, elle assure l'organisation et la maîtrise de ces marchés, vient en aide aux marchands inscrits, les guide dans leur démarche administrative, et coopère avec la police pour éviter l'extension de l'aire de vente à l'infini. Les biffins vendent des objets qu'ils ont récupérés chez des particuliers, dans les poubelles, parmi les encombrants avant la collecte, objets qu'ils lavent, réparent avant de les proposer à la vente. Il est strictement interdit de vendre des produits destinés à l'alimentation. L'origine des produits vendus sur les marchés de la misère, tel qu'on les voit à Belleville ou à Barbès est moins claire. Des trafics se sont greffés sur ces marchés qui les rendent douteux. Le maire a bien précisé que les habitants des quartiers où ces marchés ont lieu, pas les quartiers les plus huppés de la capitale, ne doivent pas être les victimes de la misère et de la précarisation de notre société. Il ne pense pas ,du point de vue de l'espace également, que les boulevards de la Villette ou de Belleville puissent accueillir un emplacement tel que le carré des biffins. Mais il ne pense pas non plus que la réponse policière soit la seule à offrir.

    Entre nous en sortant, nous avons commenté la réunion et unanimement, nous avons dit : " Ah, un compte rendu sans langue de bois !"

     

     

  • Voirie rue de Clignancourt

    Depuis les premiers jours de juin, la rue de Clignancourt est un peu perturbée par des travaux de voirie, chaussée et trottoirs.... De quoi s'agit-il ?

    La durée :

    Si tout va bien, la rue devrait retrouver une circulation fluide vers le 22 juillet.

    La situation :

    Le carrefour en question est celui formé par la rue de Clignancourt, par la rue Christiani (là où passe normalement la ligne de bus 85) et la rue Poulet, qui redescend vers Chateau rouge. (La rue Myrha est là aussi et témoigne qu'elle était déjà là avant l'ouverture du boulevard Barbès qu'elle traverse allègrement!)  C'est un carrefour problématique à tout point de vue, circulation des piétons et des voitures, sans oublier le bus. Notons que le carrefour suivant - Clignancourt, rue Ramey et rue Muller - n'est pas brillant non plus. Il est signalé par trois palmiers en plastique que l'association de quartier locale avait installé lors d'une fête très conviviale.... mais très demandeuse d'une prise en considération de ce carrefour dangereux, polluant, encombré, etc.

    Le détail :

    Il s'agit de réaliser un plateau surélevé sur la partie chaussée de ce carrefour. Le déplacement des piétons devrait être sécurisé par un trottoir élargi du côté des numéros pairs de la rue de Clignancourt, passant de 2,60 m à 4,20 m. Les passages piétons seront équipés de dalles en relief, dites podotactiles, pour faciliter le passage des personnes non voyantes. Des potelets lutteront contre le stationnement abusif sur les trorroirs. Des emplacements sont prévus pour les cycles, motorisés (12 places) et non motorisés (10 places), pour les livraisons (2 places au n° 36 et 37)

    Les nuisances temporaires :

    Plus de stationnement possible dans la zone des travaux pendant toute la durée du chantier.
    Mise en sens unique de la rue de Clignancourt entre les rues Christiani et Muller, le sens conservé étant de la rue Christiani vers la rue Muller (soit le sens de la montée ou de la sortie de Paris). La circulation arrivant par la rue Poulet est déviée par la rue Christiani (et retour bd Barbès), donc pas de tourner à droite dans la rue de Clignancourt. De même, impossible de s'échapper par la rue Myrha, temporairement.

    Le 85 est dévié par la rue Custine.

    Il se peut que nous observions un report de circulation vers le carrefour Barbès aux heures de sortie de Paris, à partir de 18 heures, car la rue de Clignancourt, à la suite de la rue de Rochechouart dans le 9e, sont des voies "sortantes", dont il est regrettable qu'elles aient été rendues plus étroites. On constate des embouteillages constants sur ces voies, alors qu'elles accueillent une ligne de bus, très empruntée, et aux horaires très irréguliers, du fait des "points noirs" qu'elle rencontre.

    Qui dit travaux, dit encombrements ! Comment faire autrement ? Donc, oui, il y aura jusu'au 22 juillet des perturbations. Il faudrait pouvoir éviter cet itinéraire.