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Convivialité - Page 42

  • La librairie solidaire dans le 10e change d'adresse

    Nous vous avions présenté, il y a quelques mois,  la Librairie Solidaire de la rue d'Hauteville dans le 10e arrondissement . Nous venons d'apprendre son changement de lieu. Aussi pour ne pas vous y rendre pour rien, notez sa nouvelle adresse 27 rue du Château d'eau, à deux pas de la mairie et pas très loin de la place de la République. Et ce à partir du 18 mars.

     

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  • Loto à la maison des jeunes dans le 10e

    Nous avons plusieurs fois relayé les moments conviviaux proposés par l'association Quartier Partagé: loto, concours de pétanque...

    Une nouvelle fois, les habitants du quartier Saint-Vincent de Paul et des deux Gares pourront participer au Loto organisé par cette association.

    Une animation gratuite dimanche 15 mars à 14h30 au 12 rue Bossuet.

    Capture d’écran 2015-03-11 à 23.24.09.png

     

  • Le 9e passé au crible

    Le Dailyneuvième est un site d'informations locales dédié au 9e arrondissement de Paris. Après avoir été géré à sa création par une journaliste, il a été repris il y a quelque temps  par l'Institut Pratique du Journalisme de la rue Saint-Georges. Il fait partie des sites régulièrement suivis par Action Barbès où nous y trouvons des informations d'inégal intérêt pour être très honnêtes.

    Alors pourquoi vous parler de ce site aujourd'hui ?

    Et bien parce qu'il a publié le lundi 2 mars un article très intéressant intitulé L'habitant du 9e, un Parisien comme un autre ? et qui traite de la sociologie de l'arrondissement. Basé sur des informations publiées par l'INSEE, l'article fait l'objet d'une infographie originale, très claire et de qualité.

    Mais que dit cet article ?

    En résumé, le 9e est peuplé de personnes actives assez jeunes, diplômées et donc à classer dans la catégorie des fameux CSP+. Vous pouvez regardez tout cela en détails avec le lien ci-dessus.

    Qu'en conclure ?

    D'un 9e assez bourgeois et disons-le vieillissant jusque dans les années 90, l'arrondissement compte à coup sûr parmi ceux qui à Paris ont été l'objet du processus dit de gentrification par les sociologues, autrement dit de boboïsation. Et c'est tout le 9e qui a changé en conséquence : présence de très nombreux enfants de tous âges et donc crèches et écoles en conséquence, pouvoir d'achat assez élevé des familles ayant un impact certain sur le devenir des petits commerces. Le plus étonnant a peut être été la victoire de la droite (UMP/UDI) aux dernières élections municipales après 13 ans de mandature socialiste. Le bobo serait-il de droite ?

    Quoiqu'il en soit, les particularités du 9e ressortent bien dans l'article proposé par le Dailyneuvième et on peut affirmer sans se tromper que l'habitant de cet arrondissement n'est pas un Parisien comme les autres à certains égards.

     

  • Un fronton oublié

    Nous recevons une brève avec une magnifique photo de la part de Nicole Jacques-Lefèvre qui contribue depuis le début au site des Amis du Louxor. Nous avions ici même déjà recommandé la lecture d'un bel article sur les cafés autour du carrefour Barbès.

    Nous aurons très bientôt, au carrefour Barbès, une nouvelle brasserie, à la place du Vano dévasté par l’incendie du 21 juin 2011, là où naguère la brasserie CHARLES puis le café ROUSSEAU avaient proposé leurs salles confortables. Mais Vano incluait aussi le bâtiment de l’ancienne Académie Vachette, sur laquelle je m’étais interrogée dans un petit article sur les anciens cafés de Barbès. Or cette Académie présentait un joli fronton orné, qu’avait préservé Vano, et qu’on peut voir sur cette photo prise le jour de l’incendie.

    Image 2.jpg

    La brasserie attendue est l’heureux résultat d’une « restauration à l’identique » des bâtiments, dans leur originalité. On peut seulement regretter que, si le fronton est reconstitué, il ait perdu cette jolie décoration, alors que l’Élysée Montmartre conservera heureusement toutes les siennes. Mais ne boudons pas néanmoins notre plaisir…

    L'ouverture approche, et les médias se saisissent de l'événement, par exemple l'Obs dans son article du 22 février sous la plume de Katia Pecnik. (voir ici)

     

  • Le balcon vert semble refaire surface avec un projet mené par le groupe SNCF !

    Après avoir été longtemps paralysé, enlisé puis dans une impasse qui paraissait l'avoir achevé (voir notre article de février 2012), le projet du balcon vert de la rue d'Alsace semble refaire surface. Certes, nous avions évoqué, avec une grande prudence, une petite lueur d'espoir qui avait vu le jour en décembre 2013 avec un projet du nouveau groupe hôtelier OKKO.

    Dans son article du 25 janvier dernier, le JDD évoque à nouveau ce projet qui se précise et entre désormais dans la stratégie du groupe SNCF. Voici l'esquisse du projet "OKKO Gare de l'Est" par l'Architecte de ce futur hôtel, le cabinet SLA Architecture

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    Cliquez sur la vue pour l'agrandir

     

    Cette fois-ci, le projet semble mené par la branche Gares & Connexions du groupe SNCF, qui souhaite pouvoir héberger ses voyageurs. L'entrée de cet hôtel 4 étoiles de 170 chambres se fera ainsi par l'intérieur de la Gare de l'Est, au niveau des quais. La toiture de l'hôtel se situera au niveau de la portion haute de la rue d'Alsace et comportera une terrasse végétalisée de 3 000 m².

     

    L'horizon pour ce projet : 2019 ! Armons-nous donc de patience : c'est ce que nous faisons d'ailleurs depuis 2008. Pour preuve, la vidéo du maire du 10e, Rémi Féraud, alors candidat pour sa première mandature, évoquant ce projet en décembre 2007 :


    Entre les gares, le balcon vert par remiferaud

    Le projet du balcon vert verra-t-il enfin le jour, 12 ans après sa première évocation ? Il ne nous reste plus qu'à croiser les doigts...            

      

  • Nouveau rendez vous musical à la Sorbonne Cligancourt

    Le Choeur et Orchestre Sorbonne Universités propose une pause-musicale le 12 février à 12h30 à la bibliothèque du Centre Clignancourt 2 rue Francis de Croisset, 18e (métro Porte de Clignancourt).

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    © Léo Andrés

    Un beau programme et un agréable moment de détente à l'heure du déjeuner:

    J. Haydn
    Quatuor op.76 n°2 en ré mineur (Hob.III.76) [dit «Les Quintes»]
    F. A. Hoffmeister
    Duo concertant n°1 en sol majeur pour flûte et alto
    F. Mendelssohn
    Quatuor à cordes n°6 op. 80

    Le concert est gratuit mais il faut s'inscrire ici.

     

  • Un an après ... CoopaParis victime de son succès

    Samedi matin, 38 rue Myrha. Une file joyeuse et bon enfant s’étire derrière la caisse. On s’enquiert des nouveaux produits. On veut renouveler son adhésion pour 2015. Une poussette se fait tout petite dans un coin, un panier dans un autre. Des légumes, livrés tard, attendent patiemment d’être disposés pour la vente. Les blagues fusent entre deux bousculades. On se faufile devant le présentoir aux lentilles pour attraper des pâtes, au fond de la boutique. On entrouvre un réfrigérateur pour attraper des saucisses. Il y a foule. D’ailleurs, il y a ceux qui préfèrent venir un autre jour, jugeant que le samedi matin, l’affluence est trop grande.

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    Devant la boutique - photo Pierre Bazin


    La Coopérative alimentaire de la Goutte d’Or ou CoopaParis qui a inauguré sa boutique il y a un an au 38 rue Myhra, est victime de son succès : 450 foyers adhérents, soit quelque 800 membres, « c’était nos objectifs initiaux pour la fin 2015 ! », souligne Christophe Pradal, un des fondateurs de CoopaParis. Et cela, grâce au seul bouche à oreille ou presque, puisque aucune recherche active de coopérateurs n’a été faite.

     

    Participation réinventée

    Ses principes ont séduit une clientèle venue de tout le 18e arrondissement (et parfois au-delà) : une association de consommateurs en lien direct avec des producteurs ; le choix de la proximité ; des produits de qualité, souvent bio et à juste prix* ; la défense de l’agriculture paysanne ; une vocation solidaire. Sa gamme de produits, également, avec 50 fournisseurs différents : charcuterie et viande ; pain 100 % bio fabriqué spécialement pour CoopaParis par la boulangerie Tembely, au coin de la rue ; fromages ; tisanes, confitures, pâtes, jus et légumineuses…

    *Autrement dit, le prix qui permet au producteur de vivre de son travail, au consommateur d’acheter et à la coopérative d’exister.

    Le projet est entièrement autogéré : les décisions se prennent à mains levées une fois par mois dans le cadre d’une réunion aux allures d’Assemblée Générale. « Ce projet vit et existe grâce aux coopérateurs, se félicite Trinka Petitmermet, cofondatrice de CoopaParis. Certes, il reste beaucoup de choses à faire, l’organisation doit être améliorée. Mais on invente et on réinvente la participation ! »

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     Vote à mains levées pendant une réunion mensuelle au Lavoir Moderne Parisien


    Recherche local désespérément

    « Le seul frein au développement, aujourd’hui, c’est donc le local, trop petit, avec une superficie de 32m2 seulement » regrette Christophe, un familier de ce type d’entreprise puisqu’il est aussi le co-fondateur de l’Amap de la Goutte d’Or, en 2006. « En outre, notre bailleur actuel, privé, souhaite vendre son local ». CoopaParis a même déjà décroché une subvention de la fondation Carasso avec l’engagement d’un soutien sur trois ans, pour financer l’achat d’une chambre froide supplémentaire et d’autres équipements à installer dans un local plus grand, doté de surfaces de stockage et d’accueil aux dimensions du projet actuel.

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    Dans la boutique. À gauche, Christophe Pradal.

    Au second plan, avec le gilet rouge : Trinka Petitmermet


    « On peut parfaitement payer le loyer ! Mais à la Goutte d’Or, le parc privé est limité, surtout pour les locaux d’une surface supérieure à 80 m2, on espère donc obtenir un local d’un bailleur social », indique Christophe. Depuis six mois, la coopérative recherche activement des locaux, a sollicité des élus du 18e arrondissement et même écrit au maire. En espérant une réponse…

     

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    Deux coopératrices apprennent le maniement de la caisse

     

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    CoopaParis vend de plus en plus de produits frais, fruits et légumes notamment

     

  • Vivre à Paris

    paris,plu,commerce-de-proximité,logementDepuis plusieurs années, Paris est la ville la plus visitée au monde ! Objet d'une polémique au cours des dernières élections municipales, cette information est confirmée par le rapport publié par l'Office de tourisme de Paris : près de 30  millions de visiteurs à Paris intra-muros en 2013. Il est clair que cette affluence a un impact sur la vie quotidienne des Parisiens. Pour ceux qui aiment les chiffres, cela représente en moyenne 82 000 visiteurs par jour soit 3,5% de la population qui est d'environ 2,3 millions d'habitants. C'est considérable. Nos arrondissements et principalement le 9e et le 18e sont touchés par ce phénomène avec les Grands Magasins et Montmartre par exemple, mais aussi le 10e où se trouvent les deux gares Nord et Est. L'économie de la ville s'en ressent. A certains égards, l'impact est positif, pas de doutes, mais cette formidable quantité de visiteurs a aussi des effets pervers sur la vie des Parisiens (pour plus d'informations, se reporter au document Le tourisme à Paris, chiffres clé publié par l'office du tourisme - édition 2014 pour les chiffres 2013)

    D'abord sur le logement, .....

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  • La ville de Paris met en place un conseil de la nuit

    Dans le cadre de la médiation entre les bars du quartier Clignancourt-Muller-Ramey et ses habitants, nous avons participé à plusieurs réunions tenues à la mairie du 18e et sur le terrain. Le représentant d'Action Barbès, très actif au sein du conseil de quartier Montmartre depuis qu'il a été tiré au sort l'an passé, est tout désigné pour suivre de près ces pourparlers. Nous sommes là au coeur de son quartier. 

    C'est dans ce carrefour que demeure également le "maire de la nuit" qui a eu son heure de gloire lors de son élection par les "acteurs de la nuit" en novembre 2013. Nous parlons de Clément Léon R, un trentenaire qui craint que Paris ne s'endorme sous l'influence des associations de riverains soucieuses de leur tranquillité nocturne. A l'instar des patrons de bars, de cafés, tout lieu de vie nocturne, qui ont  leurs représentants, il parlerait au nom des consommateurs, des noctambules, des jeunes et moins jeunes qui aiment Paris la nuit, le Gai Paris, selon une expression franchement surannée. Les uns veulent que Paris vive la nuit, les autres veulent qu'on respecte leur tranquillité. Vaste programme et large fossé. Un sujet donc longuement débattu lors des Etats généraux de la Nuit en 2010, organisés par la Mairie de Paris et l'adjoint de Bertrand Delanoë, Mao Peninou, à l'époque. (On peut visionner la séance en conseil de Paris ici) On était arrivé péniblement à la création des Pierrots de la nuit, des jeunes clowns chargés de calmer les fêtards et les buveurs quand les heures passent et que le taux d'alcool augmente, souvent, et surtout à des efforts de la part des bars et salles de musique en matière d'isolation phonique. (relire dans Le Monde du 12 novembre 2010)

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  • Petite augmentation des tarifs au Louxor

    paris,barbès,cinéma,louxor,tarifsNous relayons le changement de tarif dont nous informe l'équipe du Louxor. Cette augmentation nous semble mesurée et ne nous empêchera pas de fréquenter les salles de notre cinéma de quartier !

     

    ATTENTION ! NOUS CHANGEONS NOS TARIFS !

     
    Voici les nouveaux tarifs, appliqués dès le dernier mercredi de décembre.
     
    PLEIN : 9.20€
    RÉDUIT : 7.60€
    (étudiants, demandeurs d’emploi, IMAGIN’R, carte famille nombreuse, personnes handicapées, sur présentation d’un justificatif).
    -14ans : 4€
    MATIN (avant 12H) : 5.10€
    CARTE LOUXOR 5 PLACES : 31€
    CARTE LOUXOR 10 PLACES : 51€
    Validité 6 mois à compter de la première utilisation, cartes non nominatives et rechargeables.
    PREMIER ACHAT : +1€ d’acquisition de la carte
     
     
    Cartes Illimitées UGC et LE PASS Acceptées
    Contremarques acceptées : CINÉ-CHÈQUES
                                                      EOSC
                                                      TS30 avec supplément de 1.50 
     
    Le Louxor est partenaire de l’opération ORANGE CINÉDAY
     
     
  • Bonne année 2015

    Un clin d'oeil de Monsieur Chat 
    pour bien commencer l'année ? 

     

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    Attention : demain le retour....

  • Trêve des confiseurs

    Pour notre blog, c'est relâche... — pour dire vrai, c'est surtout l'équipe des rédacteurs qui se relâche... !

    On se retrouve le 5 janvier pour des articles d'actualité et quotidiens. 

     

    Joyeuses fêtes à tous ! 

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    Les marchés de Noël ont envahi tous les centres ville avec des résultats plus ou moins heureux, des adhésions populaires certaines, mais parfois discutables. Jetons un regard sur l'histoire d'un des tout premiers marchés de Noël, celui de Strasbourg avec un reportage de quelques minutes, soigneusement conservé par l'Institut national de l'audiovisuel (INA). C'était en 1966, il y a près d'un demi-siècle...

     

    Contrairement au ton un peu lénifiant du commentateur de l'époque, aujourd'hui les critiques pleuvent, notamment, sur la provenance des produits qu'on y trouve, comme ci-dessous dans 20 Minutes du 18 décembre. 

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    Pragmatiques les marchands de Noël, ils sont là parce que la clientèle est nombreuse, pas parce que les produits sont artisanaux et sentent bon la France profonde ! Un peu ternie la magie de Noël, non ?