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Circulation & voirie

  • Retour sur notre rencontre avec Eric Lejoindre, Maire du 18e arrondissement

    Le 3 septembre 2025, M. Eric Lejoindre et cinq membres de son équipe (dont MM. Gislain Guidoni et Kevin Havet) recevait Action Barbès à la mairie du 18e pour évoquer notamment les sujets suivants : le devenir de la Halte Soins Addictions, la propreté aux abords du carrefour Barbès, l'avenir économique de l'ex-Tati et de l'ex-BNP Paribas, du jardin de l'Assommoir.

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  • Un outil de propreté pour notre quartier : l’application DANS MA RUE

    Nous sommes tous confrontés régulièrement dans les rues de notre quartier à des dépôts sauvages de mobilier usagé, de gravats, d’objets divers.

    Une application proposée par la mairie de Paris permet une action efficace pour un enlèvement rapide de ces dépôts qui, s’ils ne sont pas éliminés, deviennent souvent l’occasion de concentration d’autres objets ou déchets divers.

    Et elle permet également de signaler aux services municipaux des dégradations du mobilier urbain ou de la voirie.

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  • La rue Guy Patin métamorphosée

    Oui, la rue Guy Patin est métamorphosée, avant d'être arborée ! 

    Dans notre souci de reconnaître que la végétalisation des rues couplée avec la réduction du stationnement automobile a de bons côtés, nous illustrons notre propos. Cette fois, un coup de projecteur sur la rue Guy-Patin. Les anciens adhérents de l’association la connaissent bien : elle fut longtemps l’adresse du siège d’Action Barbès. Elle longe l'hôpital Lariboisière à l'Ouest, et débouche dans le boulevard de la Chapelle tout près de la station de métro Barbès-Rochechouart. 

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    A gauche, une première photo prise en avril de cette année. Vu la profondeur des fosses, nous avons pensé que la rue accueillerait quelques arbres, ou arbustes. Mais non, elle a été ensemencée d’herbes des champs. Renseignement pris, ce n’est que partie remise. La plantation des arbres aura lieu à l'automne ou au tout début de l'hiver. Il est vrai que planter des arbres à la saison chaude (et sèche) n’est pas recommandé par les jardiniers. C’est raisonnable et plutôt que de laisser des plates-bandes vides, nues, elles ont été semées à la volée de fleurs des champs. Quelle riche idée ! D'autant que quelques jours plus tard, une pluie abondante a fait lever et prospérer toute cette verdure. 

    On ne s'en lasse pas ! 

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    Au bout de la rue à gauche, l'entrée de la salle de consommation à moindre risque a bénéficié de la même végétalisation estivale. Ci-dessous nous sommes rue Ambroise-Paré. 

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  • Coup de chapeau !

    C’est assez rare pour être salué !

    La Ville de Paris décide de supprimer des places de stationnement, d’interdire la circulation dans certaines rues, et … rien ! Pas une contestation, pas une rouspétance (pas même de Rachida Dati !) Une approbation globale, de gauche à droite.

    L’objet de cette sollicitude, c’est les « rues aux écoles » !

    Plus de voitures qui circulent, qui attendent en double file, un air dépollué, un trajet à pieds école-maison en toute sécurité. L’espace récupéré sur la voiture permet de végétaliser la ville, de jouer, de flâner, etc… Rien à redire !

    Ces 180 « rues aux écoles » sont plébiscitées, tous les maires d’arrondissement en veulent, quelle que soit leur couleur politique », assure Jacques Baudrier, adjoint chargé de coordonner les chantiers. Tous les arrondissements disposent de plusieurs rues aux écoles faites ou en projet.

    La piétonisation et la végétalisation « des rues des écoles » se poursuivent à un rythme soutenu, pour le plus grand plaisir des habitants qui se réapproprient les espaces publics libérés des voitures. 300 rues aux écoles seront aménagées au cours du mandat.

    La plupart de ces « rues » ont une barrière mobile à chaque extrémité.

    Et, chaque fois que c’est possible, après un joyeux dé-bitumage (3.500 m2 au total !), verdures et arbres sont plantés en pleine terre !

    "On a besoin de créer des îlots de fraîcheur pour nous adapter aux canicules qui seront plus intenses et plus fréquentes", assure David Belliard, adjoint à la maire de Paris chargé de la transformation de l'espace public.

    Une belle réussite de celui qui portait déjà ce projet en 2019 lorsqu'il était le candidat écologiste aux élections municipales à Paris, et qui se réjouit de mettre en place «cet engagement de campagne».

    PS : la dernière photo est une (unique) « rue au bistrot » : une barrière interdit la circulation rue Saint Mathieu, devant le bistrot « Le Mistral Gagnant ». Bien agréable pour les consommateurs en terrasse.

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    Rue Richomme

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    Rue Ferdinand Flocon, terminée.

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    Rue Ferdinand Flocon en cours d'installation.

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    Rue Saint-Luc.

    rue aux enfants

    Rue Saint-Mathieu.

  • Rue de Dunkerque, un peu de bon sens ?

    Nous avions l'intention de signaler les changements de sens de circulation automobile dans le carrefour Dunkerque / Faubourg Poissonnière et Dunkerque / Rocroy d'il y a maintenant quelques semaines, des inversions de sens qui nous avaient assez surpris, et qui n'ont pas manqué de créer des reports de circulation dans le faubourg. Les riverains dudit faubourg, habitués à un relatif calme dans leur rue depuis des années n'ont pas apprécié les embouteillages, surtout le soir, bien sûr. Nous avons demandé aux élus des deux arrondissements que ce changement soit mieux signalé en haut de la rue de Dunkerque : avertir les automobilistes qu'ils n'allaient pas pouvoir continuer tout droit jusqu'au Magenta... et même qu'ils allaient devoir remonter jusqu'à Barbès ! Or les services tardent, on dirait. 

    Entre temps, nous avons reçu un billet humoristique sur le sujet. Une habitante de cette rue de Dunkerque donne son opinion avec bonne humeur. Toutefois on ne peut que lui donner raison, et insister sur le fait que les piétons sont mis en danger à la fois par l'inversion de sens et par le non-respect de la signalisation par divers engins motorisés. 

    Voici ce qu'elle nous écrit ;

    " Que ne suis-je une mouche ! En effet, la traversée des carrefours entre la rue de Dunkerque et les rues de Rocroy et du Faubourg Poissonnière me serait beaucoup plus sécuritaire si j’avais, comme ce diptère, une vison panoramique tout autour de la tête, une réception de l’image 5 fois plus rapide que chez les humains et tout juste 288 millisecondes pour réagir et échapper au danger. Mais je ne suis pas une mouche, je suis une assez vieille dame, malvoyante avec un champ visuel réduit. A chacun de ces carrefours, équipé ou non de feux tricolores, je m’efforce de tourner rapidement la tête pour voir d’où peuvent arriver les cyclistes sur les contre-sens cyclables ou non, d’ou arrivent les voitures, mais aussi d’où surgissent des motards parfois lancés à grande vitesse, et pas toujours dans le sens de circulation qui leur est autorisé, et je dois aussi être attentive aux trottinettes et autres engins incontrôlés, et même aux automobilistes qui ignorant les changements circulent allègrement en sens interdit. J’ajoute que les feux ne sont pas toujours respectés — surtout par les usagers des deux-roues motorisés ou non, quant aux traversées piétonnes, au fait, c’est quoi ?

    Dans tout ça, le plus étonnant est, qu’à ce jour, je suis encore vivante et fière de l’être ! "

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