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Actualité - Page 42

  • Un communiqué de presse de la Mission cinéma de la Ville de Paris

    Michel Gomez nous l'avait promis la semaine dernière : on apprendrait par communiqué de presse dès le lundi 26 novembre - dès.... disons plutôt "enfin"... - le nom du lauréat de la procédure de désignation de l'exploitant du Louxor. Nous vous rappelons qu'il s'agit d'une délégation de service public (DSP) avec toutes les étapes que cela suppose.

    Et l'heureux gagnant est .... 

     

    • la société CINELOUXOR, constituée de la Holding Haut et Court, de la société Xanthie Films et d'Emmanuel Papillon.

     Bravo à eux !
    Nous avions rencontré Emmanuel Papilon et Martin Bidou le 30 mars de cette année, après plusieurs candidats, et nous gardons un très bon souvenir de cette rencontre qui avait eu lieu au "café du coin" dans une atmosphère chaleureuse. 
     
    Combien de temps reste-t-il pour peaufiner la programmation maintenant ?  Trois mois ? quatre mois ? Six mois ?
  • Le prix du Quai des Orfèvres

    Je l'avoue, j'aime les polars... je ne m'en cache pas et tous les ans je fais une petite annonce pour donner le nom du lauréat du Prix - cette année, c'est la 66e édition -  du Quai des Orfèvres. Il a été décerné hier.

    Voici tel quel ce qu'en dit le service de presse de la Préfecture de Police : 

    prix_quai_orfevre.jpgDanielle Thiéry a été proclamée, ce jour à 12 heures, par le Préfet de Police, Bernard Boucault, lauréate du 66e Prix du Quai des Orfèvres pour son roman « Des clous dans le cœur ».

    « Il y a des affaires qui te pourrissent la vie…, elles restent en toi, plantées dans ton cœur comme un clou qu’un mauvais plaisant s’amuserait à manipuler… »

    Un double meurtre et une disparition, celle de son épouse, le commandant Revel est miné par ces deux affaires que la PJ de Versailles n’est jamais parvenue à résoudre. Un nouveau meurtre lui permet de reprendre son enquête.

    Géniale intuition ou obsession d’un homme malade, qui sait que désormais le temps lui est compté ? Dubitative, son équipe le suit, moins par conviction que par respect pour l’homme que ce mystère ravage, et plus encore par admiration pour ce flic, dévoré par l’exigence de la vérité, qui a le courage d’en imposer à la mort elle-même.

    Pour ceux qui aiment, bien sûr...

  • les ateliers d'artiste qui ouvrent leurs portes

    abbesses.png

    Pour connaître la liste des ateliers d'artiste et leur localisation, cliquez

    ici 

  • Relâche

    Comme nous l'annoncions en ouverture de notre lettre hebdomadaire hier, nous sommes quelques uns à être partis en week end.... aussi pas de lecture aujourd'hui.

  • Les vacances scolaires de la Toussaint commencent

    Les vacances de la Toussaint, dans les trois zones, ont débuté le samedi 27 octobre et se termineront le lundi 12 novembre 2012 au matin.



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  • En souvenir du 17 octobre 1961, d'une violence à l'autre

    On lisait dans l'agenda du maire de Paris le 17 octobre dernier : 
    11h15 • Dépôt de gerbe à l’occasion de la commémoration du 17 octobre 1961
    Angle du Pont Saint-Michel et du quai du Marché Neuf (4e)

    On se souvient aussi en lisant l'article de wikipedia, ou mieux, l'interview de l'historien Gilles Manceron, auteur de La Triple Occultation d'un massacre (publié avec Le 17 octobre des Algériens, de Maurice et Paulette Péju, éd. La Découverte), publié par Soren Seelow dans le Monde du 17 octobre 2011. La Goutte d'Or se souviendra aussi dans une visite guidée samedi 20 à midi, suivie d'une rencontre avec Leïla Sebbar, écrivaine et journaliste : voir le détail sur le site de l'Institut des cultures d'Islam.

    Un dernier témoignage celui de Jean-François Kahn : 1 minute et demie.

    Cette année, malgré la célébration du 50e anniversaire de la République algérienne, ou peut-être à cause..., le souvenir de cet événement douloureux est resté discret, jusqu'à ce que le président de la république l'évoque et reconnaisse sa réalité.

    Les médias, en revanche, ne se lassent pas d'observer et de commenter le phénomène terroriste. Il fait vendre. Toutefois de plus en plus, et sous l'impulsion du gouvernement actuel et de son ministre de l'interieur*, ils font preuve de précautions de langage pour bien distinguer le terrorisme islamiste radical de l'immense majorité des compatriotes mulsulmans. 

    La séparation de l'Eglise et de l'Etat, au début du 20e siècle, ne s'est pas faite sans heurts. On pourrait espérer, un siècle plus tard, que la séparation entre les cultes et les affaires de l'Etat se passe plus paisiblement. Chacun restant libre dans sa sphère privée... Mais les hommes tirent-ils un profit quelconque des leçons de l'Histoire ? Rien n'est moins sûr.

    La pensée extrême peut paraître séduisante à qui se sent mal dans sa vie, en marge, apatride sur les terres où il vit. Or cette pensée extrême qui promet non pas "des lendemains qui chantent" ici-bàs, mais les mirages d'une félicité totale, a bien des atouts.  (Et l'avantage de ne pas avoir de service de réclamation en cas de tromperie sur les effets promis.) Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, qui était sur France Inter mercredi matin n'échappe pas à des questions sur l'assassinat d'un avocat perpétré en Corse la veille.  Il livre son analyse. Et poursuit sur le thème d'un autre terrorisme, celui des cellules islamistes radicales.


    Manuel Valls, ministre de l'intérieur par franceinter

    * Manuel Valls, le 17 octobre, dans l'émission du matin de Patrick Cohen sur France Inter - 8h45 - 

  • Portes d'Or : 3ème édition dès vendredi prochain, notez bien !

    Une ballade artistique haute en couleur : Portes ouvertes d’ateliers d’artistes de la Goutte d’Or – 3ème édition

    12/13/14 octobre 2012

    Vernissages : vendredi 12 à 18h30

    Visites : samedi 13 et dimanche 14 de 11h à 20h 

    Pour accéder à tous les détails, cliquez sur le site de PORTES D'OR

     

    AFFICHE-PO-2012web-723x1024.jpg

  • Rappel, nous changeons d'adresse mail...

    Vous allez être soulagés si vous voulez nous écrire, notre adresse se simplifie.... et devient

    action.barbes (arobas) gmail.com

  • Changement d'adresse électronique

    Vous allez être soulagés si vous voulez nous écrire, notre adresse se simplifie.... et devient

    action.barbes (arobas) gmail.com

  • Affichage, ce n’est que de l’affichage : la politique culturelle de Bertrand Delanoë

     ---- Tribune libre ---- 

    Cet article nous a été envoyé par un adhérent d’Action Barbès. Pour être sévère, son propos ne manque néanmoins pas d’une certaine justesse, aussi avons-nous décidé de le publier. Les propos qui y sont tenus n’engagent que leur auteur.

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    En ce mardi 2 octobre, certes en l'absence de Bertrand Delanoë, maire de Paris, représenté par Bruno Julliard, nouvel adjoint au maire à la Culture mais en présence de Jacques Bravo et Daniel Vaillant, respectivement maire des 9e et 18e arrondissements et de nombreuses personnes des familles du cirque ( Gruss, Bouglione, ...) et .... de l'inoxydable Michou, 81 ans aux prunes et figure de Montmartre, a été dévoilée une plaque au 63, boulevard de Rochechouart en souvenir du cirque Médrano qui a trôné là pendant un siècle (1873-1973).

     

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    Le charme des gens du cirque


    Quoi de mieux que le très bon guide Trudaine Rochechouart dans tous ses éclats auquel l’association Action Barbès n’est pas étrangère pour présenter rapidement ce lieu :

    •   63 boulevard de Rochechouart

    « Sur un terrain vague, Fernando Bert y dresse en 1873 un premier chapiteau en toile : le cirque Fernando. Un an après, une construction en dur le remplace. Pendant près de 30 ans s’y produisit Boum Boum Medrano, clown et dompteur. Les Fratellini lui succèdent , mais le cirque reste aux Medrano jusqu’en 1963.

    La famille Bouglione le reprend sous le nom de cirque Montmartre et décide de sa démolition en 1969, malgré les nombreuses protestations du quartier, prenant ainsi de court les Monuments historiques. »

    On trouvera aussi sur le site Montmartre secret un article résumant la vie de ce cirque disparu - 

    Comment ne pas faire le lien entre cet acte certes sympathique mais d’affichage avec la politique culturelle que mène l’actuelle municipalité ?

    Dans un article virulent paru le 30 mai dernier sur Médiapart, Valérie de Saint Do fait une assez bonne analyse de la situation. Sévère mais juste. 

    Plus méchant encore est l’article paru sur le site Rue89 en mars, lors de la campagne présidentielle afin d’alerter François Hollande sur les erreurs commises par Bertrand Delanoë en matière culturelle.

    On pourrait me reprocher d’utiliser des sources partisanes de droite qui s’opposent de façon systématique à la gauche, mais ces deux sources – Médiapart et Rue89 – sont bien, à ma connaissance, des médias classés plutôt à gauche.

    Si nous regardons cette question à travers quelques sujets qui ont toujours préoccupé Action Barbès, quel est le résultat ?

    Dévoiler une plaque en souvenir d’un lieu disparu est un acte de mémoire et on ne peut qu’en féliciter la Ville de Paris. Mais la mémoire, est-ce dévoiler des plaques à l’endroit des lieux qui n’existent plus ou est-ce, pour des sites ayant une valeur patrimoniale, essayer de les sauvegarder ? Malheureusement, les projets menés par la Ville sont plutôt destructeurs. Certes assez loin de Barbès, le projet d’extension du stade de tennis Roland Garros au détriment des serres d’Auteuil est emblématique. Le projet de la tour Triangle porte de Versailles va dénaturer le ciel parisien encore assez homogène malgré quelques tours disgracieuses. Plus près de nous, la destruction du Louxor – car il ne faut pas se cacher la réalité, l’intérieur du Louxor datant de 1920 a été détruit – en est un autre symbole.

    A la Goutte d’Or, l’arrêt des subventions de la Ville au Lavoir Moderne a définitivement tué une structure culturelle dans ce quartier populaire - http://www.rueleon.net/. La longue – trop longue  fermeture de la bibliothèque Goutte d’Or bien signalée sur ce blog est un autre signe que, pour une médiathèque Marguerite Yourcenar tape-à-l’œil dans le 15e, les bibliothèques de Paris souffrent.

    Que restera t-il des Nuits blanches dans 20 ans ? Que sera devenu le 104 et son gouffre financier à 8 millions d’€ de subvention annuelle ? Idem pour la Gaité lyrique ? Quant au pari culturel du Louxor, bien des questions se posent encore.  

  • Toute l'Ile de France gratuitement le week end, mais...

    Le site de la Ville réserve parfois de bonnes nouvelles !

    Nous savions depuis toujours...(!) que les cartes réservées aux écoliers et étudiants, la carte Imagine'R, donnaient droit à la gratuité sur le réseau francilien les jours fériés et le week end. Mais il semble que cette offre s'étende à tous les porteurs d'un Pass Navigo depuis le 1er septembre. C'est ce qu'on appelle le dézonage, mesure qui a été entérinée par le conseil d'administarion du STIF le 11 juillet. Voici ce qu'on peut lire sur le site de la Mairie de Paris.

     

    Pass Navigo : l'Île-de-France s'offre à vous le week-end

     

    A compter de ce samedi 1er septembre, le pass Navigo sera en zone unique chaque week-end et tous les jours fériés. Aller partout en Île-de-France quel que soit son abonnement, c'est une petite révolution en marche et l'occasion rêvée de profiter de notre région.

     

    Train jouet

    Toutefois, certains déplorent la disparition des cartes Améthiste et Émeraude qui assuraient la gratuité des transports parisiens à certaines catégories d'usagers. Fini le coupon magnétique pour les personnes âgées ou handicapées. On rebat les cartes, avec un test sur Paris d'abord, à partir du 1er décembre, puis progressivement dans toute l'Île-de-France. Le Pass Navigo sera omniprésent. Une façon aussi de simplifier l'offre. Mais adieu la gratuité...

    Les tarifs sont déjà connus et consultables sur le site de la ville. On note toutefois un léger flou sur le tarif applicable aux personnes bénéficiaires de minima sociaux ou de la carte Paris Solidarité. La presse annonce 20 euros par an et Paris.fr la gratuité. Voici ce qu'on peut lire en bref : 

    Le Pass Navigo Émeraude-Améthyste couvre les zones 1 et 2 : il coûtera 20 euros par an pour les bénéficiaires de minima sociaux et 40 euros/an pour les usagers assujettis à un impôt inférieur ou égal à 2028 euros.

    Vous préférez un tableau ? C'est celui du site de la Ville, qui affiche clairement "gratuité".

    Bénéficiaires Navigo  Emeraude Améthyste
    zones 1-2

    Anciens combattants et veuf(ve)s de guerre âgé(e)s de  65 ans et plus

    Gratuité
    Bénéficiaires d’un minimum social et/ou de Paris Solidarité Gratuité
    Usagers justifiant d’un montant d’impôt inférieur ou égal à 2 028 € (2 287 € en cas de renouvellement) 40 €/an

    Le Pass Navigo Améthyste couvre les zones de 1 à 5  : il coûtera 159,89 euros pour les personnes soumises à un impôt inférieur à 992 euros, ainsi qu'aux anciens combattants et veufs-veuves de guerre ; il coûtera 240,64 euros pour les personnes soumises à un impôt inférieur à 2028 euros.

    Bénéficiaires Navigo  Améthyste
    zones 1-5
    Usagers justifiant d’un montant d’impôt inférieur ou égal à 992 € 159,89 €
    Usagers justifiant d’un montant d’impôt inférieur ou égal à 2 028 € (2 287 € en cas de renouvellement) 240,64 €

    Anciens combattants et veuf(ve)s de guerre âgé(e)s de  65 ans et plus

    159,89 €

    Une autre bonne nouvelle : ces 2 nouveaux Pass Navigo permettront de bénéficier de la gratuité ou de tarifs avantageux dans les musées, piscines, parcs et jardins municipaux.

  • Un rapport on ne peut plus clair sur les mutuelles étudiantes

    Les étudiants ne représentent peut-être pas une grosse partie de notre lectorat. Pourtant, ils vont bientôt s'incrire dans les facs, pour la première fois pour certains, et la rédaction ne veut pas passer à côté de l'annonce de ce rapport de UFC-Que choisir qui met le doigt sur une dérive. L'opacité et la mauvaise qualité des mutuelles étudiantes. C'est dans son numéro de rentrée que vous trouverez le détail de ce rapport et ici si vous voulez en prendre connaissance en ligne. 

    Voici un extrait qui montre qu'il est temps de se pencher sur le problème, y compris en tant que parent :

    La distribution, dans un même lieu et par les mêmes organismes privés, de la sécurité sociale étudiante obligatoire et d’activités commerciales facultatives (complémentaire santé, assurance habitation ou automobile, banque, etc.) aboutit à une totale méconnaissance de leurs droits par les jeunes. Ainsi, seuls 39 % des étudiants interrogés ont intégré le rôle premier des mutuelles -remplacer la sécurité sociale de leurs parents- et pas plus de 43 % ont compris que le niveau des remboursements, pour la partie sécurité sociale, est le même quel que soit leur choix. Pire, 37 % des nouveaux étudiants ignorent que les complémentaires santé qu’elles proposent ne sont pas obligatoires.

    Les règles de la société doivent faire l'objet d'un apprentissage, faute de quoi l'arnaque est à tous les coins de rues. Pensez à expliquer à vos jeunes les arcannes de l'administration, les obligations, les risques, les bons comportements... On les croit omniscients parce qu'ils connaissent mieux que nous les ordinateurs et les fameuses autoroutes de la communication, le fonctionnement des téléphones mobiles et autres lecteurs MP3... Oui, nul doute. Mais tout cela n'est que la forme. Sous cette forme, on continue à trouver des pièges et des difficutés à bien comprendre le fond. 

    La presse n'a pas manqué de reprendre les conclusions de ce rapport : 

    La Tribune relève que des économies pourraient être réalisées : "Les frais de gestion des mutuelles sur leur mission de sécurité sociale ont représenté pas moins de 93 millions d’euros en 2011, soit 13,7 % des prestations versées. C’est trois fois plus que l’assurance maladie !", indique UFC-Que Choisir. 

    20 Minutes insiste sur la communication désastreuse entre étudiants et Mutuelles : "un tiers des étudiants attendent plus de trois mois leur carte Vitale et ne peuvent pas bénéficier du tiers payant. «Et malheur à ceux qui voudraient joindre leur mutuelle pour s’en plaindre car moins d’un appel sur deux (45%) aboutit auprès de la LMDE (principale mutuelle étudiante), contre 88% pour l’Assurance maladie»

    Le Monde dénonce un "constat accablant" et "les pratiques commerciales [sont] également dans le collimateur de l'UFC-QueChoisir. Comme leur financement dépend du nombre d'étudiants affiliés auprès d'elles, les mutuelles se livrent à une course à l'inscription. "C'est comme si on introduisait pour les salariés une concurrence entre la caisse primaire d'assurance-maladie et un autre établissement !"