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Rechercher : opération Barbès Respire

  • En souvenir de Jacques Decour

    L'association "Sauvons le patrimoine du lycée Jacques Decour" organise le Vendredi 27 Mai sa traditionnelle journée en mémoire de Jacques Decour, Jacques Decourdemanche à l'état civil et grand Résistant, dans le cadre de la journée nationale de la Résistance.

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    Buste de Jacques Decour

    Chacun y est convié. La cérémonie commence au lycée de l'avenue Trudaine à 9h30 pour se terminer à 14h30. Un hommage au cimetière de Montmartre voisin sera rendu à 15h. Vous pouvez télécharger le programme et le bulletin d'invitation en cliquant ICI.

  • A vos boules au square Villemin

    Mais non, il ne va pas pleuvoir ! Et rien n'arrête les boulistes de toutes les façons...

     

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  • Enfin la réunion publique sur la Promenade Urbaine

    La réunion annoncée et très attendue sur le projet de Promenade Urbaine de Barbès à Stalingrad aura lieu le 25 mai à 18h30.

    Il s'agira d'une réunion d'échanges après une présentation du projet- enfin c'est ce que nous avons compris- car rien n'est précisé dans l'invitation. Rémi Féraud et Eric Lejoindre, respectivement maires des 10e et 18e seront présents mais nous n'avons pas réussi à connaitre les noms des intervenants de l'hôtel de ville en charge du dossier.

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    Le mieux est donc d'y participer. Rendez-vous au gymnase Micheline Ostermeyer, Esplanade Nathalie Sarraute dans le 18e (Halle Pajol).

     

  • Vous savez ce que vaut une voiture de 20 ans d’âge ??

    Le Parisien du 12 mai nous annonce une action en justice contre la Mairie de Paris menée par l’association 40 Millions d’automobilistes, très remontée contre la décision de la Ville de Paris d’interdire les véhicules immatriculés avant 1997 sur son territoire. Oh, quel drame ! Les voitures de plus de 20 ans ne pourraient plus rouler dans Paris. 

    Et de demander une indemnisation, bien sûr. 

    Regardons dans La Centrale, par exemple, ce que vaut une voiture de 20 ans d’âge, qui n’est pas une voiture de collection, car, n’en doutons pas, il y aura des dérogations pour les voitures de collection. 
    Ne doutons pas non plus que les heureux propriétaires de ces engins aux 20 bougies ne réclameront pas plus que ce que les assurances leur rembourseraient en cas de dommages irréversibles à leur chère voiture.
     
    De qui se moque-t-on ?
    Prenons donc quelques exemples : 
    La voiture phare de la fin du siècle dernier chez Peugeot était la 306; son prix oscille actuellement entre 1000 et 1500 euros, pour un kilométrage compris entre 134 480 et 263 500 km. Elles tenaient la distance les petites Peugeot de l’époque !
    Le concurrent direct, Renault, avait un modèle populaire, la CLIO. son prix oscille entre 600 et 950 euros pour un kilométrage compris entre 169 042 et 253 000 km. Pas mal non plus ! 
    Pour ne pas rester franco-français, nous avons aussi trouvé dans le cru 1997 en Ile-de-France une Opel Vectra à 1490 euros pour 217 000 km, une VW Polo à 2000 euros (le record) avec seulement 91 500 km, un petit rouleur… (et la Golf à 1500 € pour 1500 km !).
    Bien sûr les voitures de luxe comme Porsche et Mercedes ont de vieux modèles qui tiennent bien la côte, autour de 11-12 000 euros, là aussi avec plus de 150 000 km au compteur, mais ce n’est pas la voiture de Monsieur-Tout-le-monde en banlieue parisienne. Restons réalistes.
     
    Nous voulons bien comprendre que certains ménages peu argentés utilisent encore ces véhicules anciens et voient d’un mauvais oeil leur interdiction à partir de janvier prochain, mais n’allaient-ils pas de toutes façons changer cette voiture dans les mois à venir ? Ne s’attendaient-ils pas à ce que leur voiture tombe en panne à brève échéance ? Ce n’est donc qu’un petit coup de pouce. 
     
    Par ailleurs, si les indemnisations devaient entrer en jeu, elles ne couteraient pas plus cher que les amendes que devra payer la France pour se mettre en conformité avec les normes européennes de pollution de l’air. On pouvait lire récemment dans MaPlanete, un blog de Sud-Ouest, à la suite d’un article de l’AFP : 

     La qualité de l'air que nous respirons est le gros contentieux environnemental qui oppose l'Hexagone à l'Europe, avec celui de la pollution de l'eau par les nitrates. Depuis des années, les particules fines qui empoisonnent l'atmosphère d'une dizaine de nos grandes agglomérations, dont Paris, Lyon et Grenoble, dépassent régulièrement les limites maximales journalières et sanitaires, admissibles pour l'Europe. Après plusieurs mises en garde, le 29 avril dernier, la Commission européenne a fini par menacer la France d’un renvoi en justice, si elle ne prend pas des « mesures ambitieuses, rapides et efficaces » pour limiter cette pollution néfaste pour la santé des habitants. 

    Depuis 2005 la plupart des grandes villes européennes ont pris des mesures pour réduire les émissions de particules fines :
     La plupart des pays européens et de leurs grandes villes ont, depuis dix ans, adopté des mesures drastiques destinées à faire diminuer les émissions des particules fines : zones de circulation basse émission (LEZ, Low Emission Zone, et péages urbains, notamment) tout en développant leurs réseaux de transports en commun et les alternatives à la voiture, ou encore en interdisant les feux de cheminée en foyer ouvert et en limitant les épandages de pesticides lors des épisodes de pollution atmosphérique. « Ces minuscules particules proviennent des émissions imputables à l’industrie, à la circulation routière et au chauffage domestique et peuvent provoquer de l’asthme, des problèmes cardiovasculaires, des cancers du poumon et entraîner une mort prématurée », rappelle la Commission européenne.
     
    Quant au montant des amendes, il ne s’agit pas d’une plaisanterie ! 
    Le pays pourrait être passible d'une amende de 100 millions d'euros dès 2016, s'il ne parvient pas à diminuer ces taux de pollution par les émissions de microparticules. Cela pourrait se traduire non seulement par une amende, mais surtout par des pénalités pour chaque jour de retard jusqu'à ce que les normes de la qualité de l'air soient respectées. Le montant pourrait être de 240.000 euros par jour. 
     
    On est loin de l’indemnisation de la Twingo…. même si les propriétaires de vieux véhicules, par leur action collective, réclament et obtiennent la moitié de la valeur de leur voiture. Il paraît, d’après l’asso des automobilistes, qu’ils seraient 513 000, à voir… Malgré ce nombre important, une indemnité de 750 euros par exemple monterait le coût total à 38,5 millions d’euros. Pour un air plus propre, des poumons d’enfants moins encrassés, nous, on dit : allez-y. 
     
  • Où en est votre audition?

    L'association Audio Ile de France propose un dépistage gratuit à la mairie du 10e le vendredi 20 mai de 14h à 18h. Ce sera au 5e étage dans la salle Jean-Marandon.

    Il est conseillé de vous inscrire en écrivant à cette adresse: paulzy@aol.com 

    Une bonne idée peut-être avant de ressembler au professeur Tournesol!

    Paris, paris 10e, santé, audition

  • Mais... c'est chez nous, ça !!!!

    Sans vouloir faire de la pub pour Netflix, mais il faut bien donner les circonstances.... nous avons été surpris de découvrir dans notre messagerie associative ce bandeau : 

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    Il est suffisamment rare que le carrefour Barbès soit pris en exemple pour illustrer la ville de Paris pour qu'on n'oublie pas de le souligner quand l'occasion s'en présente. Ici il s'agit de mettre en valeur une série intitulée Marseille produite pas Netflix justement. 

    Notre carrefour gagnerait-il en notoriété ? 

  • Le premier mur végétalisé du 9e est situé rue Pierre Sémard

    Ce n'est pas un mur aussi grand que ceux que vous connaissez peut-être, par exemple rue de la Verrerie (façade du BHV Homme), quai Branly (Musée des Arts Premiers), emprise de la SNCF entre la gare de l'Est et la Gare du Nord, entrée rue d'Alsace, etc.... 

    Là, non, il s'agit de mettre un peu de vert sous le viaduc de la rue de Bellefond. Les côtés des escaliers qui relient la rue Pierre Sémart à la rue de Bellefond sont en briques sombres et ont été rénovés il y a quelques années. C'est une bonne idée de les mettre en valeur, du moins de végétaliser un côté sur les deux, sans doute choisi par les jardiniers de la Ville pour sa bonne exposition, avec quelques plantes grimpantes parmi lesquelles nous avons repéré de la vigne et des clématites Armandii.

    paris,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefond

    C'est bien sûr le square de Montholon que l'on découvre en bas de la rue. 

    paris,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefondparis,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefond

     

     

     

    La municipalité a ajouté un panneau qui prend tout son sens, quand on connaît le niveau d'incivilité qui sévit dans Paris. 

     

    Voir plus bas.

     

    Dommage que les noms des plantes qui doivent coloniser le mur n'y figurent pas.

     

     

    paris,9e,végatalisation,rue-pierre-sémard,rue-de-bellefond

  • La petite Istanbul en fête dans le 10e

    Comme chaque année, les rues du Faubourg Saint-Denis et de Metz accueillent la manifestation "La Petite Istanbul en fête" organisée notamment par l'Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (l'ACORT).

    Paris, paris 10e,

     Un spectacle sera proposé aux élèves de l'arrondissement. Et pour tous, dégustations, objets artisanaux à découvrir sur les stands.

    lien facebook

  • Il y en a toujours un qui veille

    Même en été, souvenez-vous que le Louxor est toujours là pour vous accueillir avec sa programmation estivale. 

    Abonnez-vous à la newsletter pour connaître les films projetés : le programme est  là.

     

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  • Toujours de l'émotion autour de l'église Saint-Bernard

    Nous avons écrit en janvier dernier un article sur le projet d'extension de l'école située près de l'église Saint-Bernard dans le quartier de la Goutte d'Or. Cette extension suscite beaucoup d'émotion, des positions favorables et de nombreuses oppositions. Les permis de construire se sont succédés, sans beaucoup de modifications notables, puisque le résultat est toujours combattu par un groupe d'habitants très engagés dans la sauvegarde du patrimoine, parmi eux l'association Cavé-Goutte d'Or et également AQSB, les Amis du Quartier Saint-Bernard.

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    La faible actualité du blog nous permet d'afficher le tract que nous a fait parvenir AQSB et qui reprend de façon simple et illustrée l'enjeu de ce dossier : cacher en partie l'église classée pour agrandir l'école, ou augmenter la surface utile de l'établissement scolaire sans nuire au patrimoine ? Deux projets... à vous de vous faire une opinion. 

    Aux habitants concernés par les alentours de l’église Saint Bernard …

    Protégeons ce qui reste du patrimoine architectural de la Goutte d’Or, hélas furieusement défiguré depuis une bonne trentaine d'années.

    L'agrandissement de l'école Saint Bernard, à quelques mètres de l'église du même nom, classée monument historique, est imminent.

    Personne, ni aucune association (Action Barbès, Cavé Goutte d’Or …) ne met en doute la nécessité de l’extension de cette école que tous apprécient.

    Mais le bâtiment prévu ne s’intègre absolument pas dans ce lieu protégé, entre le monument historique et la Salle Saint Bruno.

    Pour vous en convaincre, voici à gauche une photo 1 du surélévement de l’immeuble existant, et à droite l’”empreinte” du bâtiment prévu, cachant une partie de l’Eglise (photo 2) :

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    Un autre architecte a fait une proposition de bon sens : surélever d’un étage le bâtiment existant, ce qui préserve la cour, ménage l'environnement de la place, et augmente la surface de l’extension !

    Voici à gauche le bâtiment prévu (dans la cour) et à droite la surélévation proposée :

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    Vous êtes convaincu ? Diffusez largement ce document, affichez-le dans vos commerces, envoyez-le à vos voisins, votre conseiller municipal, à l’Archevêque de Paris, aux associations, aux conseils de quartier à la Maire de Paris … à toute personne qui voudra s’associer à cette préservation de notre quartier.

    Merci d’avance.

     

  • Un toilettage bien nécessaire autour des pieds d'arbres du bd de La Chapelle

    S'il nous était permis de donner un conseil aux sections territoriales de voirie de nos arrondissements du 10e et du 18e, ce serait de ne pas attendre que les plaintes des habitants et des commerçants s'accumulent sur le bureau, mais plutôt de programmer un comblement régulier des pieds d'arbres. Particulièrement pour les arbres situés sur les promenades — les boulevards ou les avenues — très fréquentées, ou comme dans notre cas, pour les arbres qui longent un marché découvert. 

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    En effet, le dernier passage des autorités aux pieds de ces arbres datent du printemps 2011 (notre article de l'époque

    paris,18e,marché-barbés,marché-de-la-chapelle,pieds-d-arbres

    A l'époque déjà, notre association bataillait avec nos interlocuteurs de la mairie du 18e pour que des mesures soient prises pour le confort des commerçants et de leur clientèle. La disparition progressive des grilles d'arbres, dans certains quartiers, a eu pour conséquence différentes nuisances selon que le trottoir est soumis à un fort passage ou non. Là ce serait plutôt les caisses de fruits et légumes qui creusent les cuvettes auprès des arbres du sous viaduc. Le passage des transpalettes aussi. Quelles qu'en soient les causes, les cuvettes se creusent, se remplissent d'eau lors des lavages ou des pluies, puis de détritus.... qui nagent dans ces marigots malodorants (n'oublions pas les pisseurs au nombre des nuisances !).

     Lors d'un dernier comité de pilotage Barbès, écoutant la demande des associations pour le boulevard de la Chapelle, le maire du 10e, Rémi Féraud, a étendu cette demande aux arbres du haut Magenta, qui souffrent aussi de la fréquentation intensive de cette voie. Différentes expériences ont été tentées là dont aucune n'a été vraiment convaincante. Nous n'avons pas encore pu constater si ces remises en beauté sont en cours, prévues, ou déjà réalisées. N'hésitez pas à nous envoyer des photos, si vous passez par là.... 

    En revanche, nous avons reçu des nouvelles du terre-plein central sous le métro aérien, là où des agents obturaient les douilles (trous dans le bitume qui permettent de fixer les structures des étals du marché) tant celles de l'allée centrale que d'autres. Nous ne sommes pas bien informés pour le moment, juste un constat illustré par des photos qui nous sont parvenues...  donc nous vous en dirons plus à la rentrée sur les transformations potentielles de notre marché. 

  • Sur paris.fr on parle de la Goutte d'or en bien....

    Une fois n'est pas coutume. C'est plus souvent dans les pages faits divers du Parisien qu'on évoque la Goutte d'or, une manifestation des habitants contre la saleté, un événement citoyen contre l'occupation illicite de l'espace public, ou encore une bagarre entre petits voleurs. Mais cette fois, rien de tout cela, l'accent est mis fermement sur les aspects positifs de notre quartier. 

    Nous avons retenu particulièrement l'immense fresque peinte sur le pignon nord qui surplombe l'Institut des Cultures d'Islam (rue Léon), réalisée par l'artiste Tarek Benaoum. 350 m2 de couleurs ! Tous les détails ici

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    Toujours dans la couleur, et avec un même fond bleu (qui nous fera peut-être oublier l'absence de ciel bleu cet hiver à Paris) une autre fresque, horizontale celle-ci, et dédiée aux femmes. Cet été, nous vous avions présenté le projet avant sa réalisation et les palissades en bois qui cachaient les piliers des arcades. 

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    Photo JR Bourge

    Découvrez l'artiste, Claire Courdavault, dans le reportage qui lui est consacré sur le site de la ville. C'est ici. 

    Vous apprendrez que le collège Georges Clémenceau innove pour aider les élèves en difficulté. Le dispositif SOA (Savoir, oral, attitude) met le focus sur la maitrise de la langue, le passage obligé pour acquérir les savoirs fondamentaux et progresser dans une scolarité apaisée et fructueuse. La langue mais pas que... reprendre confiance en soi, élargir les envies et la motivation de l'enfant, voire de l'ado puisqu'on est ici en collège. Tout un dispositif créé en 2010, déjà, est proposé aux jeunes, repérés par leurs professeurs, pour leur permettre de mieux avancer dans leur parcours scolaire. Les ateliers de travail autour de la langue, de l'oral et de l'écrit, et de l'art se traduisent par des expositions des oeuvres des élèves. Une motivation de plus pour ces élèves. Voir le détail sur le site paris.fr.