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Rechercher : conseils de quartier

  • La Halle Saint-Pierre expose la revue HEY

    dscn1020.jpgUne petite vidéo de présentation sur l'expo de notre musée de proximité, la Halle Saint-Pierre. J'espère que vous connaissez tous la Halle Saint-Pierre, c'est un lieu original, caché au milieu des magasins de tissus, Dreyfus ou Déballage du marché Saint-Pierre de son vrai nom, Reine, Petite Berthe,  Les coupons de saint-Pierre,  Moline, et bien d'autres...

     

    L'exposition Hey est très originale, elle ne plaira pas à tout le monde. C'est justement pour cela qu'il faut aller y faire un tour ! 

    Vous avez jusqu’au 23 août 2013.

    www.hallesaintpierre.org 

     


    L'exposition «Hey !» à la Halle Saint-Pierre par mairiedeparis

  • ”Louise Michel, écrits et cris” à la mairie du 10e

    Dans le cadre de la Journée Internationale des Femmes 2013 

    Rémi FERAUD Maire du 10e arrondissement, et

    Marie-Thérèse Eychart, Adjointe au maire du 10earrondissement chargée des Droits de l’Homme et de la Lutte contre les discriminations

    ont le plaisir de vous inviter à la représentation du spectacle ce soir


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    « Louise Michel, écrits et cris »

    Spectacle théâtral et musical sur Louise Michel (1830-1905)

    par la compagnie Marie Ruggeri

    le lundi 11 mars 2013 à20h00 -



    Conçu à partir de la correspondance et des Mémoires de Louise Michel, le spectacle « Louise Michel, écrits et cris » met en lumière le destin peu commun de cette femme, cette inlassable défenseuse des droits de l’Homme et des femmes, cette “Indignée” avant l’heure en plein cœur du XIXe siècle.

    Pour en savoir plus :

    Louise Michel dans Wikipedia

    La Commune : un document à partir de La Commune (Editions Stock, collection Stock+plus, Paris 1978, 504 pages. Première édition : 1898.) mis en ligne et développé en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile Boulet de l’Université du Québec à Chicoutimi.

     

  • Barbès café au Cabaret Sauvage

    Du Samedi 23 Février 2013 au Vendredi 15 Mars 2013 

    Le spectacle musical BARBES CAFE revient du 23 février au 15 mars 2013 au Cabaret Sauvage !

    Après leur tournée, toute la troupe du Barbès Café vous attend sous le chapiteau du Cabaret Sauvage en février et mars 2013 dans une version actualisée !

    Barbès Café, est un spectacle musical imaginé et créé par Meziane Azaïche, il donne à voir, en plusieurs tableaux, comme autant d’époques, l’histoire de l’immigration maghrébine en France. Des origines, marquées par le blues de l’exil chanté dans les bars de Barbès, à aujourd’hui, où le leg des anciens est défendu par une nouvelle génération d’artistes comme faisant partie du patrimoine musical français.

    « Algérie, mon beau pays, je t'aimerai jusqu'à la mort ». Entrecoupés de courtes transitions, les morceaux se succèdent alors a un rythme entrainant, entre hip-hop, slam et musique orientale (avec même une reprise d'Edith Piaf). Musiciens et danseuse reconstituent l'ambiance d'un cabaret d'immigrés, avec une touche de modernité (…) - Louis Fravot - Le parisien

    Vu sur le net chez tourisme93.com

    Cabaret Sauvage
    59 boulevard Mac Donald 
    75019 PARIS
    Tarif de base - Adulte plein tarif : 24 €

     

  • Les SCMR, plus d'info

    Dans les commentaires récents écrits à propos d'un de nos articles sur les salles de consommation (le 18 février), un lecteur nous a adressé un lien vers le site Calaméo qui mérite d'être repris. 

    La brochure qui y est présentée s'adresse au grand public, mais plus particulièrement aux personnes confrontées, dans leur activité professionnelle, à des difficultés occasionnées par certains consommateurs de drogues.

    A notre avis, elle peut également venir en aide aux personnes qui font les mêmes rencontres que les professionnels, dans leur quartier, simplement parce que dans ce quartier, les usagers de drogues sont nombreux. Cliquez sur le lien ci-dessous pour en savoir plus. 

    Qui s'y frotte, ne s'y pique pas forcément

    Certains de nos lecteurs vont penser que nous faisons trop de place à ce thème dans notre blog. Trop de place, non. Mais une vraie place, oui. Et oui, nous avons décidé de traiter le sujet souvent. Au risque de déplaire. Nous assumons. Nous estimons que le problème a été très longtemps minimisé, au détriment des riverains, d'un côté, que l'on a laissés seuls s'arranger avec les conséquences de la consommation de drogues à ciel ouvert, et de l'autre côté, au détriment des usagers de drogues qui sont des personnes à la dérive, jeunes ou vieux, et dans notre quartier, particulièrement précarisés. Notre société ne pourra pas éradiquer le problème de l'addiction aux drogues, pas plus qu'une autre société qui choisirait d'être plus répressive, mais elle ne doit plus l'ignorer. Nous soutenons l'expérimentation d'une salle de consommation à moindre risque et oeuvrons pour que les habitants du quartier comprennent et acceptent qu'elle puisse figurer le début d'une solution.

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    la rue de Maubeuge dans sa partie située entre la gare du Nord et l'hôpital Lariboisière

    La semaine dernière, nous avons rencontré la coordinatrice de la future salle de consommation, Céline Debeaulieu. Elle appartient à l'association Gaïa qui a construit le projet depuis l'été dernier et n'attendait que le décret gouvernemental pour se lancer dans l'expérimentation. Le maire du 10e, Rémi Féraud a plusieurs fois déclaré qu'il était favorable à l'ouverture d'un tel équipement dans son arrondissement, avec l'assentiment du maire de Paris. Reste toutefois à trouver le lieu le plus adapté : proche des utilisateurs, les usagers de drogues, le moins gênant possible pour les riverains. La salle ne sera donc pas située au pied d'un immeuble du quartier. Les pourparlers vont bon en train entre la mairie et les institutionnels qui possèdent des locaux ou des emprises entre la gare du nord et l'hôpital Lariboisière. Nous attendons la suite. Notre interlocutrice a promis de nous avertir. Elle semblait optimiste.

    Nous regrettons cependant que la mairie ne multiplie pas les réunions autour de cette ouverture prochaine. Pour ne pas effrayer les habitants, ne pas inquiéter ceux-ci ou ceux-là, plus ou moins proches de tel site ou de tel autre pressenti... aucune information n'est donnée. Quel résultat peut-on en attendre ? Un mécontentement quasiment certain. Si la concertation commence au moment où le lieu aura été trouvé, il ne s'agira plus d'une concertation mais d'une information. Une fois de plus, les habitants auront l'impression d'être mis devant le fait accompli. 

  • Paris et le cinéma dans la rue

    1 361

    c’est le nombre d’autorisations de prises de vues délivrées en 2012 (1170 en 2011) par la cellule des prises de vues de l’état-major de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne.

    La réglementation

    En effet, à Paris, les opérations de prises de vues sur la voie publique sont réglementées et font l’objet, d’une compétence partagée entre la préfecture de police et la mairie de Paris.

    847 des autorisations accordées ont relevé d'une procédure simplifiée (673 en 2011), c’est-à-dire réservée aux tournages effectués en équipe réduite (moins de 10 personnes, techniciens compris), avec un matériel spécifique (une caméra à l’épaule ou sur pied, un à deux projecteurs sur pied ou portatifs).

    252 contrôles ont par ailleurs été effectués sur des lieux de tournages, au cours de l’année.

    Détail des tournages 

    • 96 longs métrages (107 en 2011), 
    • 146 courts métrages (120 en 2011), 
    • 98 publicités (83 en 2011) et 
    • 64 séries télé ou téléfilms (92 en 2011).

    Actu

    La cellule de prises de vues de la préfecture de police était présente à la 3e édition du salon des lieux de tournage, qui s’est tenu les 14 et 15 février, parc de la Villette (19e). Près de 357 visiteurs sont venus à sa rencontre pour bénéficier de son expertise, obtenir des renseignements sur les conditions de délivrance des autorisations de tournage sur la voie publique ou connaître les modalités d'occupation de l'espace public en matière de circulation, de stationnement.

    Quelques films tournés en 2012

    Parmi les tournages autorisés l’an dernier, figurent notamment « Le coeur des hommes 3 » de Marc Esposito, « Quai d'Orsay » de Bertrand Tavernier, ou encore « La grande boucle » de Laurent Tuel qui a nécessité des prises de vues sur les Champs-Elysées (8e) le jour de l’arrivée du Tour de France.

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  • Chateau rouge : on consulte, on ”concerte”

    Les usagers de la station de métro Château rouge réclamaient depuis longtemps une modernisation de leur station de métro, une sécurisation de l'accès, et même une étude de faisabiilté d'un second accès. La ligne 4 est très fréquentée, le quartier est très peuplé, et bien que les stations sur cette même ligne ne soient guère éloignées (au sud, Barbès-Rochechouart, et connexion avec la L2, au nord, Marcadet-Poissonniers et connexion avec la L12), la foule est intense aux heures de pointe (6 800 000 passagers par an, d'après les statistiques fournies par la RATP). Parmi les 301 stations parisiennes, elle occupe le rang 45. Il est donc souvent difficile de se frayer un chemin. On n'ose pas imaginer les conséquences si un mouvement de foule un peu brutal créait une panique. 

    Des études avaient déjà été menées par la RATP. Puis, plus tard, les stations de la ligne 4 ont été rénovées une à une sur une dizaine d'années. Mais Château rouge n'a jamais obtenu sa seconde sortie. 

    Ne ratez pas l'occasion d'exprimer votre avis ce soir à 19 heures, dans la salle des fêtes de la mairie du 18e. 

    DU 22 février au 30 mars, un dossier de présentation du projet ainsi qu'un registre pour consigner vos observations seront à disposition à la mairie. Pour les adeptes de l'internet : vous pourrez également faire part de votre opinion et de vos remarques à l'adresse suivante :

     projet.chateaurouge@ratp.fr

     

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  • Encore un commerce qui ferme

    Que vous soyez amateur de patisseries orientales ou non, vous déplorerez avec nous la fermeture de ce commerce situé rue du faubourg Poissonnière, au 189. 

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    Que pensez-vous qui remplacera les patisseries au miel, sentant bon le sud ? Nous parions pour des robes de cérémonie.... Et vous ?

     

  • Dernière minute : ce soir à 18heures centre Clignancourt

    Il est vrai que nous nous y prenons un peu tard, mais l'annonce en vaut la peine. 

    Il s'agit d'un spectacle de qualité qui mérite toute votre attention. 

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    Hélène Berr a 21 ans lorsqu'elle commence à écrire son journal. L'année 1942 et les lois antijuives de Vichy vont faire lentement basculer sa vie. Déportée à Bergen-Belsen, elle n'en reviendra pas.

    Adaptée du journal d'Hélène Berre, Pierre Tré-Hardy propose une pièce intitulée "Ceci est mon journal", qu'interprète Guila Clara Kessous, artiste de l'UNESCO pour la Paix. Avec Mina Hillman, Salomon Belasiak, Michèle Temine et Christian Macairet. 

    Le spectacle est donné au Centre Clignancourt, Amphithéâtre Hélène Berr, 2 rue Francis de Croisset, dans le 18e arrondissement (tout près de la Porte de Clignancourt). 

    La nièce d'Hélène Berr, Mariette Job, répondra aux questions du public à l'issue de la représentation. 

    ENTREE LIBRE -- Il est conseillé de réserver au 01 40 46 33 72 ou auprès du service culture de l'Université Paris-Sorbonne agenda-culturel@paris-sorbonne.fr

    C'est ce soir à 18 heures. Et pour ne pas vous perdre (cliquez sur le + du plan pour zoomer) :



    View Larger Map

  • Stalingrad, toujours le crack

    Parallèlement à la fermeture prévue des jardins d'Eole à partir du 18 mars, la préfecture de police publiait récemment un long article sur le crack, et en corollaire sur la récente création d'une zone de sécurité prioritaire dans le 19e. 

    Voici plus bas des extraits de cette publication. Si l'on admet que les addictions ont toujours existé, que la toxicomanie est un mal ordinaire, comme l'alcoolisme ou la tabagie, il serait temps de traiter les nuisances qui lui sont liées comme des nuisances ordinaires aussi. On autorise bien les alcooliques anonymes à se réunir, on organise la vente d'alcool et de tabac en la taxant au passage pour le plus grand bien des finances de l'état. Quelle différence avec les drogues ? Tous les usagers de ces substances dangereuses en sortent - quand ils en sortent - dans un état de santé inquiétant. Mais la méconnaissance des addictions (processus, sortie) par le plus grand nombre associée aux tabous qui les entourent, favorise les craintes et les angoisses. Mais les fumeurs dont les poumons sont nappés de goudron ne sont-ils pas eux aussi dans un état de santé inquiétant ? Les alcooliques ne sont-ils pas des malades dont la santé est également très précaire ? Le nombre des décès par cancer des poumons n'est-il pas un sujet préoccupant, et ne représente-il pas une charge lourde pour les caisses maladie de nos pays ? 

    Même si nous reproduisons les écrits de la Préfecture de police, nous ne sommes pas convaincus par l'action de la police en matière de drogues. Depuis des décennies, la législation est répressive plus que préventive sur ce fléau et elle a montré son incapacité à en réduire la portée. Alors à quand une autre vision et d'autres moyens pour limiter les ravages de tous ces produits qui fonctionnent par addiction du consommateur ? 

    Extrait du Pprama n° 257 du 27 février 2012

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    • Le crack : de quoi s’agit-il ?

    Dérivé de la cocaïne, aussi appelé cocaïne base ou free base, mélangé à du bicarbonate de soude et/ou à de l’ammoniaque, le crack se présente sous la forme de petits cailloux. Chauffés pour être consommés - par inhalation de vapeurs -, ils émettent à cette occasion des craquements qui ont donné son nom à cette drogue.

    • Ses effets et corollaires

    Son action est aussi rapide - 5 à 10 secondes - que brève, 5 à 15 minutes. La sensation de fulgurance et sa fugacité conduisent à répéter les consommations de façon rapprochée et compulsive. Les effets : rapide dépendance, état dépressif, hallucinations, comportement violent, paranoïaque, suicidaire et lésions pulmonaires. 77% des consommateurs de crack y associant de l’alcool, ce cocktail détonnant augmente encore le risque de violences mais induit également troubles et atteintes à la tranquillité et à la salubrité publiques – cris, vociférations, épanchement d’urine…

    • Le 19e arrondissement, un quartier particulièrement touché, une solution : la ZSP

    Ce tableau noir, c’est celui que connaît une partie du 19e arrondissement de Paris - la place de la bataille de Stalingrad, le bassin de la Villette, le jardin Eole, la cité Reverdy - et auquel les riverains - commerçants et habitants - sont confrontés quotidiennement. Aux nuisances importantes évoquées s’ajoutent la dépossession d’une partie des espaces - publics et privés (halls d’immeubles, parkings) - où consommateurs et trafiquants se regroupent et stagnent, ainsi qu’un fort sentiment d’insécurité dont sont également victimes touristes, passants, promeneurs.

    La vente et la consommation de crack constituent l’une des deux problématiques  (la seconde concerne les vols avec violences) ayant conduit à la mise en place d’une nouvelle zone de sécurité prioritaire (ZSP) dite « Stalingrad – Orgues de Flandre » dans le 19e arrondissement, le 13 février dernier. Il s’agit grâce à une coordination renforcée et suivie entre police, justice et collectivités territoriales de renforcer la sécurisation de ces territoires et de permettre aux habitants de se réapproprier leur quartier et d’user librement de l’espace public.

    • Le dispositif police de la ZSP* « Stalingrad - Orgues de Flandre » contre le crack

    Reprendre possession de l’espace public et empêcher par la suite les toxicomanes et les dealers de le réinvestir à leur seul profit, sont les missions qui incombent à la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), aux CRS et à la direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC). Ces services assurent une présence jour et nuit sur les points de fixation du trafic et mènent des opérations quotidiennes d’éviction. Parallèlement est accompli un travail de fond de démantelement des  réseaux par les directions de la police judiciaire et du renseignement, en charge des investigations et de la recherche d’informations.

    * La ZSP, zone de sécurité prioritaire est la seconde zone de cette sorte sur Paris après la création de la ZSP Barbès Chateau Rouge. 
  • Les parvis poétiques ont 30 ans

    Festival Permanent des Poésies dans le 18ème arrondissement "Tout un poème !"

    les parvis poétiques

    marc delouze

    présentent
     

    VoiX de fait

    Lectures, chant, danse... et puis à boire et à manger...

    dimanche 17 mars 2013 (16h30-19h) 

    Fondations Boris Vian
    6 bis Cité Véron 75018 Paris (Métro Blanche) 

    Entrée libre

    Les Parvis poétiques - Adresse postale : 7 rue Ernestine 75018 Paris France Tél. 01 42 54 48 70 - parvis@free.fr – www.parvispoetiques.fr

    _/_/_/

    En droit pénal, la voie de fait est une violence quelconque envers une personne ne constituant ni une blessure ni un coup (physiquement). Un acte de désobéissance aux demandes du représentant de la loi peut aussi être considéré comme étant une voie de fait.
    En droit administratif en France, la
    voie de fait est une illégalité manifeste de l'administration commise dans l'accomplissement d'une opération matérielle d'exécution. L'administration porte alors atteinte, de façon grave, au droit de propriété ou à une liberté fondamentale, soit en prenant une décision insusceptible de se rattacher à ses attributions, soit en procédant à l'exécution forcée injustifiée d'une décision, même légale. (réf. Wikipédia)
     

    Parce que la poésie peut – doit ? – être un acte de désobéissance aux demandes des représentants de la loi poétique en cours ;

    parce que la poésie ne peut être qu’une illégalité manifeste commise dans l’accomplissement d’une opération linguistique particulière ;

    et parce que la poésie est d’abord affaire de souffle, donc une œuvre du corps et de la chair en mouvement, depuis Orphée, les aèdes, les derviches, les troubadours...

    pour ces raisons nous faisons appel aux poètes et artistes dont les noms suivent afin de procéder à la présentation de leurs VoiX de fait en présence d’un public qui en jugera en toute liberté. 

    Avec

    Serge Pey
    Daniel Blanchard 
    (« poète latin » - Contre-ténor) 
    Marta Petreu (poète roumaine) 
    Anne-Emmanuelle Fournier
    Katia Bouchoueva (poésie/slam) 
    Céline Lefèvre (danse)

  • Une astuce pour ne pas se ruiner avec les numéros surtaxés

    Il existe de nombreux numéros de téléphone surtaxés qui sont mis en avant par les institutionnels, les sites commerciaux, les opérateurs, etc. et qui semblent incontournables à première vue.

    Vous voulez par exemple modifier votre abonnement à Canal + : le numéro 08 92 30 30 10 est taxé 0,34€  la minute en plus du prix de la communication, alors que vous pouvez joindre le même service au 01 71 35 35 35. Pourquoi s'en priver !

    Tous les numéros en 0892, 0820, etc. sont surtaxés. Les banques, les compagnies d'assurance arrondissent leurs chiffres d'affaires grâce à l'ignorance de leurs clients. Pourtant, chacun de ces numéros a son équivalent sans surtaxe. Et même gratuit, si vous disposez d'une box...

    Comment connaître tous ces numéros ? 

    C'est simple, allez voir le site www.nonsurtaxe.com : leur base de données s'enrichit des apports des visiteurs.

    Le site propose même un indice de satisfaction selon que le numéro de remplacement a bien fonctionné pour vous ou non. L'internet inter-actif s'améliore au fil des années ! J'ai testé pour vous le service client d'Orange 3970, la liste de leurs numéros gratuits offre des alternatives intéressantes, voyez-vous même : ici.

  • Fermeture prochaine des Jardins d'Eole

    Les usages délictueux... c'est bien cela. La Mairie du 18e et la Mairie de Paris ont compris que les jardins publics sont des lieux ouverts qui offrent un coin de verdure et de loisirs aux citadins, mais parallèlement, ils offrent aussi un terrain de jeux à des citoyens beaucoup moins recommandables. Selon les quartiers, ils sont plus ou moins susceptibles de concentrer les trafics. Ici, en l'occurence, les habitants s'en sont plaints assez rapidement. Mais cinq ans après leur ouverture, les jardins d'Eole sont simplement devenus infréquentables. 

    Le Parisien résume assez bien la situation dans son article du 7 décembre dernier :

    Ce devait être un poumon vert dans l’environnement dense et minéral de la porte de la Chapelle. Les jardins d’Eole, vaste parc paysager de 4,5 ha planté sur d’anciennes friches ferroviaires rue d’Aubervilliers, à la frange des XVIIIe et XIXe arrondissements, étaient très attendus par les riverains. Cinq années ont passé, et les désillusions ont cédé la place à la colère : désormais, ceux qui fréquentent avec la plus grande assiduité les jardins d’Eole sont des toxicomanes, fumeurs de crack pour la plupart, qui ont élu domicile à l’abri des haies de bambous et des recoins discrets. La plupart ont été chassés par les opérations de rénovation urbaine de la ZAC Pajol, du quartier Philippe-de-Girard et de la place Stalingrad, où la rotonde est maintenant occupée par un restaurant.

    Les habitants, eux, ont renoncé au fil des années à se promener dans le parc. Une situation devenue si critique que l’association les Jardins d’Eole a lancé un cri d’alarme aux pouvoirs publics, déroulant le long écheveau des doléances de tout un quartier : « L’installation d’une scène de deal et de toxicomanies avec tous les troubles qui y sont associés doit être prise en compte », souligne l’association.

    La fermeture a donc été décidée pour 15 jours. Ce n'est pas très long. C'est une façon de marquer un changement. La rénovation se fait au printemps pour se donner les meilleures chances de rouvrir un jardin avec des pelouses et des coins végétalisés convaincants.  Mais où vont se retrouver les toxicomanes et les dealers qui occupaient les lieux ?  

    Sans doute la DPP (Direction de la prévention et de la protection) sur injonction de l'Hôtel de ville saura-t-elle définir les aménagements qui favorisent les trafics et la consommation de drogues (recoin, bosquets, haies). Au mieux, elle préconisera la grande pelouse, façon golf, où l'on voit tout le monde et de partout... mais à terme, ce n'est pas ce que l'on recherche. Encore une fois, une salle de consommation serait plus adaptée et éviterait des scènes de prise de drogue, voire d'injection, à ciel ouvert dans un environnement dédié aux jeux de enfants. 

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