On vote le dimanche 17 juin, et l'on court aussi ! Voyez-vous mêmes !

Sans oublier la brocante le même jour, dont les gains iront directement
aux écoles partcipantes
et à leurs coopératives respectives.

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et à leurs coopératives respectives.

Merci à Médiapart de nous offrir la possibilité de revoir le récital d'Angélique Ionatos au Théâtre de la Ville cette semaine, le 13 juin. Totalement gratuitement. Écoutez bien les poèmes que dit Angélique Ionatos avant de les chanter...
La Grèce n'est pas que la cigale de l'Europe, mais une belle et étrange patrie, la sienne.
Revoir le concert : En Grèce, la revanche des... par Mediapart
Vous pouvez regarder en plein écran la revanche des rêves..., la qualité est bonne.
Médiapart est dirigé par Edwy Plenel qu'on ne présente plus. Le 23 mai dernier, il publiait un édito intitulé "Nous sommes tous des Grecs". Malgré le caractère payant de ce média, parfois ses colonnes sont libres d'accès, c'est le cas pour cet édito, très long, mais qui mérite une lecture attentive tant il souligne les dysfonctionnements des règles de notre économie, la main mise des idéologies libérales sur l'avenir des peuples et l'abandon de la politique et de la démocratie. Il se termine par une citation d'un texte anglais qui avait donné à Hemingway le titre de son roman sur la guerre d'Espagne :
« Personne n'est une île, entière en elle-même ; tout homme est un morceau de continent, une partie du tout. Si une motte de terre est emportée par la mer, l'Europe en est amoindrie, tout autant que s'il s'agissait d'un promontoire, ou que s'il s'agissait du manoir d'un de tes amis ou le tien propre : la mort de chaque être humain me diminue, parce que je fais partie de l'humanité, et donc, n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas; il sonne pour toi. »
En Europe, le glas ne sonne pas pour les Grecs. Il sonne pour nous.
Laissons Denis Podalydès nous inviter au théâtre des Bouffes du Nord (métro Chapelle) au spectacle qu'il a mis en scène sous la direction musicale de Christophe Coin (la musique reste celle de Lully, pas de surprise de ce côté là).
du 19 juin au 21 juillet 2012
Places de 20 à 35 Euros.
Billeterie et réservation en ligne.
Le Bourgeois Gentilhomme
Comédie-ballet de Molière, musique de Lully
Mise en scène Denis Podalydès, direction musicale Christophe Coin

Dans « Le Bourgeois gentilhomme », Molière tire le portrait d'un aventurier de l'esprit n'ayant d'autre désir que d'échapper à sa condition de roturier pour poser le pied sur des territoires dont il est exclu… la découverte d'une terra incognita qui, de par sa naissance, lui est interdite. Pourquoi se moquer de Monsieur Jourdain ? Le bourgeois se pique simplement de découvrir ce qu'aujourd'hui nous nommons « la culture » et il s'attelle au vaste chantier de vivre ses rêves… Et qu'importe si ces rêves sont ceux d'un homme ridicule. En choisissant de redonner à la pièce sa forme originale d'une comédie-ballet mise en musique sur les partitions de Lully, Denis Podalydès convoque tous les arts. Avec cette fête de théâtre costumée par Christian Lacroix, il vise à cette apothéose des sens tant espérée par son héros interprété par Pascal Rénéric. Il s'agit bien évidemment de rire de la comédie. Mais, comment ne pas avoir de la tendresse pour cet homme sans qualité qui tente d'initier à lui tout seul la première révolution culturelle. Elevé après mille péripéties comiques au rang de Mamamouchi, Monsieur Jourdain vit son heure de gloire en musique et en danse, malade de sa bourgeoisie, gentilhomme imaginaire, à la fois exaucé et battu, dupé et triomphant, en ce moment théâtral si rare où le ridicule fait place à l'émerveillement pur. (site du théâtre)
Pour ne pas rompre avec ses traditions, avant la coupure de l'été, Action Barbès vous invite à venir prendre un verre au café LE BEAUJOLAIS, 167, rue du faubourg Poissonnière, dès 18h30 si vous êtes libres à cette heure-là, vendredi 22 juin, et plus tard si ce n'est pas le cas.
Vous croiserez l'affiche ci-dessous chez les commerçants du quartier qui ont souvent été les relais fidèles de notre association pour la diffusion
Branchés Internet ou pas, venez partager un moment vendredi prochain au Beaujolais, nous serons heureux de vous y retrouver.
Pour voir l'affiche en grand format, cliquez dessus.
On aurait pu aussi titrer : Des palmiers qui font de l'ombre à la démocratie participative ! Nous vous expliquons l'affaire qui a fait débat lors du conseil d'arrondissement du 12 juin à la mairie du 10e. Comme il est de coutume dans le 10e, le conseil commence par la lecture des voeux ou questions présentés par les conseils de quartier ou les associations, auxquels répondent les élus interpellés. C'est le conseil de quartier Saint-Denis Paradis qui en a été la vedette ce mardi 12 juin, en présentant une protestation argumentée sur l'abattage des arbres de la cour du Pari's des Faubourgs (espace St Lazare). Les membres du conseil de quartier étaient venus nombreux, sans doute déterminés à obtenir sinon gain de cause au moins des réponses satisfaisantes.

« L'équipe d'animation du conseil de quartier St Denis-Paradis a appris qu'il était prévu d'abattre les 6 tilleuls du jardin intérieur de la future médiathèque, et de les remplacer par des palmiers.
Ces arbres, centenaires paraît-il, resplendissants, donnent une ombre et une ambiance tout à fait propice à la convivialité, et font l'agrément du lieu.
Pourquoi les abattre? Pour faciliter la circulation des engins nécessaires aux travaux? Pour satisfaire un caprice architectural d'exotisme ou de nostalgie historique?
Non seulement cette coupe, la replantation et l'entretien qui suivrait représentent un coût non négligeable, mais ils ne garantissent pas une reprise végétale satisfaisante si l'on se réfère à la taille minuscule des deux palmiers déjà sur place.
Ce lieu est quand même bien parisien et , au-delà d'un souci écologique que nous savons partagé, nous pensons que l'abattage de ces arbres seraient un gâchis pour le charme de ce lieu au profit d'une alternative qui serait perçue comme une aberration technocratique, complètement artificielle et incongrue.
Nous souhaitons donc que ces arbres soeint sauvés et demandond à l'équiep municipale et à al mairie de Paris d'agir au plus vite dans ce sens.
Nous soulignons également que si une présentation du projet avait été faite comme nous l'avons plusieurs fois sollicitée sans qu'à chaque fois, elle soit « bottée en touche », nous n'aurions probablement pas à exprimer un tel souhait encore uen fois, hélas, dans l'urgence. »
De nombreux élus se sont exprimés et le débat a duré..
Alexandra Cordebard, première adjointe, a rappelé que l'aménagement de cette cour fait partie du projet de la médiathèque. « Deux arbres sont malades et condamnés, les autres ne seraient pas dans une forme exceptionnelle. Ils sont implantés sur une dalle qu'il faut casser et refaire. Voilà pour l'aspect technique. Par ailleurs, ces arbres très hauts assombriraient considérablement des salles de la médiathèque dans lesquelles il serait nécessaire de maintenir un éclairage.
Pour l'aspect information, les élus ont demandé que le projet leur soit présenté dans son intégralité.
A suivi un long exposé historique d'Alain Pierre Peyraud, chargé des espaces verts, notamment sur les espèces tropicales importées au 19e siècle. Certes, intéressant, mais peut-être pas ce qu'attendaient les membres du conseil de quartier.
Au-delà de ce souci de préserver des arbres centenaires, on comprenait aisément que le manque de concertation ou même d'information pointait comme un reproche.
Medhi Ghadi, élu chargé du développement durable l'a bien compris et s'est davantage attaché au manque d'information donnée aux membres du CQ, qui, il l'a rappelé à juste titre, sont au service de l'intérêt général et peuvent avoir des avis judicieux, voire des compétences. Il a demandé la tenue rapide d'une réunion.
Rémi Féraud également s'est inscrit dans cette demande. Il a expliqué toutefois que le projet avait fait l'objet d'un concours et que, dans ce cadre, le choix du jury ne pouvait plus être contesté (loi). "Il faut donc que la concertation ait lieu au moment de l'élaboration du cahier des charges, a-t-il ajouté. J'aurais préféré qu le projet choisi soit présenté. Nous avons du rechercher les informations. On a des progrès à faire avec certaines directions. Tirons en les leçons."