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Environnement - Page 86

  • Alors, êtes-vous 30 ou pas 30 ?

    carte-Paris 30.JPGPour la France, la définition officielle de la zone 30 est donnée par l’article R110-2 du Code de la Route : « “Zone 30” : section ou ensemble de sections de voies constituant une zone affectée à la circulation de tous les usagers. Dans cette zone, la vitesse des véhicules est limitée à 30 km/h. Toutes les chaussées sont à double sens pour les cyclistes, sauf dispositions différentes prises par l'autorité investie du pouvoir de police. Les entrées et sorties de cette zone sont annoncées par une signalisation et l’ensemble de la zone est aménagé de façon cohérente avec la limitation de vitesse applicable. » (source Wikipédia)

    L’importante pollution atmosphérique que nous avons connue à Paris fin Mars début Avril nous permet de remettre la question des zones 30 dans l’actualité. Ce blog a déjà largement abordé certains aspects de la question en novembre 2011 (30 km/h à Paris ? Pour ou contre ?) mais il nous faut y revenir.

    D’abord en rappelant certains paramètres trop souvent oubliés des Parisiens :

    • en gros, un ménage parisien sur deux n’a pas de voiture. Ce qui signifie en clair que la circulation à Paris est essentiellement due à ceux qui soit traversent Paris, soit viennent y travailler. Quelque soit le cas de figure, les Parisiens en supportent les conséquences ;
    • sans préciser un chiffre tant le sujet porte à polémique, disons qu’une très grande partie de l’espace public à Paris est occupé par les voitures. Chacun peut le constater. Et on sait que ces voitures passent l’essentiel de leur temps en stationnement ;
    • 95% des personnes sont seules dans leur voiture, et les urbains qui ont une automobile font en général un trajet assez court;
    • les voitures sont une source de pollution très importante. Consulter régulièrement le site Airparif suffit à nous convaincre que le problème est non seulement réel mais grave. L’augmentation du nombre de petits enfants atteints de bronchiolite en zone urbaine le prouve à elle seule, même si cette maladie reste le plus souvent bénigne.

    Alors, dans ce contexte, plusieurs solutions s’offrent aux Parisiens : soit l’ensemble de la ville de Paris est placée en zone 30, soit on généralise la zone 30 à la ville à l’exception des grands axes, soit on multiplie les zones 30 quartier par quartier.

    D’une manière générale, quelque soit le choix, ces dispositions sont favorables à la sécurité et notamment celle des enfants, sont susceptibles de faire baisser le niveau de pollution dans la ville et améliorer la vie des commerces comme l’indique l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) qui nous dit que pour les zones 30 « Piétons et cyclistes se rendent plus fréquemment chez les commerçants de quartier. Par semaine, ils dépensent presque 2 fois plus que les automobilistes ».

    Pour autant, ces dispositions sont elles vraiment la solution ? La plus grave question est celle de la pollution atmosphérique. La polémique va bon train sur le fait de savoir si  la réduction de vitesse est vraiment un facteur qui limite la pollution en ville, d’autant que finalement il est peu fréquent qu’une voiture roule à Paris à 50 km/h de façon régulière.  Faut-il considérer la seule vitesse ou le temps de fonctionnement du moteur, source de pollution ? Disons qu’il s’agit sans doute d’un progrès mais que la véritable question reste celle de la place de l’automobile dans la cité.

    A suivre : Vitesse & Pollution - Place de l'automobile dans la cité

    partager la ville.JPG


  • La traversée de l’îlot Euro-Alsace...

    Il sagit de l’identification d’une nouvelle liaison piétonne entre les gares de lEst et du Nord.

    paris,10e,gare-de-l-est,rue-d-alsace,sncf

    La nécessité d’une liaison piétonne entre ces deux gares, alternative à l’escalier monumental de la rue d’Alsace, a souvent été évoquée lors des différents conseils des quartiers avoisinants, notamment lors de la dernière séance plénière du Conseil du Quartier Lariboisière Saint-Vincent de Paul le 23 janvier 2012.

    Cette problématique a été reconnue par les élus et les services de la mairie du 10e. Une signalétique vient d’être installée afin d’indiquer un chemin alternatif direct et plus pratique aux voyageurs qui doivent transiter entre les deux gares.

    paris,10e,gare-de-l-est,rue-d-alsace,sncfIdentifiée depuis près de 4 ans, cette liaison correspond à un passage privé reliant le 11-21, rue d’Alsace au 144-146, rue du Faubourg Saint-Denis (entre le boulevard Magenta et la Gare du Nord). Elle traverse un îlot comprenant un ensemble mixte de bureaux et de logements. Compte tenu de sa nature privée, cette voie n’est malheureusement ouverte au public qu’en semaine et aux heures d’ouverture des bureaux.

    Depuis la sortie de la Gare de l’Est située sur le coté Ouest à gauche, les voyageurs, s’ils sont chargés de valises, peuvent éviter la montée de l’escalier monumental de la rue d’Alsace et rejoindre directement en ligne droite la rue du faubourg Saint-Denis, et ce, sans devoir faire le tour du pâté d’immeubles par la rue du 8 mai 1945 pour ensuite rejoindre le carrefour avec le boulevard Magenta et remonter la rue du Faubourg Saint-Denis.

    paris,10e,gare-de-l-est,rue-d-alsace,sncfUn îlot ayant une histoire....

    L’immeuble traversé par ce chemin fut construit en 1871 pour la jeune Compagnie des chemins de fer de l’Est (créée en 1845). L’architecte Paul-Adrien Gouny, architecte en chef de cette Compagnie  (ayant également construit en 1890 le bel hôtel particulier du 9 rue Fortuny, Paris 17e,  l’actuel lycée professionnel Mariano Fortuny) travailla entre 1885 et 1902 sur la réalisation des bureaux dans cet immeuble. Puis au fil des années, le bâtiment fut laissé à l’abandon, se dégrada et se retrouva coupé du quartier.

     

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    Plus de 2 ans de travaux pour la réhabilitation

    Courant 2003, la SNCF, propriétaire du foncier, lança un concours au sens du Code des Marchés Publics pour la réhabilitation de cet ensemble immobilier de 25 000 m2 (en SHON).

    En juillet 2006, l’immeuble fut cédé pour 54 millions € à une SNC détenue conjointement par le maître d’ouvrage délégué Atemi (entreprise de promotion immobilière française spécialisée dans les projets résidentiels) et le promoteur ING Real Estate (spécialiste bancaire néerlandais des opérations mixtes). Lors des négociations, la mairie de Paris et celle du 10e sont intervenues, assurant notamment la réalisation de logements sociaux dans l’ensemble.

    Ces deux promoteurs travaillèrent avec l’architecte Anthony Emmanuel Béchu, connu également pour ses travaux de réhabilitation de l’Olympia et de l’îlot Edouard VII, l’immeuble Bergère de BNP Paribas, le Théâtre des 3 Baudets, Chanel (place Vendôme), Hédiard (place de la Madeleine) et la nouvelle tour D2 de la Société Générale à La Défense.

    Une réhabilitation architecturale de qualité

    Avec son cabinet d’architecture Atelier 3 AB et sans trahir l’esprit du bâtiment d’origine, l’architecte Anthony Béchu a réhabilité et réinventé l’immeuble en un ensemble mixte,  Euro-Alsace, comprenant:

    •   des bureaux: 19 000 m2, soit 82 % de la SHON 

    •   des logements: 4500 m2, soit 19 % de la SHON: 47 logements dont 45 logements sociaux avec 28 destinés à la Régie Immobilière de la Ville de Paris (RIVP)

    •   51 places de parking.

    Les bureaux et une partie des parkings sont dédiés à la SNCF, locataire depuis la livraison du site, avec plus de 700 employés y travaillant.

    Ayant vocation à créer une liaison entre les deux gares, le nouveau passage vit le jour, semblable à une rue traversant l’îlot et reliant la rue d’Alsace à la rue du Faubourg Saint-Denis.

    paris,10e,gare-de-l-est,rue-d-alsace,sncfL’ensemble immobilier reflète un projet environnemental et architectural de qualité pour ce site de caractère. L’immeuble, construit avec des fenêtres quasi-gothiques et des toits presque pointus, fut restauré. Les façades haussmanniennes, en pierres, briques et métal, furent ravalées et mises en valeur : les briques y retrouvèrent leur couleur rose pâle, et certains décors sur la façade leur bleu d’origine.

    On recréa, là où elles étaient, les belles verrières aux lignes épurées en accord avec les façades : elles protègent désormais les cours de l’extérieur. 

    Des arbres plantés dans la « douve » entre les divers bâtiments agrémentent l’ensemble. Une façade aveugle en extérieur a été réhabilitée avec  un «Mur végétal» réalisé par l’artiste Patrick Blanc, déjà renommé pour le Musée du Quai Branly en 2004, le BHV Homme en 2007, les Galeries Lafayette à Berlin en 2008, la Serre du Muséum d’Histoire Naturelle en 2010 etc.

    Après plus de deux ans de travaux, le nouvel ensemble a enfin été livré en octobre 2008.

    Une opération très rentable pour les promoteurs grâce à l’immobilier commercial  

    On peut parler d’une opération de réhabilitation aux risques limités pour les promoteurs, au regard des niveaux de location dans le secteur de la gare de l’est (entre 300 et 400 €/m2/an), des rendements nets immédiats espérés de 4.5% minimum sur la zone pour les ensembles de bureaux, et du haut niveau des rénovations envisagées permettant d’assurer de bonnes conditions de location dans un quartier est parisien, déficitaire en bureaux. La demande garantissait le résultat. En outre, le partenariat local initial avec la SNCF, comme locataire « captif », assurait la location des bureaux après leur réhabilitation.

    Cette opération immobilière, rentabilisée donc principalement par la location des bureaux à la SNCF (qui réglait 6.4 millions € pour l'année 2008, soit près de 400 €/m2), plus que par la vente des logements sociaux et privés - relativement accessoire dans l’opération -, permet aux promoteurs de dégager une rentabilité annuelle proche de 12 % !

    Une traversée à découvrir dans ce bel ensemble réhabilité et tranquille entre les deux gares...

    paris,10e,gare-de-l-est,rue-d-alsace,sncfPour les curieux désirant découvrir cet ensemble Euro-Alsace in situ, à l’occasion par exemple d’une petite ballade dans le 10e, la traversée de l’îlot est donc autorisée, et notamment même recommandée pour relier plus directement et plus agréablement les deux gares.

    Cette réhabilitation a déjà fait l’objet d’une étude : la journaliste Muriel Gremillet a ainsi retracé la renaissance de cette ancienne cité ferroviaire du 11-21, rue d’Alsace dans un livre paru en décembre 2008 et co-édité par AAM (Archives d’Architecture Moderne) /SilvanaEditoriale, 25 euros.

    Sur le web, un photographe/architecte, Stéphane Cazenave, a réalisé un reportage panoramique depuis le passage dans l’îlot: voir ici.

  • Enfin des projets d'aménagements sur l'axe Chapelle-Marx-Dormoy

    Nous ne vous avons pas tout dit des entretiens intéressants que nous avions eus en mairie du 18e fin mars à propos du Carrefour Barbès et des possibilités d'y améliorer l'environnement.

    L'environnement, c'est aussi la circulation, la pollution liée aux gaz d'échappement et à l'émission de particules fines des moteurs Diesel. Et de fil en aiguille, on en arrive à s'intéresser aux flux automobiles qui passent devant nos fenêtres. D'où viennent-ils ? Pourquoi passent-ils par ici plutôt que par là ? A quelles heures sont-ils les plus nombreux ? De quelle alternative disposent tous ces automobilistes pour se rendre vers leur destination ? Sont-ils des habitués, des particuliers, des professionnels, des livreurs par exemple, des usagers quotidiens de cette voie, des automobilistes en quête de stationnement ? Toutes questions auxquelles il faut pouvoir répondre pour mettre en face les bonnes solutions aux problèmes.

    En tant qu'association, nous avions formé une commission "Circulation" il y a deux ans et contacté les membres des conseils de quartier limitrophes et de l'association ASA Paris Nord-est. Elle réunissait une vingtaine d'adhérents motivés par la réflexion et les propositions pour une meilleure gestion des flux entrant dans Paris par le Nord. En effet, pour convaincre nous avions ressorti le programme de Daniel Vaillant lors de l'élection municipale de 2008 où l'on pouvait lire l'intention de réaménager le boulevard de La Chapelle. Les habitants savent combien il est embouteillé. Ils le constatent chaque jour devant leurs fenêtres. Ils souffrent de la pollution autant qu'aux abords du périphérique. Alors pourquoi un tel immobilisme ?

    images?q=tbn:ANd9GcTFxxTRktM093xH92JRIDxzEBgfT4189bWUMRnM2pcmtSYlHZqohgIl ne s'agissait pas de réticence, ni de défaut de budget, nous disait-on. Non. En réalité, il existe dans Paris, des zones et des axes qui restent sous l'autorité de la Préfecture de police. La voie que constituent la rue de La Chapelle et la rue Marx-Dormoy est considérée comme un axe stratégique de sortie de Paris et surtout d'accès à l'aéroport Charles-de-Gaulle. Impossible d'imposer un quelconque aménagement à la Préfecture. (Nous avons connu cette opposition sur Magenta entre les deux accès aux gares du Nord et de l'Est, mais c'est de l'histoire ancienne...)

    Que s'est-il passé pour que la Préfecture lève son véto? Reconnaître la puissance du lobby des fédérations copie-1-olive.jpgde taxis ne flattera pas l'égo des élus parisiens.... mais apprécions le résultat, puisqu'ils ont obtenu l'accord de la Préfecture. Oui. On va aménager une voie en site propre pour les bus et les taxis de la Porte de La Chapelle jusqu'à la Place de La Chapelle ! Les cyclistes ne pourront pas l'emprunter là où elle sera trop étroite mais un itinéraire parallèle traversant le quartier du marché de l'Olive et empruntant la rue Philippe de Girard est déjà envisagé.

    Notre légendaire optimisme nous fait penser que la suite ira de soi : les travaux suivants devraient s'attaquer à un réaménagement du dernier boulevard non traité à l'époque des "axes civilisés", c'est à dire le boulevard de La Chapelle depuis la place jusqu'à Barbès. On devrait pouvoir mieux canaliser un flux entrant filtré et réduit. Une bonne nouvelle aussi pour l'hôpital Lariboisière et ses nombreuses ambulances. D'autant que le site de l'hôpital devrait être réaménagé dans les années qui viennent, le service des urgences se trouvera alors situé tout en haut de la rue de Maubeuge.

  • OCNA "spéciale" aux abords de la Gare du Nord et de l'Hôpital Lariboisière

    Rappelons tout d'abord ce qu'est une OCNA : opération coordonnée de  nettoiement approfondi

    Pourquoi OCNA Spéciale?
    Le secteur n'est pas facile à gérer puisque s'ajoutent aux problèmes de propreté habituels, les déchets (emballages, seringues, etc.) rejetés sur la voie publique par les usagers de drogues, nombreux dans le quartier. Il s'agira notamment, par cette opération, d'aller à la rencontre des toxicomanes pour les sensibiliser aux questions de salubrité publique et simplement de respect de l'espace public.

    Spéciale également car l'OCNA est organisée par  les mairies du 10e et  18e arrondissements avec de très nombreux participants: DPE ( direction de la propreté et de l'eau), SMASH (service municipal d’actions de salubrité et d’hygiène de la mairie de Paris), Coordination Toxicomanies, association Espoir Goutte d’Or (Centre d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des Risques pour les usagers de drogues, association SAFE (qui gère les automates qui distribuent et récupèrent les kits d’injections), association Gaïa dont le bus est positionné rue de Maubeuge (Centre d’accueil et d’ accompagnement à la Réduction des Risques), association Itinérances (accueil de jour pour les 18-30 ans).

    Les participants ce jeudi-là
    Première étape de cette OCNA: jeudi 5 avril, une marche exploratoire avec des représentants des  services de la ville, associations, quelques habitants et représentants des CQ Lariboisière-St Vincent de Paul et Goutte d'or et Action Barbès (l'heure n'étant pas propice à ceux qui travaillent). Nous y avons retrouvé quelques-uns de nos interlocuteurs habituels: Isabelle Cavillier de la DPE 9-10, Saïd Agouni DPE 18, Johanne Rosier de la Coordination toxicomanie. Présents également une représentante de la Brigade des réseaux ferrés, SMASH (ramassage des seringues), la DPP, la DVD, la DVE, Gaia.

    Il s'agissait de faire un état des lieux de la situation, feuille de relevés en main, sur un parcours allant de l'église Saint-Vincent de Paul avec le square Cavaillé Coll, en passant par la rue Saint-Vincent de Paul, les rues Paré et Patin, le boulevard de La Chapelle des deux côtés et la rue de Maubeuge avec l'emprise SNCF et les parkings Vinci.

    Cadre et itinéraire
    A cette heure matinale, le secteur Saint-Vincent de Paul est plutôt propre. Depuis l'installation de jeux pour les petits dans le square, c'est beaucoup mieux. Le nouveau jardinier affecté à ce lieu jardine le matin et nettoie l'après-midi. Le secteur le moins propre reste le boulevard de La Chapelle. Sur le terre-plein central, les piliers du métro sont tagués (mais c'est à la RATP de nettoyer, elle en est propriétaire), et empestent l'urine; les pieds d'arbres servent de poubelles; la chaussée est encore encombrée de restes du marché du mercredi (emplacements sans doute inaccessibles au moment du nettoyage car occupés par des camions). On trouve aussi quelques  palettes. La ville ne les ramasse pas et pas davantage  les cagettes. Ce sont des sociétés qui viennent les récupérer pour les revendre. En fait, n'importe qui peut les ramasser. Ce qui explique pourquoi, parfois, elles restent sur place…

    N’oublions pas de signaler que nous avons aussi trouvé des emballages de seringues et les seringues, par terre, plutôt près des murs de l’hôpital. Ces murs tagués sont nettoyés par la ville. A savoir : le nouveau prestataire chargé du dégraffitage et désaffichage  n'a pas donné satisfaction et paye à la ville de lourdes pénalités pour non respect des clauses du contrat.  Il sera remplacé en juin prochain. Mais il faudra reprendre la procédure de désignation.

    Pour les épaves de deux roues: un partenariat  Ville-Préfecture existe pour l'enlèvement des vélos mais pas pour les deux roues motorisées qui doivent être signalées aux services de police.

    PAris, OCNA, 10e Gare-du-nord

    Dans cet espace pas très reluisant qui est du ressort de la SNCF et du parking Vinci, un récupérateur de seringues devrait être installé prochainement, pour inciter les usagers de drogue à s’en servir ! Pour les Jeux Olympiques, la SNCF semble vouloir faire appel à des artistes graffeurs pour décorer les murs et la grille de l'extracteur (muret visible sur la photo). Afin que les  voyageurs de l'Eurostar qui patientent dans les salons donnant sur cet espace aient une vue plus agréable!

    Que va-t-il se passer ensuite?

    Les habitants pourront se rendre sur les stands pour échanger avec les différents professionnels, selon le calendrier suivant :

    Le mardi 10 avril de 10h30 à 12h30, rue Ambroise Paré à proximité de la sanisette.

    Le vendredi 13 avril de 13h30 à 15h30, angle rue Ambroise Paré – rue de Maubeuge (entrée des urgences)

    Le mercredi 18 avril de 16h30 à 18h30, angle Ambroise Paré – Boulevard de Magenta et sur le terre-plein Boulevard de La Chapelle face à la rue de Maubeuge.

  • Dans la Goutte d'or, un souffle de réaménagement

    paris,18e,laghouat,voirie,réaménagement,dominique-lamy,goutte-d-orCa commence comme cela : par un panneau qui vous en enjoint de passer votre route, et même de dévier !

    Il faut dire que la rue Laghouat depuis quelques années a vu beaucoup de changements et qu'il était bien temps de faire une toilette de chaussée et de trottoirs. Ca y est. On en est là.

    • Les trottoirs seront élargis
    • Six arbres seront plantés (côté n° pairs)
    • Une place GIG/GIC sera installée
    • Les passages piétons seront sécurisés
    • Le stationnement des véhicules sera limité
    • Les vélos et motos bénéficieront d'accroches spécifiques

    Afin de vous présenter ce projet, une réunion publique d'information est prévue le

    lundi 2 avril à 19h00

    à la salle de réunion de l'Institut des Cultures d'Islam.

    Cette réunion est ouverte à tous.

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    Infos pratiques :
    Institut des Cultures d'Islam
    19-23 rue Léon
    75018 Paris