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Culture - Page 81

  • Au 8 cité Pigalle

    Bernard Vassor a participé hier à la petite cérémonie en souvenir de Vincent Van Gogh. Voici son témoignage émouvant.

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    Hier, à 19h, au 8 cité Pigalle, il y avait beaucoup d’émotion pour la célébration de la mort de Vincent Van Gogh. Des habitants des immeubles du voisinage sont descendus de chez eux pour partager la passion qu’inspire l’artiste.
    Chacun est venu piquer dans le lierre tapissant la grille de l’immeuble du 6 et du 8, qui un glaïeul, qui un oeillet et des brassées de tournesols apportés par des habitants du 9° parmi lesquels on a pu reconnaître madame Dominique Desanti, l’historienne, grand écrivain, venu en voisine de la rue Clauzel apporter son soutien à cette initiative, et qui selon les locataires de la cité voudraient la voir renouveler chaque année. Beaucoup de japonais, admirateurs de Vincent, ont apporté de très gros tournesols, une conférencière, Madame Emiko-Moine Maeda, a souligné l’importance de l’influence de l’art du Japon sur tous les artistes de la fin du XIX° siècle, et la fascination qu’a exercé Van Gogh sur les habitants de son pays.
    Un grand acteur, revenu d’Avignon a lu la dernière lettre de Vincent datée du 29 juillet 1890  qui a saisi le public qui était au bord des larmes. Un adjoint au Maire a prononcé un bref discours pour souligner l'importance de tels évènements pour la vie du quartier.
    Etaient présents l’historienne d’Art Clotilde Roth-Meyer et André Roussard le spécialiste incontesté de la vie montmartroise, auteur et éditeur de nombreux ouvrages. Des comédiens se sont proposés d’organiser des lectures autour des artistes de  « la Nouvelle Athènes ».
    A suivre donc…

     

  • Le 9ème et l'année du Brésil en France

    Riche semaine pour la célébration de l'année du Brésil en France pour notre arrondissement.

    Le 30 Juin a été inaugurée l'exposition Brésil 5 étoiles, sculptures éphémères sur glace de Nele Azevedo.
    L’association Fafadièse a invité cinq artistes brésiliens contemporains : culture afro-bahinaise, tissage, sculpture, azulejos revisités...

    Du 29 juin au 16 juillet 2005 - Mairie du 9e - Salons Aguado

    Le 3 Juillet, 8ème lavage du Sacré Coeur. Ici les photos du départ place Lino Ventura

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  • Passage des Arts : le projet « Place à Lino ! » (2) atelier modelage & sculpture

    L’atelier « modelage & sculpture » de l'association Passage des Arts regroupe 9 personnes qui se sont lancées dans une œuvre collective d’hommage à Lino Ventura. C’est à la fois l’acteur et la personne qui ont inspiré la démarche de l’atelier, sa forte présence physique mais aussi sa sensibilité. Pour illustrer tout cela, les sculpteurs ont retenu l’idée d’une structure « monumentale » qui sera exposée sur la place Lino Ventura le 24 Juin et représentant un rhinocéros portant un ange sur son dos. La phrase symbolique choisie « le rhinoventura ou le linoféroce » exprime bien ce que les artistes veulent dire. Ce projet a été l’occasion pour l’atelier de travailler différemment. En effet, chacun jusqu’à maintenant se concentrait sur des œuvres individuelles de modelage et le passage à une œuvre collective de grande taille devant incorporer plusieurs aspects a été l’opportunité d'approcher de manière nouvelle la sculpture.

  • Une guitariste Argentine dans le 9ème

    Il n’y a pas plus argentin ni plus parisien que Délia Estrada ! Cette guitariste classique arrivée à Paris en 1977 s’est installée dans notre arrondissement en 1999. Elle s’est très rapidement intégrée au quartier en montant une petite chorale d’enfants au sein de l’église Notre Dame de Lorette ce qui lui a permis de nouer de nombreux contacts et de lancer de manière bénévole beaucoup de projets dans le quartier, tous liés à l’Argentine de sa naissance et à la musique de son cœur. Mariée à un français et maman de deux enfants, Délia est professeur de guitare au Conservatoire de musique de Puteaux et Directrice de collection aux éditions Lemoine. Elle consacre sa vie à la musique, argentine bien sûr, qu’elle soit classique ou bien folklorique, ce dernier aspect des choses ayant sa préférence. Elle a su créer dans le 9ème un petit réseau d’artistes argentins, peintres et musiciens bien sûr.

    Si Paris Neuvième vous parle de Délia Estrada, c’est que le petit groupe de musiciens qu’elle a monté, Confluences, composé d’un flûtiste, d’un violoniste, d’un chanteur et d’un joueur de bandonéon sans oublier la guitariste Délia Estrada, va participer à un événement culturel dans le 9ème au mois de Juin. Dans le cadre de la manifestation « José de San Martin et Alexandre Aguado, les retrouvailles inattendues ou la Force du Destin » dont Paris Neuvième vous a parlé le 4 Juin, un concert est organisé le 15 Juin salle Rossini à la Mairie à 20h30 au cours duquel le groupe Confluences nous fera un panorama de la musique argentine autour du folklore et du tango.

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    4 membres du goupe Confluences : de gauche à droite - Aldo Ariel, Raul Maldonado (artiste invité pour ce concert), Délia Estrada et Nini Flores





    Délia Estrada, femme dynamique et sympathique, a bien d’autres projets en tête pour l’arrondissement, Paris Neuvième viendra vous en reparler régulièrement

  • Passage des Arts : le projet « Place à Lino !» (1) ateliers peinture

    Les deux ateliers « peinture » de l’association Passage des Arts qui regroupent 14 personnes au total travaillent dur au projet « Place à Lino ! » qui se déroulera le 24 Juin. Après un échange de vues en commun, ils ont décidé de participer sous deux formes.
    D’abord des masques. En papier, en plâtre, en tissu, ceux-ci seront des moulages des visages des membres des deux ateliers peints à la façon « acteur » pour rappeler la carrière de Lino Ventura. Une trentaine de ces masques seront installés sur toute la place et regarderont les passants, se voulant ainsi une évocation de tous les visages que l’acteur a pu rencontrer au cours de sa vie. Il y en aura même dans les arbres !
    Ensuite des portraits de Lino Ventura. A partir d’une riche iconographie, les peintres des deux ateliers ont préparé soit des peintures, soit des dessins du visage de l’acteur, en libre interprétation. Une quinzaine seront exposés sur la place. Tous auront fait l’objet d’une sélection de la veuve de Lino Ventura.

  • José de San Martin et Alexandre Aguado – Inauguration

    S.E Juan Archibaldo Lanus, Ambassadeur d'Argentine en France (à gauche) et M. Jacques Bravo, Maire du 9ème arrondissement de Paris (à droite) lors de l'inauguration de l'exposition José de San Martin et Alexandre Aguado, les retrouvailles inattendues

    Hier 7 Juin a été inaugurée dans les salons Aguado de la Mairie du 9ème la manifestation « José de San Martin et Alexandre Aguado ». Libérateur de l’Amérique du Sud au même titre que Simon Bolivar, José de San Martin a fini sa vie en France. L’inauguration de cette manifestation en présence de S.E Juan Archibaldo Lanus, Ambassadeur d’Argentine en France et de nombreux diplomates sud-américains par Jacques Bravo, Maire du 9ème, a été l’occasion de célébrer l’amitié franco-argentine et d'évoquer « la consanguinité des esprits » comme s’est plu à le mentionner l’Ambassadeur, citant Marcel Proust. Les œuvres exposées sont de Ruben Alterio et Ricardo Mosner qui se sont inspirés de la collection Aguado revisitée pour l’occasion. Ces deux artistes ont des sites web que Paris Neuvième vous invite à apprécier.

    medium_dscn0697.jpgRuben Alterio
    Ricardo Mosner

  • José de San Martin et Alexandre Aguado – Les retrouvailles inattendues ou la Force du Destin – Exposition.

    Dans le cadre de cette manifestation (7 au 17 Juin), une exposition de peinture se tiendra dans les salons Aguado de la Mairie du 9ème rue Drouot.

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    Ruben Alterio et Ricardo Mosner, deux peintres argentins ayant déjà exposé leurs tableaux côte à côte dans de nombreuses expositions thématiques - dont un Hommage à Piazzolla, - et également travaillé ensemble dans le domaine du théâtre, se retrouvent pour revisiter les œuvres des peintres de la Collection Aguado (1784 – 1842). Chaque artiste a travaillé de son côté pour réinterpréter treize tableaux des peintres de la Galerie Aguado, collectionneur mais aussi bienfaiteur de José de San Martin (1778 – 1850), Libérateur de l’Argentine, du Chili et du Pérou. L’amitié d’Alexandre Aguado et de José de San Martin est d’une certaine façon un symbole de l’amitié franco-argentine, tous les deux ayant fait partie de la vie intellectuelle de la deuxième moitié du XIXème siècle, fréquentant Rossini, Balzac…
    Ruben Alterio et Ricardo Mosner ont choisis de recréer avec leur style et à leur guise des tableaux de Ribera, Vélasquez, Zurbaran, Le Caravage, Tintoret, Mantegna, Michel Ange, Rembrandt, Rubens, Boucher, Watteau et El Gréco.

    Voire les biographies de Ruben Alterio et Ricardo Mosner dans la rubrique Agenda / Jose de San Martin & Alexandre Aguado

  • Passage des Arts : le projet « Lino Ventura »

    Un acteur n’est pas populaire par hasard et quand sa notoriété se perpétue bien au-delà de sa disparition, c’est qu’il s’est passé quelque chose entre lui et le public. C’est le cas avec Lino Ventura, acteur célèbre des années 60 à 80 à cause de la qualité des films auxquels il a participé – « Les Tontons Flingueurs » ne sont-ils pas un film culte aujourd’hui pour plusieurs générations – mais aussi chacun garde en soi la mémoire de l’homme de cœur qui a connu la souffrance dans sa vie. Le nom de la petite place au carrefour des rues des Martyrs, Condorcet, Victor Massé et de l’avenue Trudaine vient rappeler aux passants le créateur de l'Association Perce Neige pour les enfants handicapés mentaux.

    L’association Passage des Arts s’est lancée dans un projet d'animation culturelle autour de la personnalité de Lino Ventura qui se tiendra sur la place du même nom le Vendredi 24 Juin prochain de 13h à 23h. L’ensemble des ateliers de l’association (peinture, sculpture, photo, écriture) sont impliqués dans le projet.

    Tout au long des quelques jours qui nous séparent de cette manifestation, Paris Neuvième vous en dévoilera tous les aspects : des évènements eux-mêmes lors de la journée du 24 Juin mais aussi tout l’environnement avec ce que les commerçants de la rue des Martyrs ont prévu dans ce cadre. Nous pénétrerons aussi dans les coulisses de la préparation du projet en laissant la parole à ceux qui y travaillent.

    Cette initiative tend à renouer avec les traditions d’antan pour la fête de la Saint Jean. Il faut y voir une opportunité de recréer des liens de proximité qui se sont un peu distendus et que chacun aujourd’hui cherche à recréer.

    A suivre.

  • José de San Martin et Alexandre Aguado – Les retrouvailles inattendues ou la Force du Destin

    medium_aguado_en_1843.jpg Hôtel Aguado, actuelle Mairie du 9ème, en 1843

    Alexandre Aguado, d’origine espagnole, acquiert l’hôtel particulier qui abrite aujourd’hui la Mairie du 9ème rue Drouot en 1829 et en fait sa demeure. Banquier de profession, il s’intéresse à l’art lyrique (il est ami de Rossini et il en assure la fortune par de judicieux placements) et aussi à la peinture. Dans sa jeunesse en Espagne, Alexandre Aguado a connu et fréquenté au sein de la même école militaire José de San Martin, héros de l’indépendance argentine, libérateur du Chili et du Pérou, mais la guerre que la France mène en Espagne sous la Restauration les sépare, Aguado choisissant le camp français, San Martin l’espagnol. Après de nombreuses années de séparation et par un concours de circonstances rocambolesques, les deux hommes se retrouvent à Paris vers 1832, l’un est devenu très riche (Aguado), l’autre pauvre et malade (San Martin).

    Du 7 au 17 Juin prochain se tiendra dans les salons Aguado de la Marie du 9ème une exposition retraçant les retrouvailles inattendues des deux hommes sous la forme de présentation de peintures, réinterprétation de la « Galerie Aguado » photographies d’Olympio Aguado, fils du Marquis Aguado de las Marismas del Guadalquivir et objets en provenance du musée Général San Martin de Boulogne sur Mer.

    Le programme des manifestations est le suivant :
    7 Juin – à 18h30, vernissage de l’exposition, Mairie, salons Aguado en présence de l’Ambassadeur d’Argentine à Paris
    9 Juin - à 19h, film documentaire « El exilo de San Martin » d’A. Areal Velez, Mairie, salle du Conseil
    12 Juin – à 17h, projection du long métrage « El general y la fiebre » de J. Coscia à l’Ambassade d’Argentine à Paris, 6 rue Cimarosa dans le XVIème (attention nombre de places limitées)
    15 Juin – à 20h30, panorama de la musique argentine par Delia Estrada et l’ensemble Confluences, Mairie, salle Rossini
    17 Juin
    – à 19h15, conférence débat autour de San Martin, le héros de l’indépendance argentine et son séjour de 20 ans en France par Diana Quattro-Woisson, Mairie, salle du Conseil

    Note historique rédigée par Bernard Vassor, organisateur de la manifestation

    Olympio Aguado 1827-1894

    C’est le deuxième fils d’Alexandre Aguado, le banquier du 6 de la rue Grange Batelière. Il passe son enfance dans les châteaux d’Evry-Petit-Bourg et de Château Margaux qui appartiennent à la famille. Il aura comme précepteur Armand Marrast, le futur Maire de Paris. A la mort de son père, son tuteur légal est José de San Martin. Initié très tôt à la photographie par le comte Vigier, il est l’élève de Gustave Legray qui possède un vaste atelier au chemin de ronde de la barrière de Clichy (actuelle place Clichy). Familier de la famille impériale (il aurait eu dans sa jeunesse, une idylle avec Eugénie de Montijo) il est reçu à la cour. Co-fondateur avec Gustave Le Gray de la Société Française d’héliographie en 1851, puis, la société Française de Photographie en 1854 (11 rue Drouot).
    A la chute du Second Empire, il suivra en exil, à Londres la cour des souverains déchus.

    Son œuvre a été l’objet d’une exposition organisée à Strasbourg :
    Catalogue :
    Olympe Aguado (1827-1894) photographe (cat. exp.), textes de R. Rapetti, H. Bocard, A. McCauley, M. Poivert, S. Morand, Strasbourg, musées de Strasbourg, 1997, 216 p., 134 ill. NB, 78 ill. coul., bibl.,

    Bernard Vassor

  • Sorbonne Clignancourt: les concerts reprennent

    La saison 2017-2018 sera présentée le 11 octobre à 19h30 dans le hall de la Sorbonne Clignancourt au 2 rue Francis de Croisset.

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    photo Léo Andrès

    Au programme de cette soirée, vous pourrez entendre des extraits d'oeuvre de Dukas, Charpentier, Cornélius, Dada, Taneyev et Costeley sous la direction de Corinna Niemeyer et Jérôme Polack et échanger avec les musiciens. 

    C'est un évènement gratuit mais n'oubliez pas de vous inscrire ici.

    D'autres moments conviviaux sont à venir. On vous en reparlera.

     

     

  • La librairie solidaire de la rue d'Hauteville

     Presque trois ans après son ouverture, la librairie solidaire du 30 d'Hauteville ne manque ni de dons, ni d'acheteurs mais de place. Un succès de l'avis même des bénévoles qui la font vivre. Le lieu est à découvrir absolument mais il ne faut pas le rater car l'entrée se fait par le porche de l'immeuble. Une enseigne devrait prochainement être installée pour plus de visibilité. 

    librairie solidaire, rue hauteville, 10ème

     Il existe deux autres libraires solidaires à l'initiative d'OXFAM (ONG), l'une dans le 14ème et l'autre dans le 11ème mais celle du 10ème est un l'aboutissement d'un projet de la Maison du Canal dans le cadre de la politique de la ville.

    Solidaire pourquoi? La seule vente de livres n'est pas l'objectif premier. Il s"agit de créer du lien social dans le quartier. Plusieurs emplois ont été créés et ont ainsi permis la réinsertion de plusieurs personnes.

    Noëlle Perrier, bénévole à la librairie  a accepté de répondre à nos questions.

    Qui donne et quel genre d'ouvrages?

    Les livres ont du mal à trouver une place désormais dans l'espace de stockage. Il devient difficile de trier tous les dons qui arrivent parfois dans plusieurs cartons. Quelques éditeurs n'hésitent pas à donner des ouvrages. Un partenariat existe également avec certaines grosses entreprises comme ERDF qui collectent des livres auprès de ses salariés. Nous avons une grande diversité de livres, beaucoup de romans mais aussi des beaux ouvrages variés. 

    Et côté vente?

    Beaucoup de romans plutôt format poche, policiers particulièrement. A l'ouverture, nous avons vu se présenter des bouquinistes attirés par les prix très bas. C'est pourquoi nous avons fait le choix d'augmenter les prix des très beaux livres. Beaucoup de jeunes qui travaillent dans le quartier profitent de leur pause déjeuner pour nous rendre visite. On peut dire aujourd'hui que la réputation du lieu attire des acheteurs de tout Paris voire au delà. La clientèle se fidélise. Les livres jeunesse (de 0,50 à 3€) se vendent peu malgré notre publicité auprès des écoles du quartier. Nous serions pourtant prêts à les donner. 

    librairie solidaire, rue hauteville, 10ème

    Peut on apporter tout type de livre?

    Tout d'abord, ils doivent être en bon état. Nous refusons essentiellement les gros dictionnaires, les atlas, encyclopédies, manuels scolaires ou encore ouvrages trop spécialisés.

    Etes vous nombreux pour faire vivre ce lieu?

    Une personne est rémunérée car salariée de la Régie de quartier et responsable du secteur développement durable auquel s'ajoute une dizaine de bénévoles. 

    Des évènements particuliers sont ils organisés? Avez vous des partenariats avec le quartier?

    L'espace trop réduit ne permet pas d'en organiser sur place. Au printemps dernier, nous avons proposé un café lecture dans un autre lieu de l'arrondissement. Nous choisissons un thème puis il faut trouver des personnes prêtes à lire des extraits de livres pour susciter des échanges et des discussions. Afin de poursuivre cette expérience, un lieu pérenne est nécessaire afin de fidéliser un public mais aussi que des bénévoles soient prêts à se former. Il n'est pas donné à tout le monde de lire à haute voix devant un public!. Pour information, un atelier reliure a été créé. Pour y participer, l'adhésion est de 5€ et 3€ pour le matériel tout cela pour l'année. Il est animé par une salariée de la régie de quartier.

    Côté partenariat, nous avons donné des livres à une maison de retraite de l'arrondissement, ce qui lui a permis de renouveler complètement son stock. Nous avons été attentifs aussi à la taille de la police d'écriture. Nous échangeons aussi avec Recyclivre  située rue de Trévise dans le 9ème voisin. Cette association porte les mêmes valeurs que la librairie solidaire mais elle ne vend que par internet. Nous  donnons ce qui ne nous intéresse pas et on nous reverse 10% des ventes.

    librairie solidaire, rue hauteville, 10ème

     Ce projet abouti est supervisé par Elodie Combileau chargée des projets autour du développement durable par la Maison du Canal. Un deuxième projet solidaire vient de voir le jour rue du Fg Poissonnière. Il s'agit de la ressourcerie. Une visite du lieu est prévue prochainement et nous ne manquerons pas d'écrire un article à ce sujet.