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  • Bal du 13 juillet dans le 18e

    Bal du 14, euh... du 13 juillet dans le 18e

    C'est le vrai signal des vacances pour beaucoup, le bal du 14 juillet ! Ici, c'est le bal du 13. Ne chipotons pas.

    Action Barbès tire un peu sa flemme aujourd'hui et c'est dans son intégralité que nous vous restituons le texte de l'invitation de la mairie du 18e. Ils sont plus consciencieux, eux....  Nous avons ajouté quelques liens vers des sites intéressants : ce sera notre participation à la commémoration de 1860.

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    A l'occasion du 150e anniversaire de l'arrondissement, la mairie du 18e, en partenariat avec la mairie du 19e, vous propose un grand défilé le soir du 13 juillet qui se clôturera par un bal festif sur l'esplanade des jardins d'Eole.

    Ce défilé et ce bal sont organisés en partenariat avec le 19e arrondissement afin de célébrer le 150e anniversaire du rattachement de ces deux arrondissements à Paris.

    Rendez-vous à 18h30 place Charles Bernard (près de la rue du Poteau) pour un festival d'animations avec les percussions brésiliennes de Moleque de rua.

    Le petit train de Montmartre mènera le joyeux cortège jusqu'à l'esplanade des Jardins d'Eole (19-41 rue d'Aubervilliers) où un bal avec DJ Eve-Lys et Cirkël, les P'tits Poubots et les animations musicales des 18e et 19e !

    Sur place et jusqu'à minuit : danse, buvette, restauration, bonne humeur, etc...

     

     

    • A voir également une exposition originale de photographies de Montmartre à 360° exposées sur les grilles du Sacré-Cœur. L’artiste, Timothée Eisenegger, est un jeune photographe sorti major de sa promotion à l’école de photographie Icart Photo
    • Ne pas oublier que d'autres communes ont été rattachées à Paris en cette année 1860, et parmi celles-ci, Belleville l'insoumise, qui verra ainsi son territorie divisé. Parallèlement à l'histoire de Belleville, une exposition des oeuvres de Patrick Bezzolato est présentée à la Librairie photographique pour rendre hommage au grand photographe humaniste Willis Ronis (qui a habité cité Condorcet,  9e, pas trop loin donc...) ; expo jusqu'au 5 septembre.
    • Enfin un petit tour sur le blog ami de Bel Air Sud, 12e : à leur manière ils fêtent aussi le rattachement de leur quartier à Paris, en nous racontant un peu d'histoire, comment Paris est ainsi passé de 12 à 20 arrondissements. Cela ne vous évoque-t-il pas également le Grand Paris ou Paris Métropole ? Trouvé récemment un article des Echos qui rafraichit notre mémoire sur les enjeux, l'état des lieux et les clivages...

     

  • Le stationnement en surface va bientôt augmenter

    La hausse des tarifs de stationnement rotatif le 1er juin

    Un vote du conseil de Paris lors de sa séance du 28 mars a fixé les modalités du stationnement en surface à partir du 1er juin.

    Au mois de mars, peu avant le conseil de Paris, Le Parisien avait écrit - et effrayé un peu les Parisiens - sur la probable hausse du tarif de stationnement de surface dans les voies parisiennes. Fin mars le Conseil de Paris entérinait la décision qui prendra effet le 1er juin. En fait, les riverains, les commerçants, les artisans, les réparateurs, les prestataires de soins à domicile, comme les médecins, les infirmiers, les kiné, etc, sont hors de cause, car le motif de cette augmentation n’est pas de taxer davantage les habitants et leurs commerces, mais bien de rapprocher les tarifs de surface de ceux pratiqués dans les parkings situés en sous-sol, que nombre de visiteurs, venus en voiture, malheureusement ignorent, alors que des analyses  montrent que des places y demeurent inoccupées. Annick Lepetit, adjointe au maire de Paris chargée des transports, précisait :« Le zonage actuel date de 1993. L'idée est de libérer des places en surface et que les gens aillent se garer dans des parkings. Il faut réserver le stationnement en surface aux services, comme les médecins et les livreurs à domicile. » La Ville souhaite donc libérer des places de surface pour faciliter les accès aux commerces, livraison des fournisseurs ou livraison des clients, et favoriser ainsi l’activité économique.  Mais pas seulement. On sait tous la difficulté à faire venir des artisans dans nos rues tant ils redoutent les problèmes de stationnement. Au point même que certaines entreprises refusent carrément les chantiers dans Paris intra muros, ou surtaxent la visite d'entretien, comme le fait un chauffagiste qui a pignon sur rue.

    Le tarif restera à 0,65 euros la journée pour les détenteurs de la carte de résident ou d'une carte de stationnement privilégié.

    Les tarifs selon les zones nouvelles

    Les zones les plus chères en taux horaire, soit 3,60 euros à l'heure, sont situées dans les 1er, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e arrondissements et une partie nord-est du 16e.

    Le tarif intermédiaire, c'est à dire 2,40 euros de l'heure, se trouve dans les 12e, 13e, le reste du 16e, et le sud du 18e.

    Le tarif le plus bas, soit 1,2 euros l'heure, dans le reste des voies de Paris.

    Cette nouvelle tarification et les amendes, dont la hausse se profile aussi à l'horizon, auront-elles pour conséquence de convaincre les automobilistes de payer leurs droits de stationnement, seuls à entrer dans les caisses de la Ville... les amendes, elles, vont directement dans les caisses de l'Etat.

    Si vous êtes résident :

    Pour ne pas faire d'erreur, jetez un regard sur le site de la Mairie de Paris sur cette page et vérifiez les zones de stationnement résidentiel qui correspondent à votre carte. Autour du carrefour Barbès, ce sont les zones 9F, 18G, 18H et 19G.



  • Les bornes escamotables

    paris,passage-paré-patin,borne-rétractable,sens-interdit,circulationA plusieurs reprises nous avons fait des articles pour dénoncer le passage des voitures de particuliers, des camions bennes, des estafettes de toutes sortes sur la courte section de voirie qui relie la rue Ambroise-Paré au boulevard de Magenta. Et cela dans les deux sens, sans beaucoup d'attention pour les piétons ou les cyclistes qui circulent sur le boulevard. Il y a maintenant plus de 5 ans que cette situation s'est installée.  La dangerosité y était bien plus grande avant le réaménagement du Magenta, nous en convenons, et la traversée des piétons y était encore plus aventureuse. 

    Souvent, des personnes nous ont demandé pourquoi la Ville n'implantait pas une borne escamotable au beau milieu du passage. En effet, outre le fait que les ambulanciers auraient du disposer d'un passe magnétique pour abaisser la borne, cela aurait pu être une solution. Pourtant, il y a plusieurs inconvénients qu'avec le temps nous avons mieux appréhendés. 

    Premier inconvénient de la borne : les pannes

    Ce dispositif est fragile en plein air. Il tombe en panne pour des raisons diverses (humidité, intrusion de corps étangers dans la gaine de la borne, vandalisme). La Ville de Paris ne disposerait pas en assez grand nombre d''agents compétents, disponibles et proches des lieux d'implantation des bornes. Or, en panne, la borne entrave carrément le passage si elle reste en position haute, et ne rend aucun service en position basse.  

    Deuxième inconvénient : les accidents

    La Ville de Paris a expérimenté ces bornes au début des années 2000 dans des quartiers centraux, par exemple dans le 2e arrondissement, dans les rues Greneta, Dussoubs, des voies piétonnes de la première heure. Des automobilistes passés trop tôt, ou trop tard, se sont retrouvés suspendus dans les airs. Ils ont porté plainte et la Ville a du régler les frais... De quoi refroidir les envies des responsables de la voirie de l'époque.

    Troisième inconvénient : le code

    Le sens interdit matérialisé par les deux panneaux côté Ambroise-Paré et l'interdiction de tourner à droite, ou à gauche, sur le Magenta, sont valables pour tout véhicule, y compris les ambulances et autres véhicules d'urgence. En effet, rien ne vient compléter l'information sous le panneau, comme "sauf véhicule d'urgence" ou "sauf riverains".... Dès lors tous ceux qui passent sont en infraction avec le code. Une borne en supplément ne serait donc pas conforme à la logique routière : une fois baissée n'encouragerait-elle pas à violer le sens interdit ?

    Pour toutes ces raisons, on continuera à voir passer les voitures sur le passage Paré-Patin. Sauf à indiquer que la caméra accrochée au milieu du Magenta, près du feu tricolore, veille sur tous ses 360 degrés.... 

    Et pourtant ces bornes rétractables sont plutôt communes dans les villes de province (Bordeaux par exemple). Oui, en effet, mais les accidents sont nombreux aussi. Elles fonctionnent différemment. Souvent elles limitent l'accès à des zones semi-piétonnes et réagissent à une carte d'accès que possédent certains habitants, riverains ou abonnés. Des automobilistes "roublards" avaient pris l'habitude de profiter de l'abaissement d'une borne pour suivre rapidement une voiture autorisée, mais parfois le relèvement de la borne les surprend. Attention à la casse, attention à la tôle froissée !

    article_accident-voiture-bordeaux.jpgPhoto S.ORTOLA 20 MINUTES

  • Le Louxor, c'est l'histoire du cinéma à Paris

    Se contenter d'affirmer que le Louxor est un des derniers témoins de l'histoire du cinéma est une bonne chose, mais regarder en détails la situation actuelle des salles de cinéma anciennes à Paris (construites avant la Seconde Guerre Mondiale) est encore mieux.

    Une liste des établissements établie en 2001 par l'Atelier Parisien d'Urbanisme (APUR) recoupée avec des informations un peu plus récentes comme celles données par le site Ciné-Façades nous donne une idée assez juste de la situation actuelle des salles anciennes à Paris. Vous trouverez cette liste agrémentée de quelques commentaires pour chaque lieu à la fin de cet article. Notez que cette liste ne prétend nullement à l'exhaustivité. Il y aurait eu plus de 2000 cinémas à Paris avant 1940 ! Les salles mentionnées sont celles remarquées par l'APUR et encore en place en 2001.

    Notons déjà que sur les 81 établissements recensés, seulement 7 sont encore en fonction, et encore faut-il y inclure Le Trianon boulevard de Rochechouart qui n'est pas exclusivement un cinéma ou encore La Madeleine qui ne l'est plus depuis longtemps ....

    Au sens strict du mot cinéma, ne restent en activité que Le Rex (2e), Le Champo (5e), La Pagode (7e), Le Majestic (11e) et le Studio 28 (18e) soit 5 salles.

    Si on prend les salles encore existantes au sens large, La Madeleine qui date de 1918 est la plus ancienne, suivie du Studio 28 de 1928, puis du Rex et de La Pagode de 1931. Le Majestic date de 1935 Le Champo de 1938.

    LISTE DES 7 SALLES DE CINEMA LES PLUS ANCIENNES A PARIS

    Par ordre chronologique

    Salle

    Année

    Arrondissement

    Le Louxor

    1920

    10ème

    Studio 28

    1928

    11ème

    La Pagode

    1931

    7ème

    Le Rex

    1931

    2ème

    Le Majectic

    1935

    11ème

    Le Trianon

    1935

    18ème

    Le Champo

    1938

    5ème

    Sept salles seulement donc. On voit très bien à partir de ces informations comment se situe Le Louxor. Construit en 1920/21, il est presque le doyen avec La Madeleine. Il est même le doyen si on considère La Madeleine comme un théâtre, ce qu'il est de fait aujourd'hui, et surtout, si on considère sa structure si particulière, entièrement conçue pour le cinéma, muet à l'époque, rappelons-le. Bien sûr il y a d'autres endroits de cette époque encore existants. Mais nombre de ceux-ci ont été transformés en magasins pour certains - on peut voir, par exemple près du Louxor, l'ancien cinéma Le Delta, boulevard de Rochechouart, ou le Barbès Palace, boulevard Barbès - ou restructurés en profondeur pour laisser place à des multiplexes sans âme comme le Belgrand à Gambetta. Certains ont connu un sort plus heureux comme Le Balzac, mais ils ne sont plus dans leur état d'origine.

    On peut donc affirmer sans risque d'être démenti que Le Louxor est aujourd'hui un des tout derniers représentants encore en place de l'essor du cinéma dans les années 1920, voire peut-être même le dernier. C'est ce trésor patrimonial, n'ayons pas peur des mots, que la Ville de Paris veut restructurer, dit-elle, détruire en fait pour laisser place à une copie.

    Liste de 81 anciens cinémas établie par l'APUR en 2001 à partir d'un recensement de 300 adresses d'établissements anciens ou en activité, croisée avec le site  Ciné-façades .

    Les cinémas de banlieue ne sont pas recensés. Seul est à évoquer le Family Cinéma de Malakoff, construit en 1920 par Emile Vergnes - exact contemporain du Louxor, avec lequel il est publié et auquel il ressemblait beaucoup - et détruit dès 1935.

  • Théâtre des Bouffes du Nord

    Vincent Delerm au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, mise en scène de Macha Makeïeff, depuis le 6 et jusqu'au 30 décembre 2011.

    La programmation s’est beaucoup diversifiée depuis quelques mois au Théâtre des Bouffes du Nord. Les directeurs l’avaient annoncé clairement lors du départ de Peter Brook. Nous avons annoncé plusieurs spectacles de danses récemment, cette fois il s’agit de chansons et de théâtre, issus de la plume et du clavier de Vincent Delerm.

    Les-Bouffes-du-Nord-mettent-en-scene-Camille-et-Vincent-Delerm_image_article_paysage_new.jpg

    Vincent Delerm avait testé la scène, elle lui convient puisqu’il y revient…

    ....« avec un spectacle dont il est l'auteur, le compositeur, le metteur en scène et le comédien, épaulé par Macha Makeïeff, madame "Deschiens" récemment nommée à la tête de la Criée, Centre Dramatique National à Marseille. Vincent Delerm, auteur et compositeur de quatre albums studio fortement imprégnés de cinéma, avait déjà tâté du théâtre en tant qu'auteur avec Le Fait d'habiter Bagnolet, courte pièce à deux personnages, sur la rencontre amoureuse. Ici, il s'agit d'une forme théâtrale ponctuée de chansons qu'il interprétera accompagné sur scène par le musicien Nicolas Mathuriau. Son personnage, Simon, est obsédé par la fuite du temps et consacre le sien à le retenir à sa manière, intime et collective, collectionnant des souvenirs comme autant de traces pour son travail d'archéologue des époques. Le spectacle sera présenté du 6 au 30 décembre 2011. » (extrait du site des Bouffes du Nord)

    En lire plus ici dans un article du Figaro, rubrique culture, du 14 novembre dernier.

  • Little paradis

    Du nouveau dans le quartier de la rue de Paradis : les créateurs s'affichent le 26 mai.

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    L'événement avait été bien accueilli en décembre dernier, malgré une fraicheur de saison. Les artistes ont décidé de récidiver : 38 lieux seront ouverts exceptionnellement à partir de 19 heures jusque tard dans la nuit, autour de 23 heures.

    De la rue Lafayette à la rue d'Enghien et de l'Echiquier, de la rue Martel à la rue d'Hauteville, en flânant cour et rue des Petites-Ecuries, rue des Messageries, rue Papillon, rue de Paradis... C'est le printemps du 10e ouest. Avec l'ouverture de bars et restaurants, galeries d'art, studios d'architectes, boutiques de mode, déco et design, indépendants et originaux, ce quartier qui s'étend entre les métros Bonne Nouvelle, Poissonnière, Gare du Nord et Château d'Eau se transforme en l'une des places montantes de la création à Paris, un Little Paradis. (présentation faite par la mairie du 10e)

    Plus d'informations et la liste des 38 lieux de cet événement sur le site de Little Paradis. Nos voisins de Hauteville ont mis en ligne un lien pour chacun des sites ouverts ce soir là, de quoi guider vos pas vers ce qui vous séduira le plus. Merci au blog du quartier Hauteville qui est au coeur du dispositif, bien sûr.

  • Le festival des films du Maghreb au Louxor

    paris,louxor,cinéma,maghreb

    Depuis 2010, l'association Le Maghreb des Films organise un festival de films maghrébins avec un double objectif : promouvoir les productions cinématographiques qui portent sur le Maghreb et débattre, à partir des films, sur les nombreuses questions de société qui traversent les populations des deux rives.

    Le programme de l'édition 2014 est ICI. 
Les films présentés au Louxor ont pour thème commun :
 Barbès et la Goutte d'Or dans le cinéma maghrébin.

    Les séances sont suivies d'une rencontre et d'un échange avec le public.

    N'hésitez pas à visiter le site du Louxor régulièrement : il s'y passe toujours quelque chose...

    Sachez par ailleurs que, si vous ratez une séance, d'autres lieux participent au festival et projettent les films sélectionnés. En voici la liste :

    Institut du Monde Arabe (IMA), 1 Rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris 


    Le Studio des Ursulines, 10 Rue des Ursulines, 75005 Paris

    La Clef, 34 rue Daubenton, 75005 Paris

    Institut des Cultures d’Islam (La Goutte d’Or), 19 Rue Léon, 75018 Paris 


    Club de l’Etoile, 14 Rue Troyon, 75017 Paris

    Cinémathèque universitaire, université de Censier Paris III – Sorbonne nouvelle, rue Santeuil, 75005 Paris

    Musée de l’Histoire de l’Immigration, Palais de la Porte dorée, 293, avenue Daumesnil, 75012 Paris

    École Normale Supérieure, 45 Rue d’Ulm, 75005 Paris

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  • Barbès-Rochechouart

    Un sourire amusé pour commencer l'année sans s'éloigner de Barbès-Rochechouart ! 

    C'est ce que nous a proposé une de nos adhérentes qui n'ose pas dire qu'elle suit avec ferveur ce feuilleton ancré à Marseille qui aura dix ans cette année. Un record  ! et qui continue à faire les beaux scores de France 3 en début de soirée. Vous voyez de quoi il s'agit ? Non ? On vous aide. L'histoire se déroule autour de la place du Mistral, entre le café de Roland et l'hôtel de Mirta... Si vous ne voyez toujours pas, laissez tomber, vous n'êtes pas un "follower" de Plus belle la vie !  

    Loin de nous l'idée de faire l'apologie de cette série. Nous avons simplement été amusés de voir sur le torse d'un des protagonistes un T-shirt imprimé Barbès-Rochechouart, sachant que les studios d'enregistrement sont à Marseille, que l'histoire se passe à Marseille... Voyez vous-même la saisie d'écran que nous avons faite : 

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    Une question : avez-vous déjà croisé ces T-shirts imprimés du nom de notre station de métro ? Est-ce une série promotionnelle lancée par la RATP ? Si vous avez des informations, n'hésitez pas à user des commentaires.. 

  • Nuit blanche 2020

    La nouvelle édition de la Nuit Blanche va se dérouler ce samedi 3 octobre. Une belle occasion de se cultiver à travers la ville, et même dans le Grand-Paris, en redécouvrant certains lieux devenus des écrins éphémères d'oeuvres d'art.

    Nos quartiers n'accueillent pas d'évènement cette année, nous vous en signalons donc quelques-uns à proximité :

     

    • MAIRIE DU 18E ARRONDISSEMENT

    Florian Viel, Lucie Bortot & William Petitpierre, les fleuristes de L’usine à Pétales : Au fil des saisons SCULPTURE, INSTALLATION, EXPOSITION ET CONCERT.

    → Place Jules Joffrin – Paris 18e

    → Site accessible pour les personnes en fauteuil avec assistance.

    → 19 h - 22 h

    En partenariat avec Florian Veil, Art exprim, Lucie Bortot, Collectif Mu, L’usine à pétales.

    • GALERIE SIMPLE

    Rémy Louchart : Sans titre PROJECTION

    → 26 rue du Simplon, Paris 18e

    → Accessible aux personnes à mobilité réduite et aux personnes déficientes auditives

    → 18 h - 21 h 

    • ART EXPRIM'

    Vincent Tanguy : AFK PERFORMANCE

    → 87 rue Marcadet, Paris 18e

    → Site accessible pour les personnes en fauteuil avec assistance.

    → 20 h 30 - 23 h  - La performance aura lieu à 20 h 30, 21 h 30 et 22 h 30

    • LE CENTQUATRE - PARIS

    Alain Fleischer : L’aventure générale EXPOSITION

    → 5 rue Curial - Paris 19e

    → Site accessible pour les personnes en fauteuil avec assistance.

    → 19 h - 00 h 

    En partenariat avec Le Fresnoy, studio national des arts contemporains

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  • Promenade urbaine : fête de quartier autour des nouveaux kiosques éthiques

    Le 17 octobre prochain, Les Canaux, Maison des économies solidaires et innovantes, en partenariat avec la Ville de Paris, Valdelia, Studio Pourquoi Pas, WoMa, Initiatives Solidaires et Mediakiosk, organisent une fête de quartier autour des nouveaux kiosques éthiques installés en bout de la Promenade urbaine, sur le boulevard de La Villette. 

    Au programme :
      Buffet éthique et responsable
      Vente de plantes et accessoires végétaux
      Ateliers et démos de produits éthiques et solidaires
      Concerts

    Voilà une occasion de découvrir les nouveaux commerçants qui rythmeront la vie du quartier à cet endroit. Des commerçants "éthiques", c'est à dire qui proposent des produits biologiques, en circuit court, avec une offre locale, mais aussi une démarche d’insertion et dons des invendus : L'instant Créole, Mon jardin chocolaté, Espero, YAR, HanDelyce, Le mousse, Abracadapain, BOOLO, l'Insertion par Alimentation Durable, Désirée, Fleur Urbaine, Happyculteur, Le meuble Niobé, composturbain.com

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    Les kiosques éthiques sont d'anciens kiosques à journaux entièrement aménagés à partir de matériaux recyclés par des entreprises locales de l’économie sociale et solidaire, spécialisées dans le réemploi.

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    C'est où ?

    Boulevard de la Villette, sortie du métro Stalingrad

    C'est quand ?

    Jeudi 17 octobre 2019, de 17 h à 20 h

  • Vernissage de l'exposition : ”Les drapés des indépendances”

    L’artiste Edwige Aplogan vous invite à un projet artistique intitulé Les Drapés des Indépendances. Dans le cadre de ce projet, les associations des quartiers La Chapelle et Goutte d’Or proposent une semaine de programmation autour des luttes contre les discriminations. Les évènements sont ouverts à toutes et tous, et sont gratuits.

    L’inauguration de l’exposition à Espace Jeunes Nathalie Sarraute le 20 novembre prochain est ouverte à toutes et tous. Vous y trouverez un studio photos "Grandes Humaines" de l’association Clichés Urbains, une présentation du jeu créé pour l’occasion par l’association Quartierlud, "Africa Quizz", ainsi que des performances artistiques.

    Télécharger le programme_complet

    "Edwige Aplogan est née au Bénin. Sa première exposition a lieu en 1990 à Abidjan en Côte d'ivoire.Depuis 2010, année du cinquantenaire des indépendances des pays africains francophones, elle crée des emballages en tissu ou « drapés » de monuments et de bâtiments publics ou privés. Au Bénin, à Strasbourg, à Paris (UNESCO), à Bordeaux, ses œuvres sont un hommage à l'Afrique et à sa Diaspora. Edwige Aplogan fait un travail de mémoire pour les déportés d’Afrique : en 2012, à Ouidah au Bénin sur l’ancienne place de la vente aux enchères des esclaves, elle réalise un drapé en y ajoutant les drapeaux des pays de la Diaspora vers lesquels ont été déportés les esclaves. Le concept du drapé s'est enrichi en 2017 à la villa Arson à Nice avec l’ajout de drapeaux des mouvements indépendantistes des départements et territoires français d'outre-mer. Son souhait est de réaliser si possible, tous les ans ou tous les deux ans, un “drapé interpellant nos indépendances de façade, et ces aspirations à la liberté qui tardent à venir."

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    C'est où ?

    Espace Jeunes Nathalie Sarraute, 8 esplanade Nathalie Sarraute, Paris 18e

    C'est quand ?

    Le 20 novembre 2021, de 14 h à 18 h

     

  • Blog en crise

    Eh oui, Chers Lecteurs, derrière ce titre un peu façon presse à sensations, il y a une réalité : Paris Neuvième est en difficulté et je ne vois pas pourquoi je ne viendrais pas vous en parler, d’autant que cette difficulté n’est pas financière, ce qui n’est pas courant dans notre monde actuel !

    Avant de regarder le problème, brossons un rapide tableau de la situation pour mieux cadrer la chose. J’ai lancé ce blog fin Mars 2005, voilà donc bientôt deux ans. A ce jour, 722 notes ont été publiées soit en moyenne une par jour sur la période, certes d’inégale importance. Ces notes ont reçu 360 commentaires. Sur la période Avril 2005 Février 2007, soit 23 mois, le blog a reçu au total 188 000 visites dont 104 000 visites uniques (55.5%) pour 586 000 pages lues. Pris dans son ensemble, cela fait une moyenne mensuelle d’un peu plus de 8000 visites dont 4500 uniques pour 25 500 pages lues. En pondérant ces chiffres en fonction notamment des périodes de vacances, disons que l’étiage d’audience quotidienne est de 250 visites, la moyenne courante de 300 et que des pics de 500 à 600 visites/jour ont lieu 4 à 5 fois par mois. Il existe une forte différence entre les jours de semaine et le week-end concernant la fréquentation de ce blog. Il est intéressant aussi de noter que la quantité mensuelle de visites uniques est assez stable sur la période quelque soit la quantité totale de visites, ce qui peut signifier une certaine fidélité des lecteurs. Enfin, pour être complet mentionnons les points suivants :

    • il ne semble pas y avoir de lien entre la régularité de publication des notes et l’audience au quotidien. Si je prends par exemple les derniers 10 jours où aucune note n’a été publiée, le blog a néanmoins reçu plus de 400 visites par jour sur la période ;
    • il ne semble non plus pas y avoir de lien entre la nature / le sujet des notes et la quantité de visites ni le nombre de commentaires reçus ;
    • la totalité des notes publiées ont été écrites par moi, mises à part celles traitant des questions historiques qui sont, elles, dues à Bernard Vassor que je remercie encore pour cette contribution de qualité.

    Tels sont les faits.

     

    Les objectifs de ce blog ne sont pas un secret et il suffit de se reporter à la page « mode d’emploi» pour les connaître. Alors, me direz-vous, où est le problème ?

    Tenir un blog d’information demande énormément de temps et de disponibilité. Recueillir l’information, la traiter, la vérifier, écrire, publier en ligne, tout cela demande un temps considérable. J’ajouterais que recueillir de l’information n’est pas suffisant, encore faut-il que cette information soit de qualité, j’entends qu’elle présente un certain intérêt pour ceux auxquels vous vous adressez.

    Beaucoup de blogs du même type que Paris Neuvième, et je ne les critique pas,  c’est leur choix, se contentent d’être des repreneurs d’informations ne fournissant pas, ce faisant, de réelle valeur ajoutée. D’autres ont des options politiques marquées ou bien servent de tremplin à ceux qui les gèrent. Ces choix ne sont pas les miens.

    Par ailleurs, n’ayant pas pu - ou pas su - mettre en place comme je l’espérais un réseau de correspondants réguliers au sein même de notre arrondissement, la recherche d’informations de qualité est devenue trop lourde à assumer seul bénévolement. Je suis aussi obligé de constater que si certains lecteurs sont assez prompts à critiquer tel ou tel aspect de ce blog comme par exemple la diversité géographique des informations au sein du 9ème - tel quartier étant mieux loti que tel autre - ou bien l’impartialité devant la municipalité, ou bien encore l’accent mis sur tel commerce ou telle exposition en ne parlant pas d’autres commerces ou d’autres expositions, peu, pour ne pas dire aucun, de ces lecteurs ne sont prêts à participer à ce blog. Aucune critique dans ce propos, chacun est bien sûr libre de ses choix, mais cela nous montre les limites même du projet et quelque part nous interroge sur le gout supposé que les Français, et les Parisiens en particulier, auraient pour cette Démocratie participative dont une candidate à l’élection présidentielle a fait son cheval de bataille.

    Bref, si comme je le crois, partager des informations et des points de vue sur la vie locale de notre arrondissement peut-être un projet enrichissant pour tout le monde, il est évident qu’il ne peut pas être mené par une personne seule. C’est là aujourd’hui tout le problème de ce blog.