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Rechercher : salle de consommation

  • Energies, énergies.... il est temps d'y faire attention !

    Voici une vidéo de 3 minutes et demie que nous avons empruntée au site de Greenpeace, qui ne nous en voudra pas, c'est sûr ! Prenez le temps de le regarder.

     
    Energies : il est temps de changer ! par gpfrance

     



  • Des vélos pas chers : le bon filon

    Bourse aux vélos à Paris 14e aujourd'hui le 30 avril

    place-aux-velos-4b5a8.jpg

    Organisée avec le soutien de la mairie du 14e.

    Lieu : le parvis de la mairie du 14e, place Ferdinand Brunot à Paris.

    Le principe est toujours le même, le voici résumé tel que sur le site de MDB

    • vous voulez vendre un vélo, vous venez ce matin de 10h à 12h30
    • vous voulez acheter un vélo, vous venez l’après-midi entre 14h et 18h

    Vous êtes disponible et vous voulez donner un coup de main pour l’organisation ? Contact

    Faites de la publicité autour de vous (chez votre marchand de vélos, votre magasin préféré, sur votre lieu de travail ou auprès de vos amis…) !

    Vous trouverez également sur le site de la bourse un atelier de marquage Bicycode et un stand MDB pour vous informer sur le vélo et répondre à toutes vos questions.

    Plus d’informations sur le site de MDB (Mieux se déplacer à bicyclette)

    Et nos mairies d'arrondissement 9e, 10e et 18e seraient elles favorables à l'organisation d'un tel événement ?

    Nous avons les pistes cyclables sur chacun des boulevards de notre quartier, plus ou moins satisfaisantes selon la densité des piétons et l'espace où elles ont été situées, mais elles sont disponibles et les rues environnantes, bien que pentues pour la majorité, sont accessibles aussi. Pourquoi ne pas essayer de favoriser encore un peu plus ce mode de déplacement, dont la médecine nous dit le plus grand bien pour les personnes et qui contribue, ne l'oublions pas, à alléger l'air parisien de tous les gaz et particules fines qui le rendent irrespirable par moment..

  • J'ADORE L'AFFICHE !


    affiche.jpg

     TOUT EST DIT, IL N'Y A RIEN À AJOUTER, SINON ALLER VOIR !

     ET C'EST GRATUIT, LE 14 JUILLET AVANT L'HEURE !


  • Les voitures électriques… en 1993 à La Rochelle

     

    A entendre nos politiques, on pourrait croire qu’ils viennent d’inventer l’eau tiède. C’est un peu sous cet angle que notre maire a présenté le choix de la municipalité parisienne d’investir dans Autolib’ avec le groupe de Vincent Bolloré afin de proposer la petite voiture électrique un peu partout dans les rues de Paris dès la fin de cette année 2011.

    120px-LogoINA09.gifLes expérimentations ne datent pourtant pas d’hier. Vive l’INA et ses archives, qui nous présentent, preuves à l’appui, puisque ce sont souvent des vidéos issues des JT, les dernières trouvailles de l’industrie et ses applications dans la société.

    Nous ne résistons pas au plaisir de vous donner ici le lien vers ces deux minutes de découverte des futures bornes d’alimentation libre service (« une véritable révolution ! » dit le commentateur). Carte magnétique, informatique sans pitié et Apple d’époque de Hugues,  qui nous entraîne dans ce voyage d’exploration en voiture électrique. Il existait déjà une vingtaine de modèles électriques à l’époque… ça laisse rêveur en 2011, soit presque vingt ans plus tard.

    Découverte encore plus intéressante dans les archives de l’INA : en 1973, la voiture comme moyen de transport dans la cité commençait à être remise en cause. Certains Suisses (l’Institut Battelle de Genève notamment) la considéraient déjà comme un anachronisme en ville en lui concédant tout juste un avenir en rase campagne… L’homme, Monsieur Bouladon,  était très en avance, réaliste mais sans doute peu écouté. Très intéressant, vraiment.  On osait dire que les industriels ne faisaient pas beaucoup d’efforts. Ceux-ci rétorquaient qu’il s’agissait plutôt d’un problème de source d’énergie…  L’environnement ? "un à-côté folklorique" vu par les industriels… avançait Lionel Stoleru, qui semblait déplorer le peu d’intérêt suscité par la voiture électrique.

    Un petit quart d’heure savoureux, à la lumière de notre actualité.

  • Exposition photographique à l’Institut des Cultures d’Islam : Martin Parr

    Il y a quelques années, Action Barbès avait rencontré, puis invité lors d’une soirée dans ce petit café, aujourd’hui quasiment disparu, la Goutte rouge, rue Polonceau, un écrivain observateur de la Goutte d’Or, Maurice Goldring, c'était déjà un regard décalé. Cette fois c’est un piéton anglais, photographe et globe trotter dont l’œuvre nous interpelle et nous séduit à l'Institut des Cultures d'Islam : Martin PARR.

    Du 5 avril au 2 juillet, c’est « An English man à la Goutte d’or »   que l’on peut rencontrer grâce à l’exposition des photos que Martin Parr propose, photos souvent décalées, par rapport à notre vision plus ou moins quotidienne d’un quartier qui laisse peu de gens indifférents, positivement ou négativement.

    525037078.jpgLa presse s’est fait l’écho de cette Goutte d’Or nouvelle, parce que vue par des yeux différents.  Pas n'importe quel regard, puisque c'est celui d'un photographe de Magnum, dont l'entrée dans l'agence ne s'est pas faite en toute quiétude. Pour une fois, point de caricatures des musulmans priant dans  la rue, pas de photos volées mais des sourires bienveillants… Beaucoup d’humanité aussi dans ces clichés inattendus qui révèlent une certaine complicité,  un esprit de découverte de l’altérité dans tous les cas. L’artiste ne dit-il pas : « La photographie n’est jamais le réel mais un point de vue, un regard sur ce qui est là. Tout est dans cet interstice, sinon, tout le monde prendrait les mêmes clichés. ».

    • A lire :

    la présentation qui en est faite sur le site de l’ICI.

    • A écouter :

    Pour mieux connaître Martin Parr, nous vous invitons à écouter un entretien réalisé par François Hébel, directeur des Rencontres de la photographie d’Arles, dans le cadre d’un cycle de rencontres avec des artistes, la Création à l’œuvre. (entretien réalisé le 7 février 2011)

    • A voir :

    Institut des cultures d'Islam, 19-23 rue Léon, Paris 18e.
    Entrée libre du mardi au dimanche de 15h à 20h, le samedi de 10h à 20h.

  • A vote avis ? Versailles ?

    paris,10e,monument,19e

    Nous ne jouons pas très souvent aux devinettes, mais cette photo prise récemment nous a étonnés une fois sur l'écran... Saurez-vous dire où elle a été prise ? De quel monument ou batiment  s'agit-il ? Non, ce n'est pas Versailles bien sûr. Le pignon de ce petit pavillon a belle allure, surmontant une terrasse bordée de potiches en pierres.

    Et de près, cela vous aide ?

    paris,10e,monument,19e

  • Barbès, des perspectives d'amélioration

    Comme nous l'avions annoncé dans notre article du 20 février, la rencontre avec le député de la 18e circonscription de Paris, Christophe Caresche, et sa suppléante pour le prochain scrutin, a été riche. Nous avons abordé tous les sujets qui régulièrement reviennent au devant de l'actualité dans notre quartier.
    C'est un quartier et des problématiques qu'ils connaissent bien. Christophe Caresche était adjoint de Bertrand Delanoë chargé de la sécurité dans la précédente mandature, poste qu'occupe actuellement Myriam El-Khomri. Quant au cinéma Le Louxor, c'est à Christophe Caresche en 2002 et 2003 que le maire de Paris avait confié la négociation avec la famille Ouaki, les anciens propriétaires et fondateurs de Tati, pour le rachat du Louxor. Souvenons-nous aussi qu'au début il n'était pas question de vendre...

    Dans cette séquence de notre entretien, Elisabeth Carteron, la présidente d'Action Barbès, décrit les problèmes que rencontre le quartier. Ils sont nombreux, déjà anciens, et ils nous font craindre pour la réussite du projet culturel que représente le Louxor. Les Parisiens d'autres quartiers ne se laisseront-ils pas détourner de venir à Barbès ? L'image n'est pas formidable, les abords plutôt désagréables... 

    Ce n'est pas tout à fait l'opinion du député qui marque son optimisme et prend l'exemple de Stalingrad. Ecoutons-le ainsi que sa suppléante.

    La perspective d'une mise à plat de l'organisation de la préfecture de police et de ses missions, ce que dans le jargon, on appelle sa doctrine, laisse penser qu'on pourra obtenir plus d'efficacité sans pour autant augmenter le nombre des fonctionnaires de police. Sur ce dernier point, C. Caresche est très clair, ce n'est guère envisageable à une grande échelle. On l'avait un peu anticipé...

  • Paris Underwater

    Ou plus simplement Paris sous les eaux. Mais l'auteur de cette création du web récompensée par les Fubiz Awards 2012 lui a préféré sa version anglaise.

    Animer un blog, ce n'est pas seulement écrire des articles qui, de près ou de loin, traitent de la circulation ou de la propreté dans notre quartier, c'est aussi tenter de découvrir des événements originaux ou des histoires singulières, ou comme ici des photographies qui mises bout à bout donnent une étrange vue de Paris sous les eaux. On ne verra ni Barbès, ni la Goutte d'Or parmi ces vues car l'altitude nous met à l'abri de ce type d'inconvénient...

    5:46 am - Paris underwater from ArtefactoryLab on Vimeo.

    Les lauréats des Fubiz Awards 2012, une compétition qui récompense les meilleures créations sur le Web, ont été désignés il y a quelques jours.  Une belle vidéo expérimentale “Paris Underwater” conçue et imaginée par les Français Olivier Campagne & Vivien Balzi a séduit le jury.  Il s'agit d'une vision de la capitale entièrement inondée. On imagine le travail des deux artistes pour rendre sur la surface ondulée des eaux les reflets des monuments parisiens, des façades... aussi réalistes. On reconnaît des lieux célèbres dans la séléction de plans qui défilent. Une bande-son signée par Brice Tillet accompagne la vidéo.

  • Où est passée la borne enterrée du verre à recycler ?

    paris,9e,place-turgot,colonne-à-verreVous la reconnaissez tous. Elle nous a occupé l'esprit un certain temps lors de la rénovation de la place Turgot quand nous participions activement aux travaux et réflexions de la commission d'urbanisme du conseil de quartier Trudaine Rochechouart.

    Pendant longtemps l'opposition assez ferme des services de la voirie (section territoriale 9e de la DVD) à ce type de colonne à verre a retardé son installation. Le coût n'est pas négligeable, certes, mais son apparence plus discrète, plus esthétique est indéniablement un progrès pour l'environement.

    Depuis quelques jours, les riverains s'étonnent de retrouver leur bonne vieille bonbonne à verre, gironde et verte, sur la place Turgot. Que s'est-il passé ? Il semble que la cuve ait été extraite de terre. Pourquoi ? Nous avons demandé à la mairie du 9e, la réponse ne devrait pas tarder. Nous l'attendons.

  • les colonnes à verre enterrées sont fragiles

    La mairie du 9e et la Direction de la propreté et de l'eau (DPE) ont été très rapides à nous transmettre les causes de la disparition de la colonne à verre enterrée place Turgot. Nous les en remercions publiquement.

    Vous avez peut-être vu à l'occasion de son vidage comment procède la DPE pour récupérer les verres qui ont été ainsi collectés. Un camion benne équipé d'un bras mobile de manutention de charges (genre de grue HIAB, pour les connaisseurs...) se gare au plus près de la colonne à verre. La partie supérieure de la colonne bascule et une sorte de grapin est amarré aux quatre coins de la cuve. Elle est élevée au-dessus de la benne. Le fond de la cuve est mobile, il s'efface quand on actionne la fermeture et les verres tombent dans la cuve... avec un bruit d'enfer. Mais on va se dire que ce bruit n'est là que les jours de collecte. Ce qui est beaucoup plus supportable que le bruit des bouteilles jetées une à une.

    Pour revenir à la disparition de la colonne. Une charnière a été endommagée, sans doute pendant l'opération de vidage,  et la réparation a nécessité son transfert en atelier. Elle sera redéposée samedi prochain d'après le planning de la DPE.

    paris,turgot,colonne-enterrée,dep,collecteNous avons appris que le même sort serait réservé sous peu à une autre colonne du 9e arrondissement : celle qui est implantée au carrefour Barbès, et plus précisément sur l'espace créé lors du réaménagement du boulevard de Magenta, en haut du faubourg Poissonnière.

    Ces colonnes à verre (et les bonbonnes vertes) offrent aux habitants ne disposant pas de conteneur à verre au sein de leur immeuble la possibilité de participer à la collecte sélective. Bon nombre de copropriétés ont des cours trop exigües pour plusieurs conteneurs.

  • Plan 1000 caméras

    Quand le sujet revient dans la presse sur un ton dubitatif... on s'interroge.video_surveillance_wifi.jpg

    Où est le bel enthousiasme qui avait porté l'équipe municipale à voter comme un seul homme en conseil de Paris le plan des 1000 caméras, en 2008, sur les instances de la Préfecture de police et du ministère de l'Intérieur qui ne tarit pas d'éloges sur ses vidéopatrouilleurs dans les bulletins d'informations de la Préfecture de Police qui circulent sur la toile. Comme un seul homme... bon, c'est vite dit, car le groupe des Verts et Europe Ecologie n'a jamais cessé de dénoncer l'enfumage que cachaient les rapports mis en avant par l'Intérieur. D'autres rapports étaient publiés depuis un temps, consultable par tous, qui déjà soulignaient que les caméras à elles seules ne rendaient pas les rues plus sûres. Certes elles pouvaient apporter une aide à l'élucidation des affaires et donc aider les forces de police dans leurs missions. Or les caméras ont été vendues aux maires de France et de Navarre comme un moyen de surveillance, puis de protection. Nous avions déjà remarqué le glissement sémantique de surveillance à protection. Les contribuables locaux ont accepté de participer à ces investissements technologiques avec l'espoir de circuler plus librement dans leur ville, sans peur et sans crainte, en y laissant toutefois au passage un peu de leur anonymat...

    Nous avons une autre lecture, et celle de Jean-Marc Manach (dans son blog hébergé par Le Monde)  conforte nos doutes et fournit de nombreux liens, des arguments, un autre éclairage. En revanche, la Préfecture de police communique. Le ministère de l'Intérieur communique. Ce sont de grands images?q=tbn:ANd9GcRQM7_YSPScmFuTZmupb8WQHmDxtKYdqtLeSs-ZQIQDGGC8gRTongcommunicants à l'approche des élections. Et comme chacun sait, les chiffres restent des chiffres. On leur fait dire tout et son contraire, d'autant plus facilement que personne ne va vérifier au pied levé les statistiques de l'Intérieur. Pourtant, en juin 2011, sortait le rapport de la Cour des comptes sur la question. Intéressant. Et que disait-il ? Que l'extension de la vidéosurveillance se fait sans le moindre contrôle, que son développement dans les collectivités "se caractérise par la quasi absence d'enquête scientifique sur le sujet". Des enquêtes du Ministère de l'économie pourraient fort bien nous dire en revanche que les officines qui installent les réseaux de caméras dans les territoires, elles, se portent bien. Elles prospèrent dans le sillage de pseudo experts en sécurité publique qui se chargent de convaincre les conseils municipaux un peu tièdes ou récalcitrants.

    La Cour des comptes évoque dans son rapport les doutes qui se sont emparés des autorités britanniques, qui feraient depuis deux ans machine arrière, après avoir installé massivement des caméras à tous les coins de rues. Les budgets investis sont colossaux. Ils ont siphonné une grande partie des fonds réservés à la sécurité, sans apporter la preuve de leur bon emploi.

    On a pu lire encore récemment un article paru dans 20 Minutes (pas une presse franchement gauchiste) sous le titre "Une caméra n'empêche pas d'être un voleur". On ne pouvait dire mieux nous-mêmes...

  • Carrefour Barbès : améliorer l'environnement

    Une opération immobilière à Barbès : c'est ainsi que nous avons appelé notre nouvelle action pour faire bouger les lignes grâce à l'envoi de cartes postales. Ce n'est pas gagné, mais nous comptons sur votre participation. De quoi s'agit-il ?

    Pour ceux qui suivent les activités de notre association depuis plusieurs années, il n'est qu'à rappeler l'opération propreté de mai 2009, pour que des images leur reviennent en mémoire. Des cartes postales illustrées envoyées en nombre par nos adhérents et les sympathisants de notre action à l'adjoint au maire de Paris chargé de la propreté, François Dagnaud.

    Bis repetita. Mais sur un autre sujet. Les magasins de Vano, situés au carrefour Barbès à l'angle des boulevards Barbès et de La Chapelle, ont subi un incendie en juin 2011. Les murs noircis et endommagés par les flammes ne sont pas stables et la sécurisation du site tarde à venir. Des palissades, maintenant couvertes d'affiches, entourent les lieux du sinistre, mais réduisent considérablement la largeur du trottoir, où se bousculent les piétons, y compris les jours de semaine sans marché.

    paris,barbès,louxor,vano,daniel-vaillant

    Parallèlement, nous pensons à l'ouverture prochaine du Louxor. Le calendrier est respecté et le cinéma devrait ouvrir ses portes au printemps 2013. Il est temps de penser à améliorer l'environnement de ce lieu de culture qui ne pourra pas à lui seul pacifier les abords de la station de métro, rendre accueillant ce quartier connu pour tous ses trafics dans la France entière, en un mot rendre attractif ce bout de territoire pour des cinéphiles.

    Nous avons pensé qu'il serait agréable de boire un verre, avant ou après la séance, dans une brasserie ou une cafétéria à l'angle opposé au Louxor, côté 18e. Nous avons donc fait un montage de pure fiction pour illustrer notre idée, un immeuble aux allures résolument modernes, car on ne construit plus vraiment de l'haussmannien en 2012...

    paris,barbès,louxor,vano,daniel-vaillant

    Des cartes postales montrant les lieux tels qu'ils sont aujourd'hui, huit mois après l'incendie, et tels qu'ils pourraient être, si la Ville de Paris usait des moyens dont elle dispose (préemption si déclaration d'intention d'aliéner, ou déclaration d'utilité publique dans le PLU). Pour l'instant, les propriétaires n'ont pas déclaré leur intention de vendre. La procédure pourrait être longue. Toutefois, nous sommes accoutumés aux longues attentes à Barbès. Le Louxor était à l'abandon depuis vingt ans, et pas à vendre, quand notre association a commencé ses actions en faveur d'un rachat par la Ville de Paris.

    Si notre action vous paraît légitime, si vous voulez contribuer à son succès, demandez une carte postale, pré-imprimée, et adressez-la à Daniel Vaillant, maire du 18e, dans les jours qui viennent. Elles sont disponibles à la Boucherie Leboine, 144 rue du Faubourg Poissonnière, dans le 10e.

    Merci d'avance de contribuer à faire connaître l'attachement des habitants à leur quartier : Barbès est un quartier populaire qui demande un peu d'attention.

    Voir aussi notre article du 21 septembre 2011.