Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Paris - Page 62

  • Conseil de la Nuit : bilan après un an de fonctionnement

    ... et premières mesures prises par la Mairie

    Dans un précédent article, nous vous avions fait part de la création du Conseil de la Nuit par la Ville de Paris en janvier 2015 et de la participation de notre association au groupe de travail traitant de la thématique "Tranquillité publique et prévention" (lire notre article du 21 janvier 2015), pour faire suite à notre participation à la mise en oeuvre de la charte "Silence On fête" dans le quartier Clignancourt - Ramey - Muller.

    La 2e assemblée plénière du Conseil de la Nuit s'est tenue le 21 octobre 2015 à l'Hôtel de Ville. Elle avait pour objectif de dresser un bilan de la 1ère année de fonctionnement de ce conseil et de présenter les premières mesures qui seront mises en oeuvre en 2016 par la Mairie de Paris.

    La 1ère année de fonctionnement a ainsi vu de nombreux partenaires (institutionnels, associations de riverains, organisations professionnelles, organisateurs spécialisées, etc..) participer aux 7 groupes de travail thématiques mis en place (De nouveaux espaces pour les nuits à Paris ; Prévention des conduites à risques ; Vie nocturne et discriminations ; Mobilités nocturnes ; Tranquillité publique et médiation ; Les commerces et le travail de la nuit ; Information et promotion de la vie nocturne), à raison de 2 réunions par groupe de travail. 

    paris,conseil-de-la-nuit,nuisances-nocturnes,nuisances-sonores,concertation,silence-on-fête

    Lire la suite

  • Entre Barbès et Chapelle

    Certains ont chanté il y a bien longtemps « Entre Pigalle et Blanche » et nous, nous parcourons l'espace entre Barbès et Chapelle ! Moins chaud du point de vue des distractions nocturnes, mais néanmoins plein de surprises. Plus ou moins bonnes.

    Prenons dans l'ordre :

    20151023_165204_2.jpg

    20151023_165336_2.jpg

    Lire la suite

  • Mais ce n'est pas une poubelle non plus

    paris,propreté,enlèvement,dépôts-sauvages,encombrants

    Juste un rappel avec cette campagne de lutte contre les épanchements d'urine dans le 18e, qui peut être très utile dans les autres arrondissements aussi. Se soulager dans la rue est carrément un manque de respect pour l'espace public et les personnes qu'on y rencontre, mais déposer n'importe où son sac poubelle ou des encombrants n'est guère plus élégant. Or beaucoup d'habitants se l'autorisent. 

    N'oubliez pas que le service de collecte des encombrants est gratuit et vient à votre domicile très rapidement sur appel téléphonique ou grâce à votre signalement sur le site de Paris.fr

    --> https://teleservices.paris.fr/sira/jsp/site/Portal.jsp?page=formengine&form=ramen 

    Bandeau encombrants.jpg

    Capture d’écran 2015-10-20 à 23.54.24.jpg

    Et laissez-vous guider.

    Il vous reste aussi la solution de déposer vos encombrants dans une déchetterie si vous êtes motorisé. 

    centre de dépôt encombrants.jpg

     

  • Priorité aux marcheurs et aux cyclistes

    Pour nous tenir informés des dernières nouvelles relatives aux circulations dites douces, nous lisons régulièrement un site consacré à la vie sans voiture.... un peu utopique, sans doute, mais plein de bonnes idées, et de réflexions intéressantes. C'est CARFREE, qui rayonne sur le monde francophone, Belgique, Suisse, Québec... Nous vous le conseillons.

    Nous avons récemment croisé un article sur l'influence que pourrait avoir l'instauration de la gratuité des transports en commun — qui toutefois n'est pas en discussion en Ile-de-France à notre connaissance ces temps-ci — sur les autres modes de circulation douce, essentiellement la marche et le vélo. A priori on pourrait penser que le bus gratuit supprimerait la tentation d'utiliser la voiture.... il n'en est rien, semble-t-il, car 1- celui qui prend sa voiture ne regarde pas trop au coût ou n'a pas de réseau rapide à sa disposition et 2- le nombre des bus pourrait-il absorber un surplus de voyageurs ?

    Par ailleurs, nous avons pris l'avis d'un autre spécialiste qui ajoute que l'usager ne règle que 17% du coût réel de son trajet en transport en commun en moyenne, parfois même seulement 50% de cette somme grâce à la prise en charge partielle par l'employeur. Pour attirer plus d'usagers dans les transports en commun il faut en fait les rendre plus attractifs et non gratuits. Et laisser le vélo et la marche contribuer à la bonne santé des marcheurs et des cyclistes...  

    paris,circulation,transport,cyclistes,vélo,marche,frédéric-héran

    Nous vous laissons lire ci-dessous l'article de Frédéric Héran qui nous autorise à le publier sur notre blog, il est beaucoup plus convaincant et son argumentation est étayée ! 

    ** 

    Pour construire une politique de déplacements urbains cohérente, il faut réussir à articuler efficacement l’ensemble des modes de déplacement. Or les modes ne sont pas égaux entre eux. Certains sont plus forts que d’autres : prennent beaucoup plus de place (par personne transportée), sont beaucoup plus dangereux parce qu’ils sont lourds et roulent vite, génèrent bien plus de bruit ou de pollution. Si on laisse faire, les plus forts chassent les plus faibles.

    Le premier principe est donc de commencer par donner la priorité aux faibles. Or, ceux-ci ne sont ni les transports publics, ni les cyclistes, mais les piétons. C’est pourquoi, la ville doit être construite d’abord autour du piéton. Tous les autres modes de déplacement ne sont que des relais du piéton, des prothèses pour lui permettre d’élargir son horizon.

    Parmi ces prothèses, le vélo est d’une efficacité redoutable. Avec ce simple exosquelette, peu coûteux, utilisant peu de matériaux et respectueux de l’environnement, le piéton augmenté va déjà trois à quatre fois plus loin ou couvre un territoire douze fois plus grand, avec la même énergie dépensée. Une solution déjà très satisfaisante pour les villes moyennes plates.

    Même par personne transportée, le bus utilise déjà beaucoup plus de matériaux et génère bien plus de nuisances. Il ne fait pas bon circuler à pied ou à vélo à proximité d’un bus qui déboule. Comparé au coût des aménagements cyclables, le coût des transports publics pour la collectivité est très supérieur. Et surtout, comme l’expliquait si bien Ivan Illich dans Énergie et équité (1973), la marche et le vélo ont le mérite de laisser à l’usager toute son autonomie, au contraire du transport public et de la voiture qui le rendent dépendant d’une technique qu’il ne peut maîtriser. On sait en plus aujourd’hui que la pratique régulière des modes actifs est excellente pour la santé.

    Quand les transports publics deviennent gratuits, le mode de déplacement le plus concurrencé est toujours le vélo, puis vient la marche et loin derrière la voiture. Quelques constats permettent de le comprendre. Les automobilistes sont déjà prêts à payer leurs déplacements bien plus chers qu’en transport public : cela ne les intéresse guère de bénéficier de transports publics deux fois moins rapides, même gratuits. Dans les villes moyennes d’Europe où la pratique du vélo est très développée, les transports publics le sont au contraire beaucoup moins. À Strasbourg, dans les années 1970-1980, la part modale du vélo a moins baissé qu’ailleurs en France, parce que les transports publics étaient particulièrement indigents dans cette ville occupée alors à débattre interminablement du choix entre un tramway ou un métro. À Dunkerque, les cyclistes préfèreraient de beaucoup que l’argent prévu pour rendre les transports publics gratuits soit investi directement dans la modération du trafic automobile et les aménagements cyclables, plutôt que dans un concurrent direct du vélo.

    Bref, la gratuité des transports publics semble être une solution démocratique, voire même anticapitaliste. Mais de façon plus pragmatique, elle empêche ou freine l’essor des modes actifs et notamment du vélo, et contraint les habitants à dépendre toujours plus de solutions techniques qui les dépassent. Si l’on tient à se libérer de l’emprise de la voiture, alors privilégions d’abord les piétons, puis les cyclistes et enfin les transports publics. Et pour cela, la meilleure solution consiste à calmer le trafic automobile, sa vitesse et son volume. C’est ce que nous enseigne l’histoire européenne des politiques de déplacements urbains.

    **

    paris,circulation,transport,cyclistes,vélo,marche,frédéric-héranFrédéric Héran est économiste des transports et urbaniste, auteur du livre Le retour de la bicyclette. Une histoire des déplacements urbains en Europe de 1817 à 2050, La Découverte, 2014, qui vient de sortir en poche à 10 €.

  • Rues d'Alsace et des Deux Gares : le maire du 10e a reçu les habitants et certains commerçants

    Une trentaine d'habitants et de commerçants du quartier Alsace - Deux Gares s'était déplacée pour rencontrer le maire et le commissaire du 10e et exprimer leur "ras-le-bol" face à l'état de dégradation de leur quartier. Lire, pour le rappel des faits à l'origine de cette exaspération notre article du 30 septembre, et pour le contexte général des abords dégradés des abords de la Gare de l'Est notre article du 13 octobre.  

    Une réunion de bonne tenue où dans l'ensemble chacun a réussi à peu près à garder son calme. Le maire Rémi Féraud a dans un premier temps laissé s'exprimer les participants, ils étaient venus pour cela. Au programme : épanchements d'urines, intrusions dans les immeubles, bagarres la nuit, personnes fortement alcoolisées et responsabilité de certains bars, agressions verbales voire physiques, insécurité, toxicomanie etc.. Une situation qui dure depuis des mois.

     

    Les réponses de la police

    Le commissaire Julien Miniconi a pris le temps de répondre à toutes les questions. Bien évidemment, certains propos ne peuvent être dévoilés sur ce blog, confidentialité oblige et, surtout, procédures en cours.

    Tout d'abord (dans le 18e nous avons la même réponse), on ne peut faire qu'avec les effectifs de police dont on dispose. La nuit, moment le plus sensible, le 10e a deux patrouilles auxquelles peuvent s'ajouter en cas de nécessité des renforts du 2e district de la DTSP75-DSPAP (Direction territoriale de la Sécurité de Proximité / Direction de la Sécurité de Proximité de l'Agglomération Parisienne), de la la BAC 75 Nuit et du Grand Paris. En période estivale, la police a fort à faire sur le canal Saint-Martin. Sans compter d'autres problèmes ailleurs. Un manque d'effectifs donc.

    Depuis l'été, les verbalisations pour consommation d'alcool sur la voie publique ont été multipliées par 6 (de 40 à 240 environ). C'est un objectif prioritaire. Il faut également s'attaquer aux fournisseurs d'alcool. Des actions ont été menées dans ce sens dont on attend des résultats positifs. Dans ce secteur, le commissaire rappelle qu'il est interdit de consommer de l’alcool sur la voie publique entre 12h et 7h du matin (pour rappel, voir la carte des périmètres des arrêtés anti-alcool). Les épiceries sont autorisées à en vendre jusqu'à 22h30. L'arrivée d'un nouvel officier de nuit qui s'occupera notamment des débits de boisson est une bonne nouvelle.

    La Brigade Spécialisée de Terrain (BST) intervient également sur le secteur mais ses agents terminent à 22h30.  C'est donc après que la situation se complique. En ce qui concerne le trafic de stupéfiants, il y aurait un report du secteur de Château Rouge (18e).

    Le commissaire Julien Miniconi est preneur d'informations de la part des riverains et des associations.

     

    Propositions des habitants

    Évidemment ils demandent davantage de passages des patrouilles de police et une plus grande réactivité, mais on l'aura compris, ce n'est guère envisageable.

    Restent alors des aménagements qui contribueraient à améliorer l'environnement.

    Côté Gare de l'Est : poser une grille au-dessus du muret qui longe les voies de la gare pour éviter toute installation de personnes.

    paris,paris 10e,rue d'alsace,gare de l'est,sécurité,propreté,rémi féraud,commerces

    Petit problème, le budget n'est pas prévu pour le moment... Toutefois Rémi Féraud pense possible de le faire rapidement puisque la SNCF est d'accord.

    Améliorer l'éclairage : tous les présents s'accordent à dire que l’éclairage est insuffisant. Jusque là, les services de la Direction de la voirie et des déplacements (DVD) n'ont pas reconnu ce fait. Rappelons que le conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul avait réclamé un meilleur éclairage à plusieurs reprises sans succès. Le maire va tenter d'infléchir la DVD.

    Propreté les habitants souhaitent des passages plus fréquents des équipes de nettoyage. Impossible. Par contre, la proposition d'une Opération Coordonnée de Nettoyage Approfondi (OCNA) est retenue. 

    Stationnementrue d'Alsace, pourquoi ne pas inverser le côté du stationnement ? Le déplacer le long du muret pour supprimer le cheminement de ce côté et les regroupements éventuels. Des études sont en cours.

    paris,paris 10e,rue d'alsace,gare de l'est,sécurité,propreté,rémi féraud,commerces

    Les commerçants et hôteliers présents ont fait remarquer, à juste titre, qu'ils contribuaient à accueillir les touristes et faire vivre le quartier et qu'à ce titre, ils attendaient un coup de pouce.

    En conclusion, le maire du 10e a reconnu que cette réunion aurait pu être organisée plus tôt au vu de la dégradation du quartier. Il a évoqué le projet de Balcon Vert lié à la construction d'un hôtel (signature attendue d'ici la fin d'année avec le groupe hôtelier OKKO) et l'aménagement du cheminement entre les Gares de l'Est et du Nord, certes pas pour demain. Une réunion sera organisée d'ici la fin de l'année pour un point d'étape.

    A suivre...

     

  • Contrat local de prévention et de sécurité dans le 10e

    Nous avons répondu récemment à l’invitation de Stéphane Bribard, élu chargé de la sécurité et de la prévention dans le 10e arrondissement pour échanger sur le projet de contrat de prévention et de sécurité. Présente également la coordinatrice de la Direction de la Prévention et de la Protection (DPP) de ce dispositif pour les 1er, 2e, 3e, 4e, 10e et 11e arrondissements. Elle a pour mission dans la période de pré-signature du contrat de centraliser, collecter les informations et rédiger.

    Le dernier Contrat Parisien de Prévention et de Sécurité (CPPS)  date de 2010 (voir notre article de 2011 sur le sujet). Il s'avère nécessaire de le réactualiser. Un comité de pilotage parisien œuvre depuis plusieurs mois pour élaborer un document qui donne les priorités. A charge pour chaque arrondissement de le décliner en fonction des besoins et des situations.

    Ville de Paris, préfecture de police, justice, éducation nationale (rectorat de Paris) et associations concernées (intervenant dans les domaines de la toxicomanie, de la prévention de la délinquance) sont les principaux signataires et partenaires de ce contrat.

    Les actions ont été réparties en 3 axes déclinés en 31 fiches-action :

    • Prévenir la délinquance des jeunes

    • Protéger les personnes vulnérables, lutter contre les violences faites aux femmes, les violences intra-familiales et renforcer l'aide aux victimes

    • Améliorer la tranquillité publique

    Nous avons fait le choix de ne présenter que les nouveautés. Pour les courageux, l'intégralité du document de 168 pages, c'est ici: CPPS 2015-2020.

     

    Les nouveautés

     Prévenir la radicalisation et accompagner les familles

    Mettre à l'abri les familles dormant à la rue

    Renforcer la sécurité des seniors

    • Renforcer la sécurité des touristes

    Renforcer la protection des agents chargés d'une mission de service public

    Lutter contre la vente à la sauvette et les activités illicites dans l'espace public (un sujet qui concerne particulièrement les quartiers Barbès-Chapelle)  

    Améliorer la sécurité dans les transports et les gares (là encore nous sommes concernés avec les Gares du Nord et de l'Est). A savoir, la SNCF souhaite être partenaire de ce CPPS)

    Promouvoir une vie nocturne apaisée (on pense aux quartiers du Canal Saint-Martin et de la rue du Faubourg Saint-Denis).

     

    Que vient faire Action Barbès dans cette affaire?

    Ce nouveau contrat précise les modalités de la participation citoyenne. Mais chaque maire d'arrondissement décide des modalités de consultation (associations, conseils de quartier); c'est le choix du 10e. Pour le moment dans le 9e, des groupes de travail ont été mis en place, en particulier avec des commerçants. Quant au 18e, nous n'avons pas d'information précise à ce jour.

    Nous avons appris qu'il y avait possibilité de fiches-action inter-arrondissements et n'avons pas manqué de demander une telle fiche pour les ventes sauvette à Barbès et boulevard de la Chapelle. Nous avons également profité de cette rencontre pour aborder les stationnements illicites d'autocars et de porte-huit puisqu'il existe une fiche-action "sécurité routière" !

     

    Calendrier

    D'ici mi novembre, équipes d'animation et conseil de quartier seront consultés. En février, un comité d'initiative et de consultation (CICA) en mairie, puis Conseil de Sécurité et de Prévention de la Déliquance d'Arrondissement (CSPDA) et signature du Contrat Local de Sécurité avant l'été.

     

  • La Promenade Urbaine Barbès-Stalingrad à la peine

    Nous avions quitté la réunion du comité de pilotage Barbès d'avril dernier sur une note d'espoir. L'APUR, dont nous saluons une fois de plus l'implication et le travail réalisé en concertation avec associations et conseils de quartier, avait alors présenté des pistes à l'ensemble des services présents. Une réunion était annoncée après l'été plus particulièrement sur le carrefour Chapelle. On verra un peu plus tard, que le sujet n'a pas été traité.

    Nous étions donc à l'Hôtel de Ville le 8 octobre pour faire le point sur le quartier Barbès mais aussi découvrir les propositions de la Voirie suite aux pistes présentées par l'Apur.

    Beaucoup d'intervenants et de représentants de différents services de la ville, les commissaires, la RATP, on imagine aisément un temps d'expression réduit pour chacun. Alors de quoi a-t-on parlé ?

    Lire la suite

  • Projets Gare du Nord : visite commentée avec son directeur

    Un petit groupe d'adhérents d'Action Barbès a eu le privilège de découvrir les transformations en cours et à venir dans la Gare du Nord avec pour guide, son directeur Jérémie Zeguerman.

    paris,paris 10e,gare du nord,sncf,wilmotte

    Le rendez-vous était fixé dans les bureaux de la direction rue de Maubeuge. Accueil chaleureux et convivial.

    paris,paris 10e,gare du nord,sncf,wilmotte

    Depuis le 5e étage, vue imprenable sur les quais et la rue du Faubourg Saint-Denis

    Lire la suite

  • Brassens à l'honneur à la mairie du 18e

    Pour les amateurs et nostalgiques de Brassens, la mairie du 18e propose trois jours de concerts et de conférence les 20, 21 et 23 octobre. Une belle initiative.

    Programme détaillé ci-dessous :

    paris,paris 18e,culture,brassens,chansons,poésie

     

  • Du nouveau autour de la rue Boris Vian (Paris 18e)

    Nous avons souvent déploré l'état assez désastreux de la rue de la Goutte d'Or du côté des arcades qui la bordent, et de ses abords, en particulier la rue Boris Vian (voir photo ci-dessous).

    Le problème était à l'ordre du jour de la réunion de Gestion urbaine de proximité (GUP) du 24 septembre, à laquelle nous nous étions inscrits, dans la mesure où nous souhaitions apprendre en direct les résultats du « diagnostic en marchant » réalisé à la Goutte d'Or l'hiver dernier.

    Capture d’écran 2015-10-12 à 17.18.25.jpg

    La rue Boris Vian n'est autre que la montée par les escaliers qui débouchent sur la rue Polonceau.

    Lire la suite

  • Retour sur le "Quartier Gastronome" à la Goutte d'Or

    Ce samedi 10 octobre lors de l'évènement "Goutte d'Or Château Rouge quartier gastronome", du soleil, une équipe d'animation investie, des commerçants partie prenante, un public d'habitants mais aussi de visiteurs au rendez-vous, une belle journée évoquée ici en photos.

    paris,paris 18e,goutte d'or,conseil de quartier,gastronomie

    paris,paris 18e,goutte d'or,conseil de quartier,gastronomie

    On ne peut qu’espérer une nouvelle édition l'an prochain !

    paris,paris 18e,goutte d'or,conseil de quartier,gastronomie

     

  • Expo photo sur le Caire post révolution à la Goutte d'Or

    Toujours ce soir mais de l'autre côté du viaduc du métro, ce sera le Collectif égyptien Masriyeen qui présentera l'exposition "Notre Caire" à partir de 18h au 22 rue de la Goutte d'Or dans les locaux de l'association Paris Macadam - Les Arcavals.

    Une découverte de la ville du Caire post révolution égyptienne.

    paris,paris-18e,photographies,goutte-d-or