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Paris - Page 297

  • Le bureau de poste de la Gare du Nord à nouveau à l'ordre du jour du CA de ce soir

    Un an après, le projet de restructuration du bureau de poste Gare du Nord toujours sur le tapis, et à nouveau d’actualité au conseil d’Arrondissement du 10e ce soir  …

    Plus d’un an après, on prend les mêmes et on recommence… Nous avions longuement abordé le sujet dans un article en avril 2012, qui avait alors suscité beaucoup de commentaires de la part des lecteurs. En dépit de la mobilisation des élus du 10e et de quelques 2000 clients du bureau de poste Paris Gare du Nord, nous apprenons dans la Lettre d'Information de mai-juin 2013 du PCF du 10e — et nous en avons obtenu confirmation — que la direction de La Banque Postale poursuit son projet de restructuration de ce bureau de poste, pourtant très emblématique par le nombre de ses clients qui en fait l’un des plus fréquentés de France et dont la mission sociale avait été clairement décrite dans notre précédent article.

    Après une première intervention et un premier vœu présenté par les élus communistes et adopté à l’unanimité il y a 15 mois lors du conseil d’arrondissement du 12 mars 2012, les  représentants syndicaux du personnel et les élus du 10e monteront donc à nouveau au créneau, ce soir, au Conseil d’Arrondissement, pour tenter de convaincre la direction de La Banque Postale de faire machine arrière, alors qu’elle avance, lentement mais fermement et assurément, dans cette réorganisation visant à démanteler le rôle social, de service public et de proximité des guichets de ce bureau de poste.

    La direction de La Banque Postale semble en effet ne pas en démordre : 4 guichets ont, d’ores et déjà, été définitivement supprimés, après que des travaux ont cloisonné l’espace, réduisant le nombre de guichets ouverts au public à seulement 2 guichets, sur les 6 d'origine, fièrement mis en avant lors de l’inauguration en grande pompe, en avril 2010, de ce bureau nouvellement réaménagé. Les conditions d’accueil se sont donc dégradées, et nuisent à l'apaisement des relations entre les clients et les guichetiers : dans un contexte de temps d’attente de plus en plus long, en résultent énervement, hausse de ton, incivilités, voire agressions et violences des propos, et des gestes envers le personnel de ce bureau de poste Paris Gare du Nord.

    Les principes évoqués, sous-jacents à cette restructuration, sont les mêmes : suppression de 8 postes, volonté de favoriser les opérations financières via les automates et fusion à court/moyen terme de ce bureau de poste avec celui de Paris-Magenta (square Alban Satragne, Paris 10e), avec l’objectif de réduire la fréquentation des personnes les plus modestes, susceptibles de demander de l’aide au personnel, et donc de mobiliser le temps des agents aux guichets.

    L’objectif affiché est clairement d’augmenter la rentabilité des opérations, de réduire le temps passé au contact des clients, soit un gain de productivité et  le développement des  opérations les plus rentables, en bref ôter l’humain et le social dans la relation avec la clientèle. A l’horizon donc, avec cette restructuration qui n’a pas été abandonnée, se profile la fin du service public de proximité, la fin de la « banque postale sociale » pour les personnes les plus démunies et les plus précaires, alors que La Banque Postale et La Poste sont, dans nos quartiers, des institutions essentielles pour maintenir et renforcer le lien social entre habitants, et assurer un service public accessible à tous.

    Cette restructuration et cette perspective de réduction d’emplois au bureau de poste Paris Gare du Nord interviennent alors que La Poste faisait récemment sa publicité  en affichant sa volonté de recruter 6000 facteurs en Ile-de-France d’ici à 2015 et de mettre en place 250 emplois d’avenir d’ici à 2014. Dans ce même article, une jeune apprentie factrice en alternance y vantait le relationnel de son métier, le lien qui se crée avec les habitants et l’ambiance cordiale qu’elle connait généralement dans ses relations avec ses clients.

    Mais, bien sûr, c’est oublier que les activités de La Banque Postale et La Poste sont désormais bien séparées, comme nous l’avions clairement expliqué dans notre précédent article du 5 avril 2012, même si elles relèvent toutes deux du Groupe La Poste ! La Banque Postale n’est pas La Poste, n’est plus La Poste. La Banque Postale a désormais ses raisons que La Poste ignore… et, notamment, force est de constater que le souci de la rentabilité, sous l’égide de Jean-Paul Bailly et de Philippe Wahl, ancien banquier d’affaires, prédomine et que cet objectif pécuniaire, financier, est devenu le pilier, la raison d’être de La Banque Postale, qui se targue en effet d’être devenue une banque à part entière… Or, après avoir suivi le 100e numéro du magazine d’investigation de France3 Pièces à conviction, nous ne sommes pas certains que cela soit un progrès pour cet établissement, encore moins un point fort à mettre en avant ..., lorsque l’on constate que cette préoccupation de la rentabilité et de la productivité conduit la Banque Postale à vouloir faire table rase de ses missions de service public et de proximité… surtout dans notre arrondissement, avec la restructuration annoncée du bureau de poste Paris Gare du Nord!  


  • Un nouveau gymnase dans le 10e

     

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    Le sport n'est pas très bien loti dans le quartier et beaucoup attendaient l'ouverture de la salle de sport située dans le périmètre de l'ancien hôpital Saint-Lazare avec impatience. Depuis mardi dernier, c'est fait. Les sportifs disposent d'une nouvelle salle polyvalente de 30 mètres sur 20, très lumineuse, associée à un mur d'escalade, tout en couleurs, original, presque poétique. 

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    Une salle de danse est ouverte également, avec un immense miroir et la traditionnelle barre, qui longe le mur. Les vestiaires sont bien conçus, modernes, esthétiques.

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    Une question taraudait les esprits des participants à l'inauguration : pourquoi Marie Paradis, une inconnue pour beaucoup ! Paradis rappelle forcément le nom d'une rue proche, bien sûr, mais encore ? Rémi Féraud, maire du 10e, présent pour l'événement a donné quelques explications puis, nous avons trouvé la réponse détaillée dans les délibérations du conseil de Paris qui a validé ce choix. Voici l'extrait de la délibération 2013 DJS 314 :

    paris,10e,ferme-saint-lazare,gymnase-maire-paradisMarie Paradis née en 1778 à Chamonix, au hameau du Bourgeat, et décédée en 1839 était une habitante de Chamonix. Elle est connue pour avoir été la première femme à atteindre le sommet du Mont-Blanc. Certains ont évoqué la date du 14 juillet 1808 ou 1809 pour la réalisation de cet exploit mais lors de sa rencontre avec Alexandre Dumas à Chamonix, Marie Paradis lui indiqua que l’ascension avait eu lieu le 14 juillet 1811.

    Il faut surtout retenir l’aventure sportive accomplie par Marie Paradis au tout début du 19e siècle avec sans aucun doute un équipement sommaire pour affronter le plus haut sommet de l’Europe dans des conditions météorologiques qu’on imagine difficiles. Toutefois, on ne peut pas ne pas relever que l’exploit de Marie Paradis s’est déroulé un 14 juillet, quelque 20 ans après la prise de la Bastille et l’émergence des idéaux de liberté et d’égalité.

    Cette épopée sportive démontre chez Marie Paradis une forte volonté d’indépendance et de liberté. Elle est un symbole pour toutes les femmes et elle ouvrait la voie aux autres femmes qui s’aventureront dans des épreuves sportives de montagne. La Ville de Paris souhaite donc lui rendre hommage en attribuant le nom de « Marie Paradis » au gymnase Saint-Lazare dans le 10e arrondissement.

    Nous sommes de l'avis du maire qui a souligné que l'espace où se trouvait l'ancien hôpital Saint-Lazare est un peu difficile d'accès. Il passe inaperçu pour celui qui se promène dans le quartier ou descend le Magenta vers République, par exemple. Or, l'ensemble des équipements municipaux regroupés là mérite votre visite. Le gymnase, niché tout au fond de l'enclos, en attirant les sportifs, les familles des sportifs en herbe, permettra de mieux faire connaître les lieux. Une médiathèque viendra bientôt enrichir l'offre (ouverture prévue mi 2014).

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  • Les élus de quartier - 1 -

    La campagne municipale de 2014 est entrée en scène ces dernières semaines, avec notamment la formule de primaires de l'UMP,  puis le lancement de sa campagne au Bataclan par Anne Hidalgo et les récentes déclarations de candidatures dans les autres partis politiques. 

    Il se trouve que parmi les candidats à la mairie de Paris, certains sont aussi des élus de proximité pour nous. Les deux premiers élus qui ont accepté de répondre à nos questions sont Pierre-Yves Bournazel (UMP) et Ian Brossat (PC), tous deux élus du 18e arrondissement. 

    Nous commencerons par Pierre-Yves Bournazel qui devait affronter hier dès 8 heures du matin les autres candidats UMP dans les urnes électroniques. On a appris que la procédure serait poursuivie jusqu'au 3 juin, 19 heures, pour donner la possibilité aux militants et sympathisants de faire leur choix plus aisément (18 000 inscrits le 30 au soir). Lire l'article du Monde du 31 mai sur le sujet : cliquez ici

    Nous n'avons pas voulu entrer dans la problématique de la compétition interne à l'UMP mais plutôt sonder les idées du jeune élu du 18e par rapport à notre quartier. Voici nos questions et ses réponses. 

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    (Crédit photo Alain Guizard)


    - Vous vous présentez aux primaires de l'UMP pour les municipales de 2014 à Paris. Les inscriptions à Paris se terminent le 3 juin. Comment interprétez-vous le peu d'engouement des Parisiens pour participer ?

    C'est la première fois que les Parisiens sont sollicités pour choisir un candidat en utilisant cette procédure. J'aurais préféré la formule plus simple du papier. Elle n'a pas été retenue. Je le regrette mais c'est ainsi. Pour ma part, je fais une campagne de proximité à l'écoute des habitants et porteur d'un projet concret et chiffré. 18 000 ou 20 000 votants, c'est toujours mieux que la cooptation.

    Vous  êtes aussi élu du 18e arrondissement et à ce titre, nous souhaitions vous interroger sur les mesures que vous préconiseriez si le choix des Parisiens se portait sur votre nom. Dans plusieurs domaines locaux : 

    - Tout récemment (le 22 mai), les buralistes se sont réunis devant la station de métro pour protester contre les ventes à la sauvette de cigarettes de contrebande et de contrefaçon. Comment jugez-vous leur manifestation ? Ne s'inscrit-elle pas dans la défense d'intérêts économiques privés (baisse des ventes constatées de 7% en Ile de France) plutôt que dans l'intérêt collectif de santé publique ? Le tabac nuit gravement à la santé....

    La lutte contre ce trafic est indispensable. J'ai à plusieurs reprises alerté les différents services pour qu'une action vigoureuse et sans relâche soit menée contre ce fléau. Je suis intervenu au conseil d'arrondissement et au conseil de Paris.  Je rappelle en outre que certains revendeurs sont victimes de réseaux qui gagnent des fortunes en les exploitant et en vendant des produits contrefaits ou détournés. Je souhaite par ailleurs favoriser de nouvelles activités dans le quartier pour dissuader ce trafic. La police nationale, quant à elle, a le devoir de remonter les filières et de démanteler les mafias. 

    - Ces ventes de cigarettes qui continuent jettent une ombre sur le dispositif ZSP, mis en place depuis octobre 2012, qui a pour objectif de faire cesser ces pratiques illégales, parmi d'autres. Que pensez-vous de l'action de la police et des partenaires qui collaborent à la ZSP ? Voyez-vous des points à améliorer, d'autres à abandonner ? 

    Je n'ai aucune critique à formuler contre les services et les agents qui font ce qu'ils peuvent avec les moyens à leur disposition. Ils obéissent à des directives et exécutent les ordres reçus. 

    En revanche cette ZSP repousse surtout les problèmes sur les quartiers voisins. C'est la raison pour laquelle on parle de quelques améliorations. Mais la délinquance s'est simplement déplacée. Les problèmes structurels (proxénétisme, drogue, vente illégale…) restent toujours aussi fréquents. En fait la solution est de repenser entièrement la politique de la ville en termes économiques, de commerce de proximité diversifié, de logements favorisant la diversité sociale. Je souhaite créer une police municipale à pied et à vélo 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 à Paris en charge de la répression de la délinquance générale. À la police nationale de remonter les filières d'exploitation.

    - Barbès, c'est aussi l'ouverture récente du cinéma Le Louxor. Puis, bientôt, la création d'une brasserie en lieu et place des magasins Vano. Comment accueillez-vous ces modifications du carrefour ? Vont-elles changer l'environnement à vos yeux ?

    La rénovation du Louxor est une vraie réussite. J'ai milité pour ce projet et je suis heureux qu'il ait abouti. Je ne suis pas un homme sectaire. Ce que Monsieur Delanoë a fait de bien, je le garderai.

    L'ouverture d'un établissement de qualité (type brasserie) va améliorer encore l'image du quartier et ses habitants disposeront d'agréables lieux de convivialité pour un mieux vivre ensemble. Je soutiens aussi cette démarche utile pour le quartier.

    - Puisque nous en sommes au commerce : le sort de Virgin préoccupe les élus et les habitants du quartier. Au-delà du chômage qui guette nombre de salariés de Virgin, quel type de commerce pourra s'installer sur le Boulevard Barbès. Soutiendrez-vous l'arrivée d'une enseigne culturelle si elle se présente contre un énième marchand de textiles (prêt-à-porter ou non) ? 

    Vous avez raison de souligner que le sort de Virgin est préoccupant. La perte d'emploi est dramatique et nous avons besoin de commerces culturels. J'espère qu'une solution sera trouvée.

    Toute ouverture d'un établissement nouveau qui créera de l'emploi me convient. Mais à choisir je préfère un établissement à vocation culturelle qui puisse valoriser encore le quartier. Maire de Paris, je renforcerai la protection de ce quartier dans le Plan Local d'Urbanisme pour favoriser les commerces de bouche diversifiés et les commerces "culturels".

    Barbès doit être un quartier attractif, dans lequel les habitants sont fiers et heureux de vivre. Un quartier accueillant pour chacun.

  • Elargir ou pas les zones touristiques pour le commerce ?

    Fin avril, Anne Hidalgo relançait la question du travail dominical dans certaines zones de la capitale. Un sujet qui s'est déjà invité à droite dans la pré campagne municipale. S'agirait-il de zones existantes à élargir comme à Montmartre dans le secteur des Abbesses, où les commerçants le demandent, ou bien de la création de nouvelles zones ?

    Actuellement, 7 secteurs sont déclarés « zones touristiques », certains en partie seulement : rue de Rivoli, place des Vosges et rue des Francs Bourgeois, rue d'Arcole, Champs Elysées, viaduc des arts rue Daumesnil, boulevard Saint-Germain, Butte Montmartre.

    « Je suis prête à revoir la carte des zones touristiques à Paris, à condition que l’on travaille sur le dialogue social et la création d’emplois. Si l’on va dans cette voie-là, je veux un pacte » avec les milieux professionnels, a affirmé Anne Hidalgo. Et « des riverains associés aux décisions » a ajouté B. Delanoe. Mais au delà des seuls habitants, la question n'est-elle pas de société ?

    D'un côté, nous avons des commerçants qui souhaitent travailler davantage (« travailler plus pour gagner plus » aurait-on dit en d'autres temps !) et augmenter leur chiffre d'affaires, puis des étudiants qui souhaitent trouver des petits boulots. De l'autre, des salariés (on sait que les femmes sont nombreuses dans ce secteur) dont on sait bien qu'ils n'auront pas forcément le choix. Accepter ou non les journées que propose le patron ne se fait pas en toute liberté, on le sait bien.

    Souhaite-t-on vraiment que les dimanches soient consacrés aux achats ou même au lèche-vitrine sans acte d'achat ? A-t-on envie d'une société où faire les boutiques devienne un loisir dominical pour la majorité des salariés ? C'est déjà le cas en proche et lointaine banlieue avec certains magasins de bricolage ou d'ameublement. Là, pas besoin de zones touristiques. Les classes plus aisées, en revanche, savent s'en dispenser, n'en voyant l'intérêt que dans des cas exceptionnels. Mais les plus modestes, éloignées des centres culturels où l'on peine à les attirer, sont logés au plus près des grands centres commerciaux et autres usine-centers nichés dans les banlieues, « agrémentés » de quelques restaurants fast food clignotant dans le soir. Autoriser davantage la vente le dimanche — même si l'on comprend bien ici, à Paris, qu'il ne s'agit pas des supermarchés, mais plutôt des grands magasins de la rive droite  — c'est un signe fort qui illustre le type la société que l'on construit ensemble.

    Reste l'argument auquel aucun élu, encore moins un candidat, ne peut faire la sourde oreille : c'est créateur d'emploi. Ah, alors.... Et pourquoi donc ? Ici, à Paris règne une certaine injustice entre les enseignes illuminant les Champs Elysées, par exemple, et les Grands Magasins du boulevard Haussmann. Leur clientèle est en très grande partie étrangère. Venue en groupe, coachée par un "tour operator", elle ne reste parfois qu'une seule journée à Paris et se rue vers les quartiers animés, où les commerçants les accueillent sourire aux lèvres, eux et leurs cartes de crédit. Un manque à gagner pour le Printemps et les Galeries Lafayette, pour être clair, eux qui ne peuvent ouvrir que cinq dimanche par an. Donc, grosse pression sur les candidates... même si certains au Conseil de Paris se montrent réticents, par exemple, Christian Sauter. Nous avons cherché à savoir si Anne Hidalgo lors de son récent meeting au Bataclan a renouvellé sa proposition de prolonger les plages horaires, ou bien si, prudemment, elle l'a mise en sourdine. En vain, il n y a pas eu d'écho.

    Et dans notre quartier ? Imaginons une minute que le secteur Barbès devienne zone touristique. C'est pour l'instant pure fiction. Les boutiques de vêtements de cérémonie attirent déjà une foule importante le samedi car elles sont concentrées sur un petit périmètre, mais grignotent néanmoins du terrain au détriment du commerce de proximité. Les acheteurs viennent pour leur très grande majorité en voiture de banlieue et, même de province. On l'observe aux immatriculations. Des problèmes de circulation et de stationnement en perspective...

    Après la réouverture d'un lieu culturel comme le Louxor, on imagine mal les boutiques Tati, et les nombreuses autres, ouvertes le dimanche (on échappera désormais à Vano !). A côté, n'oublions pas qu'on ferme Virgin.  Allons plutôt au cinéma. 

     

    ­_/_/_/ Pour mémoire, l'article de Libération du 17 décembre 2012 sur le travail le dimanche : Ce que dit la loi 

     

  • La salle de conso au 39 bd de La Chapelle

    De bonnes nouvelles arrivent ensemble, enfin....

    D'après un article paru dans Le Figaro du 29, la salle de consommation à moindre risque s'installerait au 39 bd de La Chapelle, au-delà des voies de la gare du Nord, à une centaine de mètres du Théâtre des Bouffes du Nord, mais en contre-bas du pont. Nous attendons la confirmation du maire du 10e pour vous donner plus de détails. 

    Et d'après un article AFPl'Express du 28, 58% des Français seraient favorables à l'ouverture de salles de consommation surveillée. 

    A la question "certains proposent de mettre des locaux et du matériel propre à disposition des consommateurs d'héroïne pour qu'ils puissent s'injecter hors de l'espace public, pour prévenir les risques d'overdose et limiter la propagation du sida. Êtes-vous tout à fait, plutôt, plutôt pas ou pas du tout d'accord avec cette proposition?", 58% des personnes interrogées se sont dit "tout à fait ou plutôt d'accord". (Enquête OFDT)

    A regarder : le focus de France 24 au bas de l'article datant d'avril 2013. 

    Quand on vous disait que l'information finit par payer...