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  • Aldi ouvre une moyenne surface rue de la Goutte d'Or

    La chaine de magasins alimentaires Aldi ouvre un magasin rue de la Goutte d'Or, dans le local rénové occupé auparavant par l'enseigne Leader Price. Cette moyenne surface est le tout premier élément livré de la rénovation du secteur des colonnades de la rue de la Goutte d'Or.

    Cette réouverture d'un magasin alimentaire d'entrée de gamme était très attendu par beaucoup d'habitants du secteur. Les clients pourront profiter d'une surface refaite totalement à neuf, et de nouveaux équipements et services (rayons de pains et viennoiseries...). Nous sommes bien loin de l'état catastrophique de la précédente enseigne il y a quelques années. Le magasin est ouvert de 8 h à 21 h en semaine et de 8 h 30 à 12 h 30 le dimanche. Voilà qui devrait ré-animer la rue de la Goutte d'Or.

    Même si l'on peut déjà y faire ses courses, l'ouverture officielle est programmée le 26 janvier, avec des offres spéciales à découvrir.

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    La façade a été avancée jusqu'au trottoir afin de supprimer les colonnades

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    Rayon pains et viennoiseries

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    Les caisses neuves 

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    Même si tout n'est pas encore prêt, la plupart des rayons sont déjà bien achalandés

  • Le square Léon fait peau neuve

    Le square Léon, cet espace vert au cœur de la Goutte d'Or, a fait peau neuve et désormais ses grilles sont de nouveaux ouvertes à tous.

    Les pelouses ont été entièrement refaites, de nouveaux arbres ont été plantés, les circulations améliorées, les espaces de jeux pour les petits et de sport pour les plus grands ont aussi été rénovés. Et sitôt le chantier achevé la vie a d'emblée repris son cours dans ce square très aimé des habitants du quartier.

    Nous vous faisons découvrir en quelques photos les transformations sous un soleil d'hiver, en attendant que le printemps donne tout son éclat et son animation au square Léon.

    square-léon,18e,rénovation

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  • Les P'tits Baudets reprennent du service

    Les Les P'tits Baudets, les concerts jeune public des Trois Baudets, reprennent ce 23 janvier, les dimanches à 15 h 30. 

    On pourra y emmener sans scrupule pour son porte-feuille les petits comme les grands, en effet, tous les spectacles sans exceptions sont au tarif unique de 5 € !
     

    Les premières dates à venir :

    Dimanche 23 janvier 2022 - 15 h 30
    RIT QUI QUI
    Vivre heureux dans un pull qui gratte
    Ce nouveau spectacle de RIT QUI QUI confirme leur genre musical ancré dans le jazz en voyageant volontiers dans la pop, le rap ou la world, avec une écriture humoristique et une poésie des mots.
    60 min. À partir de 6 ans. 
    Plus d'infos

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    Dimanche 30 janvier 2022 - 15 h 30
    L'OGRE EN PAPIER
    D'ogre, il n'en a que le caractère et la voix. Grave et rocailleuse, il s'en sert pour chanter sa vie de grande personne dont les certitudes sont souvent chamboulées par les questions des plus jeunes. Un format concert drôle et ludique, servi par quatre chanteurs multi-instrumentistes qui donnent du corps et du verbe décalé.
    55 min. À partir de 5 ans.
    Plus d'infos

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  • Crack : signez la pétition pour l'appel aux Maires du Grand Paris

    Suite à la tribune qu'Action Barbès a co-signée avec plusieurs collectifs d'habitants du Nord-parisien, nous vous invitons à signer la pétition en ligne qui y fait écho. Vous retrouvez ci-dessous le texte de la pétition, le lien vers la pétition est en bas de page.

     

    Crack : Mesdames et messieurs les maires à Paris et dans le Grand Paris, prenez vos responsabilités face à la toxicomanie de rue ! 

    Depuis 3 mois, des consommateurs de crack vivent dans des conditions déplorables à Porte de la Villette. Plusieurs collectifs d'habitants demandent aux maires concernés - signataires d'une pétition implorant le Président de la République à agir - de mettre en place des solutions structurelles et pérennes. Ils les exhortent à faire rimer santé publique avec tranquillité et sécurité publiques sur leurs territoires.

    Les Maires du 19ème, d’Aubervilliers et de Pantin ont lancé une pétition le 22 décembre dernier implorant le Président de la République de se saisir de la situation révoltante qui s’est installée Porte de la Villette, où plusieurs centaines de consommateurs de crack ont été déplacés dans un square, en bordure de périphérique et à la jonction des villes de Pantin, d’Aubervilliers et du 19ème arrondissement de Paris.

    Cela fait désormais plus de 3 mois qu’ils y croupissent dans des conditions déplorables.

    Cet épisode n’est que la répétition d’un film que, nous, habitants du Nord-Est parisien, avons fini par connaître par cœur : quand, après un certain temps, une scène de consommation à ciel ouvert atteint les limites de l’indignité des consommateurs et de l’exaspération des riverains, le Ministère de l’Intérieur ordonne son déplacement vers un autre quartier, sans pour autant participer à la mise en place de solutions structurelles et pérennes qui sont pourtant connues, de par les réussites des projets menés en Europe et à l’international, et préconisées depuis des années par la communauté scientifique et le champ médico-social.

    Certes nous partageons la colère de ces élus locaux face aux manquements du Ministère de l’Intérieur. Cependant un passage de la pétition nous a fait réagir, par son inexactitude ou sa malhonnêteté, et souhaitons en informer nos concitoyens.

    En effet, quand nous lisons : "Vous seul, Monsieur le Président de la République, avez l’autorité pour impulser et imposer une coordination des acteurs, mettre fin à cette honte et mettre en place un modèle français de sortie du crack.” Nous ne pouvons pas totalement croire en la sincérité de la démarche de ces maires pétitionnaires.

    Car, de fait, ces maires d’arrondissements et de communes ne sont pas impuissants.

    Si l’État porte effectivement une responsabilité dans ce statu quo insupportable, les élus locaux ont néanmoins bel et bien la capacité d’agir à leur niveau. Et lorsque ceux-ci décident sciemment de ne rien faire, ils deviennent eux aussi responsables de l’enlisement de la “crise du crack” dans nos quartiers.

    Quand on apprend qu’un distributeur de kits stériles a été démonté à Aubervilliers sur demande de la Mairie, que la Mairie du 19ème a refusé l’installation d’un algéco temporaire Square Forceval ou que, contrairement à l’engagement pris par M. le Maire avant sa réélection, celui-ci a également rejeté de multiples propositions d’ouverture de centres d’accueil, de repos et d’hébergement, dont un pour femmes.

    NON, nous ne pouvons pas totalement croire en la sincérité de la démarche
    .

    Car, OUI, vous, en tant que maires, avez le pouvoir d’agir, le pouvoir de faire bouger les choses ! Une réussite en témoigne : lorsque les quelque 250 personnes qui vivaient dans le tunnel Sigmund Freud dans le 19ème ont été mises à l’abri, cela a essentiellement été le résultat d’une action municipale, alors que cela relevait avant tout des compétences de l’État.

    Nous vous disons chiche ! 

    La pétition des Maires enjoint le Président de la République à avoir “le courage de réquisitionner certains lieux vacants pour en faire des centres de soins et d’hébergement à taille humaine.” C’est la raison pour laquelle nos collectifs ont signé votre pétition.

    Montrez l’exemple ! 

    Puisque les territoires touchés par la toxicomanie de rue font nécessairement partie de la solution, il vous appartient de montrer l’exemple en vous prononçant en faveur de l’ouverture de tels centres. En effet, les expériences montrent, en France comme à l’international, que les dispositifs de prise en charge des toxicomanes ne sont efficaces que s’ils se trouvent avant tout à proximité des scènes de consommation.

    En tant que Premier Magistrat, il relève de votre pouvoir d’initier l’ouverture de ces centres. La pétition des maires prendrait alors tout son sens, si dans un second temps, le gouvernement devait en refuser le principe.

    Cessons l’hypocrisie ! 

    Tout refus de votre part, sous prétexte qu’il ne faudrait pas "rajouter de la misère à la misère” serait indécent, car ce serait instrumentaliser la précarité des quartiers touchés pour justifier de la non-ouverture de structures.  

    Il est aujourd’hui admis que les structures de prise en charge apaisent et soulagent les quartiers qui font face à la toxicomanie de rue. Nous, habitants du nord-est parisien, l’avons observé depuis 6 ans aux abords de la Gare du Nord et les différents rapports de l’Inserm ou de l’Assemblée nationale en attestent. 

    Pour mettre fin à ce film qui a trop duré et construire le "modèle français de sortie du crack" que les maires pétitionnaires appellent de leurs vœux, nous, habitants du Nord-Est parisien, vous invitons à éviter deux pièges dans lesquels la majorité des responsables politiques sont tombés :

      1. L’électoralisme : faites confiance aux recommandations du corps médico-social, inspirez-vous des réussites de nos voisins européens et ne vous laissez pas prendre en otage par des collectifs d’habitants en colère qui ne représentent pas nécessairement la majorité de la population ;

      2. Les nombreux préjugés sur les dispositifs de réduction des risques et les consommateurs de drogues : contrairement à ce que l’on entend sur les réseaux sociaux, les dispositifs de réduction des risques conviennent à la consommation de crack, sont majoritairement acceptés par la population (80% des Français y sont favorables et 55% accepteraient l’installation d’une structure à proximité de chez eux, voir le rapport de l’Inserm), apaisent le quartier d’implantation et réduisent les troubles à l’ordre public, et sont complémentaires à des dispositifs de sevrage.

     

    Nous vous demandons de faire preuve de courage politique, celui-là même que les maires pétitionnaires invoquent au Président de la République, pour engager concrètement votre territoire dans la co-construction d’un maillage francilien de centres de prise en charge des toxicomanes.

    Il n’existe pas de solution unique.

    C’est pourquoi l’extrême complexité de la situation convoque une grande diversité de dispositifs de petites tailles : centres d’hébergement, espaces de repos ouverts jour et nuit, SCMR, centres de soin, en passant par la distribution de matériels de prévention et l’analyse des drogues, jusqu’aux cures de désintoxication et aux communautés thérapeutiques.

    L’action doit passer par vous.

    S’il doit y avoir un début de réponse, celle-ci ne viendra pas d’en haut : elle viendra d’élus locaux courageux, comme vous, à Paris et dans le Grand Paris, dans le Nord-Est parisien comme dans le Centre.

    VOUS avez le pouvoir de faire rimer santé publique avec tranquillité et sécurité publiques sur vos territoires, dont vous avez, nous n’en doutons pas, la plus grande préoccupation.

     

    Les collectifs d’habitants : Action Barbès (Paris 9, 10 et 18), DASCQ (Paris 19), Mieux Agir Contre le Crack (Paris 10, 18 et 19), Parents-Riverains SCMR (Paris 10).

     

    SIGNER LA PÉTITION

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  • Exposition : "Visages d'ici et d'ailleurs"

    La ressourcerie Le Poulpe vous invite à partir de vendredi à une exposition : "Visages d'ici et d'ailleurs". 

    Regards rêveurs, lointains, interrogateurs, visages d'ailleurs... et d'ici. L'artiste, la peintre Françoise Chartier, habite à la Goutte d'Or depuis 1989. Ses portraits appartiennent à un univers métissé et coloré, à l'image du quartier.

    L'exposition est visible du 14 janvier au 2 février (vernissage le 14 janvier à 18 h 30).

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    C'est où ?

    Le Poulpe, 4 bis rue d'Oran, Paris 18e

    C'est quand  ?

    Du 14 janvier au 2 février 2022