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Rechercher : conseils de quartier

  • Une nouvelle fresque au 112 rue de Maubeuge

    On nous écrit : 
     
    J'ai le plaisir de vous informer qu'une nouvelle fresque est en préparation sur les  murs du 112 rue de Maubeuge (mur actuellement recouvert de tags).
    Il a été décidé de faire appel, comme en 2012 à « Artemisia » pour entreprendre ces travaux. Ce sera réalisé en enduits minéraux : argile, chaux, plâtre, avec un ensemble de techniques traditionnelles et actuelles.
    Nous vous enverrons très prochainement le projet pictural qui sera constitué d'un triptique représentant un paysage de campagne, un TGV et la Ville. 
    Patricia PREVOT, Coordinatrice de ce projet, et moi-même, restons  à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. 
     
    Bien cordialement;
     
    Hervé Mouden
    Référent Social Gares Nord-Paris

    fresque, maubeuge, sncf

    La belle prestation artistique d'Artemisia a fait l'objet d'un article dans notre blog, c'est ici. L'arrière de la gare du Nord, près de la sortie du parking Vinci, n'est pas fréquenté par les touristes, mais surtout par les usagers de la gare qui se rendent à l'hôpital Lariboisière et ses personnels eux-mêmes. La partie de la rue de Maubeuge qui passe là méritait un éclairage coloré, une petite touche gaie... C'est réussi. Et notons que contrairement aux craintes de certains, les fresques n'ont pas été taguées. La couleur a seulement passé un peu avec le temps.

    Nous attendons donc le projet du triptyque annoncé. Nous vous ferons suivre...

  • Des petites modifications autour des ruines de Vano

    Nous avons noté l'implantation de poteaux en bois, à l'ancienne, si l'on peut dire, près des façades noircies des anciens magasins de VANO, ravagés par le feu en juin 2011.  Le sommet de ces mâts héberge des lampadaires, destinés à éclairer la chaussée et le carrefour. 

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    Dans un premier temps, nous avons pensé à un renforcement de l'éclairage public dans ce secteur favorable aux attroupements - bien qu'ils soient rarement nocturnes selon nos observations - car cette éventualité a été parfois évoquée en réunion publique. Puis à y regarder de plus près :

    lampadaires sur Vano.jpg

     

    Une base en mortier a été placée sur la chaussée à quelque distance du trottoir - elle condamne du même coup la piste cyclable -  mais elle donne une assise conséquente au lampadaire et à un feu tricolore. 

    On remarque un peu plus loin sur la photo un deuxième poteau du même genre, assorti du même plot de béton au pied. Les deux lampes semblent devoir remplacer leur homologues fixées aux parois de Vano. 

    Ce qui nous laisse penser que ces dernières pourraient disparaître prochainement. 

    Et avec elles, les murs qui les supportent ? Y aurait-il une démolition imminente ???? C'est ce dont il était question dans les informations transmises par le cabinet de Daniel Vaillant quand nous nous en étions rapprochés. Il disait : une démolition avant la fin de l'année; or elle approche à grands pas !

    lampadaires détail.jpg

  • Des factures de cantine par e-mail

    Une bonne nouvelle pour les parents du 18e arrondissement dont les enfants prennent leur déjeuner à l'école :

    La Caisse des écoles se modernise !

     

    A partir de janvier 2013, la caisse des écoles du 18e a la possibilité de vous envoyer les factures de cantine par e-mail.  

    Si vous souhaitez bénéficier de ce service gratuit proposé par la Caisse des écoles, adressez vos coordonnées : nom et prénom du responsable légal des enfants fréquentant la restauration scolaire à l’adresse cde18@cde18.org

    (Dur de parler cantine scolaire au lendemain d'un réveillon, n'est ce pas ??? Cela rend un peu nauséeux... )

  • Pourrait-on revenir au commerce de proximité ?

     

    554414_367275866661638_603738827_n.jpg

    (Boutique Leboine au 144 rue du faubourg Poissonnière)

    Combien de scandales alimentaires seront nécessaires pour que les consommateurs revoient leur jugement sur le commerce de bouche, bouchers, traiteurs, artisans-boulangers.... Ils sont certes plus chers, leurs horaires sont plus contraignants, mais il est rare de se voir servir un produit pour un autre ! 

    L'ampleur de l'affaire du cheval dans les lasagnes et autres plats préparés avec de la viande de boeuf - on  nous dit de toute part qu'il s'agit de vache en réalité - semble avoir atteint son pic. Les enquêtes ont désigné les protagonistes de la filière, les abatteurs, les traders en alimentaire, les intermédiaires et les transformateurs. Le cas est clair. Le consommateur n'est pas tout à fait né de la dernière pluie : quand une affaire est trop belle, on ne tarde pas à découvrir qu'il y a anguille sous roche. Dans le cas qui fait grand bruit, les prix étaient trop bas, trop bon marché, pour que les importateurs ne se soient pas rendu compte qu'ils n'achetaient pas le fameux "boeuf-vache", même si l'offre ne traitait que de bas morceaux, forcément moins chers que les parties nobles. 

    On a beaucoup parlé de rabais dans la presse. De qualité qui ne serait pas au rendez-vous quand le consommateur cherche avant tout le meilleur prix, en fait, le plus bas. En résumé, ces dérives de l'industrie alimentaire seraient quasiment imputables aux consommateurs qui veulent trouver des produits toujours meilleur marché. Quelques journalistes ont ajouté cependant que le consommateur moyen n'a souvent pas le choix: ses finances ne lui permettent pas de s'offrir le pavé de vache limousine ou de boeuf charolais chez le boucher du quartier. En effet, à 25 euros le kilo...

    Mais nos habitudes alimentaires peuvent changer. On nous dit de toutes parts qu'il est préférable pour la santé de manger moins de viande, particulièrement les viandes rouges, dont l'élevage est tellement gourmand en eau. Cela ne peut que profiter à l'environnement.

    Nos habitudes alimentaires doivent changer et nos réflexes aussi. Dans les milieux modestes d'après-guerre (la seconde), consommer de la viande tous les jours représentait une ascension sociale considérable, par rapport aux parents. Faire la démarche inverse, volontairement, maintenant, suppose une réflexion, une remise en cause des habitudes alimentaires, du regard que l'on porte sur l'alimentation.  N'est-ce pas pour certaines familles reconnaître leur faible pouvoir d'achat, un début de pauvreté ? Sinon pourquoi acheter des lasagnes à la viande (et quelle viande ?), souvent surgelées, plutôt que d'accommoder un paquet de spaghettis ou de tagliatelles avec une bonne sauce tomate ? saupoudrés d'un peu de gruyère ou de parmesan (devenu au fil du temps du grana padano si l'on n'y prend pas garde ou qu'encore une fois on a opté pour le sachet le moins cher...). Manger de la viande établit sans doute encore un niveau social. La valorisation des légumes, des bons légumes, pourrait permettre de sauter le pas, à condition que leurs prix ne flambent pas à leur tour.

    Pour faire le tour du sujet, à l'anglaise, nous vous proposons la lecture d'un article paru dans le Financial Times le 14 février, qui balaie assez bien l'ensemble de la problématique. Les Anglais se sont insurgés violemment contre la présence de ce noble animal dans leur alimentation, autant par principe que par sentimentalisme. On ne mange pas de cheval au Royaume-Uni, et à terme nulle part ailleurs. Ils nous avaient pourtant mijoté un beau scandale avec leurs farines et leurs vaches folles dans les années 1980-90. La maladie de Creutzfeldt-Jakob associée est restée dans les mémoires. Là encore, la recherche du profit était à l'origine de l'affaire. Trouver des aliments bon marché à base de carcasses animales permettait d'augmenter les marges... Au total, ce sont des millions de ruminants (plus de 7 millions de bêtes) qui sont passés par les incinérateurs (voir le coût de la crise de la vache folle). Rappelons qu'avec la viande de cheval, aucun risque pour la santé n'est signalé.

    Les supermarchés ou la folie du rabais

    14 février dans le Financial Times, Londres, traduit et proposé par Presseurop.com

    Pour être tout à fait informé, ne ratez pas le dossier de COURRIER INTERNATIONAL :  Fraude dans les assiettes. Certains articles sont réservés aux abonnés, mais d'autres sont libres d'accès.

    De la viande de cheval pour les pauvres, dans NRC Handelsblad d'Amsterdam grâce à Presseurop.com



  • Les horodateurs acceptent de plus en plus la carte bancaire

    Comme vous, peut-être, nous avons lu un article du Parisien, paru en juillet, sur l'arrivée de nouveaux horodateurs dans Paris, et notamment dans nos 9e et 10e arrondissements. Bernard Gaudillère, interrogé par le journaliste du Parisien, est adjoint au maire de Paris chargé du lourd dossier des finances de la Ville, mais aussi élu du 10e. Très aimablement il a répondu à nos quelques questions sur le sujet qui visaient essentiellement à avoir son avis sur l'avancement de la mise en service des nouveaux équipements, et sur la réalité de ce gisement intéressant de ressources pour la Ville. 

    Sur l'implantation des horodateurs, il nous écrit ceci :

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    La municipalité parisienne souhaite étendre l’installation des horodateurs permettant un règlement par carte bancaire, au vu des résultats de l’expérimentation. Les résultats sont en effet très positifs. En  matière de recettes pour la collectivité parisienne, vous y faites référence. Mais aussi en terme de satisfaction des Parisiens, pour lesquels la démarche de paiement du stationnement est grandement simplifiée. Je souligne au passage que si la Ville encaisse bien les redevances, en revanche le produit des amendes ne lui revient qu’en partie (25 %), le reste allant à la Région (25 %) et au STIF (50 %).

    C'est un fait que nous avions souligné plusieurs fois ici même, à tous ceux notamment, qui tentaient le coup. Passera la contractuelle ou ne passera pas ??? Longtemps nous avons cru que le produit des amendes allait tout bonnement au budget de l'état - quelle ligne, mystère ? - qui l'affectait à sa guise. Ce point est éclairci. Et sur les autoroutes ? Les "chers" radars génèrent des revenus non négligeables, une fois assumés leur coût et leur entretien... à qui vont les sommes ainsi collectées ? 

    Revenons à nos horodateurs nouvelle génération dans les 9e et 10e arrondissements

    Pour répondre précisément à votre question, la première tranche d’équipements (2.000 horodateurs pour tout Paris) est terminée dans les 9e et 1Oe arrondissements, soit, aujourd’hui, environ 100 horodateurs équipés d’un paiement par carte bancaire. Cette première tranche, dans chacun des 2 arrondissements concernés, correspond à un taux d’équipement de 50% des horodateurs.

    Un sur deux accepte donc une carte bancaire pour l'instant. 

    La généralisation doit être achevée à la fin du 1er semestre 2013, et, s’agissant des 9e et 10e arrondissements, d’ici la fin du mois d’avril  2013.

    Et du point de vue des ressources, cette manne dont parlait le journaliste du Parisien... Faut-il être à ce point optimiste ? 

    Quant aux chiffres que vous évoquez, tirés de l’article du Parisien du 10 juillet dernier, à savoir une augmentation de 47 à 63 millions d’euros, il s’agit des recettes effectivement encaissées en 2010 d’une part, en 2011 d’autre part. J’appelle cependant votre attention sur le fait que cette progression ne peut pas être exclusivement reliée à ces nouveaux horodateurs. La hausse de l’amende  pour un stationnement hors les règles à l’été 2011 – elle est passée de 11 à 17 € - a également eu un effet sur les comportements, en incitant  les automobilistes à payer leur stationnement.

    Dans ces conditions, je vous confirme qu’il est encore prématuré d’avancer un montant précis s’agissant des recettes que nous encaisserons effectivement en 2012. Nous prévoyons effectivement une nouvelle augmentation par rapport à 2011, mais sans doute beaucoup moins importante que l’augmentation constatée entre 2010 et 2011.

    Bien. Il va falloir s'attaquer maintenant aux inciviltés. Il y a là matière à faire entrer dans les caisses municipales quelques deniers supplémentaires...  

    ( Voyez ausssi l'article posté dans le blog de nos amis du 12e, Bel Air Sud, tout récemment : cliquez ici )

  • Un comptoir de prêt en attendant mieux

    Nous avons reçu le message suivant de la part de Marie-Laure Gestin, Conservatrice, Directrice de la bibliothèque Goutte d'Or :

    Dans l’attente de la réouverture de la bibliothèque Goutte d’or prévue en mai 2013 après travaux de rénovation et de réaménagement, son équipe met à la disposition des habitants du quartier, adultes et enfants, un comptoir de prêt de livres. Il sera situé au centre « Fleury Barbara Goutte  d’or » 1, rue de Fleury, partenaire et voisin de la bibliothèque, que nous remercions de son accueil.

    Ce comptoir de prêt est mis en place à partir du 29 septembre et vous sera ouvert 3 demi-journées par semaine, les mercredis et vendredis de 14h à 19h et le samedi de 14h à 18h.
    A ce comptoir de prêt, vous trouverez, des livres pour les adultes et pour les enfants (romans, BD, albums,…). Seuls les documents empruntés à ce comptoir de prêt pourront y être rendus.

    Au plaisir de vous y retrouver.

    L'information est confirmée par la mairie du 18e par l'affiche ci-dessous. Souhaitons que ce service temporaire fonctionne à la satisfaction des usagers.  

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  • Une savoureuse déclinaison de la Z S P

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    Nous saluons l'humour des commerçants de quartier qui rebondissent sur la zone de sécurité prioritaire récemment mise en place dans leur secteur par le ministère de l'Intérieur, aidé par la Justice et les élus locaux. 

    Ne ratez pas l'occasion et pour les fêtes, sachez faire des cadeaux originaux tout en restant près de chez vous. 

    Pour découvrir les détails et surtout l'adresse des boutiques aux plaisirs savoureux, cliquez sur l'affiche. 

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  • On a abattu des arbres malades sur la place de la République

    Place de la République

    Lors de la phase étude du projet de réaménagement de la place de la République, une attention particulière a été portée au devenir des arbres présents sur la place. Tout a été mis  en oeuvre pour permettre la sauvegarde d’un maximum de sujets.
    Néanmoins, 15 arbres nécessitaient une intervention car :
     8 sujets étaient en mauvais état.
     7 sujet ont du être remplacés pour rénover l’alignement d’arbres dépérissant sur le trottoir Sud Ouest.
    En conséquence, ces sujets ont été abattus entre les 13 et 16 novembre 2012.
    De nouveaux sujets seront rapidement plantés à l’emplacement des arbres abattus. Au total, il y aura 23 arbres supplémentaires sur la place à la fin du chantier.

    L'avis d'information de la Ville ne dit pas la date des plantations. En revanche, on a appris dans la presse,  (d'après le Figaro et ses sources), que depuis le 25 novembre, tous les échafaudages devraient avoir complètement disparu. Si vos fenêtres donnent sur la place, envoyez-nous des photos. D'ici, du carrefour Barbès, et malgré notre longue vue, on distingue mal... 

    Contacts (si vous souhaitez en savoir davantage)
    Maître d’ouvrage : Mairie de Paris
    Maître d’oeuvre :   Direction de la voirie et des déplacements, 6ème Section territoriale
                               39, quai de la Seine - 75019 Paris
                               Tél. : 01 53 38 69 00
                               du lundi au vendredi de 8h30 à 17h
                               Relations avec les usagers :   Didier Larrus

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  • Station Barbès: une histoire de peignes

    Certains se rappelleront les longues années de rénovation de la station Barbès-Rochechouart. Dès 2001, année de création d'Action Barbès, ce fut avec le Louxor les deux grands dossiers de l'association.

    Nous avions participé à de nombreuses réunions pour obtenir des améliorations. Les mécontentements d'alors étaient nombreux: politique de diminution du nombre d'agents, flaques d'eau dues à l'état des verrières par exemple (problème enfin réglé l'été dernier), tourniquets souvent en panne (côté Patin, c'est toujours fréquent), filets anti pigeons (on continue à en demander), recoin urinoir, refus de supprimer les sorties à peigne. (voir journal n°17 de 2008)

    Nous apprenons de Didier Perret de l'agence de développement RATP que la sortie équipée de peignes située côté pair du boulevard de la Chapelle devrait être supprimée définitivement. (voir Annexe 1 - Dépose Peignes Barbès -.pdf )

    "Effectivement, dans un fonctionnement nominal, ces dispositifs permettent uniquement de sortir de l'espace RATP. Hors, ils sont très fréquemment mis hors d'usage et par conséquent ne permettent plus d'empêcher l'entrée dans l'espace réservé aux voyageurs disposant d'un titre de transport.

    Pour remédier de manière définitive à ces difficultés récurrentes, nous envisageons de modifier la signalétique de jalonnement de la station et de condamner définitivement cette sortie."

    Suppression des peignes "hachoirs", excellente initiative. Par contre supprimer totalement cette sortie quand on connait la fréquentation de la station est incompréhensible... L'usager actuel qui arrive par la ligne 4 sort de la station face aux magasins Tati (pour les habitants du 9e et du haut 10e ) ou rue Guy-Patin (pour les habitants de cette même rue, les personnes qui se rendent à Lariboisière ou vers le boulevard de la Chapelle). Mais quid de ceux qui habitent boulevard Barbès côté pair ? Ils devront remonter pour ensuite redescendre par l'escalier monumental. Pas très pratique. 

    Et pour la ligne 2 : pas de problème pour la rue Guy-Patin, le boulevard de la Chapelle, pour la sortie face à Tati (mais il faudra descendre dans les longs couloir, puis remonter). Enfin pour rallier le boulevard Barbès et pour les cinéphiles amateur de Louxor, il faudra remonter des escaliers pour redescendre par l'escalier monumental. Le traitement réservé aux usagers, devenus des clients il y a une dizaine d'années, n'apparait pas sous les meilleurs auspices.

    On oublie une fois de plus les personnes qui se déplacent difficilement. De même, on peut légitimement s'inquiéter de la foule les jours de marché quand on sait qu'entrer ou sortir rue Patin est déjà mission impossible ces jours-là!

    La station Barbès est très fréquentée. La RATP est bien placée pour le savoir. Elle sait aussi que les travaux de rénovation de la station Château-Rouge devraient commencer fin 2014 avec comme conséquence sa fermeture pendant au moins un an et demi. L'affluence à Barbès sera de fait en grande augmentation.

    Nous n'osons croire que les responsables de cette décision n'y aient pas réfléchi.

    Les maires des 10e et 18e ont été informés. Nous les avons sollicités pour une demande de réunion à ce sujet. La suite dès leurs réponses.

  • Le bélinographe... le grand-père de votre smart phone

    Comme cadeau de Noël, peut-être aurez-vous envie de vous offrir un téléphone plus récent, plus performant, le choix est vaste à des prix variables. Mais savez-vous à quoi ressemblaient les premières transmissions d'images ? Les MMS de l'ancien temps... Regardez : 

    Il s'agit d'une courte vidéo de 1951 découverte sur le site de l'INA. Merci l'INA ! (http://www.ina.fr/video/AFE85004007)

  • A peine deux mois pour profiter de la gratuité au Louvre....

    Pas tous les jours ! mais au moins le premier dimanche du mois. L'administration du Louvre a décidé l'année dernière — et a obtenu l'aval du ministère de la Culture — que cette gratuité ne serait plus de mise en saison haute, c'est à dire du mois d'avril au mois de septembre. 

    En effet, on peut lire dans un article de wikipedia que depuis janvier 1996, l'entrée au musée du Louvre est gratuite pour tous les premiers dimanches de chaque mois. Cette mesure a permis de faire revenir au musée, les visiteurs « nationaux ». La preuve ? Ce dimanche gratuit est le seul jour dans le mois où les visiteurs étrangers sont minoritaires au Louvre... CQFD.

    Les gratuités qui demeurent : le musée est gratuit pour les jeunes de 18 à 25 ans résidant dans l'un des pays de l'Espace économique européen, les demandeurs d'emploi et les bénéficiaires des minima sociaux (justificatif daté de moins d'un an) et les visiteurs handicapés et leur accompagnateur. Et bien sûr les enseignants qui avaient vu ce privilège leur être supprimé entre 2004 et 2009. 

    Le musée du Louvre est ouvert tous les jours sauf le mardi 

    Cliquez ici pour l'accès aux tarifs et aux horaires du Musée du Louvre. Ou encore ici si vous voulez devenir Ami du Louvre, avec un pass à 80 euros pour l'année, une aubaine par rapport au tarif unitaire. 

     

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    Photo Jean-Christophe BENOIST

  • La fête de la Goutte d'Or en préparation...

    Nos amis de la Goutte d'or soulèvent le rideau et ouvrent les coulisses sur la préparation de la prochaine fête de la Goutte d'Or qui aura lieu en juin.

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