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Action Barbès - Page 108

  • Promenade urbaine : le lancement sur le terrain

    Promenade Urbaine Barbès Chapelle Stalingrad

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  • Vide grenier rue Ramey

     

    Organisé chaque année par l'association Clignensemble, le prochain vide grenier des rues  Ramey et Clignancourt aura lieu le dimanche 11 septembre. Une idée de balade pour les lève-tôt.

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    L'an passé, l'édition 2015 avait eu un franc succès un 13 septembre. Voulez-vous en avoir un petit avant-gout (image empruntée au site de Montmartre Addict).

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  • Septembre: le mois des forums des associations

    Comme à chaque rentrée de septembre on assiste au retour des forums associatifs. C'est ainsi à Paris et dans bien d'autres villes.

    Dans le 9e, ce sera samedi 10 septembre dans la cour de la mairie, 6 rue Drouot.

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    Dans le 10e, ce sera la semaine suivante, dimanche 18 septembre dans le jardin Villemin, Cité des Récollets et quai de Valmy.

     

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    Dans le 18e, ce sera le même jour que dans le 9e, le 10 septembre.

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    En toute logique, Action Barbès devrait y participer. Alors pourquoi ne peut-on pas nous rencontrer sur un stand ? Rappelons que nous sommes sur 3 arrondissements, donc 3 lieux, donc 3 dates souvent. Difficile de mobiliser les troupes !

    Pourtant, nous avons été présents chaque année dans le 9e aussi longtemps que le forum s'est tenu autour du square d'Anvers. C'était un moment très convivial, une occasion de retrouver des adhérents proches de Barbès, d'échanger avec eux le temps d'un après midi. Nouvelle équipe municipale en 2014, nouveau lieu. Trop loin pour nous. Nous l'avons regretté, mais pas de changement cette année encore.

    Côté 10e, nous avions participé au 1er forum du jardin Villemin (à l'époque sur deux jours !). Là aussi, nous avons demandé à ce que cette manifestation ne se tienne pas toujours au même endroit. Sans succès à ce jour.

    Pouvons-nous faire une petite suggestion à nos élus des 10e et 18e ? Pourquoi ne pas utiliser l'espace sous le viaduc du métro aérien et grouper les deux forums le même jour ? Un partenariat, en quelque sorte... qui donnerait l'occasion à de nombreuses associations et à leurs visiteurs de découvrir d'autres lieux. Cela aurait de la gueule, comme on dit. Alors, on gomme bientôt les frontières ?

  • Concert du dimanche au Phonomuseum Paris

    Avec la rentrée reviennent les désormais traditionnels concerts du premier dimanche du mois au tout proche voisin de Barbès, le Phonomuseum au 53 boulevard de Rochechouart.

    Le premier concert de la saison et déjà 16e du nom aura lieu le dimanche 11 septembre à 18h30. Au programme Mosalini Terggi cuarteto.

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  • Rue Neuve de la Goutte d'Or : retour sur le passé

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    Parfois une question posée sur notre blog ou sur la page de notre compte Facebook mérite une réponse à plus large diffusion que sa simple mention dans les commentaires au bas d'un article. Celle-ci par exemple : 
    Pourquoi la rue des Islettes dans la Goutte d'Or porte-t-elle ce nom ? 

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    Plan de 1814

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  • Dernier billet de vacances d'une des rédactrices

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    Le Castillet à Perpignan

    Avant de rentrer à Paris, traditionnellement, je fais la visite des sites de la ville de Perpignan qui acceuillent les photoreporters de Visa pour l'Image

    Cette année encore, il y a beaucoup de monde.

    Cette année encore, ce n'est pas gai.

    Cette année encore, des conflits, des guerres, des réfugiés, des exilés...

    Dans nos quartiers, entre Barbès et Stalingrad, nous sommes confrontés aux réfugiés, qu'ils soient refugiés de guerre ou économiques. Nous les voyons depuis quelques années maintenant se réunir sous le viaduc du métro aérien, alentour, y dormir, y manger, parfois s'y battre parce que la situation est difficile, qu'elle provoque des tensions, accentuées par les origines diverses des présents... Ici, à Visa pour l'Image, sur les photos, on voit le dérèglement du monde, puis la misère des hommes se répandre et gagner du terrain. On voit aussi leur extraordinaire volonté d'échapper aux bombes et aux conditions inhumaines de la guerre en Syrie, en Iraq ou ailleurs. On voit les femmes et les enfants souffrir, morts de peur, les regards suppliants ou hagards, et bientôt on se sent mal. On ressent son intolérance à l'égard de ces pauvres gens qui fuient l'enfer. On a tendance à mal se supporter... pour finir.

    Dans une exposition de photos, la distance nous protège et nous permet de nous attarder sur les expressions des visages, de lire la détresse sans détourner les yeux. Ces réfugiés de l'expo sont peut-être passés sous nos fenêtres, ceux-là ou leurs frères de galère. Ou bien ils passeront demain ou après-demain.

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    Parmi les nombreuses expositions qui sont à voir, j'ai choisi de vous présenter celle de Marie Dorigny (une vue de l'expo ci-dessus) qui répondait à une commande du Parlement Européen, et de prendre un extrait d'une interview donnée par la photographe à Polka Magazine  le 7 mars 2016 où elle répond sur la condition des femmes qui émigrent :

    A quoi sont confrontées les femmes qui émigrent?

    Contrairement aux migrants économiques qui sont pour beaucoup des jeunes hommes seuls, les réfugiés de guerre partent très souvent en groupe. J’ai vu des familles entières émigrer, avec parfois quatre générations. C’est très émouvant. On réalise que la Syrie, l’Irak, le Kurdistan, certaines régions d’Afghanistan, se vident entièrement. Il y a donc sur ces routes beaucoup de femmes avec leurs enfants. Elles me rappellent ce que racontait ma mère de son exode pendant la Seconde Guerre mondiale en France. Sous les bombardements, jetée sur les routes, avec son vélo chargé de bagages... Eh bien, c’est exactement la même chose. L’UNHCR a d’ailleurs annoncé que 55% des migrants dont les nationalités pouvaient prétendre à l’asile étaient désormais des femmes et des enfants, ce qui n’était pas du tout le cas il y  a un an. Les femmes que j'ai rencontrées sont terrorisées, jetées sur les routes, laissant tout derrière elles. Une grande maison, un bel appartement, des études, de vraies vies. J’ai vu beaucoup de jeunes mères avec des enfants en bas âge. Traumatisées par les traversées en mer où elles se sont vues mourir avec leurs petits, traumatisées par cet univers de la migration qui est très masculin. Imaginez une Afghane qui doit dormir au milieu de centaines d’hommes dans un camp! Les femmes ont peur des violences sexuelles bien sûr. Même si elles sont souvent protégées par les hommes de la famille. Et puis, il y a de nombreux cas d’accouchements prématurés, de fausses couches.

    Source : les réfugiées vues par Marie Dorigny 

     

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    Je ne peux pas passer à côté du talent de Yannis Behrakis et ne pas vous encourager à aller sur le site du Guardian qui reprend bon nombre de ses photos exposées ici, à Perpignan, au Couvent des Minimes. Même thème, un sujet qu'il a traité pendant 25 ans de vie professionnelle, mais avec cette différence, que les migrants qu'il photographie sont arrivés dans son pays, la Grèce. Intense émotion, implication supplémentaire, engagement redoublé.
    C'est ici et les légendes sont en anglais, mais vous comprendrez.

    Continuez la visite sur le site même de Visa pour l'Image qui permet de voir beaucoup de photos de chez soi... 

    Comme chaque année, le festival Visa pour l'Image attire beaucoup de monde, et notamment beaucoup de professionnels. On aimerait, bien sûr, voir moins de clichés dramatiques, mais nos sociétés vont mal et le travail des photoreporters ne fait que nous le rappeler. 

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    Dans l'Eglise des Dominicains.

  • Des nouvelles de la parcelle Polonceau

    La parcelle laissée libre après la disparition de l’ancienne mosquée Polonceau à l'angle des rues Polonceau et Poissonniers est désormais ouverte et retrouve un peu d'animation.
     

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    Cette parcelle devait initialement accueillir le deuxième site de l'Institut des cultures d'Islam (ICI) projet mis  entre parenthèses pour deux à trois ans. A ce sujet, nous avions assisté il y a quelques mois à la mairie du 18e à une réunion sur le devenir de l’ICI, et plus particulièrement de la seconde partie qui ne verrait pas le jour sous la forme envisagée à l’origine. Il avait été dit que cet espace ne serait pas occupé avant un certain temps faute de projet réunissant des conditions acceptables pour la Mairie de Paris. La parcelle est restée longtemps abandonnée et transformée en déchetterie sauvage. (voir notre article du 18 mars)

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  • Le square de Jessaint se transforme doucement

    Après de longs mois de fermeture, le square de Jessaint reprend vie même s'il n'est pas encore ré-ouvert à tous. Nous avions participé à la réunion de présentation du projet le 8 avril dernier dans le 18e (voir notre article ici). Projet qui est mis en action par Emmaüs Solidarité. Une cabane est déjà installée et la terre a été livrée.

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    Rappelons que dans un premier temps, ce jardin ne sera pas accessible à tous; il faut en effet attendre que soit lancé le projet de réaménagement, qui se fera avec des participants du dispositif "premières heures", un dispositif destiné à favoriser un retour vers l'emploi. Encore un peu de patience pour en profiter...

  • Une nouvelle place pour honorer la mémoire d'un résistant

    La mairie du 18e nous informe qu'une inauguration aura lieu ce samedi 3 septembre à 10 heures, devant le 26 rue Duhesme, pour rendre hommage à la mémoire du résistant Robert Verdier (1910-2009), en donnant son nom à la place que vous voyez sur la photo ci-dessous. Nous sommes là à l'intersection des rues Duhesme, Marcadet, Francoeur, du Ruisseau et de la Fontaine du but.... Que de rues convergeant sur cette nouvelle place !

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    Robert Verdier était un militant actif en faveur de la défense des Droits de l'Homme, et ce souvenir sera rappelé par la présidente de la Ligue des Droits de l'Homme, Françoise Dumont, associée à la Ville de Paris et au maire du 18e arrondissement pour cet événement. 

  • Encore des changements rue de Compiègne

    Un an après les changements de circulation dans le secteur de la gare du Nord, la rue de Compiègne a retrouvé son sens unique. Les riverains avaient vivement protesté face aux incivilités des automobilistes qui ne respectaient pas l'obligation d'utiliser la dépose minute en sous-sol pourtant gratuite pendant 20 minutes. Il s'en suivait des concerts de klaxon insupportables. Nous avions participé à une réunion sur site en mars dernier (voir  articles du 23 mars et du 11 avril). Par la suite, mairie de Paris et SNCF ont planché pour tenter d'améliorer cette situation tendue. Malgré ces dernières modifications, quelque peu tardives si l’on considère les longs mois de nuisances induites par le sens unique, on peut se poser la question de la qualité des études préalables. A-t-on analysé les flux d’automobiles correctement?  A-t-on anticipé l’affluence par à-coups que génèrent les arrivées ou départs de train ? Le parking de la rue de Compiègne présentait-il tous les atouts d’une dépose-minute ? D’autres questions viennent à l’esprit mais, toutefois, nous nous félicitons que la mairie de Paris ait pris en compte le fort mécontentement des riverains et ait cherché des solutions. 

    Alors quels changements ?

    Côté signalétique, la ville a répondu aux demandes. Les panneaux sont visibles et précisent clairement  l'obligation d'utiliser le parking Effia pour la dépose minute et rendent plus menaçante la vidéo verbalisation pour les récalcitrants. Preuve par l'image ci-dessous:

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    Des kakemonos ont été accrochés mais avec le vent, ils s'enroulent autour du support. Le maire du 10e nous a informés qu'ils seraient mieux fixés prochainement.

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    Par ailleurs, des potelets seront placés le long du parvis de la gare du Nord afin d'éviter les voitures qui stationnent sur la chaussée, en fait sur le parvis, car tout étant au même niveau, la tentation est grande. Elle le sera encore davantage après la dépose de toutes les palissades actuelles. 

    Espérons maintenant que la vidéo verbalisation sera active. Les automobilistes sont décidément bien irrespectueux comme en témoigne la photo ci-dessous prise la semaine dernière.

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    Pourtant, dans de nombreuses villes en régions, on est bien content d'avoir une dépose gratuite à proximité de la gare. Paris serait-il une exception?

    Nous ne manquerons de poursuivre nos observations de terrain en attendant le résultat des ces nouveaux aménagements, dont les échos ne tarderont pas à arriver à nos oreilles attentives... ^_^ qui en douterait ?

  • 21e saison de rencontres interculturelles du 10e

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    voir le programme complet dans ce lien

    ou encore ici tout au long du mois de septembre avec Ensemble nous sommes le 10e.

  • Un toilettage bien nécessaire autour des pieds d'arbres du bd de La Chapelle

    S'il nous était permis de donner un conseil aux sections territoriales de voirie de nos arrondissements du 10e et du 18e, ce serait de ne pas attendre que les plaintes des habitants et des commerçants s'accumulent sur le bureau, mais plutôt de programmer un comblement régulier des pieds d'arbres. Particulièrement pour les arbres situés sur les promenades — les boulevards ou les avenues — très fréquentées, ou comme dans notre cas, pour les arbres qui longent un marché découvert. 

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    En effet, le dernier passage des autorités aux pieds de ces arbres datent du printemps 2011 (notre article de l'époque

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