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paris - Page 211

  • Municipales 2008 : au Parti Socialiste

     
     
    Amina Becheur, 37 ans, est universitaire chercheuse spécialiste du développement durable et active dans le milieu associatif dans notre arrondissement par le biais d'Artisan du Monde rue de Rochechouart. Thierry Cazaux, 41 ans, est financier et président de l'association 9e Histoire. Tous deux seront sur le liste de Jacques Bravo en position d'être élus Conseiller d'arrondissement.
    Philippe Torreton, 42 ans, comédien, résidant dans le quartier Saint Georges, sera numéro 3 de la liste, c'est à dire en position d'être aisément élu Conseiller d'arrondissement mais aussi de Conseiller de Paris.
    Tels sont les trois premiers noms de la liste de Jacques Bravo  dévoilés hier lors de la présentation des personnalités de la société "civile" ayant décidé de rejoindre Bertrand Delanoë.
    Le reste de la liste, soit encore 10 noms, devrait être connu vendredi prochain après le vote des militants socialistes de la section du 9ème.
     

  • Le Louxor

    Le palais du cinéma – Le Louxor – n’est pas à proprement parler dans le 9ème arrondissement, mais juste en face. Il est un patrimoine commun aux 9ème, 10ème et 18ème et tant les habitants proches de Barbès que les Maires de ces 3 arrondissements l’ont bien compris. Menacé de ruines, il a été racheté par la Mairie de Paris en 2003. Une visite du lieu était organisée la semaine dernière afin de montrer aux habitants du quartier l’état exact du bâtiment. La présence du Maire du 9ème et celle du 1er adjoint au Maire du 10ème, candidat aux élections de mars 2008 et probable futur Maire de cet arrondissement semble prouver l’intérêt porté par la municipalité à l’endroit.

     
     
    Construit au début des années 20 dans le style « égyptien », le Louxor a été successivement une salle de cinéma, puis de cinéma et music hall dans les années 50 pour terminer sa carrière en une sorte de boite de nuit gay, sorte de sous Palace des années 80. Il a fermé définitivement ses portes en 1987.
     
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    La salle du Louxor a son origine. Il ne reste que la structure. Pas de photo de l'état actuel, c'était une condition pour participer à la visite

     

     

    La visite a permis de voir que le Louxor a certes souffert mais que les travaux entrepris au fil du temps ne l’ont pas complètement défiguré. La structure générale de la grande salle – son volume avec ses deux balcons sans pilier et la longue perspective vers le bas – est intacte. La scène et la fosse d’orchestre sont encore en place. En effet, il convient de ne pas perdre de vue que l’endroit date de 1922, c'est-à-dire qu’il a été conçu pour un cinéma encore muet. A cet égard, il est donc un des derniers témoins de cette époque révolue, ressemblant plus à une salle de spectacles du 19ème siècle qu’à une salle de ciné du 21ème.

     
     

    Les travaux de décoration ont été réalisés en couches successives si bien que l’on se trouve en présence d’un « zonage » assez facilement repérable : la couche d’origine des années 20 – style égyptisant - puis celle des années 30 – style hellénisant - correspondant semble t-il aux travaux de sonorisation de la salle. Viennent ensuite les différentes couches des travaux d’après-guerre et enfin la couche des années 80, moquette murale très en vogue dans ces années là.

     
     

    L’extérieur du bâtiment, actuellement masqué par un affreux échafaudage, n’est pas en trop mauvais état non plus. Il a bien sûr besoin d’une bonne cure de jouvence mais les mosaïques du haut font encore leur effet. On a une assez bonne idée de l’état extérieur en passant avec le métro aérien.

     
     

    Que va devenir Le Louxor ? Là est la question.

     
     

    Les spécialistes semblent être d’accord sur deux ou trois points centraux : d’abord l’intérêt patrimonial de la salle dans son ensemble, témoin d’une conception architecturale typique d’un temps révolu. Ensuite la décoration des années 20 et 30 avec ses différents éléments et enfin la façade, inscrite au répertoire dans les années 80.

     
     

    Plusieurs projets ont été évoqués. Un centre culturel méditerranéen ? Pas confirmé par la Mairie de Paris. Mais pas infirmé non plus. Ce qui est sûr, c’est que les échéances initiales annoncées – réouverture début 2009 – ne seront pas tenues. C’est sans doute un bien car cela laisse le temps à chacun d’une part de réfléchir au projet à développer et qui devra participer à la nécessaire revalorisation du quartier Barbès et d’autre part à finaliser les études techniques de faisabilité.

     
     

    Bien que lui aussi d’un temps maintenant assez lointain (1969), l'exemple de l’affreux projet immobilier qui a été développé à la place du cirque Médrano en haut de la rue des Martyrs devrait faire réfléchir !

     
    Les habitants de Barbès sont motivés !
  • La Nouvelle Athènes

    Le numéro 24 du magazine Le Paris du 9e paru début novembre publié par les bons soins de la Mairie de notre arrondissement nous parle en page 8 du café restaurant La Nouvelle Athènes qui a ouvert ses portes récemment. Sans vouloir jouer ni les cuistres ni les redresseurs de tort, c’est l’occasion de revenir sur un sujet qui fâche et de corriger quelques erreurs.

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    Il est d’abord nécessaire de rappeler que le bâtiment construit au numéro 9 de la place Pigalle en 2005/2006 a fait l’objet de nombreuses contestations, tant parce qu’il a entrainé la destruction d’un café historique que par son architecture qui ne respecte en rien l’environnement de la place. Il est vrai que le réaménagement général de cette même place Pigalle dans le cadre des travaux des Espaces Civilisés relève plus du saccage général et d’une transformation de la place en nœud de circulation routière que d’un souci historique ou esthétique. On se demande à quoi a pensé l’Architecte des Bâtiments de France en charge du 9ème en donnant son accord à ce réaménagement, lui qui est le plus souvent si sourcilleux sur des détails de bien moins grande importance.

    C’est donc avec regret et inquiétude que les amoureux de Pigalle ont vu disparaître l’ancien café la Nouvelle Athènes et c’est avec plaisir que nous avons pu constater que le nouveau propriétaire des lieux avait compris son importance en reprenant le même nom, voire son esprit.

    Contrairement à ce nous dit Le Paris du 9e, l’ancien café n’a pas été construit en 1870 et n’a pas donné son nom au quartier, c’est exactement l’inverse. Le nom de Nouvelle Athènes a été donné au quartier sous la Restauration et, à en croire Maryse Goldenberg dans son Guide du promeneur du 9e aux éditions Parigramme, « en témoignage de la grécomanie qui avait saisi les Français lorsque les Grecs se soulevèrent contre la domination turque en 1821 ». Notons d’ailleurs que le quartier de la Nouvelle Athènes correspond plus aux rues St Georges, Notre Dame de Lorette qu’à la place Pigalle.

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    Le café de La Nouvelle Athènes, l’ancien, situé au 9 place Pigalle a été dans les années qui ont suivi la guerre de 1870 le lieu de rendez vous des Impressionnistes. Manet, Monet, Pissarro, Degas, Renoir, Cézanne, Sisley et bien d’autres peintres, tout comme Zola, Maupassant s’y sont croisés. Si cette aventure des Impressionnistes vous intéresse, vous trouverez dans l’excellent livre Histoire de l’Impressionnisme de John Rewald paru chez Hachette collection Pluriel  (10.50€) beaucoup d’informations très détaillées sur les rencontres au café de La Nouvelle Athènes. Et vous trouverez  dans le non moins intéressant L’aventure de l’Impressionnisme de Jean Jacques Lévêque parue chez ACR Edition collection PocheCouleur des reproductions commentées des tableaux de ces peintres, dont ceux montrant le café de la place Pigalle.

    Si l’architecture extérieure du nouveau bâtiment est, disons, contestable, reconnaissons que l’intérieur est très réussi, que l’ambiance musicale  jazz est aussi bien dans l’esprit du Pigalle des années 30 et que l’accueil y est sympathique. Ils ont ouvert une page sur MySpace où vous trouverez le programme musical. Là nous serons d’accord avec Le Paris du 9e, franchissez la porte de La Nouvelle Athènes !
  • Du côté des transports

    478fe66029650ca907e031ffa89d0b40.jpgSébastien a bien voulu nous envoyer les informations suivantes :

    « Je lis souvent votre blog et je pense que ces quelques informations concernant le renforcement des dessertes bus pourraient intéresser votre blog.

    > Renforcement de la ligne 68 (Chatillon Montrouge - place de Clichy) depuis le 8 novembre 2007. Cette ligne est désormais exploitée de bout en bout 7 jours sur 7 ainsi qu’en soirée jusqu’à 23h15. Le service du dimanche est étendu à toute la ligne, alors qu’il était actuellement limité au trajet Porte d’Orléans— Châtillon-Montrouge . Les intervalles vont de 13 à 20 minutes selon les heures. Autre amélioration notable, les derniers départs seront effectués plus tard le soir, à 22h30 de Châtillon — Montrouge au lieu de 20h45, et à 23h15 de Place de Clichy au lieu de 21h28. Ces horaires seront également valables le dimanche soir.

    > Ligne 67. A partir du 14 avril 2008, Extension du service jusqu’à 22h30 et création d’un service le dimanche sur tout l’itinéraire des lignes 67 et 88.

    > 3 décembre 2007: mise aux normes mobilien de la ligne de bus 80 »

     

    Remercions doublement Sébastien de son envoi car, outre ces infos utiles, il nous a permis de découvrir le site Métro-Pole, très bien fait, source de ces informations.

  • Municipales 2008 : à l'UMP

    Une fois n’est pas coutume mais comme Paris Neuvième était invité, nous sommes allés à la conférence de presse de présentation des 20 têtes de liste UMP pour les 20 arrondissements de Paris. Cela se passait à la permanence de Françoise de Panafieu, rue Saint Antoine à deux pas de l’Hôtel de Ville. Seul absent, Pierre Lellouche ! Mais bien présents les "stars" UMP Rachida Dati, Claude Goasguen, Jean Tibéri et surtout Jean Marie Cavada, la vedette du jour ! Sans oublier, bien sûr, la tête de liste pour le 9ème, Delphine Burkli. Toutes les infos concernant les têtes de listes sont sur panafieu2008.fr.
     
     

  • Municipales 2008 : chez Les Verts

    Nicole Azzaro est tête de liste des Verts dans notre arrondissement pour les élections municipales de mars 2008. Elle fait partie de l’équipe des 20 qui accompagnent Denis Baupin dans sa tentative de conquête de la Mairie de Paris.

    Cette productrice de films – c’est son métier – présente un parcours atypique. Arrivée il y a 30 ans de son Maroc natal, elle a suivi des études de psychologie à Toulouse où elle a décroché un DESS. Après avoir exercé quelques années, la naissance de ses deux filles lui donne l’opportunité de travailler avec son mari dans le monde de la production de films et la voilà qui vient s’installer à Paris et plus particulièrement dans le 9ème arrondissement. Mais Nicole Azzaro est aussi Conseillère de Paris, Vice-présidente du groupe Les Verts, Conseillère d’arrondissement avec la délégation de l’aménagement de l’espace public, à l’écologie urbaine. Elle est aussi l’élue référent pour le quartier Clichy-Trinité. Bref, c’est une femme très occupée qui ne compte pas son temps si on y ajoute ses actions militantes au sein de son parti qu’elle a rejoint en 1999.

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  • Municipales 2008 : au MoDem

    M. de Sarnez 21-11-2007
    Vidéo envoyée par ParisNeuvieme

    Dans le cadre de ses visites aux « 80 quartiers de Paris », Marielle de Sarnez, candidate du Mouvement Démocrate (MoDem) à la Mairie de Paris était dans le 9ème ce mercredi 21 novembre.

    C’est en Vélib’, accompagnée de Michel Bulté, Conseiller de Paris, transfuge de l’UMP passé au MoDem, qu’elle arrive en bas de la rue des Martyrs pour une prise de contact avec les militants MoDem locaux dont Jean François Polo, ex-candidat suppléant aux dernières législatives.

    La petite troupe se dirige alors vers le centre Valeyre, puis le Conservatoire en arpentant la rue de Rochechouart. Pas d’autres objectifs à ses visites qu’une prise de contacts et une écoute des Parisiens pour Marielle de Sarnez. De son programme, on ne saura rien. De ses listes non plus. Des accords éventuels avec d’autres partis, pas plus. Les citoyens devrons attendre mais reconnaissons que le MoDem n’est pas le seul dans cette situation.

    La politique serait-elle devenue un produit de consommation courant, objet d’actions marketing ciblées dans l’instant provoquant un achat compulsif ? Les électeurs se satisfont-ils de cette situation ? Voire.

  • Retour sur les deux roues

    Le sujet a été abordé en début de mois et le collectif d’animation du quartier Trudaine Rochechouart se penche actuellement dessus. Une de ses membres nous a fait parvenir l’article suivant :

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    Des vélos et des motos partout !

    Cela ne vous aura pas échappé : les cycles, motorisés ou non, occupent l’espace à Paris ! Plus encore ces jours-ci à cause des perturbations dans les transports en commun. L’absence de bus et de métro a poussé le Parisien, même le moins sportif, a regardé de plus près ces bornes gris métallisé que l’on trouve un peu partout dans Paris depuis l’été. Il s’agit des Vélib’, bien sûr. Certains sont même allés fouiller dans la cave pour sortir la petite reine de leurs jeunes années. Car l’émulation, cela existe. Tout seul sur un vélo, en milieu de la circulation automobile moyenne de Paris, cela prend parfois les allures d’une aventure plus risquée que la traversée du Ténéré. Mais, quand on est dix, devant la première rangée de voitures, à attendre que le feu passe au vert, c’est différent. On se sent légitime ! On se sent plus fort.  Et en ce moment, plus astucieux même, en traversant le pont de la Concorde, sur la file de droite, alors que les automobilistes pestent derrière leur volant… sans avancer.

    Il y a toutefois un revers à cette médaille. Tous les cyclistes et tous les motards ne sont pas également respectueux du code de la route et leurs comportements s’échelonnent entre la délicatesse polie et courtoise (je vous en prie, mais passez-donc, Madame…) et la plus brutale sauvagerie (va donc, hé, « nom d’oiseau » !). Les passants s’en émeuvent plus que les automobilistes. Peut-être parce qu’ils se sentent plus fragiles sur leur trottoir, pris d’assaut par les moto- et cyclistes indélicats.

    Quoi qu’il en soit, les protestations fusent. Il n’est pas une réunion de conseil de quartier où l’on ne dénonce le comportement « intoooooolérable » des motos et des scooters, moins souvent des vélos, soyons honnêtes.

    Nous avons donc pensé au sein du collectif de Trudaine Rochechouart à mettre à l’ordre du jour de notre prochain conseil : le code de la rue.

    Qu’est-ce ? Direz-vous.

    Venez ! Vous le saurez !

    Non, je plaisante. Bien sûr, si vous venez, vous en saurez plus, car il faut bien préserver un peu de suspens.

    Quelques mots simplement ici, pour vous donner envie d’en savoir davantage.

     

    C’est l’observation des difficultés à partager l’espace public dans les zones urbaines qui est à l’origine de ce code de la rue, mis en application notamment en Belgique.

    C’est aussi le souci d’inverser les statistiques sur les accidents corporels, dont le nombre était très élevé chez nos voisins, il y a encore peu.

    Enfin, une communication intelligente de grande envergure pour entamer une modification durable du comportement des personnes qui utilisent l’espace public.

    Un principe de vulnérabilité est apparu qui définit des priorités différentes de celles du code de la route, élaboré, lui, pour permettre aux automobiles d’utiliser les voies carrossables selon un ordre cohérent, qui préviennent les accidents.

     

    Si ce sujet vous intéresse, des rapports de qualité sont en ligne.

    Voyez par exemple le rapport de Brigitte Le Brethon, députée Maire de Rouen : Propositions pour encourager le développement de la bicyclette en France.

    Des détails techniques sur les dispositifs en faveur d’un meilleur partage de l’espace public se trouvent sur le site du Club des Villes Cyclables à la rubrique Documentation>Les fiches CERTU/CLUB « Le vélo, un enjeu pour la ville ».

     

    Le conseil de quartier Trudaine Rochechouart se tiendra le 27 novembre 2007, dans l’école maternelle 68-70 rue de Rochechouart, à 19h30.
  • Municipales 2008 : pour l’UMP, c’est Delphine !

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    C’est l’œil gourmand et avec un sourire légèrement esquissé que Delphine Burkli nous reçoit à la permanence UMP de Pierre Lellouche, au coin des rues Rodier et de Maubeuge. Bien que l’annonce officielle ne soit pas encore faite, Delphine est tête de liste UMP pour la conquête – reconquête – du 9ème arrondissement de Paris. Comment cette jeune femme célibataire de 33 ans en est elle arrivée là ?

    « Burkli, c’est suisse » dit elle avec une pointe de fierté, faisant référence aux origines de son grand-père. C’est assez jeune que le virus de la politique l’a prise. Le même grand-père, syndicaliste, l’a sensibilisée aux autres, à la chose publique. Ses études universitaires à Paris IV (histoire-géographie) l’ont certainement confortée dans ses goûts et dès 1992 – année de ses 18 ans – la voilà inscrite au RPR avec en tête les idées de Philippe Seguin et François Fillon qui avaient à l’époque la réputation d’être des « gaullistes sociaux », en quelque sorte l’aile gauche du parti. Divers concours de circonstances lui ont fait rencontrer Pierre Lellouche et dès lors son sort est scellé. En 1997, la voilà attachée parlementaire du député et elle gravit tous les échelons pour en être aujourd’hui la Directrice de cabinet, tout en se faisant élire par les militants en avril 2006 déléguée UMP pour la 4ème circonscription de Paris (8ème & 9ème arrondissements). « J’ai le culte du travail » confie-t-elle, « et je suis pragmatique. Il faut être sur le terrain, travailler, monter les échelons petit à petit ».

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  • Municipales 2008 : à l'UMP

    Ainsi Pierre Lellouche ne sera pas candidat dans le 9ème mais dans le 8ème. On peut interpréter de façons très différentes ce départ mais il est, à n’en pas douter, le signe que l’UMP ne croit plus guère à la reconquête de notre arrondissement lors des prochaines élections municipales. Cela ne fait que souligner le courage de Delphine Burkli qui reprend le flambeau. La liste des candidats UMP pour le 9ème devrait être connue dans les prochains jours et Paris Neuvième rencontrera la candidate samedi 17 pour un premier entretien de présentation.

  • Film Festival ALIMENTERRE 2007

    La bande annonce

  • Alimenterre 2007

    666eed98c148d1713cdd6dd3c8733123.jpgLe Comité Français pour la Solidarité Internationale, basé rue Le Peletier, organise dans le cadre de ses actions d'Education au Développement, le Festival de films AlimenTERRE 2007.

    Ce Festival a lieu au cinéma de l'Entrepôt du 19 novembre au 10 décembre. Voici les informations que le Comité nous a fait passer :

     

    4 lundis pour mettre des images et des mots sur les désordres alimentaires du monde

    En avoir trop ou ne pas en avoir assez, combattre quelquefois en un même pays, la faim et l'obésité : notre alimentation est aujourd'hui un vrai sujet de société. Manger est un plaisir mais surtout une nécessité vitale. Quelle alimentation souhaitons-nous et comment est-elle produite ? Comment ceux qui produisent peuvent-ils en vivre dignement au Nord comme au Sud ? Derrière l'assiette, on oublie trop souvent qu'il y a le paysan ! Malbouffe, excès de l'agriculture industrielle, persistance de la faim dans le monde et menace sur la biodiversité : Il est temps de restaurer le lien entre le citoyen et le paysan, entre l'alimentation et sa production.
     

    Festival ALIMENTERRE, alimentons le débat sur l'agriculture et l'alimentation de demain !


    Au menu des quatre lundis : des projections de films documentaires suivies de débats


    Lundi 19 novembre à 20h00 :

    "Paysans, une "espèce" menacée ?"


    Lundi 26 novembre à 20h00 :

    "Manger ou conduire, il faut choisir ?"


    Lundi 3 décembre à 20h00 :

    "OGM : en quoi ça gêne ?"


    Lundi 10 décembre à 20h00 :

    "Agrobusiness : alerte à Mal-y-bouffe !"

     

    Plus d'informations sur les films et les intervenants avec la bande annonce du festival !

     

    Le lieu
    Au cinéma de l'Entrepôt, 7-9 rue Francis de Pressensé, 75014 PARIS - Métro Pernety


    Prix des places et inscriptions

    Entrée : 7 euros par soirée. Pour être sûr d'avoir une place, réservez-la !