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L’histoire de la capitale se confond avec la grande histoire politique de la France, dont elle est à la fois le cœur et le poumon. Mais c’est aussi le lieu d’une histoire spécifique, dont il est passionnant d’inventorier les figures emblématiques, les forces, les groupes, les partis, les sensibilités diverses, mais aussi les traditions, les rituels, les valeurs, les enjeux et les symboles particuliers, et bien sûr les moments, les rendez-vous majeurs qui ont rythmé la vie parisienne depuis l’avènement de la démocratie.
Exposition en 4 grandes parties
Paris révolté 1880-1914 Paris divisé 1918-1944 Paris libéré 1945-1977 Paris incarné 1977-2001
L'exposition est ouverte à tous, gratuite, et visible dans la Mairie du 10e du 4 avril au 31 mai 2011
Du lundi au vendredi de 9h30 à 17h00 Nocturne le jeudi jusqu’à 19h30 Samedi de 9h30 à 12h30
Depuis lors, nous avons surveilléla façade de cet immeuble haussmannien, étonnés de l'indifférence de ses habitants.
Un mois plus tard, la devanture a été quelque peu modifiée, preuve que lorsque les services veulent agir rapidement, c'est possible. Certes, on a hérité maintenant d'une « soubrette », pas mieux côté image de la femme. La photo est plus discrète. Il y a encore bien des actions à mener pour faire évoluer les esprits...
Appréciez au passage la modernité du balai en fibres de coco !
Une fois de plus ce vendredi, nous avons vu passer l'équipe de lavage au jet à haute pression avant la collecte des ordures ménagères. Nous voulons bien entendre que les équipes ont chacune leur mission, que la coordination n'est pas simple, qu'il faut compter avec les malades, les congés, les défections, les embouteillages, que sais-je encore ? mais soyons francs, qui peut penser que le trottoir fraîchement lavé - parfois il n'est que mouillé par le jet, qui balaye la largeur du trottoir entre chaussée et immeuble, dans un mouvement de balancier - donc qui peut penser que le trottoir restera dans cet état après le passage de la collecte. Ce n'est pas que ces équipes fassent mal leur travail. Non, elles le font plutôt bien, mais à l'inverse de ce qui devrait se faire. C'est un peu comme passer l'aspirateur avant de faire les poussières sur les meubles avec un plumeau ! (même si le plumeau est un peu désuet, je le concède...)
Cela n'a pas manqué ! 10h45 Dans le quart d'heure suivant la collecte est passée. Puis quinze minutes plus tard encore, 11h08, la voiturette d'eau à haute pression pour le second trottoir qui aura eu plus de chance, puisqu'il sera lavé APRES la collecte.
Avec les élus, nous acceptons le fait que laver et laver encore n'est peut-être pas l'unique solution, il faudrait aussi salir moins, mais dans ce cas, initions les agents de la DPE à ce principe aussi. Nous n'aimons pas dénoncer, pourtant il faut dire que les déchets qui tombent malencontreusement des bacs quand on les manipule restent au sol, la plupart du temps. Ce qui déborde des corbeilles de rue quand les sacs en plastique sont changés, idem. En conséquence, quand le lavage est déjà passé, ces résidus restent jusqu'au prochain lavage.... au mieux jusqu'au prochain balayage.
Ajoutez à cela la disparition des concierges (je préfère concierge à gardien qui ne reflète pas la réalité des genres et qui historiquement n'est pas correct, la concierge parisienne, c'est la bignolle !) qui nous manquent pour tous les services qu'elles rendaient à la collectivité, et le petit coup de balai final.
Beaucoup de poésie pour ce funambule qui, aidé de son grand parapluie noir, défie les lois de la pesanteur le long de ce minuscule rebord.... sur la façade d'un immeuble en retrait rue du Département (Paris 18e).
Vus également, sur les piliers du viaduc du métro (où c'est bien entendu interdit) des collages se rapportant au festival de tango qui a eu lieu au Centre Barbara dimanche dernier.
A entendre nos politiques, on pourrait croire qu’ils viennent d’inventer l’eau tiède. C’est un peu sous cet angle que notre maire a présenté le choix de la municipalité parisienne d’investir dans Autolib’ avec le groupe de Vincent Bolloré afin de proposer la petite voiture électrique un peu partout dans les rues de Paris dès la fin de cette année 2011.
Les expérimentations ne datent pourtant pas d’hier. Vive l’INA et ses archives, qui nous présentent, preuves à l’appui, puisque ce sont souvent des vidéos issues des JT, les dernières trouvailles de l’industrie et ses applications dans la société.
Nous ne résistons pas au plaisir de vous donner ici le lien vers ces deux minutes de découverte des futures bornes d’alimentation libre service (« une véritable révolution ! » dit le commentateur). Carte magnétique, informatique sans pitié et Apple d’époque de Hugues, qui nous entraîne dans ce voyage d’exploration en voiture électrique. Il existait déjà une vingtaine de modèles électriques à l’époque… ça laisse rêveur en 2011, soit presque vingt ans plus tard.
Découverte encore plus intéressante dans les archives de l’INA : en 1973, la voiture comme moyen de transport dans la cité commençait à être remise en cause. Certains Suisses (l’Institut Battelle de Genève notamment) la considéraient déjà comme un anachronisme en ville en lui concédant tout juste un avenir en rase campagne… L’homme, Monsieur Bouladon, était très en avance, réaliste mais sans doute peu écouté. Très intéressant, vraiment.On osait dire que les industriels ne faisaient pas beaucoup d’efforts. Ceux-ci rétorquaient qu’il s’agissait plutôt d’un problème de source d’énergie… L’environnement ? "un à-côté folklorique" vu par les industriels… avançait Lionel Stoleru, qui semblait déplorer le peu d’intérêt suscité par la voiture électrique.