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Dans le 10ème - Page 25

  • Tous à l'Assemblée générale d'Action Barbès!

    Nous vous attendons nombreux ce soir, pour la traditionnelle assemblée générale de notre association. Ce sera l'occasion pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore la librairie "Les libraires associés" de découvrir ce beau lieu au 3 rue Pierre l'Ermite dans le 18ème arrondissement. Après le travail, nous poursuivrons la soirée dans un restaurant du quartier !

     

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  • Rencontre avec la direction de l'hôpital Lariboisière

    Les travaux du nouveau Lariboisière ont commencé depuis plusieurs mois, ou plus exactement la phase de démolition. Nous avions assisté à la présentation du projet en mars de l'an dernier (voir notre article du 30 mars 2017). 

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    Les premiers coups de pelleteuse ont été pour le bâtiment Morax, à l'angle des rues Ambroise-Paré et Maubeuge. Un nouveau bâtiment sera bientôt érigé et il accueillera les services techniques, informatiques et de communication, ainsi que le laboratoire d'anatomo-pathologie. Au rez-de-chaussée, un espace de restauration est prévu.

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    Bâtiment Morax

    Le calendrier des travaux est à peu près respecté, à trois mois près, un retard dû à des raisons d'appels d'offres . La construction du "Nouveau Morax" est prévue début 2019 pour une durée d'un an. Ensuite, les bâtiments qui accueillent actuellement diverses activités dont les services techniques, les laboratoires, et sont situés vers le boulevard de la Chapelle, au bout de la rue de Maubeuge, seront à leur tour détruits.

    L'ouverture du nouveau Lariboisière est prévue pour 2023. Il faudra alors transférer les activités d'hospitalisation et le plateau technique dans le nouveau bâtiment. Après la réhabilitation du bâtiment Galien, les activités d'addictologie, psychiatrie et médecine physique de Fernand-Widal rejoindront Lariboisière. La parcelle située le long de la rue Guy-Patin sera ensuite vendue (2024-2025) et devrait accueillir très probablement des logements.

    L'entrée principale des piétons se fera boulevard de la Chapelle avec une dépose-minute prévue. Pour les urgences, ce sera rue de Maubeuge.

    Nous avons aussi évoqué la modification de la piste cyclable du boulevard de la Chapelle dans le cadre de la Promenade urbaine. Initialement, les trottoirs devaient être élargis le long de l'hôpital, la piste cyclable étant conservée, pour ne laisser qu'une seule voie de circulation. L'hôpital a demandé qu'il soit tenu compte des impératifs d'accès des véhicules de secours. Les trottoirs resteront donc inchangés, au moins jusqu'à 2023. La piste cyclable protégée disparaît et Action Barbès le regrette. Les cyclistes devront désormais cohabiter avec les véhicules d'urgence dans un couloir élargi. Espérons que cette voie ne servira pas aux automobilistes et deux-roues motorisés pressés. On ne garantit rien !

  • Animations dans les squares

    Dans le cadre de l'événement Jardins ouverts en Ile-de-France, certains squares accueilleront des animations dans nos quartiers. Ce sera le cas  dans le 10e arrondissement dans le square Saint-Laurent, samedi 29 septembre, et dans le 18e arrondissement dans le square Jessaint, dimanche 30. Au menu notamment, un  atelier découverte.

     

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    Tout le programme est consultable ici : jardins ouverts

  • Pour les amateurs de bandes dessinées

    La médiathèque Françoise Sagan propose plusieurs évènements autour de la bande dessinée avec Formula Bula, du 28 au 30 septembre.

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    Expositions, lectures, dédicaces, ateliers, musique, jeux sont au programme au sein de la médiathèque, et également dans les rues avoisinantes. Tout le programme est consultable ici.

    Bibliothèque Françoise Sagan, 8 rue Léon Schwartzenberg, Paris 10e.

  • Retour sur le Comité de suivi de la ZSP

    Le mardi 11 septembre dernier, Action Barbès a assisté au commissariat du 19ème arrondissement à la réunion du comité de suivi de la ZSP "Barbès-Chapelle-Lariboisière". Côté police, étaient présents le commissaire divisionnaire Rigon, les commissaires du 10ème et du 18ème arrondissements et les responsables de secteur de la ZSP ; côté ville, Sarah Proust, adjointe au maire du 18ème arrondissement, et Stéphane Bribard, adjoint à la maire du 10ème arrondissement, tous deux chargés de la sécurité, ainsi que les responsables administratifs de ce secteur. Les associations et collectifs habituels étaient présents, à l'exception de l'association SOS La Chapelle qui avait fait savoir qu'elle boycottait cette réunion pour protester contre la dégradation de la situation durant l'été.

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    La réunion a débuté par le bilan des actions menées par les services de police sur le secteur de la ZSP portant sur les huit premiers mois d'activités en 2018, à savoir, 8791 faits constatés (contre 10140 pour la même période en 2017) dont 3171 de délinquance de voie publique (3282 en 2017). Même si elle n'est pas forcément palpable dans le quotidien des habitants, il y a une baisse significative des faits constatés, alors que le renforcement des effectifs policiers auraient dû au contraire l'augmenter. Si le chiffre des vols avec violence reste stable (824 en 2017 et 811 en 2018), celui sur les infractions aux stupéfiants est en nette régression avec une baisse de 11% (827 en 2017 et 736 en 2018). Concernant les ventes à la sauvette, sans distinction entre les différents types de vente, il a été procédé à 34297 évictions, 6820 PV simplifiés, 523 interpellations, l'ensemble représentant 76 tonnes de marchandises saisies.

    Pour ce qui est de la mairie du 18ème arrondissement, et de la DPSP en particulier, le bilan à huit mois montre une augmentation de 46% des PV pour dépôt sauvage, de 15% pour jet de mégot de cigarette et de 12% pour les ventes à la sauvette. L'ensemble représente 5094 PV. Il a été dressé 12506 PV pour stationnement gênant dont 5800 pour le seul secteur de Château Rouge. 

    La prise de parole des associations et collectifs s'est focalisée sur la situation de la place de la Chapelle qui s'est très fortement dégradée durant le mois d'août dernier. Une situation largement aggravée par l'absence d'éclairage public durant trois semaines. Tous ont déploré la gestion du problème par la mairie du 18ème arrondissement qui a tardé à réagir et dont la communication sur les réseaux sociaux a fortement agacé. Sarah Proust s'est abritée derrière des questions de délais d'intervention et la complexité des chaînes de procédure, une explication qui n'a satisfait personne. La situation s'est encore compliquée avec le démantèlement répété du campement sauvage d'usagers de crack à la porte de la Chapelle, qui a précipité un grand nombre de ces derniers dans les rues du secteur et un retour marqué à Stalingrad, recréant une situation de scènes de drogue qui avait disparue depuis plusieurs années à cet endroit. À notre avis, cela plaide pour l'ouverture d'autres salles de consommation à moindre risque (SCMR) que nous demandons de longue date, notamment pour les usagers de crack, l'éviction ne faisant que repousser encore et encore les problèmes créés par la consommation de drogues dans l'espace public. Cela éviterait également de laisser seule la SCMR de la rue Ambroise-Paré où prennent ancrage tous les usagers de drogue du Nord parisien.

    La question des "mineurs marocains" a été évoquée et particulièrement la venue d'une délégation consulaire du Maroc (et non la police marocaine comme il a pu être dit) pour collaborer avec la police française afin d'identifier ces jeunes. Ce travail a permis d'en identifier une trentaine ayant atteint la majorité. La police française a également échangé avec la police suédoise, la Suède connaissant la même présence de mineurs marocains mais dans des proportions beaucoup plus considérables qu'à Paris. Pour notre part, malgré les effort engagés par la ville, nous déplorons toujours qu'une solution durable de prise en charge de ces mineurs, souvent dans des états de santé très inquiétants, et sombrant durablement dans la petite délinquance, ne soit trouvée.

    Plus généralement, et quel que soit le secteur, Marcadet, Marx-Dormoy, La Chapelle ou encore Barbès, les associations et collectifs ont tous marqué leur impatience de voir se concrétiser enfin une réelle amélioration, notamment pour des phénomènes signalés et connus de longue date. En ce sens, Action Barbès a déploré que le pourtour de la station Barbès-Rochechouart soit toujours totalement confisqué par les "vendeurs de clopes", rendant très difficile la vie des habitants et des commerçants du secteur et en particulier pour le kiosque à journaux dont l'activité pâtit très fortement de cette situation. De même, nous avons déploré que perdurent des situations pourtant connues depuis longtemps des autorités, et laissent les habitants dans la perplexité la plus totale face à ce qui peut sembler être une forme d'impunité dont semblent bénéficier certains, à l'instar de cette association cultuelle qui transforme tous les dimanches le parvis de Saint-Bernard en parking ou encore tel café rue Cavé dont la clientèle s'éparpille tout autour et occupe les trottoirs créant une gêne incontestable pour les riverains.

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    Carotte de buraliste nuitamment installée au coeur du marché de vente de cigarettes, samedi 15 septembre 2018 (photo JRB)

     

    Le cours de cette réunion a été amplement marqué par l'agacement et l'impatience des habitants qui sont vraiment las d'un quotidien difficile sur certains secteurs et exigent de la ville et de l'État, via la préfecture de police, qu'enfin la vie de nos quartiers redevienne plus paisible et vivable pour tous, les habitants mais aussi les commerçants, les artisans et les visiteurs.

  • Prochain conseil de quartier Saint-Vincent-de-Paul - Lariboisière

    Pour sa rentrée, l'équipe d'animation du conseil de quartier a choisi comme thème : "Quelles priorités pour améliorer notre quartier ?". Au menu, sécurité, circulation,propreté, des sujets déjà abordés lors de précédents conseils et qui restent d'actualité. L'équipe donne rendez-vous aux habitants le 17 septembre de 18h30 à 21h au 3 rue de Belzunce dans l'école élémentaire.

    On nous annonce la présence d'Alexandra Cordebard, maire du 10e arrondissement et de responsables des services de la Ville de Paris.

     

     

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    Pour tout savoir sur les conseils de quartier du 10e arrondissement, cliquez ici.

  • Budget participatif, les projets à soutenir

    L'édition 2018 du budget participatif aborde la dernière ligne droite, à savoir le moment du choix des projets retenus par les services de la Ville. Ce sont les habitants qui, par leurs votes, détermineront les projets à réaliser. Cette année encore, Action Barbès en a présenté plusieurs.

    Commençons par le projet Lariboisière qui, lui, a été retoqué pour la seconde fois. De quoi s'agit-il ? En 2015, nous avions suggéré que les murs d'enceinte de l'hôpital, murs fortement dégradés rue de Maubeuge et boulevard de La Chapelle, puissent servir de support à des œuvres artistiques, en attendant les travaux du futur hôpital. Cette année-là, les services avaient estimé que ces murs, n'appartenant pas à la Ville, ne pouvaient donc pas bénéficier d'un budget d'embellissement. En 2018, encouragés par les élus, nous avons relancé cette idée. Il semblait, d'après nos informations, que cette fois, l'obstacle serait levé. Nouvelle déception. En effet, cette fois encore, la Ville nous a expliqué qu'il ne pouvait pas y avoir de budget participatif pour des projets non pérennes ! Voici la réponse:

    "Nous vous informons que le projet « Fresques temporaires sur les murs d'enceinte de Lariboisière » ne peut être retenu pour la raison suivante :

    Votre projet ne relève pas du budget d’investissement. En effet, la création de fresques temporaires représente une dépense de fonctionnement. Or, le budget participatif de Paris est consacré spécifiquement au financement de projets d’investissement ayant un impact durable sur le patrimoine de la collectivité.

    Sachez que vous avez la possibilité de vous associer à d’autres projets et de concourir à leur succès. Pour ce faire, rendez-vous sur la fiche du projet que vous souhaitez suivre et cliquez sur le bouton « je m’associe ». Cette fonction vous permet d’être informé·e de tous les temps forts liés à la mise en œuvre de ce projet.

    Pour toute question, vous pouvez consulter la foire aux questions du budget participatif ou nous écrire à budget.participatif@paris.fr

    L'équipe du budget participatif de la Ville de Paris"

    Or, début juillet, lors d'une réunion de "Tous mobilisés pour Goutte d'Or sud", nous avons pourtant constaté que le projet de frise provisoire sur le mur de la place Polonceau, projet du budget participatif, sera, quant à lui, bien réalisé. Allez comprendre...

     

    Les projets d'Action Barbès retenus

    Mais restons dans un esprit positif, car si le projet pour Lariboisière n'a pas été retenu, d'autres l'ont été.

    - Premier projet, pour le 18ème arrondissement : « Mettons en valeur l’église Saint-Bernard ! » qui concerne également la rue Jean-François Lépine (la page de présentation est par là). Il s'agit de mettre en valeur ce monument historique ainsi que la perspective monumentale qui l'y conduit.

    - Second projet, parisien celui-ci : « Barbès – La Chapelle – Stalingrad : Une promenade urbaine lumineuse et solidaire ». Cette proposition a pour but de compléter le projet de la promenade urbaine dont les travaux ont été lancés au début de l’été, notamment pour déployer un très beau projet d’éclairage pour mettre en valeur le viaduc du métro.  (la page de présentation est par là )

     

    Nous vous invitons à voter et à faire voter pour ces projets qui permettraient d’améliorer et valoriser le cadre de vie de nos quartiers.

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    Tous les parisiens peuvent voter pour le budget participatif, sans condition d’âge ni de nationalité. Pour voter, il suffit de s’inscrire en ligne sur le site dédié et de choisir de un à quatre projets parisiens, et de un à quatre projets pour son arrondissement : 

    Il est également possible de voter dans une des urnes dédiées au budget participatif.  La carte est des urnes disponibles est par ici.

  • Rencontres interculturelles dans le 10e

    Du 9 au 29 septembre aura lieu la 23e saison des rencontres interculturelles du 10e avec pour thème "Femmes dans la cité". Balades urbaines, conférences, expositions et débats seront au programme et l'évènement commencera par une fête sur le canal Saint-Martin le dimanche 9 septembre. Le groupe Beija animera la soirée d'ouverture lundi 10 à 19h à la mairie de l'arrondissement.

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    Pour connaître l'intégralité des festivités, cliquez ici.

  • Une boulangerie à découvrir rue de Dunkerque

    La boulangerie du 36 bis rue de Dunkerque n'est pas nouvelle mais elle a changé de main (et de pains) depuis mars de cette année. Aurélie Ribay a repris le flambeau dans un domaine peu investi par des femmes. Nous sommes allés à sa rencontre un jour de canicule ! Pour autant, elle n'a pas été avare de son temps pour répondre à nos questions.

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    D'où vient votre envie de reconversion ?

    J'ai travaillé pendant vingt-cinq ans dans le secteur bancaire, un emploi qui m'a donné des satisfactions certes, mais un monde devenu trop abstrait. Me reconnecter à la vie et aux choses essentielles devenait nécessaire, et j'avais besoin de créer du lien, de retrouver des contacts. Il y a deux ans, j'ai donc quitté mon entreprise. Je ne savais pas alors ce que j'allais faire et je n'aurais jamais imaginé être aujourd'hui boulangère et chef d'une petite entreprise. Au hasard d'une rencontre chez un boulanger, j'ai eu un vrai déclic. Les odeurs, le toucher et les sensations quand on met les mains dans la farine ont été comme une révélation. Pourtant, on part de presque rien : de la farine, de l'eau et du sel pour créer des pains différents. On est dans le vivant !

    J'ai donc suivi une formation de neuf mois à l'Ecole des boulangers de Paris et cherché un local. La boutique de la rue de Dunkerque a été un coup de cœur. Je tenais à avoir la possibilité d'un enfournement à la pelle et sans façonneuse. Les baguettes sont ainsi faites à la main.

    Comment s'est passée votre installation dans le quartier ?

    J'ai reçu un excellent accueil des commerçants du secteur et des riverains. J'ai ouvert avec deux employés. Mais après deux jours d'ouverture, j'ai vite compris que je ne pourrais pas assurer. Sous-estimation de l'organisation générale  et une clientèle au rendez-vous plus nombreuse que celle que j'avais imaginée. Il me fallait embaucher et vite ! L'équipe est désormais constituée d'un autre boulanger, d'un pâtissier tourier (tartes, gâteaux, viennoiseries) et de deux personnes à la vente. Je viens juste de recevoir la certification bio pour les pains.

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    Des idées pour la suite ?

    Actuellement, je vends  des fromages au lait de brebis du pays basque proposés par un Basque qui est dans le quartier. Il a fait des animations récemment dans la boulangerie. J'ai envie de développer d'autres ventes en fonction de mes rencontres, et toujours avec des produits de qualité. Mais le temps me manque. Je commence à cinq heures du matin et termine souvent après vingt et une heures. Ce sont de longues journées.

    N'hésitez pas à pousser la porte d'Aurélie Ribay. L'accueil est chaleureux et le pain est bon. Souhaitons longue vie à ce commerce de proximité !

  • Histoire de Lariboisière : 5. Évolutions, extensions, rénovations...

    L'hôpital Lariboisière est actuellement en train de connaître de grands changements avec le lancement du "Nouveau Lariboisière" qui bouleversera à terme la physionomie de cet établissement hospitalier parisien situé au Nord du dixième arrondissement à quelques mètres du carrefour Barbès ainsi que du quartier qui l'entoure. À cette occasion, nous consacrons une série estivale d'articles consacrés à l'histoire de l'hôpital Lariboisière en s'intéressant particulièrement aux bâtiments et à leur environnement urbain.

    1. Le Clos Saint-Lazare
    2. Le Versailles de la misère
    3. 1848 : La République chasse Louis-Philippe
    4. Une comtesse remplace la République
    5. Évolutions, extensions, rénovations...

     

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  • Histoire de Lariboisière : 4. Une comtesse remplace la République

    L'hôpital Lariboisière est actuellement en train de connaître de grands changements avec le lancement du "Nouveau Lariboisière" qui bouleversera à terme la physionomie de cet établissement hospitalier parisien situé au Nord du dixième arrondissement à quelques mètres du carrefour Barbès ainsi que du quartier qui l'entoure. À cette occasion, nous consacrons une série estivale d'articles consacrés à l'histoire de l'hôpital Lariboisière en s'intéressant particulièrement aux bâtiments et à leur environnement urbain.

    1. Le Clos Saint-Lazare
    2. Le Versailles de la misère
    3. 1848 : La République chasse Louis-Philippe
    4. Une comtesse remplace la République
    5. Évolutions, extensions, rénovations...

     

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  • Histoire de Lariboisière : 3. 1848 : La République chasse Louis-Philippe

    L'hôpital Lariboisière est actuellement en train de connaître de grands changements avec le lancement du "Nouveau Lariboisière" qui bouleversera à terme la physionomie de cet établissement hospitalier parisien situé au Nord du dixième arrondissement à quelques mètres du carrefour Barbès ainsi que du quartier qui l'entoure. À cette occasion, nous consacrons une série estivale d'articles consacrés à l'histoire de l'hôpital Lariboisière en s'intéressant particulièrement aux bâtiments et à leur environnement urbain.

    1. Le Clos Saint-Lazare
    2. Le Versailles de la misère
    3. 1848 : La République chasse Louis-Philippe
    4. Une comtesse remplace la République
    5. Évolutions, extensions, rénovations...

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