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Actualité - Page 121

  • Accueil mitigé réservé aux bâches publicitaires sur les façades d'immeuble

    Au bon temps du Grenelle II de l’environnement, quelle était donc l’intention des inspirateurs du décret qui vise à étendre l’autorisation de la publicité sur les bâches de chantier de rénovation des immeubles d’habitations en copropriété ?

    Créer une incitation forte en direction des copropriétaires en faveur de la rénovation énergétique en leur procurant une source de revenus jusque là non envisagée (la location mensuelle d’un bon emplacement peut rapporter plusieurs dizaines de milliers d’euros) ?

    Mais néanmoins

    Limiter l’impact de la pollution visuelle en n’autorisant l’affichage publicitaire que sur une surface de 12 m2 ? (plutôt que 50 % de la surface totale comme sur les monuments)

    Et permettre aux pouvoirs publics de garder un regard sur le marché en soumettant les installations à autorisation préalable ?

    On peut déjà noter des réactions négatives des deux côtés :

    Les anti-pub protestent contre cette ouverture à la publicité sur les façades, après une autorisation assez semblable pour les monuments historiques (en février ce décret avait fait l'objet d'un sondage dans Le Figaro qui laissait apparaître que 6 lecteurs sur 10 y étaient plutôt défavorables). Sans parler des zones à publicité renforcée toujours en place à Paris, comme sur la place Pigalle ou près des gares, des périphériques, aux entrées de Paris… qui ne sont pas du meilleur effet et qui déplaisent.

    dior_conciergerie.jpgLe 17 mai, le Conseil de Paris a d'ailleurs voté un voeu pour réduire la taille des surfaces publicitaires sur les bâches de chantier des monuments parisiens (pour l'instant elles ne doivent pas excéder 50% de la surface totale de la bâche). La Ville souhaite ramener la proportion à 16% et orienter les annonceurs vers des idées originales, sinon esthétiques. Une meilleure intégration dans l'environnement... Le vrai débat aura lieu au moment de la discussion sur le nouveau réglement de la publiclité en juin.

    Pour autant le décret prévu pour la mi-juillet ne satisfait pas non plus les professionnels de l’immobilier. Ils arguent que la surface autorisée n’est qu’un confetti (un timbre poste, auraient-ils dit) et qu’elle ne peut intéresser les publicitaires confrontés au coût élevé de la confection de la bâche et de l’impression publicitaire sur celle-ci.

    Alors ? S’agit-il d’une cote mal taillée ? On a cédé aux pressions, mais pas totalement. D’ailleurs, est-ce bien équitable d’offrir à travers la publicité des moyens financiers à certaines copropriétés plutôt qu’à d’autres ? Il semble acquis que les bons emplacements (fréquence de passage, perspective intéressante, retrait sur boulevard, place) seront estimés à des tarifs de location supérieurs à d’autres moins bien situés, et qu’il est tout aussi important de rénover, voire d’améliorer le bilan énergétique de ceux-ci comme de ceux-là. La majorité des façades n'intéressera pas du tout les annonceurs et les copropriétaires se débrouilleront avec leur facture.

    Côté publicité, c’est aussi une façon de siphonner les budgets publicitaires de certains secteurs d’activité, qui comprennent encore des entreprises florissantes et dont les dépenses publicitaires vont à la presse, aux médias en général, qui en ont bien besoin. Nous pensons aux entreprises de luxe et de cosmétique, à l’horlogerie, aux industries automobiles, aux banques et compagnies d’assurance, aux technologies de pointe, que l’on voit un peu partout s’étaler sur les murs dans les capitales étrangères qui ont cédé à cette demande. On devrait échapper aux  alcooliers qui sont soumis à des restrictions particulières en France.

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    Les bâtiments annexes de la SNCF, gare du Nord, à peine reconnaissables en juin 2009.

     le sujet dans la presse : Le cercle des Echos du 4 mars 2011 ; L'Expansion du 13 mai 2011, Le Moniteur du 17 mai 2011 ; rue89 du 28/05/2011

     

  • Ca s'est passé près de chez nous

    Carte scolaire, mixité sociale, angoisse des parents, nombreux a priori, tout était là pour illustrer la situation conflictuelle qui a opposé la mairie du 18e aux parents d'élèves de l'école maternelle de la rue André del Sarte (18e, à l'est du boulevard Barbès).

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    Les arbres de la cour de l'école rue Richomme, vus de la rue Erckmann-Chatrian.

    Nous vous proposons de lire et surtout d'écouter les témoignages des parents d'élèves de cette bataille moderne autour de la scolarité dès le cours préparatoire. Bien sûr chacun veut le mieux possible pour ses propres enfants. Reste à définir précisément ce qui est le mieux...

    C'est sur le site de dixhuitinfo.com. Merci à eux pour ce très bon reportage.

  • Pour les jeunes... tous au parc de la Turlure

    JEUNES EN SCENE DANS LE 18e


    Samedi 28 mai 2011
    De 15h À 19h
    Square Marcel Bleustein-Blanchet dit parc de la Turlure
    Derrière le Sacré-Coeur à Montmartre.
    Accès par le funiculaire de Montmartre (Place Suzanne Valadon)


    Layone%20-%20Les%20ecrits%20restent%20Pochette%20CD.jpgLa deuxième édition de cet événement parrainé par le rappeur LAYONE, révélateur de talents 100% made in 18, est une scène ouverte dédiée aux jeunes, mixant cultures urbaine et classique.
    Rap, hip hop, rnb (R&B au choix) et rock auront la part belle côté musique, mais pas seulement puisque le Conservatoire du 18e jouera sur scène la pièce musicale composée pour l’occasion. Côté danse, c'est l'éclectisme qui l'emporte avec un coupé décalé, des danses du monde ou encore du Krump et du hip-hop. Et tout ceci orchestré par une invitée d'honneur la chanteuse de rnb Lu'Divine.
    Tous les ingrédients sont donc réunis pour une belle après-midi musicale, festive et solidaire avec et pour les jeunes de tous les quartiers du 18e.
    Le maire du 18e, Daniel Vaillant, et son adjointe chargée des Âges de la vie (petite enfance, jeunesse, famille), Violaine Trajan, ouvriront la représentation pour encourager les participants qui se préparent depuis plusieurs mois.

  • Little paradis

    Du nouveau dans le quartier de la rue de Paradis : les créateurs s'affichent le 26 mai.

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    L'événement avait été bien accueilli en décembre dernier, malgré une fraicheur de saison. Les artistes ont décidé de récidiver : 38 lieux seront ouverts exceptionnellement à partir de 19 heures jusque tard dans la nuit, autour de 23 heures.

    De la rue Lafayette à la rue d'Enghien et de l'Echiquier, de la rue Martel à la rue d'Hauteville, en flânant cour et rue des Petites-Ecuries, rue des Messageries, rue Papillon, rue de Paradis... C'est le printemps du 10e ouest. Avec l'ouverture de bars et restaurants, galeries d'art, studios d'architectes, boutiques de mode, déco et design, indépendants et originaux, ce quartier qui s'étend entre les métros Bonne Nouvelle, Poissonnière, Gare du Nord et Château d'Eau se transforme en l'une des places montantes de la création à Paris, un Little Paradis. (présentation faite par la mairie du 10e)

    Plus d'informations et la liste des 38 lieux de cet événement sur le site de Little Paradis. Nos voisins de Hauteville ont mis en ligne un lien pour chacun des sites ouverts ce soir là, de quoi guider vos pas vers ce qui vous séduira le plus. Merci au blog du quartier Hauteville qui est au coeur du dispositif, bien sûr.

  • Rencontre avec le maire du 10e à l'angle de la rue de Dunkerque et du faubourg

    images?q=tbn:ANd9GcQStsoZ7N-C_1yOvl7uQ1xi2HqD1zx1Gv-1LncF1rPlHcmm7NRrJALe Maire du 10e, Rémi Féraud, continue ses rencontres dans les quartiers de l'arrondissement.

    Il sera dans notre quartier le samedi 14 mai (angle rue de Dunkerque rue du Fg Poissonnière) de 10h à 12H. Pour les adhérents qui nous écrivent sur l'état de la propreté notamment dans cette rue, c'est un moment privilégié pour poser des questions, faire des remarques et obtenir des réponses.

    Tous les sujets peuvent sans doute être abordés.

     

    Les autres rencontres avec le maire sont listées ici.