Aujourd'hui samedi 15 décembre, le Tram T3 arrive à la porte de La Chapelle.
Voir l'affiche ci-dessous ou le site de la mairie du 18e
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Aujourd'hui samedi 15 décembre, le Tram T3 arrive à la porte de La Chapelle.
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Mercredi dernier en mairie du 10e se tenait le compte rendu de mandat du Maire de Paris. Nous y étions.
Malgré le thème "prévention et sécurité", habituellement très suivi par des foules revendiquant à juste titre plus de tranquillité dans leur quartier, la salle était pleine, certes, mais étonnamment calme et disciplinée. En dehors d'une dame réclamant haut et fort plus d'éducateurs de rue autour du bassin de La Villette et de Stalingrad, les échanges ont été très courtois. On avait connu des comptes rendus de mandat autrement plus agités. C'est sous cet angle que nous trouvons la version de Cécile Beaulieu dans Le Parisien du 13 décembre un peu à côté de la réalité.
Tous les adjoints n'étaient pas présents mais ils n'étaient pas tous concernés directement par le sujet. Nous avons reconnu Bernard Gaudillère et Olga Trostiansky (aussi élus du 10e), Claudine Bouygues et surtout Myriam El Khomri qui était en première ligne en tant que chargée de la prévention et de sécurité à Paris. Anne Hidalgo est arrivée un peu plus tard, après une réunion de travail sur le défilé de dimanche prochain en faveur de l'égalité et du mariage pour tous que la Ville soutient.
Nous avons également retrouvé Matthieu Clouzeau, ancien commissaire du 18e et maintenant directeur de la DPP (Direction de la prévention et de la protection) à la Ville de Paris.
Nous sommes intervenus d'ailleurs lors d'une première question sur la réforme de cette direction. M.Clouzeau a d'ores et déjà accepté de nous recevoir fin janvier pour nous présenter ses nouvelles actions, tant au niveau de la médiation sociale que du contrôle et respect des réglementations, les deux axes essentiels de la mission de la DPP.
Notre seconde question a porté sur la problématique du marché de Barbès, ou plutôt de l'après-marché, devrait-on dire.
Depuis 2 ans, des vendeurs et vendeuses (car les femmes sont assez nombreuses) se sont installés les jours de marché autour et dans la station de métro. Depuis quelques mois, les vendeurs attendent autour du marché la fin de celui-ci en s'installant dans les rues avoisinantes. Le marché alimentaire se termine vers 14 heures ; après le nettoyage par les agents de la propreté ils s'installent maintenant sous le viaduc entre la station de métro et le carrefour Maubeuge-Tombouctou. Sans doute plusieurs centaines de personnes. Un peu moins quand il fait très froid.
Nous ne sommes pas là dans un problème de sécurité, il s'agit pour la très grande majorité de personnes pauvres vendant des vêtements, des chaussures d'occasion même si nous pouvons voir aussi quelques trafics se greffer de ci de là. Rappelons que s'il y a des vendeurs c'est aussi parce qu'il y a des acheteurs, pauvres eux aussi. La situation est donc complexe et nous en avons bien conscience.
Pouvez-vous nous dire où en sont les réflexions engagées par la Ville sur ces marchés qui se développent mais aussi se déplacent à d'autres endroits de la capitale, parfois, comme ici sous le regard des forces de police ? A défaut de traiter le problème en aval, quand les personnes précaires survivent par des ventes misérables, comment pouvez-vous traiter le problème en amont pour limiter leur nombre, et du point de vue les habitants, limiter aussi l'occupation illégale de l'espace public ?
"On ne fera pas de miracle" s'est exclamé B.Delanoe. "Nous sommes en période de chômage et les marchés de la pauvreté se développent. C'est très difficile pour nous". La ville a mis en place il y a plusieurs années un marché aux biffins Porte Montmartre, un travail est réalisé en lien avec Emmaüs Défi dans le 19e pour recycler des objets récupérés et permettre une réinsertion à des personnes exclues. Des actions donc, mais la tâche est immense.
Dans le 10e, d'autres secteurs posent problème.
Celui des abords des gares du Nord et de l'Est : l'association Vivre Gares du Nord et de l'Est, qui avait organisé il y a peu une manifestation boulevard de Denain, semble satisfaite des renforts de police maintenant présents et de la fermeture d''une supérette pour nuisances sonores liées à la vente d'alcool. Son représentant reconnaît une amélioration tout en regrettant que trop souvent les policiers ne descendent pas de leur voiture lors des rondes.
Paul Zylberberg, au nom du Conseil des Seniors a demandé davantage de passages des agents de la Propreté sur le parvis. On aurait aimé que Bertrand Delanoë ne réponde pas un peu sèchement : « il faut que les gens salissent moins ». Les Seniors et les habitants du quartier ne sont tout de même pas responsables de la malpropreté du secteur !
Le secteur Louis Blanc Aqueduc, représenté par un membre de la commission commerces du conseil de quartier, a rappelé le non respect de la réglementation de l'espace public par les commerçants (étalages, enseignes, dépôts sauvages...). Sa lettre à Bertrand Delanoë du 3 octobre est d'aillleurs restée sans écho. Le maire a promis une réponse.
Secteur Château d'Eau-Strasbourg-Saint-Denis : C'est un quartier qui souffre d'une mono-activité, les salons de coiffure, passés en 15 ans de 25 à une centaine.... explique le représentant de Stop aux nuisances 10. Donc nuisances diverses, malpropreté, utilisation de produits toxiques, mais aussi nuisances liees à la consommation d'alcool sur la voie publique. Un arrêté préfectoral a bien défini un grand périmètre d'interdiction mais les moyens de contrôle ne suivent pas. Le représentant de l'association évoque la loi Borloo de 2005 et son décret d'application tardif (décembre 2007) sur le droit de préemption des communes sur les baux commerciaux et artisanaux quand il y a cession. Pourquoi ce droit n'est-il pas plus souvent utilisé ? On évoque des ententes discrètes entre propriétaires de baux qui rend l'intervention de la municipalité mal aisée.
Appelé à une autre manifestation, le maire de Paris a quitté la salle assez rapidement et c'est donc Myriam El Khomri qui a pris le relais. Nous avons apprécié le ton direct et sans langue de bois. Elle a notamment rappelé les diminutions d'effectifs dans la police ces dernières années (dans le cadre du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux) et les actions de prévention mises en place par la Ville. Elle n'a pas évacué, par exemple, le phénomène d'occupation illicite et préoccupante des Jardins d'Eole par des groupes de dealers qui en éloignent familles et enfants. Les Jardins sont actuellement fermés, a-t-elle confirmé, ils seront réaménagés et rendus au terme de ces travaux à leurs destinataires d'origine. Ce secteur est inclus dans le périmètre de la seconde ZSP parisienne. Le bruit court qu'une autre zone sur Paris serait dans les tuyaux, mais aucun élu n'a voulu encore la confirmer, ni la localiser.
Pour notre part,
nous ne savons pas quoi penser
de cette technologie de rue,
baptisée colonne numérique intelligente Manu,
en réalité une création de la société Oxialive,
une régie publicitaire qui rêve....
de couvrir les villes d'écrans.
Permettez nous de ne pas partager ce rêve...
(lu dans les Echos du 12 février 2012 et
sur le site de la société en question ici )
Voyez-vous même de quoi il s'agit sur cette affiche en cliquant sur le lien INVITATION_MUI_2.jpg
Dans les conseils de quartier proches de la gare du Nord, nous avons souvent entendu la demande récurrente de fournir aux nombreux touristes qui cherchent en vain à s'orienter des indications simples sur la direction de Montmartre. De là à proposer des écrans lumineux - certainement fragiles, sensibles à un certain vandalisme ambiant. Car pour être vus, ces plans doivent être à hauteur des yeux, il nous semble. Rien à voir avec les panneaux perchés sur des mâts qui nous inondent de publicité, mais qui, eux, sont en général à bonne distance des violences urbaines...
D'après le dessin sur l'affiche, les informations occupent un pan de la colonne, peut-être deux... mais parions que les autres côtés nous proposeront des voitures, des soutiens gorges ou des voyages au bout du monde.. Il s'agit de mobilier urbain numérique, un nouveau media publicitaire !
Cette colonne sera-t-elle de nature à satisfaire les riverains du boulevard de Denain qui manifestaient encore récemment contre les clochards installés dans le secteur. Oui, oui, je sais clochards n'est pas politiquement correct, mais ce nom soulève moins de questions et suscite moins de peur que d'autres terminologies. Il est désuet aussi et conserve un peu plus d'humanité que le sigle SDF.
Pour les curieux, rendez-vous au Baroudeur, 12 boulevard de Denain, à 11h30, aujourd'hui jeudi 13, vous y êtes invités par la mairie. Vous nous raconterez ?
Nous avons profité de la désignation officielle de l'exploitant du Louxor hier en Conseil de Paris pour publier dès aujourd'hui les informations que chacun, dans le quartier, attendait. La Mission Cinéma a fait de même et publie sa dernière newsletter, tombée dans notre messagerie il y a quelques heures.
Les conditions de la délégation de service public du futur cinéma Louxor étaient présentées au conseil de Paris qui s'est tenu hier. Nous avons appris des choses très intéressantes que nous vous livrons ici. Il s'agissait de la délibération 2012 SG 179 : Attribution de la délégation de service public pour l’exploitation du cinéma Le Louxor (10e).
Nous commençons par les nourritures terrestres : l'exploitant dispose d'un espace café d'environ 70 m2 dont la moitié en terrasse. Cela devrait suffire pour proposer des repas rapides aux cinéphiles affamés, sans doute pas une cuisine sophistiquée mais grâce à une licence II si elle est accordée, les mets pourrraient être accompagnés de vin. Il se pourrait même que des dégustations soient organisées autour d'un vin et de son terroir, plutôt ceux du bassin méditerranéen... une idée séduisante pour créer une animation ponctuelle, voire régulière, en proposant des produits de qualité.
Nous avons pu noter les horaires d'ouverture du café club du Louxor tels que compte les proposer l'exploitant .
Une photo de la grande salle du Louxor "pêchée" sur la toile (signée JM_FP23)
Au-delà de la restauration, voici ce qui est prévu pour les films. Le cinéma proposera cinq séances minimum par jour pour chacune des trois salles. Pour la programmation, il s'agit bien d'un cinéma d'Art & Essai. L'exploitant s'engage à présenter les différents types de programmation dans les proportions suivantes :
- 80% de séances Art & Essai par an,
- 80% de séances en 1ère exclusivité par an,
- 70 séances par an de patrimoine
- 330 séances par an en moyenne destinées au Jeune public,
et un effort tout particulier en faveur des courts métrages, soit des projections en complément de programme, soit sous forme d'action d'animation spéciale court métrage.
La convention de service public prévoit également dans le détail les obligations du délégataire en matière de cinéma destiné aux jeunes publics : pendant le temps scolaires (260 séances en moyenne par an) et hors temps scolaires (70 séances en moyenne par an).
Les séniors ne seront pas oubliés. Ils devraient bénéficier d'une Université populaire dont il reste à imaginer les modalités. Le délégant laisse un peu de temps au délégataire pour mettre au point son offre, à charge néanmoins de faire des efforts de médiation et d'animation pour favoriser l'insertion de ce nouvel équipement dans le quartier. On entend par là des avant-premières, en présence de réalisateurs ou d'acteurs avec débat, des séances en après midi présentant un but éducatif grâce à la présence de personnalités du monde de la culture, des arts et des sciences.
Un regard enfin sur les tarifs peut-être ? Sachez d'ores et déjà que le Louxor acceptera les cartes illimitées gérées par les GIE de l'industrie cinématographique, mais qu'il aura aussi ses propres carnets de 5 ou 10 entrées à un tarif alléchant, respectivement pour 6 et 5 euros la séance, valable 6 mois. Le plein tarif de 9 euros sera décliné en différentes versions réduites pour les jeunes, les retraités, les chômeurs, les étudiants, etc.
On a tous hâte de s'installer dans les fauteuils.... et peut-être de bénéficier d'une visite un peu privilégiée destinée aux supporters de la première heure. Attention, c'est une surprise. On en saura plus bientôt.
L'annonce du thème choisi par la Mairie de Paris - et qui sert de base au compte rendu de Bertrand Delanoé - en visite dans le 10e demain soir, ne plait pas à tout le monde. Et notamment parmi les lecteurs fidèles du forum local dix-cute (voir http://listes.cqparis10.org/wws/arc/dix-cute )
En effet, c'est un sujet qui revient souvent. C'était déjà le thème du dernier conseil de quartier Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul le 19 octobre 2012. Ici même dans le blog d'Action Barbès nous avons à plusieurs reprises couvert et commenté la mise en place des zones de sécurité prioritaire, puis la venue de Manuel Valls dans le quartier. Ajoutez à cela une manifestation il y a un tout petit peu plus d'une semaine, devant la gare du Nord... et la coupe a tendance à déborder. Normal.
Qui a choisi ce thème à l'Hôtel de Ville ? Il est sans doute issu d'un mouvement d'opinions, le reflet des articles parus dans la presse, une réponse aux remontées de demandes des habitants. Tout cela ne sort pas de nulle part. Ces demandes que le maire du 10e transmet au préfet pour obtenir des moyens supplémentaires en policiers ne passent pas inaperçues. Dès lors il est normal que l'édile parisien vienne lui-même en débattre. L'an passé, il avait abordé ce thème en mairie du 18e, en lui accolant la "tranquillité", pour relativiser le terme d'insécurité qui peut parfois paraître exagéré. Les incivilités cumulées rendent la situation plus difficile, mais les statistiques policières ne confirment pas toujours une augmentation des crimes et délits.
Très officiellement l'invitation est en ces termes :
Poursuivant le mouvement initié en 2010, ces réunions portent dorénavant sur une thématique identifiée, correspondant aux enjeux qui structurent les politiques municipales. Le thème retenu pour le 10e est « Prévention et Sécurité ».
Un grand témoin interviendra sur ce thème, permettant de poser le contexte de l’action de la Ville, de revenir sur des expériences menées, de lancer des réflexions…
Cette réunion aura lieu le mercredi 12 décembre à 18h30 en salle des fêtes.
Nous avons découvert ce beau panneau, propriété de la Direction de la Propreté et de l'Eau (DPE), avec le texte suivant :
"L'enlèvement
des objets encombrants
est un service gratuit.
Il suffit de prendre rendez-vous
en appelant le 3975
ou directement sur le site dechets.paris.fr"
et nous nous posons plusieurs questions, au vu de la menace suivante :
"Les dépôts
sont strictement interdits
sur l'espace public.
Tout contrevenant s'expose
à une verbalisation."
-Est-il de nature à dissuader des habitants peu scrupuleux qui s'apprêtent à déposer leurs ordures sur la voie publique ?
- Est-il approprié pour dispenser une information claire sur la gratuité de la collecte des encombrants ?
- Là où il est implanté, à savoir sous le métro aérien au carrefour des rues de Tombouctou, Maubeuge et boulevard de La Chapelle, a-t-il une utilité éprouvée ? Loin des regards, à l'abri des poursuites...
Quant à ces poursuites, clairement affichées, elles s'élèvent à 35 euros mais à condition qu'un inspecteur tombe à pic sur le contrevenant....
Il faut vraiment beaucoup de malchance pour écoper d'un PV !
Regardez vous-même les motifs de la fermeture pendant un mois du square situé près de la place de La Chapelle :
Nous avions déjà relaté les problèmes que connaît cet espace de verdure du 18e lors de sa précédente fermeture qui s'était prolongée plus longtemps que prévu. (voir notre article de mars cette année)
Nous nous étions promis de suivre le dossier. Rencontrée sur place en mars, une des responsables de la Direction des espaces verts et de l'environnement (DEVE) nous a appelés pour nous avertir que, malheureusement, le square serait à nouveau fermé, pour un mois, le temps de mettre les pièges annoncés dans le précédent article. Seront-ils suffisamment efficaces pour neutraliser ces bestioles ?
La situation n'est pas simple, car on observe que ce square est utilisé comme espace de rencontre et de prise de repas par des populations très précaires, qui laissent sur place des détritus et les reliefs de leurs repas. D'autres personnes viennent nourrir les pigeons sur la passerelle qui surplombe le square, et le sépare des voies de chemin de fer. Ces amas de riz et de semoule, déversés par sacs entiers sur le pavement attirent outre les pigeons toutes sortes de nuisibles. Et enfin, le campement de fortune qui se situe sous le métro aérien, ne peut pas bénéficier de nettoyage régulier, et favorise lui-aussi la présence des rongeurs. Questionnés sur le problème, le personnel qui gère la déchetterie de la Place de La Chapelle confirme la présence des rats et des souris le matin et le soir, dans le périmètre de leur lieu de travail. Ils apprécient moyennement....
Le Conseil de Quartier Trudaine-Rochechouart et la Mairie du 9e organisent une fête de quartier, à laquelle vous êtes cordialement invité le :
Samedi 8 décembre 2012 de 11 H à 13 H 30
Place Turgot
Au programme de cette matinée festive : une animation ludique de sensibilisation et d’échanges, pour tous les âges sur le thème « imaginer votre quartier en 2020 », dégustation de boisson chaude avec animation musicale.
L’organisation de cet événement est une initiative des habitants du quartier regroupés au sein du Conseil de Quartier qui est un espace convivial de rencontres et d’échanges entre habitants et usagers de l’arrondissement.
Nous saluons l'humour des commerçants de quartier qui rebondissent sur la zone de sécurité prioritaire récemment mise en place dans leur secteur par le ministère de l'Intérieur, aidé par la Justice et les élus locaux.
Ne ratez pas l'occasion et pour les fêtes, sachez faire des cadeaux originaux tout en restant près de chez vous.
Pour découvrir les détails et surtout l'adresse des boutiques aux plaisirs savoureux, cliquez sur l'affiche.
Nous savions que l'immeuble du 158 boulevard de Magenta avait été racheté récemment par la Ville de Paris. Mais nos connaissances s'arrêtaient là. C'est lundi dernier en conseil d'arrondissement du 10e que la délibération le concernant est venue à l'ordre du jour. Dans la foulée, nous avons posé quelques questions complémentaires à Paul Simondon, chargé du logement dans le 10e, pour vous en dire un peu plus.
Comment la ville a-t-elle été informée que cet immeuble faisait l'objet d'une vente?
Lors de la déclaration d'intention d'aliéner (DIA), autrement dit quand le propriétaire a décidé de vendre son bien, la Ville a décidé d'user de son droit de préemption, à la demande de la mairie du 10e, et le bâtiment a été confié à la fin de cette même année à Paris Habitat par bail.
Quel est le nombre total de logements? Quelle date de mise à disposition?
C'est ce soir jeudi 6 décembre que se tiendra le CICA (conseil d'initiative et de consultation d'arrondissement) sur le thème de la jeunesse. Le titre est précisément : De l'enfance à la citoyenneté.
Comme certains n'atteignent jamais la citoyenneté, est-ce à dire que ceux-là restent jeunes ? Hum...
Le conseil se tiendra dans la salle des mariages de la mairie et commencera à 18h30, en présence d'Isabelle GACHET, adjointe au maire de Paris chargée de l'enfance.