Nous vous avons donné le détail de l'ordre du jour du conseil de quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul vendredi dernier. D'un clic, vous y êtes à nouveau : clic
Ecole rue de Belzunce de 19 h à 21 h.
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Ecole rue de Belzunce de 19 h à 21 h.
On lisait dans l'agenda du maire de Paris le 17 octobre dernier :
11h15 • Dépôt de gerbe à l’occasion de la commémoration du 17 octobre 1961
Angle du Pont Saint-Michel et du quai du Marché Neuf (4e)
On se souvient aussi en lisant l'article de wikipedia, ou mieux, l'interview de l'historien Gilles Manceron, auteur de La Triple Occultation d'un massacre (publié avec Le 17 octobre des Algériens, de Maurice et Paulette Péju, éd. La Découverte), publié par Soren Seelow dans le Monde du 17 octobre 2011. La Goutte d'Or se souviendra aussi dans une visite guidée samedi 20 à midi, suivie d'une rencontre avec Leïla Sebbar, écrivaine et journaliste : voir le détail sur le site de l'Institut des cultures d'Islam.
Un dernier témoignage celui de Jean-François Kahn : 1 minute et demie.
Cette année, malgré la célébration du 50e anniversaire de la République algérienne, ou peut-être à cause..., le souvenir de cet événement douloureux est resté discret, jusqu'à ce que le président de la république l'évoque et reconnaisse sa réalité.
Les médias, en revanche, ne se lassent pas d'observer et de commenter le phénomène terroriste. Il fait vendre. Toutefois de plus en plus, et sous l'impulsion du gouvernement actuel et de son ministre de l'interieur*, ils font preuve de précautions de langage pour bien distinguer le terrorisme islamiste radical de l'immense majorité des compatriotes mulsulmans.
La séparation de l'Eglise et de l'Etat, au début du 20e siècle, ne s'est pas faite sans heurts. On pourrait espérer, un siècle plus tard, que la séparation entre les cultes et les affaires de l'Etat se passe plus paisiblement. Chacun restant libre dans sa sphère privée... Mais les hommes tirent-ils un profit quelconque des leçons de l'Histoire ? Rien n'est moins sûr.
La pensée extrême peut paraître séduisante à qui se sent mal dans sa vie, en marge, apatride sur les terres où il vit. Or cette pensée extrême qui promet non pas "des lendemains qui chantent" ici-bàs, mais les mirages d'une félicité totale, a bien des atouts. (Et l'avantage de ne pas avoir de service de réclamation en cas de tromperie sur les effets promis.) Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, qui était sur France Inter mercredi matin n'échappe pas à des questions sur l'assassinat d'un avocat perpétré en Corse la veille. Il livre son analyse. Et poursuit sur le thème d'un autre terrorisme, celui des cellules islamistes radicales.
Manuel Valls, ministre de l'intérieur par franceinter
* Manuel Valls, le 17 octobre, dans l'émission du matin de Patrick Cohen sur France Inter - 8h45 -
Emile Reynaud, pionnier de l’image animée, revient sur le devant de la scène dans le cadre de la 11e Fête du cinéma d’animation
120 ans après la première projection publique d’Emile Reynaud au musée Grévin, l’Association Française du Cinéma d’Animation (AFCA, dont le siège est aussi rue Rodier, sur l'autre trottoir, au 53) propose une exposition sur ce pionnier du cinéma d’animation, ayant vécu et travaillé dans le 9e arrondissement. Il aurait aimé que ces contemporains lui fassent la fête, lui, qui avait un train d'avance...
Avec la Cinémathèque française, partez à la découverte de l'incroyable découverte d'Emile Reynaud et des premiers spectacles d'images animées : c'est ici.
Du 19 au 31 octobre – Salons Aguado (Mairie du 9e)
Vernissage le vendredi 19 octobre à partir de 18h dans les salons Aguado,
suivi d’une projection salle Rossini à 19h.
Avant d'aller voir l'expo de la mairie du 9e, il faut (re)découvrir "Pauvre Pierrot" (*), par Emile Reynaud, datant de 1892. Ce sont 4'33" de pantomine lumineuse, assez loin des Disney et autres Pixar, qui malheureusement n'ont pas valu à leur auteur suffisamment de reconnaissance pour l'empêcher de détruire toute son oeuvre, tous ses cartons, par dépit ou désespoir, à l'exception de quelques rescapés comme Pierrot, et de finir sa vie assez misérablement à l'hospice d'Ivry.
Encore un conseil pour les amateurs de dessins animés, offre-vous un détour par le site des Amis d'Emile Reynaud, qui comme tout site piloté par des amateurs inconditionnels d'un sujet - et quel sujet ! - suit au plus près l'actualité et se révèle incontournable... Nous y avons pris beaucoup de plaisir comme sur le zoom de la cinémathèque.
Bonne visite.
(*) sur le site de la Cinémathique, zoom, dans Visite libre, liste de gauche, autour du théâtre optique : Pauvre Pierrot et Autour d'un cabine, de 1894... un moment charmant de ravissement.
C'était le 18 octobre 1982.
Pierre Mendés-France laissait la République à François Mitterrand. C'était le retour d'une gauche différente de celle qu'il avait connue avec le Front Populaire et Léon Blum en 1936 et tout aussi éloignée du Président Coty qui l'avait nommé Président du Conseil en juin 1954, le forçant à abandonner Louviers (Eure), sa circonscription normande. Autre temps, autre République en effet : c'était encore les 3e et 4e Républiques !
Pas de retour historique complet ici. Les sites consacrés à l'histoire sont assez nombreux, faciles à trouver grâce aux moteurs de recherche, sans même évoquer wikipedia qui nous aide beaucoup quand la mémoire défaille...
Plutôt un souvenir.
J'ai revu cet été (en streaming sur mon ordinateur) Le chagrin et la pitié (pour la liste des interviewés dans le document), de Marcel Ophüls, à qui France Inter consacrait un créneau quotidien de souvenirs. Le réalisateur de 84 ans nous a fait passer de bons moments. Dans son film documentaire de quatre heures, sorti en salle en 1971, puis programmé à la télévision en 1981, il étudie le cas de Clermont-Ferrand pendant l'occupation, de 1941 à 1944. La majorité des interviewés sont des inconnus, mais c'est la figure de Pierre Mendès France, relatant ses déboires avec le gouvernement de Vichy, son évasion de la prison de Clermont-Ferrand qui m'était restée en mémoire de la première projection. Je l'ai retrouvé avec autant de plaisir. Son humour, son humanisme.
Essayez de revoir cet épisode peu glorieux de notre histoire : il contient des passages étonnants, quand on les entend plusieurs décennies plus tard.
Les conteneurs à vêtements se sont multipliés dans le quartier à la rentrée, alors que jusque là, dans un périmètre assez proche, nous ne connaissions que celui installé au carrefour des rues de Maubeuge et Condorcet, devant les très beaux locaux de Gaz de France. Nous lui avions consacré un article il y a déjà bien longtemps (voir ici).
Barbès est connu pour ses fringues pas chères chez Guerrisol, dont un nouveau point de vente s'est ouvert place du Delta, à l'angle du boulevard de Rochechouart et de la rue Gerando il y a quelques mois.
Celui-ci fait face à celui-là... oui, puisque Guerrisol occupe depuis longtemps l'ancien cinéma le Delta, dans l'arrondi de la place en rotonde, entre la pharmacie et la parfumerie Marionnaud.
Le Relais n'a pas hésité à placer son conteneur à proximité, tout au bout du trottoir, en haut de la rue de Rochechouart. L'espace est copieusement occupé de motos et de scooters, qui ne trouvent pas de place dans les aires de stationnement qui leur sont réservés. Il arrive parfois que ces engins forment un arc de cercle ininterrompu tout au long de la bordure du trottoir.
Revenons aux conteneurs gris du Relais : nous en avons repéré trois nouveaux dans notre secteur, celui de la place du Delta, un situé avenue Trudaine, devant les locaux d'EDF, et un dernier en haut de la rue des Martyrs près du magasin Carrefour.
La carte en ligne sur le site de l'association nous a révélé également un conteneur près de l'église Saint-Bernard dans le 18e.
L'entreprise coopérative Le Relais, contrairement à Guerrisol, entreprise privée traditionnelle, vise davantage la création d'emplois durables pour des personnes précarisées et en insertion que la simple rentabilité de l'opération. Une visite sur leur site, très complet, très illustré, effacera peut-être les suspicions qui entourent souvent les collectes d'objets usagés. Qu'en font-ils ? Les revendent-ils ? Qui en profite vraiment ? Rien n'est jamais parfait, mais cet hiver, les mites ne dégusteront pas votre vieux manteau si, dès maintenant, vous le déposez dans le conteneur près de chez vous.
C'est eux qui le disent :
"Choisir le Relais, ce n’est pas seulement choisir un opérateur de collecte. C’est aussi soutenir une entreprise pas comme les autres, engagée dans la lutte contre l’exclusion par la création d’emplois durables pour des personnes en difficulté. En près de 30 ans, le Relais a créé plus de 1 800 emplois. Il travaille par ailleurs en étroite collaboration avec les associations locales, qui œuvrent comme lui dans le champ de l’économie sociale et solidaire.
Vous savez que c'est un sujet qui nous tient à coeur. Plusieurs fois déjà, nous avons écrit des articles en faveur de l'expérimentation des salles de consommation à moindre risque, qui existent dans plusieurs pays d'Europe. En France, la loi les interdit. Le gouvernement Fillon s'était opposé catégoriquement à porter le débat sur la place publique, y compris après les déclarations de Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, et elle-même favorable à une expérimentation. Les salles de conso, là où elles existent, ont montré qu'elles peuvent apporter un apaisement dans les relations entre riverains et toxicomanes et surtout une amélioration du suivi des personnes sous l'emprise de drogues. Elles conduisent aussi à une réduction des risques de transmission des hépatites virales et du VIH.
Des voix autorisées se sont élevées souvent, parmi elles le Prix Nobel de médecine, Françoise Barré-Sinoussi (photo ci-contre en août 2010), l'INSERM, les leaders des associations militantes, l'association Elus, santé publique,territoire, les Verts et d'autres, pour défendre la création de salles de consommation, mais jusque là elles n'ont pas pu convaincre les autorités de passer à la réalisation.
De loin en loin, des médecins invitent à des colloques pour remettre la prévention sur le devant de la scène. Des politiques le font aussi, moins souvent. Ces jours-ci, le sujet est revenu sous les projecteurs : la presse du 9 octobre relatait le projet d'expérimentation présenté par les associations Médecins du Monde et Gaïa (voir article du Parisien, et celui de Métro). Plus près de chez nous, Alain Lhostis, conseiller de Paris du groupe communiste et conseiller du 10e, a organisé un débat sur le sujet au Point Ephémère, avec Marie Debrus (Vice-Présidente de l’AFR), Pierre Chappard (Coordinateur du Réseau Français de Réduction des Risques, ancien co-président d’Act Up) et Emmanuel Hirsch (Professeur d’éthique médicale). Si la ministre des affaires sociales et de la santé du gouvernement Ayrault a déclaré récemment qu'elle prendrait rapidement des mesures réglementaires qui permettent l'ouverture des salles de consommation, avec le dépôt d'un voeu en Conseil de Paris, Alain Lhostis souhaite accélèrer la procédure, car il y a urgence.
Son cabinet nous a transmis le texte du voeu qui, nous l'espérons, recevra l'aval du Conseil de Paris.
Conseil de Paris
Séances des 15 et 16 Octobre 2012
Vœu présenté par Alain Lhostis au nom du groupe communiste et élus du parti de gauche relatif à l’ouverture et l’expérimentation d’une salle de consommation à moindres risques à Paris
Dans sa séance du 19 octobre 2011, le Conseil de Paris, sur proposition du Maire de Paris, a adopté un vœu relatif aux salles de consommations à moindres risques pour les usagers de drogues.
Ce vœu rappelle que dans le cadre de la politique de réduction des risques, de tels lieux dans lesquels les usagers de drogues peuvent consommer des produits qu’ils apportent, sous la surveillance de personnels qualifiés, ont fait leurs preuves en Allemagne, en Espagne, au Pays-Bas, au Canada par exemple.
Ces salles permettent de réduire les risques sanitaires, offrent un contact médical, social et psychologique et sont un atout pour la sureté publique et la tranquillité des habitants en ville.
Le Conseil de Paris a donc, dans ces conditions, voté favorablement pour l’ouverture d’au moins une salle de consommation à moindres risques dans le Nord Est de la capitale.
Le Conseil d’arrondissement du 10e s’est prononcé à plusieurs reprises favorablement à l’examen de la possibilité d’une installation de ce type dans un quartier du 10e.
La Ministre de la Santé a déclaré, il y a déjà plusieurs semaines, que le décret permettant ces premières installations dans les villes candidates était quasiment rédigé.
Les associations de réduction des risques renouvellent l’urgence de prendre la décision d’installation de telles salles dans le cadre des 4e rencontres nationales de réduction des risques qui se tiendront les 25 et 26 octobre prochains. Les associations d’aide aux usagers de drogues et les associations de quartiers du 10e l’ont fait avec beaucoup d’engagement à l’occasion d’une récente réunion qui les a rassemblées à l’initiative de l’auteur du vœu.
Dans ces conditions, sur proposition d’Alain Lhostis au nom du groupe communiste et élus du parti de gauche, le Conseil de Paris demande :
- que le Maire de Paris s’adresse à la Ministre de la Santé pour une publication de ce décret sans délai
- que le Maire de Paris créé dès à présent les conditions d’une mise en place d’un premier lieu expérimental en organisant la concertation avec les habitants du Nord-Est parisien et la préfiguration d’une telle création avec les associations de prévention des risques.
Toujours sur le même sujet, le maire du 10e, Rémi Féraud organisait mercredi soir, le 10, en mairie une réunion de travail, à la fois pour répondre à l'inquiétude, pour ne pas dire exaspération, des riverains des rues Ambroise-Paré et Saint-Vincent de Paul, principalement, et également pour présenter les associations qui tout au long de l'année font un travail de médiation et de prévention auprès des usagers de drogues. Ils ne sont pas toujours visibles pour les habitants, néanmoins leur présence fait progresser la situation. Comme l'ont exprimé différents intervenants, les programmes de réduction des risques ont fait reculer les épidémies de sida et de maladies virales qui transitaient par les seringues à usage multiple, de même que les interventions des associations permettent aux toxicomanes prêts à raccrocher de le faire. Un pas déterminant pour pacifier ce secteur très restreint mais grande source d'inquiétude pour les habitants et leurs enfants sera la création d'une salle de consommation à moindre risque. Les expérimentations sont encourageantes, ne tardons pas.
Une fois n'est pas coutume : le compte rendu de mandat de Bertrand Delanoë n'aura pas lieu dans sa mairie bien aimée du 18e arrondissement, mais sur le terrain de tous les aménagemens, dans la ZAC Pajol. Précisément au 22ter rue Pajol, au centre sportif. Le thème ? Le renouveau architectural et urbain de Paris.
On ne pouvait trouver mieux pour illustrer le thème. Et surtout faire venir les habitants et les journalistes qui ignoreraient encore l'existence de cet équipement, qui compte un gymnase avec une tribune de 100 places, une salle d’arts martiaux, une salle de danse et une salle polyvalente.
Inauguré le 25 janvier 2012, le centre sportif Pajol est le septième des 18 centres sportifs couverts que Bertrand Delanoë s'est engagé à faire sortir de terre au cours de sa seconde mandature (2008-2014).
Notons encore le gymnase Saint-Lazare dans le 10e qui devrait bientôt ouvrir également, dans un ensemble d'équipements municipaux (crèche, centre social et médiathèque)
Nous avons toujours proné la réflexion bien en amont des problèmes quand il s'agit de voirie. Or, certaines dates sont maintenant confirmées : les palissades du Louxor tomberont bientôt : vers la fin de l'année, selon les informations transmises par la mairie. Comment gérer les circulations sur le trottoir après la dépose des palissades ?
Il y a plusieurs mois déjà, nous nous sommes rapprochés des responsables de la voirie pour faire part de nos craintes : des conflits entre les piétons et les cyclistes risquent de se produire en haut du boulevard de Magenta, si la piste cyclable regagne son tracé d'origine, à savoir sur le trottoir. Les jours de marché, la situation est très tendue, car beaucoup d'habitants du 18e sont clients du marché de Barbès et regagnent leur domicile, chargés, avec un caddie ou des sacs, en prenant le bus 30, juste devant le Louxor. La sortie du métro fournit également, à chaque feu rouge, son flux de piétons sur ce coin de rue, où en soirée, particulièrement, les vélos sont nombreux dans le sens sud-nord. Il faut donc anticiper les affluences et ménager un peu d'espace pour les clients du cinéma qu'on espère nombreux....
Après de nombreux échanges entre l'élue du 10e chargée de l'espace public, la Section territoriale de Voirie (STV), la RATP, et d'autres acteurs de terrain, comme les associations de cyclistes et les professionnels de taxi, le projet final prend forme. Il manque encore une validation par la Préfecture de police.
Début octobre, on apprend que l'insertion des cyclistes dans la voie pour bus pourrait se faire au niveau du 164 boulevard de Magenta, en amont du passage pour piétons le plus proche du faubourg Poissonnière. La section de voirie a donné le détail de son projet que nous a transmis Elise Fajgeles (voir ci-dessous) qui ajoute
"L'ensemble de ces travaux vous le verrez, et même si le chiffrage n'est pas encore définitif, justifie pleinement une inscription budgétaire. Cette opération ne doit pas être réalisée en urgence et au rabais mais dans des conditions de sécurité optimales pour tous les usagers."
Pour réaliser ce projet les travaux à programmer sont les suivants :
-En aval (ndlr: il semble que ce soit plutôt l'amont) du passage piéton, création d'environ 10m de piste cyclable pour permettre l'insertion des cyclistes sur la chaussée soit dépose des dalles granit existantes, pose de bordurettes granit pour délimiter la piste cyclable, rechargement de la fondation en béton, asphalte sur 15 m² et pose de 2 panneaux "cédez le passage" pour les vélos en fin de piste cyclable. Également à réaliser l'abaissement des bordures en fin de piste cyclable pour permettre l'insertion des vélos sur la chaussée.- Entre le 164 et le 170 Magenta, suppression de la piste cyclable : dépose des bordurettes granit et de l'asphalte, reprise de la fondation et pose d'asphalte (on ne peut pas garder l'existant pour des raisons de nivellement).- Dépose de feux vélos et déprogrammation définitive dans l'armoire SLT de la ligne de feux spécifiques vélos.- Pour la partie en aval (ndlr: il semble que ce soit toujours l'amont) du passage piéton du 164 Magenta (Faubourg Poissonnière ) : suppression du séparateur bus sur 20 ml environ, reprise partielle de la chaussée et réalisation du marquage du couloir bus.- Pour la partie située entre le 164 et le 170 (Chapelle) le couloir bus a déjà été supprimé il restera cependant à reprendre de manière ponctuelle (notamment la suppression de l'ancien socle de la borne haute) la chaussée et surtout tout le marquage (couloir bus, zig-zag bus, les mots bus, la raquette de séparation des voies axiales ).
C'est devenu un rendez-vous régulier et l'équipe du conseil de Quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul sera heureuse de vous accueillir vendredi prochain, le 19 octobre à 19h dans les locaux de l'école de la rue de Belzunce. Le thème de la réunion portera sur la sécurité dans le quartier en présence du commissaire principal du 10e, Gilbert Grinstein. Voici l'ordre du jour complet de la réunion :
- quelques mots sur le compte rendu de mandat de B.Delanoë le 12 décembre en mairie du Xème sur le thème "Sécurité et prévention"
- Fresque rue du Maubeuge (photos sur notre blog... et là encore ! )
- Suivi des Pots de plantes (Rue Patin)
- Vanoprix > Brasserie
- Louxor > printemps 2013
- Réparation escalier Alsace réalisée cet été
Vos questions, vos propositions,
Venez dialoguer et faites vos propositions,
avec la participation du Commissaire principal du Xème Gilbert Grinstein et les élus Rémi Féraud si confirmé, Stéphane Bribard, Alexandra Cordebard
Introduction par le Commissaire (quelques chiffres, ses priorités, à sa convenance)
Le mot du Maire si présent / compte rendu de la réunion du 10 octobre sur la toxicomanie
Est-ce le nombre croissant de nos lecteurs du blog qui nous vaut de nouvelles participations ? Ou bien nos voisins du quartier se sentent-ils écrivains, ou pigistes - pour être plus humbles - qu'ils nous envoient leurs observations ou leurs billets d'humeur ? Nous avons eu l'inauguration d'une plaque commémorant le cirque Medrano récemment, puis les très belles photos sur le street art boulevard de Magenta. Aujourd'hui nous vous proposons un billet d'humeur suivi d'une suggestion de verbalisation commode et rapide qui ne plaira certainement pas à nos voisins et amis automobilistes...
Voici de quoi il s'agit : depuis plusieurs années, l'accès de la rue Ambroise-Paré vers le boulevard de Magenta est réservé aux véhicules d'urgence comme les ambulances qui sortent de l'hôpital, les camions de pompiers ou le Samu. Il est donc fermé aux autres, quels qu'ils soient, et cette interdiction est matérialisée par deux gros sens interdits à l'entrée du passage. A dessein et pour sécuriser le cheminement piétons sur le boulevard, les services de voirie avait surélevé le passage. De cette manière, les piétons ne franchissent pas de trottoir, pas de dénivelé. C'est ce qui nous avait été expliqué lors du réaménagement du boulevard de Magenta/
Mais pourtant.... voyez ce que nous dit cette lectrice, habitante du quartier :
En partant ce matin vers 10h30, je vois deux agents de police sur le passage Paré/Patin qui font passer un bus sur ce passage vers Magenta. Je m'arrête, je me présente et leur demande s'il y a un problème car je m'étonne de voir des véhicules passer par là. lls sont du commissariat du 10ème. J'en profite pour leur faire remarquer qu'un porte-huit stationne un peu plus loin. "Une voiture gêne dans le virage au niveau des croix de saint-André" (ndlr: les barrières qui séparent le trottoir de la chaussée), me disent-ils; "et donc le porte-huit ne peut pas passer"."Alors, vous avez été avertis du problème ou vous passiez là par hasard?" je demande à mon tour.
"Les deux", me répond l'un des agents.
Bon. Je reste plantée là à observer."On attend le véhicule d'enlèvement qu'on a demandé", poursuit l'agent.
J'enchaine sur mes observations, quand je bois un café en terrasse au café Le Magenta, d'où l'on constate que l'interdiction n'est pas du tout respectée et je m'interroge tout haut sur l'absence de verbalisation. J'ajoute "maintenant qu'il y a une caméra, vous pouvez voir ceux qui empruntent le sens interdit et donc verbaliser ?
- Non pas possible, il faut contrôler le conducteur...
- oui, mais le conducteur, on le voit sur la vidéo ?
- Oui, mais on ne sait pas à qui appartient le véhicule.
- Je ne comprends pas, on ne voit pas les plaques d'immatriculation ?
- Bien sûr que si, mais il faut contrôler le conducteur, car il n'est pas forcément propriétaire du véhicule...
- Bon, alors elles ne servent à rien ces caméras ? suis-je obligée de conclure.
- ah, si, pour la sécurité.Là, je n'ai pas insisté car je commençais sérieusement à les agacer!Je rentre à 11H25. Plus d'agents en place, mais la voiture est toujours là et le porte-huit aussi.
Réunion publique d’information
et de concertation
Mercredi 10 octobre 2012 à 19h
dans les locaux de l’AFRPC * * Association Familiale du Rond Point de la Chapelle
24, rue Raymond Queneau – 75018 Paris
La réunion abordera l’état d’avancement de la 1ère opération urbaine de Paris Nord Est dans le 18e arrondissement.
Les élus, l’aménageur, l’architecte-urbaniste, acteurs de ce projet, répondront aux questions des habitants.
La réunion et le débat sont organisés par nos amis de ASA PNE 18, qui vous attendent nombreux.
ASA PARIS NORD-EST 18 - Contact : Olivier ANSART - Tél. 06.21.89.91.97.
@mail : asa.pne18@laposte.net Blog : http://asa-pne.over-blog.com/
En faisant des recherches pour vous présenter cette réunion sous un autre angle, nous avons trouvé une conférence donnée au Pavillon de l'Arsenal le 30 mai 2010 par l'architecte et historien Henri BRESLER, intitulée Rendez-vous avec la ville du Nord-Est parisien. Vous y découvrirez une intéressante étude historique sur l'immense vaisseau que représente le "Macdonald", sachant qu'il a donné une autre allure au quartier après la disparition des usines à gaz qui s'élevaient sur ces lieux, avant lui. Ecoutez, Henri Bresler est passionnant.
Histoire du Nord-Est parisien et de l'entrepôt... par Pavillon-Arsenal
Vernissages : vendredi 12 à 18h30
Visites : samedi 13 et dimanche 14 de 11h à 20h
Pour accéder à tous les détails, cliquez sur le site de PORTES D'OR