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Rechercher : rats

  • Les rats n'ont pas quitté la ville...

    Nous avons proposé d'ouvrir nos colonnes à nos adhérents. Voici qu'ils nous répondent. Ici un papier sur une rencontre de rue, inattendue et peu agréable.

     

    Les rats n'ont pas quitté la ville...

    Ça, on le sait depuis longtemps. Pour preuve : il y a peu, je passais en voiture rue de Jessaint et j'ai dû faire une embardée pour ne pas écraser un animal. Savez-vous ce que c'était ? Un rat aussi gros qu'un chat. Pour dire les choses plus justement, aussi gros qu'un petit chat. J'avais précédemment entendu dire autour de moi que le soir ces rongeurs faisaient entendre des grincements de dents et qu'ils avaient même l'audace de traverser tranquillement la rue Jessaint en direction du pont.
    J'ai aussitôt pensé au joueur de flûte de Hamelin en sachant pertinemment que tout joueur aujourd'hui n'en viendrait pas à bout. Mais ne faudrait-il pas essayer ? Et aussi est venu se superposer à cette idée l'effroi que l'évocation de "la Peste" de Camus fait surgir lorsque j'y pense.
    Aussi ai-je appelé dès le lendemain le service de l'hygiène, celui-ci m'a dit que la dératisation du square allait avoir lieu prochainement.
    Le square a été fermé du 28 décembre 2011 au 15 janvier 2012. Dans un second temps, il reviendra à la DPE de faire le nécessaire pour nettoyer le square et le rendre praticable.

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    Une situation assez semblable existe dans le 9e. Nous suivons depuis la rentrée de septembre la réflexion du conseil de quartier Trudaine-Rochechouart sur l'état et la possible rénovation du square Montholon. L'été dernier, des mères de famille avaient dénoncé des insuffisances dans la surveillance du square et un état de malpropreté peu compatible avec la présence de jeunes enfants. Depuis lors, des rencontres ont eu lieu entre les élus, les riverains et les membres du conseil de quartier pour dénouer les tensions et tenter de fixer un calendrier jouable pour des aménagements. La mairie a écouté les demandes et cherche maintenant à faire coïncider les avis des services de la ville chargés de juger la faisabilité des projets de rénovation et les budgets municipaux, un peu à l'étroit ces temps-ci... Là aussi, la présence de rats avait été un des déclencheurs.

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    paris,18e,square-jessaint,pigeons,rats,dératisation,salubrité-publiquePar ailleurs, il est probable que les sacs de graines ou de pain sec, donnés aux pigeons, de façon totalement illégale et répréhensible, nous le rappelons à nouveau, que cette nourriture donc jetée à même le sol favorise la prolifération de tous les nuisibles.

     

  • Dératisation du square Alban-Satragne (Paris 10e) : fermeture pendant 3 semaines

    Le site de la Mairie du 10e nous apprend que le square Alban-Satragne est fermé au public pendant 3 semaines à partir de lundi 2 novembre.

    Cette longue durée devrait permettre au Service Municipal d'Actions de Salubrité et d'Hygiène (SMASH) de lutter efficacement contre la prolifération des rats dans ce jardin. Nous avons déjà évoqué le problème de la lutte contre les rongeurs et l'action de SMASH dans notre article du 3 juillet 2014.

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    Devant le square, les sculptures de l'artiste turc Cem Sagbil : "L'homme qui porte la lune" (2009) et "Hemera" (2006)

     

    Pendant la fermeture du square, comment accéder à la médiathèque ?

    Pendant cette fermeture du square, l'accès à la médiathèque Françoise Sagan ne s'effectuera que par les entrées Nord (cour de la Ferme Saint-Lazare) ou Sud (côté fresque "La panthère cosmique" de Philippe Baudelocque).

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  • Des rats à la Goutte d'Or

    La prolifération des rats à Paris fait l'actualité depuis quelques mois. Aussi la ville de Paris a décidé de mettre en place « un plan d'action de grande ampleur » pour faire face à la présence de gaspards trop nombreux. Mais ce plan se concentre seulement sur quelques arrondissements du centre de la Capitale. Pourtant nos quartiers ne sont pas épargnés, comme à la Goutte d'Or où le problème devient préoccupant.

    Ce problème est particulièrement notable à deux endroits du quartier: la friche à l'angle des rues Léon et Myrha et celle à l'angle des rues Affre et Myrha. Ces deux points ont été signalés aux autorités municipales dès le mois de novembre 2016, via l'application "Dans ma rue" et/ou par mail. La première friche, rue Léon, qui va accueillir la future salle de concert Le 360, a été rapidement traitée et les travaux de terrassement du futur immeuble ont d'ores et déjà débuté ; il n'y a donc plus à déplorer la présence de rats ici.

    Par contre, sur la friche située à l'angle des rues Affre et Myrha, qui doit voir la construction d'un immeuble de logements sociaux, les rats courent toujours. À cet endroit, leur présence est largement favorisée par la présence continuelle de dépôts d'ordures et d'encombrants (depuis plusieurs années), du fait de voisins indélicats et particulièrement d'un restaurant lui faisant face et qui y déverse quotidiennement son surplus d'ordures (voir photo ci-dessous). Il faut dire que la rue sert de local poubelles à cet établissement qui laisse ses containers dehors, de jour comme de nuit. La mairie du 18e arrondissement était intervenue par le passé auprès du restaurateur pour faire cesser ces pratiques, en vain. Les mauvaises pratiques continuent et en plus de salir et encombrer le trottoir, ces dépôts contribuent à nourrir une colonie de rats qui n'en demande pas tant ! 

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    Il devient urgent d'intervenir, non seulement pour éradiquer les rongeurs qui posent un vrai problème d'hygiène, mais pour faire adopter au restaurant qui les nourrit des pratiques plus respectueuses de l'espace public et de son voisinage. Soulignons que sans respect des règles sanitaires en vigueur, si les mauvaises habitudes perdurent, il est évident que les rats reviendront.

  • Les rats ont envahi Paris....

    A l'heure où les pique-niques sur un coin de pelouse semblent très attractifs, si la pelouse borde un bassin ou un brumisateur, là pas moyen de résister.... il convient de rappeler que laisser des détritus est non seulement mal élevé, sale, disgracieux, etc., mais il y a un autre inconvénient à cet acte d'incivilité. En effet, les détritus, restes de repas en tout genre, attirent les rongeurs, les font sortir de leur coin sombre sous terre. Comme pour les pigeons, les nourrir est franchement inutile !  

    Nous avions consacré un long article au sujet sur notre blog début juillet, et il semble que les apparitions récentes de rats au milieu des promeneurs sur les pelouses du Louvre aient fini de convaincre France Inter de leur dédier une de ses dépêches du soir également. C'était le 29 juillet. Outre la bande audio ci-dessus, c'est ici sur le site de France Inter.

    Ne vous privez pas des brumisateurs pour autant, notamment ceux installés par la mairie de Paris près du bassin de la Villette, dans le cadre de Paris Plage. Des corbeilles à papier de rue sont là aussi pour réceptionner les reliefs de votre pique-nique ! 

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  • Un thème d'actualité traité par Le Parisien: les rats

    Depuis bientôt deux semaines, nous avions en stock quelques photos prises du haut d'un immeuble qui donne sur le square Alban-Satragne et le jardin partagé attenant. Des photos de rats... des photos impressionnantes, qui montrent bien que les rats ont envahi Paris, comme beaucoup d'autres villes, bien sûr. Mais, là, maintenant, au-delà de le savoir, on les voit de plus en plus.

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    Nous avons hésité à vous servir ces photos peu esthétiques et qui peuvent en inquiéter certains. Ici même nous vous avons annoncé la fermeture du square Alban-Satragne pour une période de trois semaines, justement pour sa dératisation. Or de Jessaint à Satragne, nous suivons l'évolution du problème depuis des années, en témoigne cet autre article de juillet 2014 sur le rattus norvegicus... et si vous voulez une vue encore plus globale de l'affaire, ce lien vous conduira à l'ensemble des articles écrits sur ces bestioles. 

    Pourtant mercredi dernier, Le Parisien proposait un article sur la parution du livre de la journaliste Zineb Dryef, "Dans les murs - Les rats, de la Grande Peste à Ratatouille" (Ed. DonQuichotte, 304 pages, 18,90€, en librairie) qui a remis en selle notre idée de reparler des rats. 

    Notre ami reporter a fait des photos de jour et de nuit qu'il nous a transmises en prenant soin d'entourer les trous de rats qui parsèment le carré d'herbe devant le square (le jardin partagé) : 

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    Puis, à la tombée de la nuit, quand le coin est un peu plus tranquille, tout le monde sort pour finir les restes, non pas des reliefs d'ortolans comme aurait dit un certain La Fontaine dans sa fable Le rat des villes et le rat des champs, mais les détritus et autres restes alimentaires. 

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    Parfois, il en reste quelques-uns sur le tapis.... 

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  • Les nuisibles, les rongeurs, les rats d'égout ou surmulots, rattus norvegicus...

    Autant d'expressions et de qualificatifs pour désigner ces bestioles discrètes mais nombreuses qui font des ravages, sont futées et se reproduisent à vitesse V si on les laisse faire...

    Dans le quartier, notre première rencontre, c'est à dire entre Action Barbès et Monsieur Rat de Paris... ce fut pendant l'hiver 2011-2012 (lire ici ou  nos articles d'alors) dans le cadre de la fermeture du square Jessaint. En effet, celui-ci situé en contrebas du boulevard de la Chapelle et partie intégrante de la place du même nom, est régulièrement habité par la gente rongeuse. Certains mettent en cause le lieu qui accueille quotidiennement les pique-nique de groupes peu enclins à ramasser les reliefs de leurs repas (les reliefs en hommage à la fable de La Fontaine, mais pas d'ortolans toutefois). Plus prosaïquement, des détritus alimentaires laissés habituellement au sol attirent les rongeurs et favorisent leur sédentarisation dans ce square, qui par ailleurs regorge de recoins et de zones où ils sont difficiles à chasser. Ils vivent sous terre et les services aimeraient qu'ils y restent. Nous n'évoquerons même pas les âmes sensibles qui nourrissent abondamment les pigeons sur la passerelle... autre source viewmultimediadocument?multimediadocument-id=69941&role=1d'approvisionnement. Néanmoins, le Smash, service municipal d'actions de salubrité et d'hygiène, s'y consacre, consacre du temps et des moyens, et a déjà fermé le square pendant de longues périodes pour que son travail ait quelque chance d'être efficace. L'est-il ? Sur le long terme, il semble que non, puisque les agents de la déchetterie installée sur le terre-plein central du boulevard chassent les rats tous les matins en arrivant sur leur lieu de travail. Accueil déplaisant, reconnaissons-le !

    De l'autre côté de la déchetterie, toujours sur le terre-plein central, sous le viaduc, existe une zone délimitée par un grillage de clôture (lire un « enclos sous le viaduc » en mars 2011 déjà), a priori fermée par une porte, qui toutefois laisse un passage relativement grand au niveau du sol. Suffisant pour passer soi-même dessous et aussi passer des cartons, des matelas, etc... En d'autres termes, les campements de fortune s'y succèdent depuis quelques années. Cette zone plusieurs fois évacuée (ici en novembre 2010 et plus tard, à la suite d'un départ d'incendie dont les flammes léchaient le viaduc), est de nouveau occupée par des couchages rustiques. L'hiver, il y fait très froid. Cette partie sous-viaduc est balayée par les vents du nord, aussi bien au-dessus qu'au-dessous, puisque nous sommes là sur un pont, le pont Saint-Ange qui enjambe les voies de la gare du Nord. 

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    Le viaduc au-dessus des voies de la gare du Nord : Pont Saint-Ange

    Ici aussi, l’existence d'un campement et de lieux de vie génère la présence de détritus alimentaires propices à la venue des rongeurs, puisque tout reste sur place. Aucune collecte des déchets, aucun nettoiement possible : la zone est censée être inaccessible. Encore récemment elle était cachée derrière des palissades... qui elles-mêmes cachaient quelques matelas.

    Peut-être faudrait-il sortir de cette hypocrisie et arrêter de cacher ce qui ne peut plus l'être : la misère, la précarité. On ne peut empêcher des sans logis de s'installer dans ce secteur ? Laissons-le au moins accessible pour le service de propreté. Laissons-le ouvert à tous les vents — c'est déjà le cas pour le vent du nord — et oeuvrons au moins contre la prolifération des rongeurs en ramassant ce qui peut l'être, en proposant des corbeilles là-aussi, en balisant les accès aux sanisettes et aux points d'eau. Les conditions d'hygiène resteront plus qu'insuffisantes, mais y gagneront néanmoins. En attendant mieux, évidemment...

     

    Pour revenir aux rats, il ne faudrait pas incriminer les seuls précaires et leurs campements dans les squares ou sous les viaducs. Les marchés alimentaires ont aussi leur responsabilité dans l'histoire. Les halles de Paris quittaient la capitale en 1969 et emportaient avec elles un gros contingent de bestioles, mais il n'en reste pas moins que le stockage localisé et temporaire de denrées alimentaires est un critère favorable à la prolifération des nuisibles, et pas seulement les rats. L'axe Chapelle - Barbès est occupé deux fois par semaine par un vaste marché alimentaire qui s'établit aux premières heures de l'aube sur une bande d'environ 300 mètres de long et se termine officiellement vers 14 heures. Entrent en scène, après le départ des marchands, les services de la Propreté qui à grand renfort de jets d'eau remettent de l'ordre dans l'espace public. Sauf que depuis plusieurs années maintenant d'autres petits marchés lui succèdent et laissent le territoire jonchés de déchets variés, pas uniquement alimentaires, reconnaissons-le. Il règne une certaine saleté qui peut favoriser les nuisibles. Les services de la Propreté ne sont pas forcément en cause, d'autant que les nettoiements d'après-marché sont assurés par une brigade spéciale, bien équipée, avec des engins mécaniques qui permettent de rendre à l'espace public son aspect originel d'avant-marché. C'est malheureusement sans tenir compte des centaines de marchands à la sauvette qui évoluent sur ce territoire en fonction des mouvements des forces de police présentes sur place. En résumé : je nettoie, tu déposes au sol ta toile et tes produits, le policier arrive, tu te sauves en laissant une partie des articles, au moins les emballages, le policier repart mais moi aussi je suis parti.... le prochain passage de balai, ce sera pour demain.

     

    Vendeurs à la sauvette sous viaduc Juin 2014 - Version 2.jpg

     

    Même l'hôpital Lariboisière se plaint de la présence des rats dans son enceinte. Au niveau de l'hygiène et des conditions indispensables d’asepsie, ce n'est pas idéal. On lutte, on dépense énergie et budget qui seraient mieux utilisés ailleurs qu'à ces combats ancestraux contre les nuisibles. Et pourtant... le 13 juin, Libération consacrait un article assez long sous la plume de Sylvain Mouillard à un reportage décrivant une matinée avec la police anti-rats.. Cela laisse rêveur, une police anti-rats, non ? On y apprend que la préfecture de police lance sa campagne de dératisation entre la mi-avril et la mi-juin, chaque année. Nous vous en conseillons la lecture pour clore le sujet. C'est là.

    Vous ne verrez plus du même œil les factures de charges liées aux contrats de dératisation qu'on a souvent tendance à trouver un peu chers...

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    Qui ne connaît pas la boutique située non loin de la place Sainte-Opportune ? toujours prête à donner des conseils en cas de problème domestique avec des visiteurs non invités.

    Pour les copropriétés, n'hésitez à joindre le Smash : 

    Siège du SMASH : 
11 rue George Eastman, 75013 Paris
, Tél. : 01 44 97 87 97 - Fax. : 01 44 97 87 75,
 Privilégier le contact mail : smash@paris.fr

    Antenne Nord 66 rue de Meaux - 75019 Paris - Tel. : 01 40 33 74 50
    
Sections de Désinfection, d’Assainissement, de Désinsectisation et de Lutte contre les Rongeurs, Collecte et ramassage des Objets Contaminants (tout Paris) : 2e, 3e, 8e, 9e, 10e, 11e, 17e, 18e, 19e et 20e arrondissements

    La campagne de dératisation sur le site de la PP  

    UNPA = unité de prévention des nuisances animales

  • Le square Jessaint et les rats - suite -

    Nos visites répétées au square Jessaint - le square en contrebas près de la Place de La Chapelle - ne contribuent pas à sa réouverture, mais on y rencontre aux abords des personnalités, à la fois compétentes et soucieuses de l'information du citoyen de base que nous sommes. 

    La situation de ce square fermé depuis plusieurs mois avait fait l'objet d'un article ici même dans notre rubrique environnement le 14 février dernier, nous y regrettions la fermeture du square ou plutôt sa non réouverture le 15 janvier, comme annoncée. Or, sur place, nous avons rencontré Mme Jagline, qui appartient à la Direction des espaces verts et de l'environnement (DEVE). Plus précisément au service d'exploitation des jardins. Elle nous a confié le gros soucis que rencontre le square : impossible de se débarrasser des rats qui le peuplent !

    Elle nous a écrit en ces termes il y a quelques jours :

    Actuellement, le jardin reste fermé car il y a toujours des rats.
    Je fais faire des paniers grillagés pour mettre dans les regards d'évacuation des eaux de pluie.
    Le service d'assainissement de Paris a découvert un trou dans les égouts où les rats doivent passer et entrer dans le square. Ils doivent le boucher.

    viewmultimediadocument?multimediadocument-id=69941&role=1Le SMASH attend que ces deux travaux soient fait pour décider ou non d'une nouvelle dératisation dans le square.

    Pour le moment, je ne peux pas vous en dire plus; dés que j'ai du nouveau, je vous en fais part.

    Nous la remercions de ces informations.

    Affaire à suivre donc.

  • Il y a toujours des rats dans le square Jessaint

    Regardez vous-même les motifs de la fermeture pendant un mois du square situé près de la place de La Chapelle : 

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    Nous avions déjà relaté les problèmes que connaît cet espace de verdure du 18e lors de sa précédente fermeture qui s'était prolongée plus longtemps que prévu. (voir notre article de mars cette année)

    Nous nous étions promis de suivre le dossier. Rencontrée sur place en mars, une des responsables de la Direction des espaces verts et de l'environnement (DEVE) nous a appelés pour nous avertir que, malheureusement, le square serait à nouveau fermé, pour un mois, le temps de mettre les pièges annoncés dans le précédent article. Seront-ils suffisamment efficaces pour neutraliser ces bestioles ?

    La situation n'est pas simple, car on observe que ce square est utilisé comme espace de rencontre et de prise de repas par des populations très précaires, qui laissent sur place des détritus et les reliefs de leurs repas.  D'autres personnes viennent nourrir les pigeons sur la passerelle qui surplombe le square, et le sépare des voies de chemin de fer. Ces amas de riz et de semoule, déversés par sacs entiers sur le pavement attirent outre les pigeons toutes sortes de nuisibles. Et enfin, le campement de fortune qui se situe sous le métro aérien, ne peut pas bénéficier de nettoyage régulier, et favorise lui-aussi la présence des rongeurs. Questionnés sur le problème, le personnel qui gère la déchetterie de la Place de La Chapelle confirme la présence des rats et des souris le matin et le soir, dans le périmètre de leur lieu de travail. Ils apprécient moyennement.... 

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  • Déjà le grand Hugo !

    "Il faut arrêter le marteau qui mutile la face du pays. Une loi suffirait; qu'on la fasse. Quels que soient les droits de la propriété, la destruction d'un édifice historique et monumental ne doit pas être permise à ces ignobles spéculateurs que leur intérêt aveugle sur leur honneur; misérables hommes, et si imbéciles, qu'ils ne comprennent même pas qu'ils sont des barbares ! Il y a deux choses dans un édifice, son usage et sa beauté. Son usage appartient au propriétaire, sa beauté à tout le monde; c'est donc dépasser son droit que de la détruire"

    "A Paris, le vandalisme florit et prospère sous nos yeux. Le vandalisme est architecte. Le vandalisme se carre et se prélasse. Le vandalisme est fêté, applaudi, encouragé, admiré, caressé, protégé, consulté, subventionné, défrayé, naturalisé. Le vandalisme est entrepreneur de travaux pour le compte du gouvernement. Il s’est installé sournoisement dans le budget, et il le grignote à petit bruit, comme le rat son fromage. Et certes, il gagne bien son argent. Tous les jours il démolit quelque chose du peu qui nous reste de cet admirable vieux Paris."

    Victor Hugo - Revue des Deux Mondes - Guerre aux démolisseurs - 1825/1832 - voir ICI

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  • Les blancs contre les gris ou mouettes contre pigeons

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    Toujours aux abords du square de Jessaint, une passerelle que nous aimons bien et dont nous déplorons l'extrême malpropreté. Vous appelez cela faire une fixette ? Et bien, oui. 

    Nous notons que le square n'a pas rouvert malgré l'affichage qui annonçait la réouverture pour le 15 janvier. La période de grand froid de ces jours-ci n'engageait pas trop à se poser sur les bancs du square, donc le préjudice n'est pas bien grand. Mais est-ce aussi le grand froid qui a apporté cette nuée de mouettes voraces ? L'espace est habituellement occupé par des dizaines de pigeons, nourris en douce par des âmes sensibles dans une totale illégalité. Cette fois, ils ont fort à faire contre ces volatiles plus gros qu'eux et animés d'un appétit peu tolérant face à la concurrence.

    Du point de vue artistique, leur présence nous a permis de faire des photos différentes... Pourvu que le bestiaire ne s'enrichisse pas de quelques rats en goguette !

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  • Conseil de quartier Anvers Montholon

    "Manger sain et local" tel est le thème principal de la prochaine réunion plénière du conseil de quartier Anvers Montholon qui se tiendra le mardi 29 novembre à 19h à l'école située 45, rue de la Tour d'Auvergne.

    On y parlera nourriture bio et circuit d'approvisionnement court, entre autres avec La Ruche qui dit Oui Valeyre, la Ruche qui dit Oui Tour des Dames, les Paniers du Val de Loire, le Réseau des AMAP et AMAP du 9e.

    Il y aura aussi un débat à propos des projets du conseil de quartier : 

  • Un regard sur les squares en réfection

    En hiver la nature se met en sommeil. A Paris les squares aussi. Le drame est qu'ils sont les seuls espaces verts, quand ils sont verts ! qui proposent un cadre protégé à nos chers petits. Or cet hiver, plusieurs squares sont fermés en même temps. 

    Dans le 9e, le square d'Anvers situé aux abords du boulevard de Rochechouart est en partie fermé seulement. Nous vous avons présenté le projet dans notre article du 16 avril dernier. A noter que nous en sommes à la deuxième rénovation en 10 ans puisque la précédente datait de 2006 comme l'indique notre article du 3 juillet de cette même année.

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    ... Et dans le 18e, le square de Jessaint, situé place de la Chapelle.

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    Le square de Jessaint a été fermé de longs mois à plusieurs reprises (voir nos articles ici ou ) en raison des rongeurs, disons des rats plus simplement, qui pullulaient et petit à petit se montraient même en plein jour un peu partout. Au point que le square soit totalement abandonné par les familles. Dans notre article du 27 octobre de l'an passé, nous expliquions le principe de lutte adoptée contre ces nuisibles. Maintenant rien n'y parait. Tout est recouvert. Il semble que des pelouses en dalles, comme la moquette (i), ou en rouleaux, soient en cours de reprise. Le temps clément de cet hiver se prête bien à ces plantations. Les arbres ont été préservés et leurs troncs protégés pendant les travaux. Il n'est plus qu'à attendre des incrustations florales, qui ne manqueront pas de venir. 

    Nous vous avertirons à l'occasion de la réouverture.