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Action Barbès - Page 613

  • On danse ?

    13-14 juillet ? On danse !

    Près des chez nous peut-être.... nous avons trouvé une quinzaine de bals gratuits dans les différentes casernes de pompiers de la ville les 13 et 14 juillet et aussi :

    • le Grand bal sur l'esplanade du jardin d'Eole. 19-41, rue d'Aubervilliers, XVIIIe. Ce soir, le 13, de 21 h 30 à 2 heures avec DJ Waaterproof.
    • le Ciné karaoké et bal au Cent Quatre. 104, rue d'Aubervilliers, XIXe. Ce soir aussi de 21 h 30 à 3 heures.

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  • Une traversée historique du 10e

    En raison du succès remporté en 2010 par l'exposition d'Histoire & Vies du 10e pour ses 10 ans :
    "Une traversée historique du 10e",
    la mairie du 10e a décidé de la réinstaller du lundi 4 juillet au jeudi 22 septembre 2011.

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    De plus, elle sera également visible avec une visite commentée lors des Journées du Patrimoine 2011 qui auront lieu les samedi 17 et dimanche 18 septembre 2011.

    L'exposition reflète le travail mené par l'association pendant dix ans, de 2000 à 2010 : elle est basée sur les différentes manifestations organisées par "HV10".
    L'ensemble des documents visuels présentés est structuré autour des 4 quartiers administratifs créés en 1860 :

    • Saint Vincent-de-Paul
    • Hôpital Saint-Louis
    • Porte Saint-Denis
    • Porte Saint-Martin.


    Exposition visible aux heures d'ouverture de la mairie :
    * Lundi, mardi, mercredi, vendredi : de 8h30 à 17h,
    * Jeudi : de 8h30 à 19h30,
    * Samedi : de 9h00 à 12h30.

  • Louxor : visite du chantier

    Un groupe d'une quinzaine de personnes "casquées et bottées" ont pu se promener dans le chantier du Louxor vendredi 8 juillet. Pour qui avait vu le bâtiment avant les premiers coups de pioche, le lieu avait un aspect désolant. Forcément un gigantesque trou, où on tentait de retrouver les traces du passé.

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    Depuis le toit, on pouvait photographier Montmartre et les vestiges de Vanoprix.

    Que restera-t-il ? L'escalier historique en granito (petites pierres incluses dans du ciment) actuellement protégé par un coffrage en bois, la façade également en granito, et les mosaïques bien sûr dont la question de la protection contre l'affichage sauvage n'a pas été envisagée à ce jour.

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    A ce jour, donc, la visite offre un intérêt limité. Certains ont emporté avec eux un petit morceau de plâtre coloré, abandonné sur les tas de gravas... 

    Pas de comparaison hasardeuse avec le mur de Berlin.

    Disons en conclusion que l'état actuel du chantier, ce qu'on voit du bâtiment, ce qu'on imagine, se marie assez mal avec l'idée de restauration affichée sur la façade, y compris d'une quelconque conservation de peintures d'époque (1920-21), comme le souligne l'article de Clarisse Fabre, publié dans Le Monde du 8 juillet, sous le titre Le nouveau Louxor revient à l'affiche. Elle écrit : trois salles de cinéma, un lieu d'exposition, un café, le tout rénové dans le style des années 1920, en conservant ce qui reste des peintures murales égyptiennes.

    Il serait plus juste de dire que ces peintures seront restituées... En matière de patrimoine, on aime les nuances et les précisions.

  • Le changement de sens de la rue Chabrol : quelle conséquence ?

    Il était question depuis un certain temps dans les réflexions de la direction de la voirie de tenter le changement de sens dans la rue Chabrol. La partie située entre la rue La Fayette et la rue d'Hauteville était déjà interdite à la circulation de passage, n'autorisant que les riverains. Mais le respect de ces subtilités circulatoires n'est pas le fort des automobilistes parisiens. Pour être efficace en terme de réduction de flux, il faut trancher dans le vif et interdire radicalement ou inverser le sens de circulation.

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    Le but est de trouver des solutions pour réduire les embouteillages récurrents qui ralentissent à la fois la circulation générale sur le boulevard de Magenta et les circulations douces (bus et taxis) sur les voies qui le traversent. Pour illustrer la situation, et nous rendre compte de ce que vivent les usagers des lignes de bus qui empruntent la rue La Fayette vers la Gare du Nord, par exemple, nous avons pris le 43 entre la place d'Estienne d'Orves et la Gare du Nord à 18 heures, lundi 4 juillet.

    Le lundi n'est pas connu pour être le jour le plus chargé de la semaine, et le mois de juillet... disons que certains sont déjà en vacances. Malgré ces données favorables, il a fallu plus de 20 minutes au 43 pour aller du square Montholon à son terminus, la Gare du Nord. Le chauffeur, interrogé, a déclaré que la voie en site propre, protégé derrière son séparateur en granit, n'empêchait pas la vitesse d'escargot tous les soirs à la même heure ! A 16h, la rue était déjà très encombrée. Même constat le jour suivant à 17h30.

    De plus, il est navrant de constater que la piste cyclable très pratique est utilisée par de très nombreux deux roues motorisées et parfois à grande vitesse.

    Alors ? Que pensez des déclarations récentes sur l'inauguration du Mobilien 26, fêtée en fanfare par les élus du 9e et du 10e, de la Ville et de la Région, rassemblés, et les instances de la RATP ?

    L'inversion du sens de la rue de Chabrol, nous y revenons, aurait pour but de supprimer une entrée de véhicules sur le Magenta et donc de le fluidifier. Le Magenta plus fluide, moins d'embouteillage aux carrefours, moins de ralentissement des bus qui le traversent... vous saississez ? Dans le même ordre d'idée, le changement d'itinéraire du 26, en abandonnant sa sortie par le boulevard de Denain pour prendre la rue La Fayette à contre sens, avant les travaux, avait également permis de supprimer un cycle de feu. En effet, tout se joue sur des secondes grapillées à droite et à gauche.

    Mais tout cela est-il suffisant pour obtenir une circulation fluide - et réduite !- au coeur de Paris, tant que des boulevards, voire des autoroutes, laissent pénétrer en ville des milliers de véhicules par les entrées ouest notamment. Se souvenir de la largeur de l'avenue de la Grande Armée et de l'avenue du bois, qui déversent leurs flots quotidiens de voitures qui ne s'arrêtent certes pas aux Champs Elysées.

  • Inauguration du jardin solidaire l'Univert, rue Polonceau

    Daniel Vaillant inaugurait vendredi 8 juillet le jardin solidaire  l'Univert au 33-35 rue Polonceau, résidence de Paris Habitat partie prenante du projet. Invisible de la rue, il profite par contre aux habitants des immeubles avoisinants dont les fenêtres donnent sur la cour. Fleurs, plantes, légumes et fruits sont plantés dans de gros paniers. On a installé un abri de jardin et une petite serre. Ce lieu accueille habitants du quartier, enfants et aussi  allocataires du RSA, et personnes sans emploi de longue durée. Avec 3 objectifs ambitieux : favoriser l'insertion sociale, participer à la dynamique du quartier, sensibiliser les habitants à leur environnement.

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     Fabienne Giboudeaux chargée des Espaces verts à la Ville a rappelé qu'on comptait déjà dans la capitale une soixantaine de jardins partagés.Tous ne sont pas solidaires, mais c'est le cas de ce lieu. C'est pourquoi deux autres adjointes de Bertrand Delanoe, Olga Trostiansky (solidarité, famille et lutte contre l'exclusion) et Gisèle Stievenard (politique de la ville et engagement solidaire) l'accompagnaient. Un projet  transversal donc,  soutenu par l'association Halage.  Sa présidente, Elisabeth Masse-Bourgain, a précisé que d'autres projets étaient à l'étude dans le 18ème arrondissement. Elle a même évoqué, sait-on jamais, la possibilité d'utiliser le toit du commissariat de la rue de la Goutte d'or actuellement en friche qui domine le jardin!

    --- On nous a signalé que l'animatrice du jardin, Caroline Falletta, était très impliquée dans cette création dès son origine. Aussi, un peu tard, et tête basse, car nous l'ignorions, nous l'en félicitons et nous remercions Mme Smail, qui nous a transmis l'information.