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Commerce - Page 80

  • Côté commerce : le GTL du 10e

    Le GTL du 10e, c'est le groupe de travail local, qui réunit régulièrement les élus dont la délégation touche le commerce de l'arrondissement et les acteurs locaux de la démocratie participative. C'est l'occasion pour la Société d'économie mixte d'aménagement de l'Est de Paris (la Semaest) de présenter un bilan de ses activités et de donner une image de la situation du commerce dans le territoire où elle remplit sa mission.

    Pour ce qui nous intéresse dans la réunion de ce soir, les zones observées seront le "quartier des deux gares" et le "quartier Chateau d'Eau Lancry".

    La réunion n'est pas vraiment publique, elle s'adresse aux personnes qui ont suivi les dossiers au fil du temps, et ce sont surtout les conseillers de quartier qui participent. Elle aura lieu ce mercredi à 18 heures, dans la salle des mariages de la mairie du 10e et Action Barbès sera repésentée.

    Concrètement, dans nos rues proches, l'opération Vital Quartier, a permis de racheter une boutique abandonnée au 69 rue de Maubeuge et de l'attribuer plus tard - après une rénovation respectant les normes environnementales de la Ville - à une jeune entrepreneuse, parmi les personnes qui s'étaient portées candidates. Dans notre bulletin d'informations, nous avions fait plusieurs articles sur cette boutique : dans le n°23 en mars 2010, pour annoncer le rachat du local par la Sémaest et dans le n°26 en février 2011, pour faire part de l'ouverture du commerce de Rebecca Gillot, "Une fée dans l'atelier".

  • Les « flash info » de la PRÉFECTURE DE POLICE

    Les « flash info » de la PP sont parfois très désespérants à lire, or comme blogueur « reconnu », nous en recevons de nombreuses par semaine. On penche parfois pour le sourire tant est dérisoire l’information relatée par rapport à la situation globlale, d’autres fois, le lecteur est saisi par la profondeur du mal, et les moyens qui seraient nécessaires pour inverser la tendance.

    Ne vous attardez pas trop ici à assimiler les difficiles intitulés des services, mais notez au passage le raccourci qui lui fait référence, UTILE ! – donc ce service du Val de Marne a mis la main sur un trafic moderne. Le descriptif ci-dessous est un concentré d’activités illégales qui touchent à la fois des individus, les locataires, le fisc, l’URSSAF, toutes les caisses sociales de chômage, maladie, vieillesse, etc., les clients et les chauffeurs de ces taxis illicites – imaginez un accident de la route…- les héritiers ou les employés de la société phagocytée sans plus de publicité….

    Il s‘agit de blanchiment de travail dissimulé pour partie, un délit bien facile à mettre en place pour des citoyens peu scrupuleux, étant donné le volant de chômeurs et de travailleurs sans permis de travail, voire sans papiers du tout, et les mauvaises habitudes qui se sont installées en même temps qu’un individualisme poussé. Individualisme, oui. Le sens de l’intérêt collectif a disparu. Pour dissimuler le travail, il faut un gérant comme celui-ci, malhonnête, mais en face il faut aussi un travailleur et un client qui acceptent de prendre part à ce contrat dissimulé sans aucune couverture…. Et sans participer financièrement à l’effort collectif que suppose une société moderne et démocratique.

    Blanchiment bien sûr, mais le tableau est bien noir.

    Inutile de chercher un lien précis avec notre quartier, n’est-ce-pas ?

    Paris, préfecture-de-policeInterdit de gérer, et alors ?  PPFlash du 21 octobre 2011

    Début juin 2011, l’unité de traitement judiciaire des infractions à la législation sur les étrangers (UTILE) du Val-de-Marne s’intéresse à une société de location de terrains et d’autres biens immobiliers implantée à Cachan (94) dont des logements ont été frappés de deux arrêtés préfectoraux d’insalubrité auxquels le dirigeant a refusé de se soumettre.

    L’enquête révèle que  la société a à sa tête un gérant de « paille ». Le véritable gérant est un homme de 67 ans, condamné à 16 reprises dont 7 fois pour fraudes fiscales et objet d’une interdiction de gérance. Celui-ci encaisse les loyers exclusivement en espèces et n’en déduit pas les allocations afférentes qu’il perçoit. Il apparaît également être à la tête d’une quincaillerie et d’une société de « taxis anglais » loués le week-end pour 2 000 euros.

    Placé en garde à vue une première fois, il s’engage à procéder à des travaux de remise en état dans les appartements et est laissé libre à l’issue.

    L’enquête se poursuit et fait apparaître qu’il perçoit des bénéfices d’une société dont le gérant statutaire est décédé et dont il a pris la succession sans qu’aucune démarche n’ait été effectuée auprès du tribunal de commerce. De nombreux chèques sont déposés sur ses comptes bancaires - 138 000 euros en 2010 – contrepartie de ventes de bois réalisés via la quincaillerie. 55 000 euros ont aussi été crédités au titre de règlements de travaux réalisés par une société de décoration dont aucun salarié n'a été déclaré à l’URSSAF, société servant de couverture à la location de « taxis anglais »…

    Le 18 octobre, il est de nouveau placé en garde à vue et son domicile perquisitionné ; de nombreux documents confirmant les faits reprochés sont saisis ainsi qu’un compromis d’achat d’un bien immobilier de 103 000 euros, financé sans emprunt et avec l’argent d’une société, permettant de retenir à son encontre le délit de blanchiment de travail dissimulé.

    Il a été laissé libre sous contrôle judiciaire dans le cadre d’un renvoi d’audience au 17 novembre. Une information judicaire a été ouverte concernant l’hébergement indigne 

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  • Le point sur le site de Vanoprix

    paris, 18e, barbès, vano, incendie, pompiersLe 21 juin dernier un incendie se déclarait dans les réserves du magasin Vano, situé carrefour Barbès-Rochechouart. La presse s'en faisait l'écho et notre blog itou. Depuis cette date, des barrières encombrent le trottoir et les foules qui circulent entre les nombreux magasins du boulevard Barbès et la station de métro font comme elles peuvent pour s'en accommoder. Cet inconfort temporaire n'a pas destabilisé outre mesure le commerce illicite de cigarettes de contrefaçon qui prospère dans le quartier, pas plus que les marchés à la sauvette qui occupent la trottoir élargi le long de la station de métro.

    Nous nous sommes adressés à la mairie du 18e arrondissement et à son maire Daniel Vaillant pour prendre des nouvelles. Savoir plus précisément ce qu'il en est de la reprise de cet emplacement par KFC, désireux d'y ouvrir un établissement de restauration rapide, comme nous avions pu le lire dans la presse, notamment dans le Parisien en avril. Savoir également combien de temps encore les canettes, les papiers gras, les flyers de toutes sortes s'accumuleraient entre les façades condamnées et les barrières. Reconnaissons que le nettoyage dans cet espace n'est pas aisé pour les agents de la Propreté.

    Nos questions à Daniel Vaillant étaient d'autant plus justifiées, que lui-même, lors du dernier comité de pilotage Barbès en mars dernier, nous avait fait part de la tentative de la mairie de décourager  l'ouverture d'un nouveau fast food, le quartier n'en manquant pas, à dire vrai.

    Faisons donc le point sur la situation, d'après le message de la mairie reçu le 15 septembre :

    - Le commerce Vanoprix était installé sur deux parcelles distinctes, l'une 2, boulevard Barbès, et l'autre 124, boulevard de la Chapelle.

    - C'est sur ce bâtiment que la société KFZ (Kentucky Fried Chicken) a déposé un permis de construire le 7 avril 2008;

    - Suite à un avis négatif du Maire du 18e et du Maire de Paris, un arrêté municipal a été pris le 30 décembre 2008 pour rejeter ce permis.

    - Cet arrêté a lui-même été annulé par un jugement du tribunal administratif de Paris, le 9 juillet 2010.

    - on peut donc juridiquement affirmer que la société KFC France est bénéficiaire, à ce jour, d'un permis de construire sur le bâtiment du 124 bd de la Chapelle.

    - Sauf que, Vano, dont la raison sociale est société Galerie Vano, a fait usage de son droit de réponse à la suite de l'article du Parisien du 13 avril, intitulé "Vanoprix, futur palais du poulet frit", pour dire que non, pas du tout, Le Parisien se trompe ! Le projet d’installation de l’enseigne KFC né en 2008 n’a pas connu de suite et VANOPRIX a repris sa liberté depuis le 31 Janvier 2009...

    paris, 18e, barbès, vano, incendie, nettoyage, La Mairie n'en sait pas plus sur l'aspect commercial. En revanche, elle nous précise que

    "dans l’attente des conclusions de l’enquête sur la nature de cet incendie, des barrières ont été installées sur le trottoir boulevard de la Chapelle et boulevard Barbès.

    L’enquête est à ce jour close et elle conclut à l’incendie accidentel. Les barrières subsistent car un des murs du bâtiment présente des risques d’effondrement.

    Daniel Vaillant a donc demandé ce jour au commissaire Clouzeau de relancer les architectes de sécurité pour qu’ils demandent la démolition de ce mur ou son étaiement au propriétaire. Ce afin de pouvoir enlever ces barrières au plus vite.

    Dans l’attente, Stéphane Lagrange (le coordonnateur de l'espace public du 18e)  a indiqué que les services de propreté du 18e procédaient au nettoiement de la parcelle même si elle ne dépend pas normalement de leur zone d’intervention."

    Ce nettoiement devrait intervenir rapidement. Nous nous informerons... l'idéal serait qu'il saute eux yeux sans qu'il soit besoin de vous en avertir. Observons.

  • Etendre les interdictions de vente d’alcool ?

    Depuis début juillet, la Préfecture de Police applique un nouvel arrêté d'interdiction de consommation d'alcool sur la voie publique autour du bassin de la Villette, en soirée et la nuit. Celui-ci interdit la consommation de 22h à 7h et la vente à emporter de 22h30 à 7h dans une zone autour du bassin, et cela jusqu’au 31 octobre.

    Les nombreuses plaintes des habitants de ce quartier s’y sont pas étrangères. En effet, les abords du bassin sont devenus très agréables et représentent un espace très attractif pour les pique-niques de toutes sortes. Malheureusement tous ne savent pas respecter la tranquillité des riverains. Certains semblent même ignorer que de nombreux appartements donnent sur les deux quais de Seine et de Loire, où les rencontres conviviales trop souvent s’éternisent… tard dans la nuit, voire tôt le matin. Ajoutez à cela le taux d’alcoolisation des individus augmentant avec les heures. Cocktail détonnant ! et même risque de noyade...

    Nous avons dans notre quartier un dispositif analogue d'interdiction qui date de quelques années et concerne un périmètre autour de la gare du Nord. Mais au grand dam des habitants du haut du faubourg Poissonnière qui se plaignent depuis longtemps de nuisances sonores au pied de leurs immeubles, le périmètre n'englobe pas cette partie. Les rassemblements étaient particulièrement bruyants ce printemps, au cours duquel les soirées douces et sans pluie ont été nombreuses. Ces réunions ne sont pas constituées de pique-niqueurs dans notre secteur. Elles se situent sur la partie haute du faubourg, côté 10e, et seraient plutôt une base arrière de la station de métro, car on y retrouve tous les petits trafics qui en font la réputation. N’en pouvant plus des éclats de voix, parfois des bagarres bruyantes, tard dans la nuit, les habitants se sont concertés et ont fait circuler une pétition, qui en quelques jours a pu regrouper plusieurs centaines de signatures. Ils ont été reçus en juin par le commissaire du 10e, Jacques Rigon. Des dispositifs existent ; un travail de collaboration avec les deux autres commissariats, 9e et 18e, devrait faire progresser les résultats et la tranquillité des habitants, a laissé entendre le commissaire Rigon.

    Quant à l’interdiction de vente de boissons alcoolisées, que souhaitaient les signataires de la pétition implicitement, il n’en est pas question. L’arrêté préfectoral ne prend pas en compte le faubourg pas plus que le haut du boulevard de Magenta. Pourtant, certains montrent du doigt la petite épicerie du faubourg, qui sans aucun doute fournit aussi bien les retardataires du quartier, bien heureux de l’aubaine, que les buveurs nocturnes, installés à 30 mètres plus haut, de bons clients, sans doute...

    Deux remarques :

    -   en admettant que ladite épicerie soit interdite de vente, à certaines heures, il s’en trouvera toujours une autre un peu plus loin, ne serait-ce que le Monop de l’autre côté du boulevard de Magenta, pour proposer des canettes de bière ou toutes sortes de boissons pas trop chères mais alcoolisées.

    -   Par ailleurs, à l’heure où les enseignes de la grande distribution nationale ouvrent des magasins dans toutes les rues, il peut être intéressant de conserver des petits commerces de proximité. D’après nos adhérents clients réguliers ou occasionnels de l’épicier, les aliments de base seraient abordables… d’un niveau de prix équivalents, en tout cas. Ces lieux constituent également des points de lumière dans des quartiers qui restent anxiogènes pour certains. Comme pour la poule et l'oeuf, est-ce l'épicier qui génére l'attroupement ou l'attroupement qui fait vivre l'épicerie ?

     

  • Pronenade estivale le 9 août côté 10e avec l'adjointe chargée du commerce

    A la demande d'Hélène Duverly, adjointe chargée du commerce dans le 10e, nous avons parcouru  le quartier, en privilégiant le boulevard de Magenta. En effet, des adhérents d’Action Barbès nous ont  souvent fait part de leur souci quant aux débordements des étalages, des magasins de chaussures notamment.

    Notre promenade a commencé devant les Bouffes du Nord puis rue du Faubourg Saint Denis jusqu'au Parvis de la gare du Nord

    Près du Théâtre des Bouffes du Nord, la Ville réfléchit à l'implantation d'un distributeur de billets à la demande d'un groupe bancaire. En effet, il n'y en a aucun dans ce large périmètre qui comprend les rues Louis-Blanc, Perdonnet, Cail, l'extrémité nord de la rue Faubourg Saint-Denis et la place  « T10 » (terme un peu barbare qui désigne le carrefour des rues Louis Blanc-Philippe de Girard-Cail-). Lorsqu'on habite ce quartier, il faut s'approvisionner soit à la nouvelle poste installée à l’extrémité de la gare du Nord, soit à la poste du boulevard de la Chapelle dans le 18e vers la rue Phillipe de Girard. Une situation qui surprend dans un quartier aussi commerçant.

    Parvis de la Gare du Nord : les chaises ne débordaient pas ce jour-là… pas plus que les chevalets des menus. Le temps pluvieux, très peu estival, n’y était certainement pas étranger. Le secteur était assez calme en ce mardi après-midi. Deux marchands ambulants sont bien autorisés devant la gare : le vendeur de bonbons du Boulevard de Denain côté pair, à qui l'on cherche un autre emplacement de façon à permettre une installation en contre terrasse au café qui fait l’angle, et un vendeur en maroquinerie à côté du kiosque à journaux côté impair.

    On ne peut passer dans ce secteur sans évoquer le stationnement à la fois envahissant, anarchique et incontournable des deux roues. Une fois qu’on a dit que le nombre des motos a augmenté de façon « imprévisible » à Paris durant ces dix dernières années, qu’on a déploré que l’espace qui leur a été réservé lors du réaménagement des abords de la gare est insuffisant, on n’a pas fait avancer la situation d’un iota. Comme nous étions en présence de l’élue chargée du commerce, il n’était pas de bon ton de parler urbanisme, sauf que les motos taxis… - ne serait-ce pas une activité commerciale cette fois ? - tiennent également beaucoup de place, vu la taille des cylindrées et l’emplacement que les chauffeurs ont choisi : juste à la sortie des taxis, les voitures taxis. Là encore, ce n'était le bon jour pour le vérifier. Elles étaient trop peu nombreuses pour en juger : peu de clients en août pour ce type de transport.

    paris 10e,commerce,étalagesRue de Maubeuge : la Semaest  vient de racheter la boutique du 83, anciennement agence d'intérim, juste à côté de la boulangerie. Plusieurs mois seront nécessaires avant d'en connaître la destination :
    il faut dans un premier temps faire un diagnostic, faire réaliser par un architecte la liste des travaux de mise aux normes, puis lancer un appel d'offres, réaliser les travaux et enfin choisir un type de commerce, en fonction des besoins du quartier et des demandes des preneurs de bail.
    La boutique fait environ 40m2 avec une petite salle au fond.

    Pourquoi pas une alimentation bio ou un artisan? Ce sera la deuxième boutique rachetée après celle du n° 69. La Semaest poursuit son action pour la diversifion des activités commerciales à d'autres endroits de l'arrondissement notamment rue du Château d'eau.

    Boulevard de Magenta : moins de clients mais toujours autant d'étalages

    Nous attaquions là le gros morceau de la tournée. Nous nous sommes en effet attachées aux boutiques du Magenta et plus particulièrement aux magasins de chaussures. Hélène Duverly a promis de demander aux services chargés des contrôles de venir en septembre sur le secteur pour une piqûre de rappel, le rappel des règles communes à tous les étalages parisiens…

    Sur le terrain donc, les commerçants étaient plutôt de bonne volonté mais aucun n'était au courant des règles à respecter. C’est tout au moins ce qu'ils affirmaient. Au cours des conversations, nous avons appris que deux sociétés se partagent les boutiques de chaussures du secteur, une situation similaire à celle des boutiques de vêtements de cérémonie.

    Hélène Duverly a rappelé inlassablement la règle des 1,60 m, espace minimum devant resté libre pour les piétons, donc à mesurer à partir des bordures des pieds d'arbres. Et cela tout le long du boulevard.

    Les commerçants visités ont tous accepté de ranger leurs étals différemment pour arriver à 1,20 m, la largeur qui leur est autorisée, au vu des feuilles dûment estampillées par la  DU.  Ils étaient  très étonnés de voir qu'ils dépassaient parfois les 2 mètres ! Plus surprenant encore, ils semblaient ignorer totalement la réglementation, l'un d’eux avouant même « Et bien… pendant les vacances, je pensais qu'on pouvait… ». Autre commentaire encore entendu : « Le voisin a sorti des porteurs, il empiète, il cache mes étalages, je suis bien obligé de faire pareil ! » Le rappel aux règles valables pour tous semble s’imposer. Heureuse initiative : nous étions venues mètre en main…

    Malheureusement, comme nous avons l'occasion de passer quotidiennement boulevard de Magenta, il est aisé - et navrant - de constater que tout est « rentré dans l'ordre » si l'on peut dire. Les étalages déplacés ont retrouvé leur espace initial.

    Une communication de la Ville sur la nouvelle réglementation en matière d'étalages et terrasses s'impose. Nous avions d’ailleurs demandé la réalisation d'une plaquette simplifiée lors d'une réunion du Comité de pilotage Barbès à l'Hôtel de Ville - demande entendue et approuvée par Philippe Chotard, secrétaire général et responsable de ce comité. Pourtant cela est resté sans effet. Sans vouloir jeter l’argent par les fenêtres en ces temps de crise, cette communication auprès des commerçants concernés serait la bienvenue. Ils ne pourraient plus mettre en avant la non information.