Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Jacques Rigon quitte le commissariat central du 10e

    Jacques-rigon,commissaireLa lecture attentive des notes d'information de la Préfecture de police nous a appris que le commissaire divisionnaire Jacques Rigon, commissaire central du 10e arrondissement, a quitté la rue Louis Blanc, pour embrasser de nouvelles fonctions, celles d'adjoint au chef du 2e district et de commissaire central du 19e arrondissement.

    Comme d'autres qui avaient su apprécier pendant ces trop courtes années de présence au commissariat central du 10ème, son sens de l'écoute et l'importance qu'il attachait aux contacts avec les associations et avec le public, quel qu'il soit, nous regretterons son départ vers un autre arrondissement.

    Sollicité par l'équipe d'animation du conseil de quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul, il avait participé à plusieurs reprises à des réunions publiques de ce CQ. Nous pensons notamment à la réunion au printemps 2009 sur le thème de la toxicomanie, déjà... le titre en était "Drogue dans notre quartier". De même il avait accepté de recevoir Action Barbès pour faire le point sur la situation de notre quartier, chaque fois que nous lui en avions fait la demande, et était venu répondre aux questions de nos adhérents en direct au cours de notre assemblée générale de 2009.

    Nous lui souhaitons bonne route.



  • A ne pas manquer : les Stein et leur collection au Grand Palais

    Loin de Barbès, certes, mais est-ce bien une raison pour passer sous silence cette exceptionnelle exposition ? Il va falloir se battre une fois de plus pour entrer dans le musée à un horaire où il n'est pas pris d'assaut par les touristes, les cars de jeunes retraités, venus tout exprès.... Quelle joie que la peinture captive tant de personnes ! Mais quel dommage qu'il faille partager cette passion avec tant de monde...

    Du 5 octobre 2011 au 16 janvier 2012, musée du Grand Palais



    Découvrez "Matisse, Cézanne, Picasso... l'aventure des Stein" au Grand Palais sur Culturebox !

  • Dernier jour pour apprendre à faire des économies d'énergie dans votre copro....

    NTA2300_225.png?1317835691

     

    Le jeudi 13 octobre, organisé en partenariat avec Planète Copropriété, association à laquelle est adhérente l’Agence Parisienne du Climat, est dédiée aux économies d’énergie et au développement durable en copropriété.

    Retrouvez un Conseiller Info Energie Climat sur le stand Espace Info Energie.

    Ne ratez pas la conférence sur l’accompagnement des rénovations énergétiques, le 13 octobre à 14h15, avec la participation de l’Agence Parisienne du Climat.

    Halle Freyssinet, 55 bd Auriol, Paris 13e

    13 octobre 2011, de 9h30 à 19h.

    Entrée libre et gratuite (9h - 18h45).

  • Trudaine et l'école de commerce

    Nous avions suivi dans le cadre du conseil de quartier Trudaine Rochechouart le dossier de l'école de commerce située au 39, avenue Trudaine.

    Après plusieurs réunions entre les habitants de l'avenue Trudaine et de la rue Bochard de Saron, la commission d'urbanisme du CQ et les élus impliqués dans l'urbanisme, les inquiétudes avaient baissé d'un cran. Au printemps, il semblait acquis que le façade du bâtiment serait conservée et l'on s'orientait vers une construction respectueuse des hauteurs autorisées par le plan local d'urbanisme. Puis la demande de permis de construire a de nouveau fait bouger les lignes. Une brève information dans la lettre d'information de la mairie d'octobre revient sur le sujet :

    « Je souhaite informer les habitants du 9e que le Maire de Paris a refusé de délivrer le permis de construire sollicité par la société Nacarat pour réaliser un projet de surélévation au 39 avenue Trudaine, par un arrêté du 6 septembre. La société devra donc présenter une nouvelle demande concernant un nouveau projet à cette adresse. Dans le cadre de l'instruction de ce permis, j'avais émis le 29 juillet un avis défavorable, comme je m'y étais engagé lors de la réunion publique du 29 juin dernier ».

    Jacques BRAVO, Maire du 9e arrondissement

    A suivre.

    Extrait de la Lettre d'info de la mairie du 9e du 3/10/2011

  • Mieux vivre à Montmartre

    Action Barbès s’intéresse et suit de près les activités et les réunions des trois conseils de quartier (C.Q.) les plus proches du carrefour Barbès, à savoir pour le 9e Trudaine-Rochechouart, pour le 10e Lariboisière-Saint-Vincent-de-Paul et pour le 18e Goutte d’Or-Château rouge. Ce n’est pas une mince affaire au niveau logistique et présence. Cela ne signifie pas pour autant que nous n’avons pas un regard pour les thèmes abordés par les conseils de quartier situés un tout petit plus loin, comme par exemple Quartier Montmartre, quand ces CQ ont les mêmes préoccupations que nous. La propreté est un thème tout à fait transversale géographiquement. Et c’est celui qu’ont choisi les animateurs du conseil de quartier Montmartre ce soir.

    La réunion a lieu à 19 heures, à l’école Lepic, 62 rue Lepic,
    en présence de représentants de la mairie du 18e pour faire un point sur les travaux,
    les aménagements et la propreté des abords de la rue de Cligancourt.
    « Mieux vivre à Montmartre »

    Paris,18e,conseil-de-quartier-Montmartre,propreté

    A y regarder de près, on peut relativiser les problèmes liés à la malpropreté. En effet, les photos qui illustrent l’invitation (ci-dessus) lancée par l’association de quartier Clign’Ensemble, montrent des amoncellements de sacs d’ordures et des cannettes au pied d’une bombonne à verre, des motos entassées près d’une aire de stationnement manifestement sous-dimensionnée… Chacun pense que son quartier est mal traité par les services de la Ville, qu’il ne fait pas l’objet de soins réguliers, qu’il est oublié par les autorités, abandonné, laissé pour compte. En réalité, il est le résulat d’un environnement qui se dégrade, de comportements de plus en plus individualistes qui ne respectent pas l’espace public.

    Malheureusement, ce constat peut être fait un peu partout dans Paris.

    On se doit de décliner cette analyse sous plusieurs aspects :

    - les crottes de chien, dites déjections canines, peut-être le plus malsain, le plus sale des éléments de la malpropreté urbaine, relèvent du civisme des propriétaires de chien. Simplement et exclusivement. Pas de la propreté de Paris. Il n’y a pas de chiens sauvages dans nos rues…. Il y a donc des personnes qui, volontairement, laissent leur animal souiller l’espace de leurs voisins.

    paris,montmartre,conseil-de-quartier,propreté,civisme- les sacs d’ordures, dits dépôts sauvages, ne sont pas là par génération spontanée. Des habitants peu soucieux de leur environnement laissent leurs sacs d’ordures non pas dans la poubelle de leur immeuble mais au pied d’un arbre, au coin d’un portail, au long d’une bombonne à verre. Pourquoi ne pas respecter la règle ? Par négligence, par confort personnel, par paresse ?

    Quand c'est plein.... c'est plein !

    - les sacs de gravats, qui ornent les coins moins passants, sont déposés par des entreprises ou des artisans (ou encore par des travailleurs non déclarés…) ; ceux-ci laissent en souvenir parfois aussi les chassis de fenêtre qu’ils changent, les toilettes de WC ou les receveurs de douche. Pourquoi ? Parce que l’enlèvement et le dépôt dans une décharge ont un coût, pour l’entreprise, et en conséquence pour le client qui a fait rénover son appartement. Pour diminuer le devis, on propose alors de supprimer ce poste et de laisser les gravats sur le trottoir. C’est alors la collectivité qui prendra à sa charge ce coût, via leur enlèvement pas les services publics. Parfois aussi, l’entreprise est encore moins « réglo » et facture à son donneur d’ordre tout en laissant les objets sur un trottoir tranquille, de préférence pas à l’adresse de son client. Absence de civisme caractérisée.

    - les mégots en masse devant les bureaux, les restaurants, les cafés et brasseries : les amas de mégots et filtres sont apparus dans les proportions qu’on connaît à partir de l’interdiction de fumer dans les lieux fermés. Parallèlement ont disparu les cendriers. En voyez-vous beaucoup sur les tables des terrasses ouvertes, en plein air. Non, comme si cet objet n’avait plus de raison d’être. Il est tellement facile de jeter à terre… Plus de cendrier à remplacer, plus de cendrier à nettoyer ! Belle opportunité pour les limonadiers de se débarrasser d’une tâche ingrate. La Ville n’a qu’à faire le reste.

    Faut-il poursuivre cet inventaire de la crasse urbaine ? Selon les quartiers, il y a aussi les épluchures de maïs, les emballages de cigarettes de contrefaçon, les gobelets et les emballages de la restauration rapide, les flyers de la voyance, ceux des musiciens parfois aussi, les publicités des salons de massage, qui sautent des pare-brise au canivaux, etc. Moins poétique que l’inventaire de Prévert.

    Tout cela pour dire que nous sommes collectivement sales, plus ou moins, bien sûr. Notre désir d’un environnement propre relève donc d’un changement de comportement et d’une plus grande rigueur dans l’éducation de nos enfants. Pas de la seule efficacité des services de la propreté, qui n’ont qu’une action a posteriori. Faure de quoi, il faudra faire le choix de budgets toujours plus importants alloués aux services publics ou privés de nettoiement. En bref, être propre ou payer.

  • Mairie du 9e - mairie du 10e - mairie du 18e, conseil d'arrondissement ce soir

    paris,10e,conseil-d'arrondissement,délibérations,subventionsLe prochain conseil d'arrondissement du 9e aura lieu le lundi 10 octobre à la marie du 9e. Voir l'ordre du jour en ligne.

    Outre les traditionnels sujets relevant de la compétence des arrondissements, un point intéresse plus particulièrement le carrefour Barbès, au moins indirectement. Il s'agit d'une proposition de voeu émise par la majorité municipale à propos de l'envahisssement des cars dans l'arrondissement. Si ces derniers temps les choses s'étaient un petit peu arrangées boulevard de Rochechouart, il est clair que les cars sont de retour, déversant leurs flots de touristes au pied de la Butte. Bien sûr le tourisme est important, mais la vie quotidienne des riverains tout autant. A suivre

     

    paris, mairie,10e

     

    Le prochain conseil d’arrondissement du 10e aura lieu le lundi 10 octobre à la mairie du 10e.

    L'ordre du jour comprend plusieurs délibérations concernant des subventions à des associations : FNACA (10e), Emmaüs (1er), Horizons (10e), associationFranco-asiatique pour l'enfance pour la crèche Yves Toudic, Croix Rouge Française (15e) pour la crèche collective Gabriel de Mun (1Oe), AIRES 10 (10e), deux associations sportives du 10e, association Espace Farabi, ARC 75 (4e) pour l'accueil des familles du Club Tournesol.

    C'est aussi lors de ce conseil que les élus valideront le changement de dénomination de la rue Jean Moinon, qui deviendra très justement rue Jean et Marie Moinon.

    Enfin, une délibération qui concerne de près de notre quartier, les élus voteront (au moins ,on l'imagine) la location par bail emphytéotique au profit de Paris Habitat-OPH, de l'immeuble communal 158, boulevard Magenta (10e).

    ---

    document?id=5&id_attribute=52Au conseil d’arrondissement du 18e, les élus débatteront également du bien fondé de nombreuses subventions, d’abord culturelles, aux associations Le Petit Ney, La Reine Blanche, La Compagnie Susceptible, des associations qui gèrent des lieux d’accueil, L’Araignée Gentille, la Salle Saint Bruno, ou sont actives dans l’animation comme Simplon en fêtes, parmi d’autres. Vous en trouverez le détail dans le document que nous fait parvenir réguliuèrement la mairie du 18e, c’est ici.

    Une délibération intéressante nous donnera des informations sur le photovoltaïque. En effet, Michel Neyreneuf, adjoint au maire chargé du logement dans le 18e, défendra le principe de vente de l'électricité d'origine photovoltaïque produite sur des bâtiments municipaux pour 7 installations produisant 141,6 MWh par an et la signature des contrats d'achat de l'électricité établis par EdF pour un montant global de recette annuelle de 49 370 Euros.