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Rechercher : opération Barbès Respire

  • Deux mois de travaux dans la partie haute de la rue de Maubeuge

    Du 25 octobre au 23 décembre, la rue de Maubeuge sera le cadre de travaux de voirie dits d'entretien. En particulier de modernisation de l'éclairage public.

    PHOTOS - rue de Maubeuge web gare au fond.JPGNous nous réjouissons de cette annonce trouvée sur le site de la mairie de Paris, et plus précisément de sa newsletter à laquelle nous sommes abonnés. En effet, notre association avait relayé les préoccupations de l'hôpital Lariboisière et de son comité d'hygiène et sécurité qui déplorait le peu d'éclairage dans la rue de Maubeuge et notamment près du passage piétons entre la gare et la rue Ambroise Paré. Le personnel de l'hôpital utilise largement le train pour se rendre sur son lieu de travail, y compris tôt et tard le soir, et cette préoccupation revenait assez souvent.

    Les travaux comprennent l'installation de nouveaux luminaires plus économes en énergie et plus efficaces. Nous ne pouvons que nous en féliciter.

  • Stationner la nuit (20h-7h) sur les aires de livraison

    Nous avions déjà évoqué cette solution expérimentée dans plusieurs quartiers (17e et 3e arrondissements) depuis plus d'un an. Cette possibilité sera mise en application à partir du 1er décembre 2010, avec des restrictions, toutefois, sur certains emplacements, proches de commerces acceptant des livraisons nocturnes ou très tôt le matin. N'est-ce pas là déjà une anomanie, dont se plaignent les riverains quand les nuisances sonores sont importantes ? Mais notre mauvaise humeur d'aujourd'hui est ailleurs.

    Dimanche soir, nous remontions le boulevard Magenta vers minuit, et nous avons noté un important balai de camions d'enlèvement des automobiles stationnées certes sur des aires de livraison. Notamment à l'approche de l'église Saint Laurent... La préfecture et les sociétés accréditées mettraient-elles les bouchées doubles avant le changement de statut de ces aires de livraison ? D'autant que les enlèvements sur un boulevard sont nettement plus aisés, de surcroît la nuit, que dans une rue étroite devant une entrée de parking... Etes-vous déjà tombé sur une voiture mal garée devant l'entrée d'un parking sous un immeuble d'habitation ? Joyeux à minuit, non ? Et par pitié, n'y ajoutez pas votre klaxon pour réveiller tout le quartier ! La police ne viendra pas plus vite.

    Voir l'article de notre blog ami Quartier Bel Air Sud sur la question.




  • Bingo, une nouvelle boutique de mariage !

     

     

    P1000860_2.jpg

    Depuis peu de temps, quelques jours seulement, s'est ouvert une nouvelle boutique qui présente, y compris sur le trottoir, ses robes de cérémonie. Est-ce le printemps, la saison la plus propice aux noces en grandes pompes, qui favorise l'éclosion....?
    Le boulevard de Magenta, à l'angle de la rue de Dunkerque, là où des robes remplacent désormais des chaussures, est pourtant placé sous l'oeil vigilant de la Semaest dans un dispositif, appelé Vital quartier.

    L'action de ce dispositif, qui a principalement pour but de  maintenir la diversité commerciale, s'étend sur 10 arrondissements de Paris. Notre quartier de Barbès bénéficie de cette surveillance bienveillante sur quelques voies : le haut du boulevard de Magenta, la rue de Rocroy, la rue de Dunkerque et une partie de la rue du faubourg Poissonnière, côté 10e. Action Barbès participe aux réunions du groupe de travail local, qui s'est réuni pour la deuxième fois le 10 février 2010 (voir notre compre rendu).

    D'autres quartiers dans Paris sont classés Vital Quartier. Une rapide recherche révèle que certains sont de vrais succès, du moins les commentaires qu'on peut lire sur la toile tendent à le faire croire. Un exemple : la rue Saint Denis, qui au fil du temps concentrait un trop grand nombre de sex shops, a changé. Des locaux ont été acquis par la Semaest, à l'occasion d'une déclaration d'aliéner (d'une mutation) et remis en location, après une rénovation de qualité des lieux - c'est aussi une caractéristique de la mission de la Semaest-. Le but est bien entendu d'inverser la tendance et de favoriser la rénovation parallèlement.

    Que s'est-il passé à l'angle de la rue de Dunkerque ? On peut imaginer que le propriétaire est resté le même. Seul le preneur de bail a changé. Dans ce cas, impossible pour la Seamest d'intervenir. C'est la liberté du commerce qui prévaut. Ou bien, malgré sa vigillance, elle n'a pas été informée...

     

     

  • Combattre les incivilités...

    Pas si facile, en vérité !

    Nous écrivions dans notre dernier bulletin (n° 23 accessible ci-contre) que les amendes plutôt dissuasives - 183 euros - qu'infligeaient les inspecteurs de la DU (Direction de l'urbanisme) ou de la DPP (Direction de la protection et de la prévention) avaient été déclarées illicites au vu du décret du 26 septembre 2007, redécouvert bien à propos et commenté dans un article du Parisien de décembre 2009, dans lequel Julien Solonel titrait avec humour "Les brigades anticrottes rappelées à l'ordre". Malgré un nombre assez limité d'inspecteurs affectés à ces missions, la perspective de devoir régler une amende de 183 euros avait réussi à convaincre les propriétaires de chien qu'il n'était pas si compliqué de ramasser les déjections de son animal de compagnie.

    Nous espérons que le pli est pris et qu'ils continueront sur cette voie, car dorénavant le montant se limitera à 35 euros comme pour toutes les infractions de seconde classe. François Dagnaud, l’adjoint au Maire chargé de la propreté, que nous avons rencontré lors de la 4e réunion du comité de pilotage de Barbès à l'Hôtel de ville le 17 mars, nous a assuré que ce n'est pas si grave. La verbalisation continue et, qui plus est, la procédure s'en trouve simplifiée. Quant aux inspecteurs, qui auraient du revêtir un uniforme pour être en conformité avec la loi, un compromis a été trouvé avec la préfecture : ils porteront un brassard orange, pour être reconnus, ou plutôt pour être identifiés, mais sans compromettre leur mission de verbalisation qui pourra ainsi se poursuivre.

    Touche d'humour : en surfant sur le net, découvrez cette page d'une société spécialisée dans la communication clé en main offerte aux collectivités locales. D'un clic, visualisez plus de 50 modèles d'affiches, juste pour convaincre les propriétaires de chiens qu'ils doivent ramasser les déjections de leur animal. Des idées, bonnes, moins bonnes, drôles, percutantes, vous trouverez même les tarifs !

     

    MiniArt1640.jpg
  • Enlèvement soudain des motos dans le haut du faubourg Poissonnière

    Après midi ensoleillé, ce 21 avril.

    Les passants étaient surpris de voir la fourrière enlever les unes après les autres toutes les motos  "débordant" des aires de stationnement qui leur sont dédiées dans le haut du faubourg Poissonnière, côté 1Oe. Ces espaces ont été créés peu avant la fin du réaménagement du boulevard de Magenta. Les riverains se plaignaient, c'est vrai, des nombreuses motos, des scooters, garés sur les trottoirs, pas très larges entre la rue du Delta et la rue de Dunkerque. Profitant des travaux sur le boulevard de Magenta, les sections territoriales de voirie du 9e et du 10e s'étaient rapprochées du chef de projet pour envisager cet aménagement, et rendre les trottoirs aux piétons.

    Entre temps, le nombre des deux-roues mototrisées n'a cessé de s'accroître et les espaces qui leur sont réservés ne suffisent plus. Là, où les aménageurs, encouragés par les élus, ont vu grand, la situation est correcte : peu de deux-roues en dehors des stationnements prévus. C'est le cas dans les rues qui convergent vers le Magenta, dans le 10e. Avec une exception de taille : le parvis de la Gare du Nord et la rue de Dunkerque. A l'époque, le conseil de quartier Lariboisière avait pourtant alerté la mairie du 10e que le nombre des places réservées motos était largement insuffisant. Ailleurs, là où les stationnements deux-roues sont rares ou de taille réduite, les motos encombrent les trottoirs.

    Dans le faubourg, on voit beaucoup de motos en dehors des espaces délimités, mais elles sont le plus souvent à la suite de l'espace licite, comme on le voit dans la vidéo. L'enlèvement, ici, a suivi de très près le passage des policiers qui ont mis les amendes (et les papillons "demande d'enlèvement"). Ils ont laissé peu de chance à leur propriétaire pour échapper à l'enlèvement. Les passants étaient surpris et assez interrogatifs sur la méthode. En effet, le camion remorqueur est conçu pour les automobiles et les accessoires de levage ne s'adaptent pas franchement aux deux-roues. C'est peut-être même un peu risqué...


    Paris Hold up sur 2 roues motorisées 171 rue fg Poissonnière
    envoyé par cageverte. -

  • Observons la petite reine

    Un rappel pour ne pas rater le conseil de quartier de Lariboisière - Saint-Vincent-de-Paul ...

     

    Le 30 mars

    retrouvez nous au conseil de quartier Lariboisière - Saint-Vincent-de-Paul

    à 19 heures, à l'école élémentaire de la rue de Belzunce, 10e,

    pour un tour d'horizon des nouveautés relatives aux cycles à Paris.

    Vous apprendrez comment la Préfecture de police approuve la présence des vélos dans des voies à double-sens, pourvu que dans celles-ci la vitesse des automobiles soit limitée à 30 km/h. La Ville est en train de mettre en oeuvre les chantiers, des centaines, pour aménager ces voies et prévenir les automobilistes qu'ils peuvent voir venir une bicyclette juste devant leur capot... Redoublons d'attention !

    Voyez Monsieur Vélo de la Ville expliquer les doubles-sens cyclables dans cette brève vidéo issue du site de la Ville :


    A vélo, les sens interdits, c'est permis!

    envoyé par mairiedeparis. - Regardez plus de vidéo vie pratique.


     

     

  • Chapelle International

     

    Naissance d’un nouveau quartier à La Chapelle

    Nous sommes heureux de pouvoir vous annoncer une réunion animée par l'association ASA Paris Nord-Est 18, elle se tiendra le 31 mars 2010 dans le cadre du travail commun entre les Conseils de quartier du 18e Hermite-Evangile et La Chapelle-Marx-Dormoy.
    à 19 heures, à l'Ecole polyvalente au 3, rue Maurice-Genevoix, 18e.

     

    clip_image002.jpg

    Retrouvons-nous le mercredi 31 mars 2010, à 19 heures, à l’Ecole polyvalente, 3 rue Maurice-Genevoix, 18e. Il y sera question de logements, d’activités, d’équipements, de commerces, et d’espaces verts bien sûr, et de tous les autres sujets, que vous voudrez aborder. Action Barbès participera à cette réunion, car nous pensons que ce nouvel aménagement peut être l’occasion de réfléchir et de traiter les importants flux automobiles en provenance de l’autoroute du Nord, qui se concentrent, voire se « congestionnent » sur l’axe rue de La Chapelle-rue Marx-Dormoy-place de La Chapelle, et plus loin vers Barbès ou Stalingrad.

    Il nous semble rationnel de réfléchir à la circulation bien en amont des nœuds de concentration et d'embouteillage que nous connaissons tous. Or, d'après nos informations, la Ville ne dispose pas de données récentes en termes de chiffres de véhicules/jour, sur ces tronçons de voirie. Elle ne semble pas vouloir demander un diagnostic précis à la Direction de la voirie et des déplacements, parce que le réaménagement de cet axe (porte de La Chapelle-place de La Chapelle) n'est pas budgétairement parlant à l'ordre du jour. Mais n'est-il pas évident qu'il faille profiter de l'étude des possibilités de cette zone, de l'enquête sur les besoins, locaux ou/et globaux, pour résoudre des problèmes collatéraux. A savoir ceux que subissent depuis des années tous les riverains des quartiers que longe l'axe Chapelle-Marx-Dormoy.

    Nous redoutons une fois de plus la vision fine, mais concentrée sur un espace bien délimité, qui ne prend pas assez en compte les situations connexes, particulièrement contraignantes dans une ville dense comme Paris. Aucun aménagement de voirie n'est anodin. Comment un projet d'envergure comme celui-ci de 200 ha, avec la construction d'habitations (600 à 700 logements), avec des zones commerciales vastes, qui peuvent encore être étendues pour se conformer aux futures besoins et des zones d'activités diverses (environ 440 000 m²) - il est aussi question de construire un campus universitaire, avec des besoins propres -, comment un tel projet pourrait se concevoir sans réfléchir aux flux de circulation existants et à venir, pas seulement dans cette enceinte mais tout autour, en amont et en aval.

    L'association ASA Paris Nord-Est va jusqu'à préconiser l'étude d'une charte chantier qui pourrait imposer l'évacuation des matériaux issus de la démolition par rail. Bien sûr ! Tout ce qui pourra diminuer les nuisances imposées aux habitants doit être mis en avant.

    Des informations complémentaires sont disponibles sur le site de l'association ASA Paris Nord-Est 18e

     





  • La Gaîté lyrique à la fin de l'année

    A quand une telle annonce pour le Louxor ?

    Nous nous réjouissons que la Gaîté lyrique tombe enfin la bâche ! Tant d'années d'incertitude...

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  • Square Jessaint, place nette

     

    Le printemps n'est pas encore arrivé sur cette terre-là...


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    Action Barbès a suivi de près la concertation, ou du moins la réflexion autour de la création d'un square dans l'est du quartier de la Goutte d'Or, depuis 2008. Vous trouverez un article dans notre journal  n°19, en page 6, avec le plan, représenté ici sur le panneau. (voir aussi p. 7 dans 18 Ensemble de juin 2009 édité par la mairie du 18e)

    Les entrepôts vétustes qui occupaient l'espace ont été démolis et le terrain est aplani, un espace de  1718 m² est « prêt à l'emploi », si cette expression peut trouver sa place ici. Ce n'est pas très vaste à côté des 5 ares et demi du square Léon, mais ce n'est pas loin, et l'on peut espérer qu'il sera tranquille et ensoleillé. Certainement moins bruyant et moins pollué que le square de la Place de La Chapelle, en contre bas de la ciculation...

    Nous nous renseignons pour connaître le calendrier des travaux et la date prévisionnelle de l'ouverture.

     

  • Pensez à la nouvelle déchetterie

    déchetterie-.JPG

    Des horaires suffisamment larges pour que les particuliers y déposent leurs encombrants :
    du lundi au samedi de 9h30 à 19 h.

    Encore faut-il qu'ils en prennent l'habitude...

    Le spectacle des matelas, machines à laver, sanitaires, et autres cartons qui encombrent à longueur de temps nos troittoirs est navrant. Il démoralise également les personnels de la Propreté très régulièrement. Leur travail est remis en cause, tout aussi régulièrement, car le résultat est décevant, jamais à la hauteur des ambitions. Les paroles encourageantes de l'adjoint chargé de la propreté à la Ville de Paris ne laisse pas augurer des améliorations rapides, puisqu'il plaide pour le salir moins plutôt que le nettoyer plus. Dans notre secteur, très fréquenté, où les règles qui régissent l'espace public, d'hygiène et de salubrité, ne sont pas bien respectées, c'est à notre avis illusoire de penser qu'on va éduquer certains passants à ne pas jeter leurs papiers gras au sol, certains maçons à ne pas déposer leurs sacs de gravas dans une rue peu passante, aux aurores, avant de rejoindre un chantier, certains hôteliers à ne pas déposer un peu à l'écart de l'entrée de leur établissement les derniers matelas remplacés ou des lés entiers de moquettes souillées... Restent échoués également les cartons soigneusement pliés des magasins de vêtements, si nombreux dans le quartier.
    Le problème est immense. Mais reprenons les propos de Daniel Vaillant lors de la dernière réunion du comité de pilotage Barbès, il faut néanmoins adapter les moyens au terrain et trouver les bonnes solutions.



  • Encore et toujours des véhicules de secours bloqués

     

     

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    Il est 19h20. Un véhicule des pompiers fait retentir sa sirène, il est coincé rue Guy-Patin. Oui, mais voilà, le boulevard de La Chapelle côté 10e est comme son frère du 18e : saturé. Impossible d'avancer et de tourner à droite pour accéder à l'hôpital. Deux pompiers sortent du véhicule, sacs de secours sur le dos, pour tenter de faire avancer les voitures qui les précèdent. Bon pour eux, quatre minutes d'attente. Cela reste correct.

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    19h24, on change de véhicule : un Samu. Même problématique. En pire. Au bout de cinq minutes, un ambulancier se précipite au carrefour Patin-boulevard de La Chapelle pour faire lui même la circulation, aidé par un collègue surgi de nulle part. Six minutes pour tourner, enfin, soit six minutes pour faire 30 mètres ! C'est le lot quotidien de nombreux véhicules d'urgence.

     

    Souhaitons à tous de ne pas être dans l'ambulance...

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  • Un monstre jaune rue du Delta

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    Pas de danger, pas de pollution, en un mot pas un vrai monstre.... juste un blocage de la rue du Delta ce dimanche matin entre 8 heures et midi, environ.

    Grue et cabine.jpgDes panneaux indiquaient la venue d'une grue devant le n° 9 pour le 16 mai et en conséquence la nécessité de ne pas stationner un véhicule automobile sur deux zones délimitées, de chaque côté de la chaussée. On a rapidement compris le bien fondé de cette interdiction. En effet, la grue, bel engin tout jaune (puissance utile de 25 à 250 tonnes, quand même...), avait pour mission de déposer délicatement une cabine d'ascenseur (résultat de notre observation assidue) sur le toit de l'immeuble situé au 9, rue du Delta.

    L'interdiction de stationnement n'a pas été respectée par tous, bien évidemment, et la sortie des quatre stabilisateurs de la grue a relevé du tour de force. Ensuite, il a fallu déployer la partie non téléscopique de la grue, dont la longueur se rapprochait très dangereusement de la largeur de la rue. Sans la dextérité du conducteur d'engin, les façades vitrées de l'immeuble du 7 volaient en éclat. Mais non, les cinq sections téléscopiques de la grue ont été déployées, la petite cabine arrimée à son "hameçon" a été élevée dans le ciel - bleu à ce moment-là - et déposée sur le toit où l'attendaient des techniciens déjà en place.