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Rechercher : opération Barbès Respire

  • Les quartiers populaires peuvent aussi changer positivement

    Les quartiers populaires souffrent d'une densité humaine trop grande, disent certains, qui protestent contre la construction de logements sociaux dans les quartiers qui en possèdent déjà. Ils souffrent aussi d'une surreprésentation de commerces bon marché, pas toujours au top des normes, faiblesse du pouvoir d'achat oblige, mais bénéficient d'une grande densité de clientèle, locale ou venant spécifiquement pour profiter des prix attractifs. Ils pâtissent de trop peu d'espaces verts, et ceux qui existent souffrent à leur tour de surpopulation... Pourtant, pourtant, quand on s'en donne les moyens, que les pouvoirs publics savent reconnaître les initiatives positives et aident là et quand il le faut, on peut assister à des reconversions heureuses.

    Voici un exemple bien sympathique, avec quelques photos datant d'avril 2014, lors d'une promenade le long de la petite ceinture pour profiter d'un soleil de printemps généreux, de la Gare Ornano à la Gare de l'avenue de Saint-Ouen.

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    Action Barbès a suivi le projet de réhabilitation de la gare d'Ornano, proche de la Porte de Clignancourt, en restaurant solidaire, et même davantage (atelier, culture, agriculture, animaux), depuis son inauguration et le succès des fêtes qui s'y sont déroulées ensuite, comme chaque printemps notamment avec la "Fête de la nature" aux Jardins du Ruisseau. Le réussite est au rendez-vous aussi bien pour les fêtes qui attirent les enfants et les parents du quartier, que pour le restaurant où il est bien difficile de trouver une place pour y prendre un en-cas aux heures de repas. Notre blog en témoigne... Voir à ce sujet notre article du 10 mai 2014 et celui du 21 mai

    Ce sont ces anciennes photos de la gare de Saint-Ouen qui nous ont donné envie de revoir les lieux après le changement. La petite gare en ruine est devenue Le Hazard Ludique, une salle de spectacle et un lieu ouvert aux habitants, son parvis nous accueille en terrasse pour boire un verre, aux beaux jours, et la cantine est là pour combler une petite faim.

    Surfez sur leur page Facebook à l'occasion, pour en savoir davantage, c'est ici. Là encore c'est une réussite. À noter, le dimanche 16 décembre, un marché de Noël "Made in 18e" sur le quai de l'ancienne gare.

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    Autre projet mené à bien après des années d'efforts, dans des conditions déplorables, souvenez-vous des amas de déchets au pied des palissades qui ceinturaient l'immeuble à l'angle des boulevards Barbès et de la Chapelle, cette fois dans notre cœur de quartier : la brasserie Barbès. Elle a remplacé Vano, parti en fumée et personne ne peut s'en plaindre. On ne peut pas dire que tout va au plus mal. Soyons justes. Il reste certes beaucoup à améliorer, bien sûr. L'association s'y attèle bravement et continuera, et ses bénévoles consacreront encore beaucoup de temps et d'énergie pour que le quartier ne soit pas oublié.

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  • Des cadeaux ”made in Goutte d’Or”

    Noël approche et la chasse aux idées de cadeaux aussi. Pourquoi ne pas jouer la carte locale et dégoter de jolis cadeaux "made in Goutte d’Or" ? 

    Les Gouttes d'Or de la Mode et du Design, une association de professionnels qui regroupe bon nombre de créateurs du quartier, vous offre tout un choix d'idées de cadeaux souvent originaux, pour un Noël made in Goutte d'Or. Bijoux, petit mobilier, mode et accessoires de mode, carterie... la Goutte d'Or regorge d'artistes et d'artisans dont les créations valent le détour, pensez-y !

    Retrouvez toutes les adresses des Gouttes d'Or de la Mode et du Design sur le plan ci-dessous.

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  • ”L'avant dernier des hommes” au LMP

    Le Lavoir Moderne Parisien accueille en ses murs une pièce de Valère Novarina. C'est là la continuité d'une fidèle collaboration entre le LMP et Valère Novarina, une histoire qui a débuté en 1995. Cette fois, c'est "L'avant dernier des hommes", qui sera joué du 21 novembre au 1er décembre 2018. Cette pièce, mise en scène par Claude Buchvald, met à l'affiche Claude Merlin, qui lui aussi dit son attache au lieu : "Le Lavoir n’est pas un espace neutre, une boîte noire ; entre veille et rêve il médite, murmure d’anciennes histoires, chantonne des secrets et invite à la conversation ceux qu’il accueille."

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    À noter, la pièce sera précédée de lectures de Valère Novarina et de Mathias Levy au violon, les 21 et 28 novembre.

     

    C'est où ?

    Au Lavoir Moderne Parisien, 35 rue Léon, Paris 18e

    C'est quand ?

    Du 21 novembre au 1er décembre, du mercredi au samedi, à 20H30

    Réservation : reservation@lavoirmoderneparisien.com ou appeler le 01 46 06 08 05



  • ”Willy Ronis par Willy Ronis” une expo à voir !

    Si ce n'est déjà fait, vous pouvez vous précipiter pour voir la superbe expo "Willy Ronis par Willy Ronis" que nous offre généreusement le Pavillon Carré de Baudouin, au 121 rue de Ménilmontant, dans le XXe arrondissement. Et l'entrée est gratuite !
    En 2016, 7 ans après le décès de Willy Ronis (1910-2009), ce fonds de photographies est entré dans les collections nationales et le Ministère de la Culture l'a affecté à la Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine (MAP) qui gère les grandes donations photographiques faites à l'Etat.

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    Cette décision vient couronner un travail de plus de trente ans avec Willy Ronis et ses mandataires puisque la première donation faite par le photographe remonte à 1983.
    Ainsi, dans ce quartier si cher à Willy Ronis, le XXe arrondissement et Belleville plus particulièrement, ces 590 oeuvres exposées forment en quelque sorte son testament photographique.
    Pour notre part, nous espérions y découvrir aussi des photos de notre 9e arrondissement, puisque Willy Ronis y est né le 17 août 1910, au 8 Cité Condorcet, 3e étage gauche. Fuyant les pogroms d'Europe de l'Est, ses parents s'y étaient installés et Willy Ronis y résidait encore lorsque son père lui offre son premier appareil, en 1926.
    En 1932, il entre dans l'atelier photographique paternel, situé dans le XXe arrondissement, et le quitte en 1937 pour devenir photographe reporter indépendant.  Un an plus tard, il achète son premier Rolleiflex.
    Seules ici, deux photos-autoportraits prises dans l'appartement de ses parents Cité Condorcet, témoignent de sa résidence dans le 9e.
    Mais avant tout, l'ensemble de ces photos nous font découvrir l'intérêt profond que Willy Ronis avait pour son époque et les gens qui l'entouraient, quel que soit leur âge, leurs conditions sociales, ou le lieu. Quelle leçon d'humanisme !
    Nous vous recommandons également le film "Willy Ronis, autoportrait d'un photographe", projeté dans la salle de spectacle attenant à l'exposition et qui la complète très utilement.
    Compte tenu de son succès, cette belle expo est prolongée jusqu'au 2 janvier 2019, profitez-en !
     
     
    C'est où ?
    Pavillon Carré de Baudouin, 119 Rue de Ménilmontant, Paris 20e
    C'est quand ?
    Jusqu'au 2 janvier 2019, du mardi au samedi, de 11h à 18h
     
  • La dernière réunion du conseil de quartier Goutte d'Or Château-Rouge

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    En effet, la dernière réunion du conseil de quartier Goutte d'Or Château-Rouge s'est tenue le 28 février au Centre Fleury-Barbara, et il ne se réunira plus avant l'automne prochain, selon toute vraisemblance, car la campagne électorale pour la Présidentielle et les Législatives limite l'utilisation des salles municipales pendant cette période. Dont acte. 

    Une salle pleine, beaucoup de femmes... , des chaises rangées en amphithéâtre ou presque, et à la table des invitées des intervenantes que nous avions rencontrées lors d'une session en novembre dernier sur le thème du harcèlement de rue, dans un autre arrondissement de Paris.

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    Parmi elles, Dominique Poggy, sociologue, dirige et anime une association Places égales. Ces dernières années, elle a expérimenté les marches exploratoires et formé des personnes à la méthodologie de ces marches exploratoires de femmes dans l'espace public, destinées à observer quelles sont les rues et places qui créent problème, qui mettent mal à l'aise les femmes quand elles doivent les emprunter et les conduisent à modifier leur itinéraire dans un mouvement presque inconscient d'évitement. Egalement, Christine Guillemaut, de l'Observatoire de l'égalité hommes/femmes et cheffe de projet sur les violences de genre, qui étaient ici au coeur du sujet. 

    Des "marcheuses" du quartier sont venues raconter leur expérience, les relations qui se sont nouées entre elles, alors qu'elles se ne connaissaient pas au début de la période, et le regard nouveau qu'elles portent sur elles dans le quartier. Elles ont affirmé aussi combien les choses doivent changer. C'est à dire qu'elles ne sont pas en cause, elles ont toute légitimité à se déplacer librement dans l'espace public. Il leur appartient autant qu'aux hommes, plusieurs d'entre elles l'ont martelé : " c'est au quartier de changer, pas à nous ! "

    La Goutte d'Or n'est pas le seul quartier à avoir organisé ces marches de femmes à la découverte des lieux difficiles pour elles. Découverte qui n'en est pas une pour elles, mais des lieux qui demandent à être découverts par les autorités publiques, reconnus comme tels, et aménagés pour qu'ils changent. Le regard des hommes doit changer également, les habitudes culturelles ne sont pas immuables et surtout ne peuvent plus être une excuse ou un passe-droit. C'est un travail compliqué parfois, assez long souvent, mais dans cette démarche, les femmes du quartier peuvent trouver du soutien auprès de Paris Macadam (22 rue de la Goutte d'Or), l'association que préside Gertrude Godart, qui accompagnait les marcheuses lors des différentes sorties, commencées en juin 2016. 

    D'autres quartiers sont classés Politique de la ville et s'approprient ce type d'expérimentation. Avec le même encadrement, des femmes avaient pris les devants à Rouen, il y a déjà quelques temps, et une petite vidéo est disponible sur le site de la ville de Rouen, c'est ici.  

    Le Commissariat général à l'égalité des territoires consacre des pages pour informer sur ce thème et sa lecture est enrichissante : Les femmes marchent pour améliorer leur cadre de vie. Qui le démentirait ?  

    ***

    Le conseil de quartier s'est terminé par un tirage au sort des candidats au poste de conseiller de quartier pour combler le départ de certaines personnes et des défections accumulées au cours du temps. La fonction demande du temps et de la disponibilité, deux exigences qui ne sont peut-être pas assez mises en avant lors des recrutements. 

    Enfin, nous vous proposons un engagement qui sera peut-être moins exigeant, au moins dans le temps, ce serait de répondre positivement à l'appel de la Salle Saint-Bruno qui cherche des bénévoles et des bonnes volontés pour préparer la Goutte d'Or en fête dès maintenant. 

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    Contacter la salle Saint-Bruno Maud Gillet 
    Coordinatrice Animation locale
    Association Salle Saint Bruno
    9 rue Saint Bruno 75018 Paris
    01 53 09 99 56
    www.gouttedor-et-vous.org
    www.gouttedorenfete.org

    Enregistrer

  • Néon installe son café à la Goutte d'Or

    Un journal qui ouvre un café, si ce n'est pas tout à fait une première en France, Montpellier connait son Gazette Café depuis 2015, cela en est une à Paris et c'est à la Goutte d'Or que ça se passe.

    Le magazine Néon s'est lancé dans un projet un peu fou, celui d'ouvrir son propre café. En effet, ce magazine qui porte un regard décalé sur l'actualité a entrepris une diversification de ses activités qui est pour le moins inhabituelle sous nos latitudes. À l'heure où les titres de presse cherchent de nouveaux modèles économiques pour s'adapter à un monde qui délaisse le support papier, Néon a choisi une activité conviviale mais éloignée de son activité première.

     

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    À l'origine de cette idée, Fabrice Pierrot, un journaliste de télévision qui habite le quartier de la Goutte d'Or, à qui Néon a très vite dit oui pour ce joli projet. Et c'est donc assez naturellement que le choix d'implantation du café qui sera adossé au titre de presse s'est porté sur le quartier. C'est au 26 rue Doudeauville, à l'angle de la rue Francis Carco et face à l'Institut des Cultures d'Islam, que devrait ouvrir le Néon Café.  La date d'ouverture est prévue en novembre prochain, mais la date précise n'est pas encore connue car le projet a encore besoin de fonds pour voir le jour. 

     

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    Projection du projet ©️dcao

     

    Dans cette perspective, il a été ouvert une "cagnotte Ulule" pour que chacun puisse contribuer à son financement. À ce jour, plus de 60% du financement espéré a été collecté par le biais de la plateforme de levées de fonds participative.

     

     

    Souhaitons leur bonne chance, un lieu de convivialité en plus dans la Goutte d'Or, et qui plus est, si cela peut aider un journal à vivre, ça ne peut pas faire de mal !

     

  • 10e comité de voisinage de la SCMR

    Le jeudi 11 octobre dernier, la maire du 10e arrondissement, Alexandra Cordebard, a présidé la 10e réunion du Comité de voisinage de la salle de consommation à moindre risque (SCMR). Nous avons assisté à cette longue réunion, qui s'est déroulée dans la salle des fêtes de la mairie du 10e, et qui a réuni une soixantaine de personnes. Parmi les présents autour de la table : Anne Souyris, adjointe à la maire de Paris chargée de la santé, des élus du 10e, la commissaire de police du 10e, des représentants de l'Agence régionale de la santé (ARS), de la préfecture, de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), de Gaïa, qui gère la SCMR. Les riverains étaient représentés par Action Barbès, le Collectif de parents habitants SCMR, le collectif de riverains Lariboisière-Gare du Nord, le conseil de quartier Saint-Vincent de Paul-Lariboisière. À noter, l'absence de l'association Vivre gare du Nord & Est qui a marqué ainsi sa lassitude de ne pas voir s'améliorer la situation dans le secteur. Autour de la table, et pour la première fois, étaient également présents des usagers de la salle, portant ainsi la parole des premiers concernés par l'addiction. Cette présence a été très largement saluée par l'assistance.

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    La réunion a débuté par un point sur le fonctionnement de la salle de consommation présenté par Gaïa. Après presque deux ans de fonctionnement, la SCMR de la rue Ambroise-Paré compte plus de 1100 inscrits, pour environ 450 usagers par mois, à raison de 160 à 180 passages par jour (autant d'injections ou d'inhalations qui ne se font plus dans l'espace public, NDLR). Mais la salle ne sert pas qu'à la consommation, elle un outil de prise en charge médicale, psychiatrique et sociale avec par exemple, presque 900 consultations infirmières et plus de 1000 entretiens du coté social. En réponse aux inquiétudes de certains riverains qui se plaignent du grand nombre d'usagers de drogues causant des troubles dans le voisinage (injections de rue, bagarres...), il a été précisé que ces troubles se limitaient à une dizaine de personnes parfaitement identifiées, la très large majorité des usagers ne posant pas de problèmes particuliers. Gaïa comprend les attentes des riverains mais explique qu'il ne leur revient pas de gérer l'espace hors de la salle, même si leurs vigiles n'hésitent pas à intervenir à proximité de l'entrée lorsque cela leur est possible.

    Un des usagers de la salle a ensuite pris la parole. Sans domicile et habitué du quartier de longue date, il a exprimé sa satisfaction de pouvoir bénéficier d'un équipement tel que la SCMR, non seulement pour la réduction des risques mais également pour la tranquillité des riverains. Des riverains à qui il a dit comprendre leur colère face aux intrusions dans les halls d'immeuble qui étaient nombreuses avant l'ouverture de la SCMR. Il est à noter que les scènes de consommation de drogue dans les halls d'immeuble sont devenues rarissimes depuis l'existence de la salle de consommation. C'est là un des bénéfices de la SCMR dans le quartier. Il a tenu à préciser qu'il est fallacieux d'imaginer que toutes les personnes en errance dans le secteur étaient des toxicomanes, beaucoup ne sont pas liées à la salle de consommation.

    La nouvelle commissaire du 10e a ensuite rappelé le dispositif ZSP qui permet un focus particulier sur le secteur et est revenue en détail sur l'ensemble des forces de police à l'oeuvre dans le quartier et, en particulier, autour de la SCMR.

    Il a été rappelé que ce secteur est une scène de drogue depuis des décennies, et que la présence de la SCMR ne l'a pas implantée. Même si la pacification de l'espace public, autre but parallèlement à la réduction des risques, n'est pas encore totalement satisfaisante, la situation est bien loin de la vision caricaturale que certains médias peuvent rapporter. Il ne faut pas oublier que si on peut encore trouver parfois des seringues usagées dans le caniveau, et c'est regrettable, rappelons qu'avant l'ouverture de la SCMR, c'est par kilos qu'elles étaient ramassées vers l'entrée de la gare du Nord rue de Maubeuge.

    Par ailleurs, tout le monde s'est félicité du barreaudage des entrées du parking géré par la société Indigo, également représentée à ce comité, mais a vivement regretté l'aspect inesthétique de ces "cages". À cette occasion, la société Indigo a annoncé qu'elle renonçait à la gestion du parking situé boulevard de la Chapelle, coté Barbès, à partir de janvier 2019. Cet abandon, est dû principalement aux grandes difficultés de gestions causées par les intrusions de vendeurs de cigarettes, et plus marginalement à cause d'un éventuel report de deal qui se serait reporté ici. Cela fait plusieurs années que nous signalons ce parking, en effet utilisé comme cache pour la vente de cigarettes et autres produits, mais également pour les vélos volés qui seront revendu juste à coté, sur la placette Charbonnière. 

    Pour notre part, nous avons renouvelé notre soutien à cette expérimentation, comme cela a été voté unanimement à notre assemblée générale. Nous avons demandé, conjointement avec le Collectif de parents habitants SCMR, une amélioration des aménagements urbains sur le secteur, car l'expérience nous le montre, l'amélioration de l'espace public ne saurait se penser que d'un point de vue sécuritaire. 

    Nous n'allons pas détailler la totalité de la réunion, tant l'exercice serait fastidieux (on peut retrouver l'ensemble des comptes rendus détaillés de ce comité sur le site de la mairie du 10e). Mais finissons avec l'intervention de la Mildeca qui a redit l'annonce prochaine d'un "plan toxicomanie" ambitieux et renouvelant l'approche qui en était faite jusqu'ici, un plan intéressant particulièrement le Nord-Est parisien, bien au-delà du secteur de la SCMR. Nous ne manquerons pas de suivre de près ce plan qui va concerner directement nos quartiers, dans le 10e et surtout dans le 18e arrondissement.

     

  • Rejoindre l'association dès la rentrée

    Vous êtes nombreux à lire régulièrement notre blog — plus de 500 lecteurs par jour en moyenne, y compris en ce mois d'août qui s'achève — et même à nous écrire ou à laisser des commentaires au bas des articles. 

    Certains d'entre vous ont souhaité participer plus activement à l'association et ont adhéré. Nous nous en réjouissons, car le nombre des adhérents apporte du crédit à une association de quartier face aux élus, aux services, et face à tous nos interlocuteurs, en général. Donc n'hésitez pas, il ne vous en coûtera que 10 € pour l'année. Chèque à l'ordre d'Action Barbès. Voir modalités sous le logo.

    Notre prochaine assemblée générale se tiendra début octobre. Ce sera l'occasion de rencontrer les membres les plus actifs de l'association, voire de vous présenter au conseil d'administration si vous avez envie de vous impliquer dans des actions, d'en proposer de nouvelles et de donner un coup de main. Nous avons besoin d'articles et de rédacteurs pour le blog, de représentants de notre asso dans les différentes réunions auxquelles nous participons, d'observations de terrain...

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    Pour adhérer, rien de plus simple : 

    dans la marge de droite, cliquez dans la rubrique ADHESION

    imprimez la partie du bulletin qui vous permettra de renseigner vos nom et adresse 

    joignez un chèque de 10 euros  à l'ordre d'ACTION BARBES

    avec le formulaire rempli

    et adressez-le au siège de notre association 

    11 rue Guy Patin, 75010 Paris.

  • Notre assemblée générale annuelle au Louxor samedi 16 janvier

    Un petit rappel pour nos adhérents : qu'ils notent bien la date du 16 janvier dans leur agenda. On n'est jamais trop prudent....

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    Une occasion également pour tous les lecteurs de notre blog de venir voir, échanger, discuter, participer et éventuellement adhérer si le contact est bon... Ce sera possible sur place en arrivant un peu en avance. 

  • J-1 avant notre assemblée générale

    L'assemblée générale est réservée aux adhérents, bien sûr, surtout si un vote devait avoir lieu, mais en général nous acceptons de bon coeur tous les sympathisants et personnes du quartier qui sont intéressées et curieuses de nos activités.

    Pourquoi ne pas venir ce samedi au Louxor pour faire connaissance ? 

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    Nous pourrons même continuer des échanges plus individuels en fin de réunion en traversant le boulevard Magenta et en partageant un verre au café. Qu'en dites-vous ? A samedi ! 

    A noter, nous ne sommes pas tout à fait assez riches pour régaler tout le monde, aussi chacun devra payer ses consommations.  

     

  • Votez pour notre projet n° 16 du budget participatif

    Le vote, c'est entre le 13 septembre et le 1er octobre  

    site du Budget Participatif

    ou dans les urnes mises à disposition 

    (retrouvez la carte et les dates d'installations de l'urne mobile par ici)

     

    Un projet proposé par Action Barbès, soutenez le en votant.

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    Sur le 18e arrondissement, ce sont 30 projets qui vont être soumis à votre vote du 13 septembre au 1er octobre 2017. Vous aurez la possibilité de voter dans différentes urnes positionnées sur tout l’arrondissement ainsi que sur Internet.

  • Votez pour notre projet n°10 du Budget participatif

    Le vote c'est entre le 13 septembre et le 1er octobre  

    site du Budget Participatif

    ou dans les urnes mises à disposition 

     

    Un projet proposé par Action Barbès, soutenez le en votant.

     

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    Sur le 18e arrondissement, ce sont 30 projets qui vont être soumis à votre vote du 13 septembre au 1er octobre 2017 à 20h. Vous avez la possibilité de voter dans différentes urnes positionnées sur tout l’arrondissement (la carte de l'urne mobile du 18e est disponible par ici) ainsi que sur Internet.