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Rechercher : salle de consommation

  • Les blancs contre les gris ou mouettes contre pigeons

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    Toujours aux abords du square de Jessaint, une passerelle que nous aimons bien et dont nous déplorons l'extrême malpropreté. Vous appelez cela faire une fixette ? Et bien, oui. 

    Nous notons que le square n'a pas rouvert malgré l'affichage qui annonçait la réouverture pour le 15 janvier. La période de grand froid de ces jours-ci n'engageait pas trop à se poser sur les bancs du square, donc le préjudice n'est pas bien grand. Mais est-ce aussi le grand froid qui a apporté cette nuée de mouettes voraces ? L'espace est habituellement occupé par des dizaines de pigeons, nourris en douce par des âmes sensibles dans une totale illégalité. Cette fois, ils ont fort à faire contre ces volatiles plus gros qu'eux et animés d'un appétit peu tolérant face à la concurrence.

    Du point de vue artistique, leur présence nous a permis de faire des photos différentes... Pourvu que le bestiaire ne s'enrichisse pas de quelques rats en goguette !

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  • Un nouet.... un linge noué

    Un projet original tissé autour des chutes de  tissu qui gisent sur les trottoirs près des ateliers de création de mode telles des masses à l'abandon attendant la collecte de la benne à ordures. C'est l'aboutissement d'un long travail de collecte depuis la mi-décembre dans le quartier du Sentier, auquel l'artiste a convié tous ceux qui voulaient faire un bout de chemin avec elle. Des ateliers, dans différentes galeries, et à la mairie le jeudi après midi ont permis ensuite de donner une vie à l'oeuvre concue par Marion Baruch.

    Il s’agit de déchets ultimes, passifs et désertés, qui, réunis dans de gros tas hétérogènes, se transforment en zones d'empilement et de prolifération. L'artiste, Marion Baruch, les anime

  • Encore quelques mois pour le tram côté nord

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    Le nouveau tramway T3 a effectué son premier tour de piste le 7 février dernier. Cette nouvelle ligne sera en circulation dès décembre 2012 entre les portes d'Ivry et de La Chapelle. On peut dire que le calendrier se précise !

    Au total, 25 rames seront mises en circulation. Chaque rame transportera 300 voyageurs, dont 75 assis. Plus de 160 000 voyageurs sont attendus tous les jours sur cette nouvelle ligne, ce qui permettra de désengorger la circulation routière dans ce secteur.

    La suite, c'est à dire la prolongation jusqu'à la porte d'Asnières, c'est pour 2017.
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    Etaient présents pour le voyage de test le 7 février Annick LEPETIT, Adjointe au Maire de Paris chargée des déplacements, des transports et de l'espace public, Députée de Paris, Roger MADEC, Maire du 19e, Sénateur de Paris, Daniel VAILLANT, Maire du 18e, député de Paris, et quelques autres personnalités que vous reconnaîtrez peut-être sur la photo...

  • Soirée cinéma/jazz mercredi prochain

    mercredi 29 février

    Soirée cinéma jazz au Saraaba

     19 rue de la Goutte d'Or

    à partir de 20 heures

    Un de nos adhérents "historiques" nous informe d'une soirée avec conférence, débat et projection de film sur le thème des rapports entre le film et les sonorités du jazz. De nombreuses séquences de musique de jazz illustreront les propos des deux conférenciers, ainsi que la projection des meilleurs moments de l'histoire du cinéma vus sous cet angle. Qui n'a pas en mémoire la trompette de Miles Davis dans Ascenseur pour l'échafaud ?

     
    ascenseur pour l'echafaud - Ma-Tvideo France2
    # Réalisateur : Louis Malle
    # Date de sortie : 29 janvier 1958 (Paris)

    Pour un avant goût : pour l'écouter et le voir, cliquer ici. (avec une courte interview de Louis Malle, qui à l'époque redoute l'influence des grosses productions cinématographiques qui paralysent le réalisateur en l'éloignant de la prise de risques si propice à la création.)

    Participation par personne : 10 euros. 

  • La prostitution aujourd'hui à Paris

    Le 16 février dernier avait lieu en mairie du 10e arrondissement une conférence-débat sur "la prostitution à Paris aujourd'hui", organisée par la Fondation Scelles et son président Yves Charpenel, avocat à la Cour de Cassation.

    Yves Charpenel s'est fait connaître des médias et du grand public en soutenant le projet de loi visant à abolir la prostitution et à poursuivre les clients qui pourraient bientôt écoper d'une peine de 6 mois d'emprisonnement et d'une amende de 3000 euros.

    Nous vous proposons d'écouter l'interview qu'il a donné à Yves Calvi sur  RTL en décembre dernier.

    Derrière le mot "prostitution" se cache l'exploitation sexuelle des êtres humains, pas seulement des prostituées, des femmes comme on l'entend habituellement, mais également celle des jeunes hommes, des adolescents, étrangers ou pas, et enfin, des enfants. La priorité est de poursuivre les réseaux, qui vivent de cette exploitation, sanctionnée par des peines moins lourdes que le trafic de stupéfiants, par exemple. L'effacement progressif des frontières en Europe, ce que les textes européens appellent la libre circulation des personnes, a des effets pernitieux sur lesquels il est urgent de se pencher.

    90% des prostituées sont des étrangères. Achetées, vendues comme des produits, maltraitées.
    Le plus vieux métier du monde n'est pas une fatalité, réplique Yves Charpenel. Il connaît bien la question, en tant qu'avocat : "La réponse judiciaire n'est pas suffisante, on ne peut pas laisser des mafias faire la pluie et le beau temps chez nous."

    Le corps d'un être humain ne se vend pas, ne s'achète pas. Poursuivre le client, c'est tenter de le dissuader de contribuer à l'enrichissement des réseaux.

  • Un flash info en 22 000 exemplaires

    Ce n'est plus du flash, c'est de l'illumination ! Mais, les Grands boulevards le valent bien.

    Vous pouvez le trouver sur le site de la mairie de PAris : ici.

    Ce qu'il faut en retenir :

    Les travaux se termineront en mai 2012 et la circulation sera alors mise à double sens entre la place de la République et le boulevard de Sébastopol.

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    Et si vous voulez vous manifester auprès de quelqu'un, voici le bon interlocuteur :
    Direction de la voirie et des déplacements, 1re Section territoriale de voirie
    31, rue Mauconseil - 75001 Paris
    Tél. : 01 44 76 65 00 du lundi au vendredi de 8h30 à 17h
    Subdivision relations avec les usagers : Vincent Gauthier

    et encore en écrivant à infograndsboulevards@paris.fr

  • Panneaux publicitaires et monuments historiques : conflit

    paris,publicité,panneau,monuments-historiques,patrimoineLes adhérents "historiques" de notre association se souviennent-ils encore du panneau publicitaire déroulant qui cachait en grande partie la façade de Louxor, pas encore propriété de la Ville ?

    Les élues du 9e et 10e associées, élues du Parti des Verts, avaient interpelé le Conseil de Paris sur la question déposant un voeu pour le déplacement dudit panneau. Elles l'obtinrent et le panneau alla "décorer" un autre angle de rue, moins chargé en histoire.

    Entre temps le Règlement local de publicité de Paris a été modifié et sa dernière mouture adoptée le 21 juin 2011. les communicants de la Mairie de Paris affirment que : "...le nouveau réglement local de publicité, des enseignes et pré-enseignes, est entré en vigueur ces derniers jours. Il devrait réduire d'environ 30% la densité publicitaire sur le territoire parisien." Ils énumèrent succintement un certain nombre d'avancées comme la disparition des panneaux les plus grands (4x3) et la limitation de la publicité lumineuse, par exemple. Désormais les établissements scolaires seront un peu mieux préservés, 50 mètres de part et d'autres devraient rester sans pub, mais qu'en est-il des abords des monuments du patrimoine classés ? Que disent les textes désormais ? Sont-ils revenus sur l'interdiction de planter un panneau déroulant dans la perspective d'un monument classé ? On peut le supposer à voir les panneaux lumineux et déroulants implantés sur les trottoirs du boulevard de Magenta, au niveau du carrefour avec la rue La Fayette. On ne peut guère lui échapper.

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    Juste au fond, derrière la forêt de panneaux, c'est bien la gare du Nord.
    Un petit éclairage pour la mettre en valeur ne serait pas de trop. 

     En attendant la résolution du problème (savoir si le RLP de Paris autorise ou non), regardez ce blog d'un "autre agacé" par les pubs qui illustre ses propos de quelques images parlantes. ICI

  • Le logement social à Paris

    Voici ce qu'on construisait dans les années d'après-guerre :

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    Vous le connaissez bien sûr. Il s'agit de l'ensemble des habitations, connu sous le nom de "La Sablière", apparentés à la SNCF. Sur la photo, nous sommes à l'angle des rues Ambroise-Paré et Saint-Vincent-de-Paul. Belle allure. Belle construction. Rénovation récente.

    Malheureusement le foncier est rare et cher à Paris. Ce qui ne laisse pas beaucoup de parcelles libres pour y élever des bâtiments destinés au logement social. Et quand la Ville en trouve, après de patientes recherches et un peu de chance - des emprises privées ou appartenant à d'es institutions type SNCF, RATP qui souhaitent s'en défaire -, ses projets déclenchent souvent des tollés de protestations. On ne veut pas de cela chez nous ! Référez-vous au projet municipal de construire des équipements sociaux, plutôt du logement étudiant, sur la parcelle délaissée par la Chambre de Commerce de Paris avenue Trudaine - angle Bochard de Saron ! Il y a des cas encore plus controversés dans les beaux quartiers, comme par exemple dans le 16e. (Le cri de la Muette ici avec tout l'humour noir qui convient.)

    On fait alors dans le discret, ou dans des quartiers moins flamboyants... comme par exemple en haut de la rue de Rochechouart, où vous n'avez pas manqué de voir des palissades de chantier qui cachent en partie les façades des immeubles du 90 et du 92. Nous nous sommes renseignés auprès de notre élue chargée du Logement et des Solidarités dans le 9e, Claire Morel. Il s'agit de la réhabilitation d'un immeuble déjà occupé par des locataires. Le conventionnement de 2006 a défini les catégories de financement, et il s'agira donc de logements de type PLS qui sont loués aux environs de 9,62€ le m² valeur juin 2006.

    Pour vous faire une idée des catégories de logements aidés existant sur Paris, et savoir ce que sont les PLS, voici le détail fourni par la mairie du 18e sur son site :

    PLA-I : Prêt Locatif Aidé d'Intégration
    Les logements de catégorie PLA-I sont destinés à des ménages aux ressources plus modestes que les locataires du PLUS :

    • en dessous de 1200 € par mois pour une personne seule.
    • ou de 2900 € pour un couple avec 2 enfants.

    > Le loyer de base des logements PLA-I créés à partir du 1er juillet 2007 s'élève à 5,42 €/m², hors-charges.

    PLUS : Prêt Locatif à Usage Social
    Les logements de type PLUS, qui ont remplacé à partir de l'année 2000 les logements PLA, constituent la catégorie de droit commun du logement social.
    Les plafonds de ressources des locataires s'élèvent à :

    • environ 2200 € par mois pour une personne seule.
    • 5300 € par mois pour un couple avec 2 enfants.

    > Le loyer de base des logements PLUS créés à partir du 1er juillet 2007 s'élève à 6,09 €/m², hors-charges.

    PLS : Prêt Locatif Social
    Les logements PLS sont des logements destinés en particulier aux classes moyennes. Le plafond de ressources est d'environ :

    • 2900 € par mois pour une personne seule
    • de près de 6800 € pour un couple avec 2 enfants

    > Le loyer de base des logements PLS créés à partir du 1er juillet 2007 s'élève à 9,14 €/m², hors-charges.

    Les tarifs ne sont pas à prendre au centime près, car ils sont mis à jour régulièrement, ils donnent une indication.

    Un supplément d'information concerne l'ancien café "Chez Camille" (l'enseigne orange), dont le bail commercial à la fin des travaux sera de nouveau proposé.

  • Elargir ou pas les zones touristiques pour le commerce ?

    Fin avril, Anne Hidalgo relançait la question du travail dominical dans certaines zones de la capitale. Un sujet qui s'est déjà invité à droite dans la pré campagne municipale. S'agirait-il de zones existantes à élargir comme à Montmartre dans le secteur des Abbesses, où les commerçants le demandent, ou bien de la création de nouvelles zones ?

    Actuellement, 7 secteurs sont déclarés « zones touristiques », certains en partie seulement : rue de Rivoli, place des Vosges et rue des Francs Bourgeois, rue d'Arcole, Champs Elysées, viaduc des arts rue Daumesnil, boulevard Saint-Germain, Butte Montmartre.

    « Je suis prête à revoir la carte des zones touristiques à Paris, à condition que l’on travaille sur le dialogue social et la création d’emplois. Si l’on va dans cette voie-là, je veux un pacte » avec les milieux professionnels, a affirmé Anne Hidalgo. Et « des riverains associés aux décisions » a ajouté B. Delanoe. Mais au delà des seuls habitants, la question n'est-elle pas de société ?

    D'un côté, nous avons des commerçants qui souhaitent travailler davantage (« travailler plus pour gagner plus » aurait-on dit en d'autres temps !) et augmenter leur chiffre d'affaires, puis des étudiants qui souhaitent trouver des petits boulots. De l'autre, des salariés (on sait que les femmes sont nombreuses dans ce secteur) dont on sait bien qu'ils n'auront pas forcément le choix. Accepter ou non les journées que propose le patron ne se fait pas en toute liberté, on le sait bien.

    Souhaite-t-on vraiment que les dimanches soient consacrés aux achats ou même au lèche-vitrine sans acte d'achat ? A-t-on envie d'une société où faire les boutiques devienne un loisir dominical pour la majorité des salariés ? C'est déjà le cas en proche et lointaine banlieue avec certains magasins de bricolage ou d'ameublement. Là, pas besoin de zones touristiques. Les classes plus aisées, en revanche, savent s'en dispenser, n'en voyant l'intérêt que dans des cas exceptionnels. Mais les plus modestes, éloignées des centres culturels où l'on peine à les attirer, sont logés au plus près des grands centres commerciaux et autres usine-centers nichés dans les banlieues, « agrémentés » de quelques restaurants fast food clignotant dans le soir. Autoriser davantage la vente le dimanche — même si l'on comprend bien ici, à Paris, qu'il ne s'agit pas des supermarchés, mais plutôt des grands magasins de la rive droite  — c'est un signe fort qui illustre le type la société que l'on construit ensemble.

    Reste l'argument auquel aucun élu, encore moins un candidat, ne peut faire la sourde oreille : c'est créateur d'emploi. Ah, alors.... Et pourquoi donc ? Ici, à Paris règne une certaine injustice entre les enseignes illuminant les Champs Elysées, par exemple, et les Grands Magasins du boulevard Haussmann. Leur clientèle est en très grande partie étrangère. Venue en groupe, coachée par un "tour operator", elle ne reste parfois qu'une seule journée à Paris et se rue vers les quartiers animés, où les commerçants les accueillent sourire aux lèvres, eux et leurs cartes de crédit. Un manque à gagner pour le Printemps et les Galeries Lafayette, pour être clair, eux qui ne peuvent ouvrir que cinq dimanche par an. Donc, grosse pression sur les candidates... même si certains au Conseil de Paris se montrent réticents, par exemple, Christian Sauter. Nous avons cherché à savoir si Anne Hidalgo lors de son récent meeting au Bataclan a renouvellé sa proposition de prolonger les plages horaires, ou bien si, prudemment, elle l'a mise en sourdine. En vain, il n y a pas eu d'écho.

    Et dans notre quartier ? Imaginons une minute que le secteur Barbès devienne zone touristique. C'est pour l'instant pure fiction. Les boutiques de vêtements de cérémonie attirent déjà une foule importante le samedi car elles sont concentrées sur un petit périmètre, mais grignotent néanmoins du terrain au détriment du commerce de proximité. Les acheteurs viennent pour leur très grande majorité en voiture de banlieue et, même de province. On l'observe aux immatriculations. Des problèmes de circulation et de stationnement en perspective...

    Après la réouverture d'un lieu culturel comme le Louxor, on imagine mal les boutiques Tati, et les nombreuses autres, ouvertes le dimanche (on échappera désormais à Vano !). A côté, n'oublions pas qu'on ferme Virgin.  Allons plutôt au cinéma. 

     

    ­_/_/_/ Pour mémoire, l'article de Libération du 17 décembre 2012 sur le travail le dimanche : Ce que dit la loi 

     

  • A l'assemblée nationale, les ZSP

    Dans les questions au gouvernement, Daniel Vaillant, député et maire du 18e arrondissement, a interpellé hier soir, le ministre de l'intérieur, non pas sur les regrettables destructions qui ont eu lieu la veille au soir près du Trocadéro, mais plus près de nous sur les zones de sécurité prioritaires. Cliquez sur le lien ci-dessous pour l'entendre et entendre à la suite la réponse de Manuel Valls, ministre de l'Intérieur.

  • Le réalisateur iranien Asghar Farhadi à l'honneur au Louxor

    LOUXOR13LOGcoulMini.jpg3 semaines pour découvrir  3 films du réalisateur iranien 


    Si vous n'êtes pas encore inscrits à la lettre hebdomadaire du Louxor, pensez à le faire... c'est ici !

    Spécial gros plan sur la programmation de trois films de Asghar Farhadi. Et si vous cliquez sur le portrait publié par Art is thick, vous pourrez aussi voir la bande annonce de son nouveau film Le Passé, présenté au Festival de Cannes. Elle donne envie d'en savoir plus sur ce qui pourrit la vie de ces enfants partagés entre l'Iran et la France, mais aussi la vie de la femme qui est leur mère. Rendez-vous au Louxor dès le 17 mai. 


    Du mercredi 15 mai au 21 mai : A propos d'Elly de 2009

    A+PROPOS+D%27ELLY.JPGUn groupe d’amis étudiants passe des vacances dans une vaste demeure au bord de la mer Caspienne. Sepideh, qui s'est occupée de l'organisation, a décidé d'inviter Elly, en espérant que celle-ci ne soit pas indifférente au charme de son ami Ahmad, qui sort tout juste d'une rupture. Les vacances se passent dans la bonne humeur, jusqu'à la soudaine disparition d'Elly. 

    Mercredi 15 mai à 19 h
    Vendredi 17 mai à 21 h
    Dimanche 19 mai à 11 h 
    Lundi 20 mai à 14h15 

    Du mercredi 22 au mardi 28 mai : La fête du feu

    Du mercredi 29 mai au mardi 4 juin : Les enfants de Belleville

  • Le bruit des autres

    Le bruit des sirènes d'ambulance ou du Samu est perçant. Particulièrement quand votre domicile est situé non loin d'un hôpital... suivez notre regard ! On le comprend pourtant car le passage rapide du véhicule peut conditionner l'état de santé d'un malade. 

    images?q=tbn:ANd9GcSy7UESMzB0_cXXUoAYxdyqgCVaC9dbefQco-H0ywMkyDNGEdkl_wOn est moins indulgent à l'égard des véhicules de police, qui possèdent deux niveaux de sirènes et qui usent le plus souvent du plus strident des deux. Il y a aussi des urgences policières, qu'on ne peut ignorer. C'est vrai. Malgré cela, certains comportements sont à la limite de l'acceptable pour les oreilles des passants et des riverains sur les grands axes de circulation, où la diminution du nombre des véhicules et la vitesse réduite ont déjà fait beaucoup pour diminuer le nombre de décibels, selon les experts de Bruitparif... Encore un petit effort donc. 

    La dernière campagne de la Préfecture de Police (en mai) en faveur du mieux vivre ensemble visait plutôt les nuisances sonores liées aux deux roues pétaradants à l'approche de l'été. Fenêtres grandes ouvertes et pots d'échappement bricolés font mauvais ménage ! D'autres campagnes précédentes avaient ciblées les noctambules, sur la voie publique, ou à domicile. Il est toutefois difficile de lutter à coup de campagnes de sensibilisation contre une tendance sociétale qui conduit à ne pas trop se préoccuper des tiers. 

    Pour une information tous azimuts voir le plan de lutte contre le bruit sur paris.fr 

    Et aussi : le conseil national du bruit  ou  association SOS Bruit