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Rechercher : salle de consommation

  • Réunion de voisins rue Caplat : échanges et convivialité

    La semaine dernière, une trentaine d'habitants des rues Caplat, Charbonnière, Goutte d'or, Polonceau, pour l'essentiel,  se sont retrouvés dans un vaste hall d'immeuble pour faire connaissance. Une fête de voisins en quelque sorte, mais pas à la date habituelle. C'est le "ras le bol" de la situation aux abords de la placette Charbonnière mais aussi à l'entrée du métro Guy Patin les jours de marché et la nécessité d'engager des actions qui ont mobilisé.

    Pétition, mails envoyés aux élus de l'arrondissement, à Colombe Brossel, adjointe à la maire de Paris chargée de la Prévention et de la Sécurité, n'ont pas permis d'avancer malgré des réponses et une promesse de rendez-vous. Alors que faire ? Comment agir efficacement ? Pas question ce soir-là d'en débattre et de se mettre d'accord, mais davantage de créer des liens pour s'organiser ensuite.

    rue Caplat, 18ème,

     Les photos qui montrent l'insupportable situation du micro-quartier exposées

    rue caplat, 18ème,

    Pour prendre connaissance des messages adressés aux élus

    Action Barbès était invitée pour présenter ses actions et sa ligne directrice de fonctionnement. Travailler sur l'espace public et notamment sur le projet de promenade urbaine entre Barbès et Stalingrad peut être une des pistes pour améliorer la vie de ce micro-quartier. Pour celles et ceux que cela intéresse, la discussion pourra se poursuivre lors de notre Assemblée Générale du 12 novembre à la salle Saint-Bruno. Ensuite, les habitants s'organiseront comme ils le souhaitent. Pour certains, ils ont néanmoins d'ores et déjà dans l'idée  de s'investir activement avec Action Barbès et proposer des projets constructifs pour améliorer leur micro-quartier. De notre point de vue, une chose est sûre, les problèmes d'occupation des espaces publics ne se résoudront pas en les repoussant un peu plus loin.

    Quoiqu'il en soit, la réunion fut fort sympathique, la sangria ainsi que le couscous étaient au programme.

    fete des voisins rue Caplat oct 2014.JPG

  • Le parvis de St Bernard abandonné aux voitures

    Tous les dimanches depuis plus d'un an, le parvis de l'église Saint-Bernard est abandonné aux voitures. Pour être plus précis, ce petit tronçon de la rue Affre qui sépare l'église Saint-Bernard et le square Saint-Bernard Saïd Bouziri est totalement fermé à la circulation; l'accès est fermé par des potelets mais l'espace reste accessible par le portail de l'église.

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    19 mars 2017

     

    L'interdiction aux véhicules est clairement indiquée, et malgré cela, tous les dimanches, le parvis est transformé en parking sauvage. Ces véhicules sont ceux des membres d'une association cultuelle qui loue la salle associative Saint-Bruno et l'église Saint-Bernard. Cette association privatise donc un jour par semaine un des seuls espaces publics libres de la Goutte d'Or, un des rares espaces qui permet aux enfants et aux adolescents du quartier de jouer au ballon.

     

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    9 juillet 2018

     

    Notre association et ses membres ont alerté à de très nombreuses reprises les élus et les services de la ville concernés afin de faire cesser ces comportements. Mais las, rien ne change, les dimanches passent, les mois passent et dimanche dernier encore, le parvis s'est transformé en parking privé en toute impunité.

     

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    19 juillet 2017

     

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    samedi 7 juillet et dimanche 8 juillet 2018 

     

    Depuis plusieurs mois, les pouvoirs publics parisiens n'ont de cesse de répéter qu'une grande attention est portée aux quartiers populaires et à la Goutte d'Or en particulier, déployant des opérations "Tous mobilisés" avec tambours et trompettes. Ce simple exemple montre qu'il en va tout autrement sur le terrain et plutôt que des opérations d'exception, les habitants des quartiers populaires préfèreraient une écoute au quotidien et qu'on fasse respecter le droit commun ici comme partout ailleurs à Paris.

  • Grand nettoyage de printemps en vue rue Ambroise Paré

    Pour la troisième année consécutive une opération de prévention propreté sur les déchets relatifs à la consommation de drogues et aux risques associés va se tenir les 21 et 23 mai prochains aux abords de la Gare du nord et de l’hôpital Lariboisière (boulevard de La Chapelle compris). Pour rencontrer les habitants, des stands seront dressés (voir lieux ci-dessous): toutes les questions seront les bienvenues. N'hésitez pas à les poser.

    Les stands seront installés  :

                    Le mercredi 21 mai de 17h00 à 19h00, rue A. Paré en proximité de la sanisette et à la sortie du M° Barbès côté Guy Patin. 

                    Le vendredi 23 mai de 17h00 à 19h00, rue A. Paré en proximité de la sanisette et à la sortie du M° Barbès côté Guy Patin.

     

    Cette opération consiste à sensibiliser les riverains sur le matériel lié à la consommation de drogues (risques, que faire, qui fait quoi en la matière), et d’aller à la rencontre des consommateurs de drogues qui fréquentent ce territoire pour les sensibiliser aux questions de salubrité publique.
    En amont de cette opération a lieu une marche exploratoire ce matin-même avec un rdv à 9 heures devant le parvis de l'église Saint-Vincent de Paul. C'est le point de rendez-vous et nous remonterons vers l'hôpital Lariboisière selon toute vraisemblance. 
     
    Cette action est réalisée collégialement par les mairies du 10e et 18e arrondissements de Paris, les services de la Direction de la propreté et de l’eau des mêmes arrondissements, le Service Municipal d’Actions de Salubrité et d’Hygiène de la mairie de Paris, de la Mission Métropolitaine de Prévention des Conduites à Risques, de l’association SAFE (qui gère les automates qui distribuent et récupèrent les kits d’injections), l’association Gaïa dont le bus est positionné rue de Maubeuge (centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues), l’association Aurore-Espoir Goutte d’Or (centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour  usagers de drogues) et Coordination Toxicomanies (Acteur de médiation social sur les questions liées aux drogues et centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues). 
    Nous participons à la marche exploratoire et reviendrons vous dire ici-même comment elle s'est passée, pour vous faire part de nos observations aussi ... 

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    Une des  affiches de la dernière campagne de la Propreté de Paris

  • Conseil de quartier : un regard transversal

    Comme nous le faisons toujours, nous avions annoncé la réunion publique du conseil de quartier Goutte d'Or Château rouge, en soulignant que la toute nouvelle équipe d'animation — selon la terminologie proposée et acceptée — en profiterait pour se présenter aux habitants.

    A en juger par le nombre de participants mardi soir, à 19 heures, dans le préau de l'école Pierre Budin, nous n'avons pas su séduire, ou bien notre blog perd de "l'audimat" dans le 18e, ou encore le thème annoncé n'était pas assez attractif ! La salle n'était pas pleine. On y a croisé toutefois des visages connus. Ariel Lellouche, l'infatiguable animateur des réunions du conseil Goutte d'Or, a heureusement été tiré au sort parmi les candidats habitants, avec 7 autres, dont plus de la moitié étaient absents ou excusés. Les associations étaient représentées : elles ne sont plus que 5 à faire partie de l'équipe d'animation dans la nouvelle configuration. Amadou Sylla  (SOS Casamance), Michel  Tall (Bol d'Or), Sylvie  Rubé (Les Enfants de La Goutte d’Or) et  Philippe  Ferin (Espoir Goutte d’Or) se sont présentés et ont décrit rapidement leur engagement dans le quartier. Toutefois une ombre planait sur ces visages, car tous connaissaient le représentant de l'association La Table ouverte, Jean-Paul Edwigss, dont ils avaient appris le décès quelques jours plus tôt. Rachid Arar s'est chargé de prendre la relève avec tristesse. Une minute de silence a été observée à la mémoire du disparu et à celle de Noël Monnier, l'un des créateurs du 18e du mois qu'on ne présente pas dans la Goutte d'Or, décédé récemment.

    Dominique Lamy, ex-président du conseil de quartier et désormais promu "élu référent" avait hésité à venir. Fallait-il incarner dès la première séance la figure tutélaire de l'élu local, assis à la table, face au public, ou plutôt laisser libre le siège en question et insister sur l'autonomie totale dont les habitants pourraient jouir dorénavant ? Ariel Lellouche s'est fait l'interprète de ce questionnement de l'élu et a penché vers la seconde hypothèse tout en informant avec bienveillance que ce mardi, le Bataclan allait retentir des acclamations socialistes pour le lancement de la campagne d'Anne Hidalgo... On peut comprendre.

    Sans thème clairement indiqué, la salle avait du mal à sortir d'une certaine fraîcheur. Les efforts valeureux d'Ariel ont permis de proposer une méthode de travail, en petits groupes,  et de constituer des commissions avec, à la tête de chacune d'elles, un des membres de l'équipe d'animation. Elles sont au nombre de 7 : 

    - Commerce : animateur Moussa Niambele 

    - Propreté    : animatrice Geneviève Richy

    - Espace public et environnement  : Philippe Férin

    - Culture      :  Philippe Férin

    - Sécurité    : Michel Tall

    - Vivre ensemble, Mixité sociale, Parentalité : Sylvie Rubé

    - Education : Ariel Lellouche

    Quelques commentaires ont fusé de la salle, pour dire que nous n'étions pas nombreux et qu'il serait bon de ne pas trop se disperser... que certains sujets étaient transversaux et que la propreté, par exemple, se retrouvait autant dans l'espace public que dans le commerce... que l'éducation et la parentalité avaient beaucoup à voir ensemble....  C'est un bon début, puisque les personnes s'interrogent. Reste à savoir comment elles vont recruter suffisamment de bonnes volontés, c'est à dire de personnes disposant de loisirs assez généreusement pour s'investir dans des cercles de réflexion, de préparation d'événements, ou d'actions de revendication ou de communication ? On en revient souvent à ces pierres d'achoppement : à la constatation que les conditions de travail des personnes actives ne laissent pas beaucoup de temps libre, et que celui-ci peut être dédié à des moments de convivialité en famille plutôt qu'à des séances de brainstorming collectif avec les voisins plus ou moins proches. 

    A Action Barbès, nous avons une expérience singulière, puisque, par principe, notre association s'est inscrite dès le début des conseils de quartier dans les trois arrondissements qui entourent le carrefour Barbès. Nous avons donc participé à trois Conseils de quartiers distincts :

    - Trudaine Rochechouart dans le 9e, avec des membres de notre association tirés au sort dans le premier collectif (c'était alors son nom), puis dans le suivant au cours duquel nous avions réalisé le guide culturel de notre conseil de quartier (encore en ligne sur le site de la mairie du 9e). 

    - Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul dans le 10e, où plusieurs de nos adhérents font partie, toujours et encore, de l'équipe d'animation depuis sa création.

    - Goutte d'Or Château rouge, auquel nous avons participé plusieurs fois en tant qu'association élue dans ce collège. 

    Seul des trois, le 18e avait opté pour une représentation des citoyens par collèges : habitants, associatifs, personnalités locales, groupes extra communautaires. A l'inverse, les 9e et 10e se cantonnaient à réunir, soit par tirage au sort, soit par élection à mainlevée, des personnes motivées qui se portent candidates à cette mission. Quant aux présidences, 9e et 18e ont longtemps mis à la tête des conseils de quartier un élu, quitte à ne pas lui donner tout à fait le même titre. Toutefois la parole de l'élu, sa place parmi les autres conseillers de quartier montraient assez clairement que la bride était lâche mais qu'elle était là, ne serait-ce que dans le choix des thèmes abordés, des personnes invitées... Parfois, l'assistance s'est réjouie de la présence de l'élu quand il s'est agi d'obtenir des réponses. Mais, dans le 10e, on n'a jamais voulu donner cette place prépondérante à l'élu. Au tout début des années 2000, la bataille a été rude pour faire passer la pilule. Comment la puissance publique dans sa légitimité souveraine pourrait-elle s'effacer à ce point devant une parole individuelle de citoyen lambda ? Elle l'a fait et continue à respecter cette configuration. Les équipes d'animation du 10e n'ont pas pris le pouvoir ! Elles ont survécu, en donnant une place et la parole aux élus quand des sujets nécessitent des réponses qu'eux seuls détiennent ou sont en mesure d'aller chercher. 

    Toutefois, la relève n'est pas facile, on tourne beaucoup avec les anciens, on peine à trouver du sang neuf. Parfois les envies sont grandes, on s'inscrit, et on n'a pas le temps... Oui, nous savons cela aussi. 

  • 3e journée nationale de l'audition

    Récemment, le 11 mars pour être précis, se tenait une table ronde en mairie du 10e sur ce thème.

     

    «  Aller au spectacle quand on est malentendant »  était le sujet de cette journée organisée par Paul Zylberberg, président d'Audio Ile de France, que nous connaissons bien pour avoir partagé de nombreuses réunions à ses côtés et... parce que nous sommes voisins dans le 10e.

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    Source : Cemafore

    Un constat tout d'abord : salles de cinéma, théâtres, concerts, musées ne fournissent pas un accès à la culture satisfaisant pour les malentendants, faute d'installations techniques adéquates. Pourtant, la réglementation existe: la loi du 11 février 2005 (puis le décret en mai 2006) qui concerne tous les handicaps. On y définit l'accessibilité comme une adéquation entre la personne et son environnement.

    Un aperçu dans la capitale : quelques salles sont équipées et mettent à disposition gratuitement des appareils auditifs, Le Châtelet, L'opéra Comique, la Comédie Française, l'Odéon, le Palais des Congrès. D'autres proposent un sur titrage. On est encore loin du compte.

    De l'avis des participants, l'information est insuffisante. Il est souvent difficile  de savoir si une salle est équipée, faute de logo par exemple. La « toile » offre des informations en ligne qu'il faut aller chercher soi même pour s'assurer d'un accès satisfaisant, ici, ou encore là, chez Cemaforre pour les régions Centre et l'Île de France.

    En février de cette année, on a annoncé un « Plan National Handicap auditif » pour renforcer l'accès à l'information et à la culture. Mais aucune précision quant aux budgets alloués!

    Des chiffres qui exigeraient une attention particulière à cette problématique :

    On estime à 10% de la population le nombre
    des personnes devenues malentendantes
    ,
    soit environ 6 millions et
    à environ 100 000 les personnes sourdes de naissance.

    La sensibilisation est en marche, mais marche lente...

  • Les rideaux de douche des cafés parisiens auraient encore de beaux jours devant eux

    Il est assez rare qu'une décision de justice soit aussi commentée, et de surcroît négativement, avec une telle insistance, quand elle concerne de simples terrasses de café.  Cinq établissements parisiens, qui étaient dans le collimateur de l'association Droits des non fumeurs, ont eu gain de cause aux yeux des juges de la cour d'appel de Paris (relaté dans Le Parisien du 11 mai) . Ainsi la preuve ne serait pas apportée que les espaces extérieurs bâchés des brasseries et cafés seraient des lieux fermés. Si les juges de la cour d'appel de Paris sont aussi peu convaincus par les arguments des non fumeurs, pourquoi ne pas retourner la démonstration ? Ces espaces sont-ils des lieux ventilés dans lesquels les consommateurs non fumeurs sont à l'abri du tabagisme passif, que la loi qui interdit de fumer dans les lieux fermés et un tant soit peu fermés (par exemple les halls de gare et même les quais...) avait pour objectif de supprimer ?

    C'est le froid et le profit plus que le souci de la fumée et de la santé qui auront eu le dessus dans cette affaire.
    Chronologiquement, les fumeurs sont sortis à l'extérieur du café dans un premier temps pour "s'en griller une" en janvier 2008 (application de la loi sur l'interdiction de fumer dans les bars). Les cafetiers leur ont installé quelques chaises et tables dehors, devant l'établissement ou devant la terrasse fermée. C'est ainsi que les terrasses prenaient de l'ampleur, même dans des espaces où jamais on ne les aurait imaginées. Une fois assis, à la première bise venue, les fumeurs ont ressenti le froid. Les propriétaires ou gérants de bars leur ont installé des chaufferettes sur pied, en applique ou suspendues. On commençait à vouloir chauffer la rue... Quel gaspillage honteux ! "On pourrait peut-être fermer un peu pour confiner les calories en terrasse?" Les cafetiers ont alors investi dans les bâches et rideaux transparents pour refermer leurs terrasses et protéger les consommateurs fumeurs, tout en jetant un oeil inquiet sur la facture de gaz et bientôt d'électricité, car les chaufferettes au gaz devront disparaître en janvier prochain. On ne peut nier que leur investissement ait été lourd et pèse dans la balance à l'heure de rationaliser le dossier.

    paris,terrasses,cafés,bâches,interdiction-de-fumerTout cela est navrant, à l'heure où l'on dénonce pêle-mêle notre facture énergétique, l'emploi majoritaire du nucléaire dans la production électrique, les achats d'électricité à l'étranger lors des pics de consommation, le manque d'investissement dans les énergies alternatives, etc... il se trouve encore des juges pour baisser la garde face au lobbying des cafetiers-limonadiers et autres investisseurs du secteur. Car ne nous méprenons pas, les grandes enseignes de restauration, rapide ou non, les brasseries à établissements multiples, les cafés qui ont pignon sur rue et leurs terrasses tentaculaires sont souvent du capital anonyme et sont la propriété de fonds de placement et autres sociétés d'investissements. Difficile dans ces conditions de discuter avec le patron. Celui-ci est devenu un gérant qui doit rentabiliser l'affaire selon les exigences du financier au risque de perdre son job. Une donnée à prendre en compte.

    Toujours à propos des terrasses, une petite victoire tout de même d'associations de riverains de la rue Montorgueil: la Cour d'appel de Paris a refusé que les commerçants occupent totalement les trottoirs de cette rue piétonne "circulée" comme aime à le rappeler Jacques Boutault maire du 2e. Voir l'article de Métro du 16 mai à ce sujet.

  • Présentation du projet d'aménagement cyclable de la rue Marcadet

    La Mairie du 18ème arrondissement organise une réunion publique de présentation du projet d'aménagement cyclable de la rue Marcadet. Faisant partie du Plan Vélo 2015-2020, cet aménagement, très attendu par les cyclistes, devrait permettre à terme de traverser le 18ème d'Est en Ouest en toute sécurité.

    Jeudi 20 septembre à 18h30
    à la Mairie du 18e, salle des fêtes
    1 place Jules Joffrin 

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    En présence de :


    Eric Lejoindre, maire du 18e arrondissement,

    Carine Rolland, 1ère adjointe au Maire du 18e chargée des affaires générales, de la culture et du patrimoine,

    Gilles Ménède, adjoint au Maire chargé de la Propreté, de la Voirie, des Transports et des Déplacements.

  • Assemblée Générale de l'association Action Barbès

    L'Assemblée Générale annuelle de l'association Action Barbès se tiendra
     
    le samedi 5 octobre 2013 à 10h45 précises
    dans une des salles du cinéma Le Louxor (170, bd de Magenta).
     
    Bien que le droit de vote lors d'une l'Assemblée Générale d'une association soit réservé à ses adhérents, chacun peut y assister et éventuellement adhérer à cette occasion.
     
    Vous pouvez télécharger :
     
     
     
     

  • Drogue, réduction des risques et argent public

    Les adversaires de l'implantation d'une salle de consommation à moindre risque (SCMR) pour les toxicomanes au 39 boulevard de La Chapelle n'ont de cesse de critiquer un mauvais usage de l'argent public pour un tel projet.

    Regardons la question de plus près.

    Dans l'entretien qu'il nous a accordé en Juillet 2013, Rémi Féraud, maire du 10e arrondissement, indiquait que le budget de fonctionnement de la SCMR se montait à 800 000€ par an. L'association GAIA qui devrait gérer cette salle prévoit de recevoir entre 80 et 100 personnes par jour, 7 jours sur 7, avec comme équipe permanente 2 accueillants moniteurs éducateurs, 2 éducateurs, un infirmier et un agent de sécurité, soit au total 6 personnes.

    Le but d'une SCMR est, entre autres, de réduire la transmission du virus du Sida. Un simple calcul, certes un peu cynique, nous montre l'intérêt financier d'un tel équipement : le traitement d'un(e) séropositif(ve) est intégralement pris en charge par la Sécurité Sociale et aujourd'hui on peut estimer le coût moyen d'un tel traitement à 25 000€ par an dans le cas où le patient n'est que séropositif, c'est à dire sans complication par ailleurs. Il est facile de voir que si une personne de 30 ans est infectée par le HIV, doit être traitée en conséquence et a une espérance de vie de 30 ou 40 ans comme l'efficacité des traitements actuels le permet, alors le retour sur investissement (terme affreux s'agissant de santé publique) d'une SCMR est intéressant. Les brillants économistes sortiront leur calculette et leur taux d'actualisation préféré pour se convaincre que l'argent public dépensé là pour éviter des dépenses à la Sécurité Sociale déjà bien mal en point financièrement est donc bien employé. 

    La Plate Forme Globale pour les SCMR a d'ailleurs produit un argumentaire financier intéressant, notamment pour ce qui se passe au Canada. 

  • Vous prendrez bien un peu de culture locale ?

    culture,bibliotheque,theatre,librairie,concertPour les écoliers et certains d'entre-vous c'est les vacances, pour les autres, peut-être ferez-vous le pont en fin de semaine. Voilà une bonne occasion de découvrir, ou redécouvrir, les multiples lieux culturels dans nos quartiers. Car on l'oublie parfois, nos quartiers regorgent de lieux de culture. Théâtres, bibliothèques, salles de concert, galeries, disquaires, libraires, sans compter les ateliers d'artistes, les acteurs culturels ne manquent pas ici, et il serait bien difficile d'en faire le tour.

    Nous vous offrons ici une sélection de lieux culturels, certains très connus, d'autres beaucoup moins, mais ils permettent de montrer la richesse et la diversité de l'offre culturelle dans nos quartiers des 9e, 10e et 18e arrondissements de Paris, de quoi se divertir, réfléchir et se cultiver à deux pas de chez soi.

     

    Bibliothèques

    Dans le 9e 

    • Bibliothèque Valeyre : Bibliothèque adultes, jeunesse, discothèque, pôle de langues. 24 rue de Rochechouart, horaires d'ouverture sur le site de la ville de Paris

    Dans le 10e

    •  Médiathèque Françoise Sagan :  Superbe médiathèque avec une collection de plus de 100.000 documents à disposition du public. 8 rue Léon Schwartzenberghoraires d'ouverture sur le site de la médiathèque

    Dans le 18e

    • Bibliothèque de la Goutte d'Or : Collections adultes, jeunesse, discothèque, vidéo (DVD séries TV).  2 rue Fleury, horaires sur  le site de la ville de Paris
    • Bibliothèque Vaclav Havel : Collections adultes, jeunesse & vidéo, jeux vidéo et jeux de société. 26 esplanade Nathalie Sarraute, horaires d'ouverture sur le site de la ville de Paris

     

    Cinémas

    Dans le 10e

    • Le Brady : Un petit cinéma parisien inauguré en 1956, que fréquentait François Truffaut. 39 boulevard de Strasbourg, affiche et horaires sur  leur site
    • Le Louxor : Faut-il encore présenter ce magnifique cinéma d'art et essais, situé au carrefour Barbès ? 170 boulevard de Magenta, affiche et horaires sur  leur site 

     

    Concerts

    Dans le 18e

    • FGO - Barbara : Un établissement culturel de la ville de Paris bouillonnant de vie, avec des concerts mais aussi des spectacles, des expositions, un café... 1 rue Fleury, affiche et horaires sur  leur site
    • L'Élysée Montmartre : La célèbre salle de spectacle a retrouvé son lustre après une belle réhabilitation suite à un incendie en 2011. 72 boulevard de Rochechouart, affiche et horaires sur  leur site
    • Le Lavoir Moderne Parisien : Un salle intimiste dans un ancien lavoir, salle de concert et galerie d'exposition expérimentale et créative. 35 rue Léon, affiche et horaire sur  leur site
    • Olympic Café : Un lieu réouvert récemment et qui une variété de concerts et une cuisine aux accents du monde. 20 rue Léon, affiche et horaires sur leur site

     

    Disquaires

    Dans le 9e 

    • La Fabrique Balades sonores : Disquaire et galerie, offre éclectique de qualité. 1-3 avenue Trudaine, ouvert du lundi au samedi, de 12h à 20h (et le plus souvent possible, le premier dimanche du mois, de 14 à 19h)Site internet

    Dans le 10e

    • Debs Music : Un disquaire spécialisé dans les musiques antillaise et haïtienne. 170 Rue du Faubourg Poissonnière, ouvert du mardi au samedi, de 10h à 19h
    • Walrus : Un concept original, un disquaire-bar ! Un lieu trop peu connu tout à côté de la gare du Nord. 34 ter rue de Dunkerque, ouvert les mardi, mercredi et vendredi, de 13h à 22h, le jeudi, de 14h à 20h, le samedi, de 11h à 22h et le dimanche, de 12h à 20hSite internet

    Dans le 18e

    • Le Rideau de fer : Un disquaire spécialisé dans les vinyles et les bandes dessinées. 12 rue André Del Sarte, ouvert  du mardi au samedi, de 12h30 à 19h00Site internet
    • Sauviat Musique: Le disquaire historique de la musique arabe à Paris. 124 boulevard de la Chapelle.
    • Soul Ableta Disquaire : Un spécialiste nouvellement arrivé dans la Goutte d'or. 47 rue Marcadet, ouvert du mardi au samedi, de 13h à 20h. Page facebook

     

     

    Librairies

    Dans le 9e 

    • La Libreria : Librairie franco-italienne. Au rez-de-chaussée les livres en français, et au sous-sol les livres en italien. 89 rue du Faubourg-Poissonnière, ouvert le lundi, de 14h à 19h, et du mardi au samedi, de 10h à 19h. Site internet
    • Libellule et coccinelle : Une librairie-ateliers pour le plus grand plaisir des enfants. 2 rue Turgot, ouvert du mardi au samedi, de 10h à 19h. Page facebook
    • Fantasmak : Ici c'est bandes dessinées, cinéma et polars. 17 rue de Belzunce, ouvert du mardi au samedi de 15h à 19h. Site internet

    Dans le 10e

    • La balustrade : Une librairie qui surplombe la gare de l'Est, spécialisée dans les sciences humaines. 25 rue d'Alsace, ouvert les mercredi et samedi de 12h30 à 19h30, et les jeudi et vendredi de 10h à 19h30. Site internet
    • Le 29, librairie photographique : Comme son nom l'indique, cette librairie est spécialisée dans la photo et la photographie, très belle sélection sur le sujet. 25 rue des Recollets, ouvert le lundi de 12h à 19h et du mardi au samedi de 10h à 19h. Site internet
    • Librairie Nordest : Très bel accueil dans cette librairie généraliste, avec un joli rayon jeunesse. 34 bis rue de Dunkerque, ouvert du lundi au samedi, de 10h à 19h30. Page facebook

    Dans le 18e

    • Gibert Joseph Barbès : Le libraire historique de la rive gauche propose ici une grande offre généraliste et scolaire, avec un personnel très compétant. 15-17 boulevard Barbès, ouvert du lundi au samedi, de 10h à 20h. Site internet
    • La Régulière : Jeune librairie dynamique au coeur de la Goutte d'Or, propose un salon de thé avec un espace de travail. 43 rue Myrha, ouvert du mardi au samedi de 10h à 20h, et le  dimanche de 14h à 19h. Site internet
    • Les Libraires associés : Un lieu magnifique, caché tout à côté de l'église Saint-Bernard, spécialisée dans les livres animés, cette librairie offre également un beau choix de livres anciens. 3 rue Pierre l'Ermite, ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h. Site internet
    • Le Rideau rouge : La librairie incontournable du coté de Marx Dormoy. 42 rue de Torcy, ouvert du mardi au samedi, de 10h à 19h30, et le dimanche de 10h30 à 13h30.  Site internet

     

    Musées - Galeries

    Dans le 9e 

    • Galerie Allen : Galerie d'art contemporain. 59 rue de Dunkerque, ouvert de mercredi à samedi, de 14h à 19h. Site internet
    • Musée de la franc-maçonnerie : Un musée consacré à l'histoire de la franc-maçonnerie, situé au siège du Grand Orient de France. 16 rue Cadet, ouvert du lundi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 18hSite internet
    • Phono Museum : Une très belle collection de phonographes et de gramophones notamment, et des concerts. Un petit musée à découvrir ! 53 boulevard Rochechouart, ouvert du jeudi au dimanche, de 14h à 18hSite internet

    Dans le 18e

    • Échomusée de la Goutte d'Or : Une galerie associative ouverte depuis 1992, un lieu incontournable du quartier de la Goutte d'Or. 21 rue Cavé, horaires sur  leur page facebook
    • Espace Canopy : Une galerie d'art contemporain, un espace culturel et un café en un même endroit. 19 rue Pajol, horaires sur le site de la galerie
    • Halle Saint-Pierre : Un musée dans une ancienne halle, consacré à l'art brut, singulier et "outsider". 2 Rue Ronsard, ouvert du lundi au vendredi, de 11h à 18h, le samedi de 11h à 19h, et le dimanche de 12h à 18h. Site internet
    • Institut des Culture d'Islam : Ce très bel établissement culturel propose de nombreuses expositions et différentes activités (ateliers de calligraphie, cours de langues...). 56 rue Stephenson, ouvert du mardi au mercredi, de 13h à 20h, le vendredi de 16h à 20h, et le samedi et le dimanche, de 10h à 20hSite internet 

     

    Théâtres 

    Dans le 9e 

    • Théâtre Le Bout : Une petite scène, ouverte aux humoristes. 6 rue Frochot, affiche et horaires sur leur site

    Dans le 10e

    • Théâtre des Bouffes-du-Nord : Le célèbre théâtre de Peter Brook poursuit sa belle aventure. 37 bis, boulevard de la Chapelle, affiche et horaires sur leur site
    • Théâtre La Boussole : Un petit théâtre méconnu tout à côté de la gare du Nord.  29 Rue de Dunkerque, affiche et horaires sur leur site

    Dans le 18e

    • Théâtre La Reine Blanche Scène des Arts et des Sciences : Un tremplin pour le théâtre, la danse et la musique dans une grande salle boisée. 2 bis passage Ruelle, affiche et horaires sur leur site 

      

     

  • Ulipo : 22 mai - Le storytelling ou les nouvelles armes de distraction massive

    Les débats citoyens d'ULIPO continuent leur chemin


    La prochaine réunion aura lieu au salon André, entrée par le Théâtre Trévise- 14 rue de Trévise - Paris 9ème

     

    le jeudi 22 mai 2008 à partir de19h30 sur le thème :

     

    Le storytelling ou le nouvelles armes de distraction massive

     

    Entre libre : chacun paie sa consommation.


    Le storytelling ou le nouvelles armes de distraction massive

    Quiz.
    Quel président américain a dit : "Le souci de l'image doit primer sur le sens" ?
    Quel conseiller de Ronald Reagan a dit : "L'idée est de détourner l'attention des gens des enjeux essentiels en créant un monde de mythes et de symboles..." ?
    Quel journaliste a dit : "Une campagne présidentielle est un grand festival de narration dans lequel la presse est à la fois l'acteur, le choeur et le public" ?

    Les spin doctors ont découvert que, pour maîtriser

    la complexité de la communication et ses multiples

    rebondissement, il était utile d'avoir recours

    au pouvoir hypnotique de la narration, du scénario :

    les story spinners sont nés.

    Hommes politiques, hommes du marketing, créatif publicitaires,

    managers ont compris la redoutable efficacité de la technique :

    ils nous servent des scénarios plausibles et formellement

    cohérents dans lesquels ils nous réservent un rôle.

    Leur rêve :

    transformer le monde en un "The Truman show" planétaire.

    Christian Salmon auteur de l'ouvrage "Storytelling, la machine

    à fabriquer des histoires et à formater les esprit"

    nous aidera à saisir l'étendue du phénomène,

    à y voir clair et à trouver la manière

    de ne pas trop tomber dans le panneau.

     

    Nous sommes ouverts à :

    - vos propositions de thèmes,

    - vos propositions de partenariat,

    - vos suggestions de lieux de rencontre.

     

    ULIPO Université libre populaire

    11 rue de Rochechouart 75009 PARIS

    Pour informations : ulipo9@gmail.com

    Et pour en savoir plus www.ulipo.com

     


  • Compte rendu de mandat de Bertrand Delanoë à la mairie du 18e

    Afin de rendre compte de son action municipale au cours des douze derniers mois, Bertrand Delanoë effectue chaque année, un compte rendu de mandat en organisant des réunions publiques dans chacun des vingt arrondissements parisiens.

    Photos -- CR de mandat.jpgLe compte rendu de mandat du Maire de Paris dans le 18ème arrondissement aura lieu

    le jeudi 2 décembre

    à 18h30

    à la Mairie du 18ème

    Dans certains arrondissements, des thèmes avaient été choisis pour canaliser les questions des habitants, ainsi, par exemple, dans le 9e avait-on traité de la question scolaire, dans le 17e de la place des jeunes dans notre cité, dans le 5e, de Paris capitale universitaire, ou encore dans le 14e de la solidarité et dans le 3e du logement social. Dans le 10e, en revanche, les questions étaient libres même si le réaménagement de la place de la République a pris beaucoup de temps au détriment de questions plus pointues comme le flux automobile dans la rue d’Hauteville qui reste très encombrée, aux dires des auteurs du blog Quartier Hauteville Saint-Denis

    Dans le 18e, même liberté pour poser vos questions. Il faut dire que la salle est relativement acquise au Maire de Paris et que les fauteurs de troubles comme on a pu en connaître dans certaines réunions ne seront pas majoritaires.

    Le document de synthèse de ces comptes rendus de mandat 2010 est feuilletable en plein écran sur le site de la Mairie de Paris grâce à Calaméo ici