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Rechercher : conseils de quartier

  • Vernissage chez les sculpteures Ange et Dam

    C'est toujours un plaisir de pousser la porte du petit atelier de la rue Labat (18e) des sculptrices Ange et Dam. Elles participeront comme chaque année aux Portes ouvertes d'Anvers aux Abbesses du 17 au 19 novembre. Mais si vous voulez découvrir les Recyclettes en avant première, le vernissage aura lieu le jeudi 16 novembre à partir de 18h avec la traditionnelle soupe indienne au 50, rue Labat.

    paris 18e, Paris, D'anvers aux Abbesses, art, portes-ouvertes

    Pour retrouver les informations sur les Portes ouvertes d'Anvers aux Abbesses, cliquez ici.

  • Budget participatif dans le 10e

    Les projets du Budget participatif 2017 sont en ligne, consultez-les !

    Nous allons y regarder de près et notamment, dans quelques jours, vous présenter  ceux du 18e où deux projets, soutenus par notre association, ont retenu l'attention de la commission de l'arrondissement.

    Aujourd'hui un regard sur les propositions faites dans le 10e...

    Cette année 25 projets, dont 8 en quartier populaire sont soumis au vote des parisiens, l’enveloppe du 10e arrondissement est de : 3 360 000 euros dont 1 436 000 euros pour les quartiers populaires. 

    N'oubliez pas : rendez-vous en septembre pour le vote !

    Comme nous, vous ne trouverez pas parmi ces 25 projets un cas spécifique à notre quartier. Le plus proche serait le projet n°10 dans la rubrique Culture et Patrimoine : il suggère une rénovation des belles grilles qui entourent l'église Saint Vincent de Paul et des réverbères éclairant le square Cavaillé-Coll. Toujours dans ce même square, l'association AJAM a proposé d'installer des équipements sportifs destinés à tout public, c'est le projet n°23 dans la rubrique Sports. 

    Pas de projet donc dans l'extrême nord de l'arrondissement, du côté de Barbès. Il est vrai que nous-mêmes n'avons pas coopéré lors de cette édition du budget participatif. La précédente (2015) ne nous avait pas été favorable, nos projets n'ayant pas passé la barre des commissions d'arrondissement et le projet de "promenade urbaine entre Barbès et Stalingrad", comme la restructuration à venir de l'hôpital Lariboisière, semblaient faire de l'ombre à toute autre transformation sur ce territoire. Pour mémoire, nous avions proposé une fresque sur l'enceinte nord de Lariboisière. Les autres projets relevaient du 18e. Parmi ces nombreuses soumissions, seul le projet de mieux éclairer le viaduc du métro aérien avait été retenu (voir ci-dessous), puis validé par les habitants. D'après nos dernières informations, il sera porté en partie par la RATP, qui abondera également le budget et étendra la proposition au-delà de ce que nous proposions.

    Votre projet a été retenu...; mettre en valeur le viaduc.jpg

     

  • Retour en photos sur la fête du 8 juillet à La Chapelle

    L'aventure de la Promenade Urbaine continue, qu'elle soit une line, civic ou pas, une ligne, de métro c'est sûr, c'est même sa caractéristique la plus évidente, ou une promenade bien française, il va falloir retrousser les manches pour en faire quelque chose de beau, festif, vivant, attractif pour tous, pas seulement pour les habitants de la Place, surtout si l'on veut que l'endroit retrouve le charme qu'il a perdu au cours des dernières années. 

    L'équipe des co-constructeurs, co-concepteurs, regroupés dans le collectif de l'Atelier d'architecture autogérée et chargée par la Mairie de Paris de mettre en marche le projet, a organisé une fête le samedi 8 juillet et depuis le week end dernier des photos de l'événement sont en ligne sur la page FaceBook du Civic Line.

    C'est l'occasion de connaître un peu mieux tous ceux qui proposent des activités ou des projets d'occupation de l'espace public innovants. Ils étaient là le 8 juillet. Et vous ? Peut-être pas.... alors regardons ensemble ce qu'ils proposaient. 

    Le Collectif4c a animé une disco-soupe à partir d’invendus. Ces habitants de la Goutte d’Or portent le projet d’ouverture d’un lieu constitué d’un café associatif et culturel et d’une cuisine de quartier. Grâce à leur triporteur, ils déplacent leur cuisine dans l’espace public lors des événements du quartier !

    place de la chapelle

    L'Institut des Cultures d'Islam est venu donner la recette du raz-el-hanout à tous ceux qui en rêvaient. Les odeurs de ce mélange nous ont fait voyager, on a pu découvrir les épices et échanger les recettes mais aussi plein d'autres choses !

    Institut des cutures d'Islam .jpg

    Pour le bonheur des petits (et des grands), l'asso Etudes et Chantiers Ile-de-France a ramené son vélo-blender  (à tous ceux qui restent un peu dubitatifs sur ce terme, cliquez donc ici !) et on peut dire que ça a pédalé dur ! Leur atelier d’autoréparation de vélo a aussi eu un franc succès ! Dans le même genre, regardez ce que fait Solicycle qui oeuvre déjà dans Paris. En ce qui  concerne les cycles, nous sommes néanmoins très attristés par la placette Caplat-Charbonnière, un peu plus loin vers Barbès, où se concentrent les ventes de vélos volés, les essais se passent dans la rue Guy Patin... Ce sont bien évidemment des objets de recel, qui n'ont pas besoin de réparation car ils sont majoritairement en très bon état. Nous comptons plus que jamais sur la présence policière. Tâche difficile toutefois, car il faut savoir que le cycle non immatriculé est réputé être la propriété de celui qui l'enfourche, ou le détient, à preuve du contraire...  Un argument solide pour préférer rouler avec des vélos un peu moins rutilants et réparés par les ateliers solidaires, donc.

    Le blender nous parait plus gadget.... et surtout peu adapté à de petits appartements parisiens. Restons réalistes. Les robots ménagers ont encore de beaux jours devant eux.

    Etude et Chantier Ile de France.jpg

    Retour vers des temps anciens avec le Crieur des rues, un petit côté garde champêtre de nos anciennes vacances à la campagne. Une façon de donner la parole aux habitants d'un quartier, en notant leurs demandes, ou même leurs revendications, dans le but de les crier sur la place publique... A l'heure de l'internet à tous les étages, nous nous posons la question de l'utilité, mais tout ce qui peut recréer des liens entre les habitants peut avoir du sens. Donc pas de jugement trop rapide. C'était Ségolène Thuillart, Lecrieurpublic du 18e qui donnait la parole aux citoyens sous la forme d’un portrait chinois. 

    Vergers urbains.jpg

    Les Vergers Urbains ont proposé une initiation aux « bombes à graines » parfaites pour commencer à planter la promenade urbaine : on lance la bombe à un endroit adéquate, on attend et cela pousse tout seul ! Pas sûr que ça marche à tous les coups sur le bitume de la promenade urbaine ! Dans des bacs ou des jardinières alors ? Les bacs, à nouveau, sont l'occasion de déposer des tas de cochonneries. Nous sommes très réservés sur l'implantation de bacs qui seraient confiés aux bons soins des habitants. A suivre, à discuter...

    la débrouille cie .jpg

    Auprès de la mairie de Paris, nous n'avons pas eu de succès avec notre demande de convertir la déchetterie en recyclerie, ou en ressourcerie, une de ces versions d'ateliers qui permettent de donner une seconde vie à des outils, des matériaux ou équipements usagés ou ayant perdu leur attrait tel quel. Le réemploi n’a pas de secrets pour La Débrouille Compagnie qui, ce samedi 8 juillet, a proposé un atelier de création d’objets décoratifs à partir de matériaux recyclés. Peut-être est-ce un atelier équipé d'outils utilisables sur place par les habitants qui serait le bienvenu, et pas seulement l'art et la manière de créer des objets décoratifs. L'utile est souvent prioritaire sur le décoratif.... Encore un sujet de débat. 

    Les associations du collectif étaient nombreuses sur place, et dans le square de Jessaint, accessible pour l'occasion. D'autres photos sont en ligne, n'hésitez pas à regarder et à cliquer sur les liens proposés qui vous en diront plus sur la personnalité des co-constructeurs. C'est là. 

  • Voitures, non , mais autocars, oui ???

    " Plan vélo, piétonisation, restrictions des voies… les travaux entamés pour chasser les automobilistes rendent la ville impraticable."  C'était le gros titre d'un article du Figaro le week end dernier. De la part du Figaro, on ne peut s'étonner que le parti des automobilistes soit bien défendu, et que les décisions de la Maire de Paris soient, disons... pourfendues. 

    Le Figaro, ce jour-là, entérinait avec amertume la décision du préfet de police de Paris, Michel Delpuech, de valider la fermeture définitive des voies sur berge, une décision de la maire de Paris pour promouvoir les circulations douces, d'une part, et lutter contre la pollution, de l'autre, dans la continuité du Plan Climat de Paris. 

     
     

    On connaît assez bien les arguments des lobbyistes de la route, de la voiture et de la droite. "On n'a pas le droit d'entraver la liberté des automobilistes de se rendre sur leur lieu de travail avec leur véhicule". Et, circulez, il n'y a rien à voir ! Mais peut-être bien que les temps changent et qu'on entend un peu plus la voix de tous ceux qui souhaitent respirer librement, sans dommage pour leurs poumons, y compris dans les villes. Or, cela devient de plus en plus compliqué. Il n'est qu'à observer les alertes de Air Parif' et les nombreuses journées de stationnement gratuit dans nos rues parce que les limites maximales fixées sont dépassées par la pollution. Quant à demander gentiment sur le boulevard périphérique que chacun réduise sa vitesse pour moins polluer.... voeu pieu.  

    Alors, oui aux décisions d'Anne Hidalgo de réduire la circulation automobile dans notre ville.

    Cela fait plus de 15 ans qu'on réduit, qu'on aménage... Souvenez-vous de l'introduction des axes civilisés ! Certains riverains près des entrées de la capitale ont vu, avec terreur d'abord, le passage à une seule voie, puis se sont habitués. Des exemples ? l'Avenue Jean-Jaurès à l'Est, à partir de la Porte de Pantin, avec quelques bizarreries en cours de route comme les bus, un coup au milieu, puis un coup à droite... A côté, l'avenue Corentin Cariou a maintenu ses deux voies étroites à partir de la porte de la Villette mais c'est bien parce que l'avenue de Flandres, en poursuivant vers le centre, est plus large que large ! On ne parlera pas de la rue d'Aubervilliers, qui affiche toujours complet avant de passer sous le pont de la Petite ceinture... Réduite ou pas, la voie est bloquée. Au Nord, porte de Clignancourt, le boulevard d'Ornano affiche aussi une seule voie de circulation... officiellement, car la voie de droite est en principe réservée aux bus, mais sans séparateur, on reste là encore dans le voeu pieu, en attendant des aménagements plus efficaces. On y reviendra. Idem pour la porte de La Chapelle et l'avenue de La Chapelle, qui est au coeur de nos débats dans le cadre de la "promenade urbaine de Barbès à Stalingrad". Vous comprenez que nous sommes POUR la réduction de la place de la voiture dans Paris ? 

    "Pour" mais critique aussi. Tout ne va pas dans le bon sens. Nous n'avons parlé ci-dessus que des grandes voies d'entrée dans Paris par le Nord-Est et le Nord. Celles que nous connaissons le mieux, celles qui apportent la majorité des flux automobiles dans notre quartier. Pour autant, d'autres voies très larges existent, n'ont pas subi de réduction de circulation, et continuent à alimenter allègrement la densité automobile intra muros...  Les maires d'arrondissement qui règnent sur l'avenue de la Grande Armée ou l'avenue Foch n'ont pas collaboré avec le même enthousiasme (mais ce n'est que supposition de notre part..) à la réduction des voies de circulation sous l'ère Delanoë. Or ces flots de voitures viennent s'agglutiner sans limite à l'encombrement parisien, quand on pourrait fort bien privilégier les transports en commun et les pistes cyclables dans ces quartiers aussi.

    Ce n'est pas le seul souci. La critique du Fig' n'est pas sans fondement. On a voulu rendre plus "vivable", moins pollué le centre de Paris, les arrondissements centraux, pas seulement pour les "bobos" comme le suggère le journaliste, mais aussi pour le tourisme, le patrimoine, le rendre plus accessible, le valoriser dans un environnement apaisé. Très bien. Mais depuis plus de 15 ans, on ferme — ou l'on réduit — petit à petit la circulation des quartiers du centre sans réduire en amont. Alors, oui, ça s'entasse aux portes des zones bénéficiant des aménagements décidés par la mairie. Est-ce bien raisonnable ? La politique de la Ville n'a pas su améliorer de façon sensible le réseau de transport en commun, entre ses banlieues et la capitale, pas plus que la Région entre les banlieues entre elles, si bien qu'elle hésite à filtrer les flux entrants.... Le risque est grand d'être clouée au piloris pour excès de protectionnisme parisien. 

    Ajoutez à ces encombrements déjà difficilement supportables les cars de tourisme — dont le nombre avait diminué un temps à la suite des attentats — qui déversent leurs passagers (environ 12 millions par an) sur les sites les plus attractifs de la capitale puis tournent ensuite au ralenti pour économiser la taxe de stationnement (130€/j.), ou bien se garent sur des espaces miraculeusement trouvés ça et là, comme par exemple les ponts au-dessus des réseaux ferrés. En voici une illustration ci-dessous qui se passe de commentaire. Que fait la mairie pour en réduire le nombre, ou pour organiser leur circulation et leur stationnement (450 places autorisées à Paris) sans nuisance pour les habitants ? 

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     Pont Saint-Ange, au-dessus du réseau ferré de la gare du Nord.  

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  • En attendant la mer...

    Il parait que c'est le gros départ ce week end... alors, en attendant la mer, on s'amuse un peu. 

     

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    Trop mignons.... 

    Les premiers maillots de bain apparaissent vers 1850, en même temps qu’un intérêt croissant de l’aristocratie pour les bains de mer. D’abord très couvrants et peu adaptés à la nage à cause de leur encombrement et de leur poids une fois imbibés, les costumes de bain se transforment progressivement.

     

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    Au début du 20e siècle, le maillot de bain une pièce fait son apparition. Les progrès de l’industrie textile permettent de recourir aux matières élastiques qui adhèrent mieux au corps et facilitent les mouvements dans l’eau. C'est l'apparition des "3L" (Lycra ou élasthanne, Lurex et Latex). L’instauration des congés payés en 1936 démocratise l’accès à la plage et favorise la multiplication des maillots de bain, qui se raccourcissent et changent de forme.  

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    Le bikini, lui, fait son apparition en 1946 et doit son nom à un atoll du Pacifique, où avaient lieu des essais nucléaires. L’un de ses slogans était « première bombe an-atomique ». Puis....

     

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    ... en 1962, James Bond rencontra Ursula Andress.... un sacré coup de pouce pour les ventes de bikini.

    {L'idée de ce court historique du maillot de bain est venue de la saison, bien sûr, mais les compléments sont à rechercher sur le site d'un "certain regard". Allez-y, surfez en 1-pièce, 2-pièces ou moins...}

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    Bonnes vacances à tous !

  • AirBnB, gros business, petits impôts.... la Ville pas contente !

    Nous vous recommandons un article paru dans Le Parisien ces jours-ci, au cas où vous l'auriez manqué.

    C'est là ! dans le Parisien du 11 août. 

    Il nous concerne quasiment tous, car qui n'a pas croisé, un jour ou l'autre, sous le porche de son immeuble ou dans un couloir devant la batterie des boites aux lettres, un couple un peu hagard cherchant à comprendre quelle était la bonne porte, voire même le bon étage. Cette description est celle des touristes qui louent pour le week end — ou plus — un petit studio sympathique, bien placé, chambre au calme (pour la suite voir le site de AirBnB)... mais bien sûr, contrairement à l'hôtel de l'Europe ou Central, ledit studio ne dispose pas d'une enseigne qui le rend bien visible et plus facile à trouver. 

    Ce sont rien moins que 300 plates-formes en ligne qui proposent la location d'hébergements pour touristes, et dans ce nombre, AirBnB se taille la part du lion, puisqu'à elle seule elle totaliserait 60 000 annonces, rien qu'à Paris. On peut comprendre l'énervement de l'adjoint parisien au logement qui depuis 2014 bataille pour créer de nouveaux logements sociaux, parfois de haute lutte contre des riverains peu enclins à les accepter dans leur environnement protégé (voir les manoeuvres de M Goasguen dans son 16e), quand il constate la mise à l'écart de milliers de logements qui non seulement sortent du parc des logements loués à l'année, via un bail locatif classique, mais aussi renchérissent le niveau des loyers parisiens. En effet, il est devenu plus rentable de louer à la semaine ou au week end, à des touristes qui sont heureux de trouver à se loger moins cher qu'à l'hôtel. Moins de services, bien sûr, mais on se débrouille. 

    Certaines activités hôtelières ainsi cachées ont fait l'objet de redressements assez cuisants ! Pas de panique non plus, si vous louez de façon temporaire votre appartement à des touristes, vous ne tomberez pas sous le coup de la loi immédiatement : on vous laisse 120 jours pour le faire.  

    Nous serons attentifs dès l'automne et observerons les résultats de cette nouvelle politique, que nous attendons depuis plusieurs années.

     

     

  • Fête et animations sur le canal Saint Martin demain

    Voilà une idée pour se détendre dimanche après-midi avec (ou sans) les enfants avant la rentrée des classes. La Maison du Canal proposera jeux, musique et bien d'autres animations. La météo annonce un temps mitigé mais elle peut se tromper...

     

    Paris, paris 10e, canal saint martin, la maison du canal

     

     

  • Un nouveau commerce rue du faubourg Poissonnière

    Un petit lieu de restauration vient d'ouvrir ses portes au 169, rue du faubourg Poissonnière. La boutique était auparavant d'une toute autre nature puisqu'il s'agissait d'une entreprise de pompes funèbres. Utile également mais moins attirante ! Nous avons rencontré ... et testé.

    paris, paris 9e, commerce-de-proximité

    Si la boutique, ouverte début septembre, s'appelle "epiceriz", c'est parce que vous pourrez trouver tous les jours différents risottos; l'enseigne extérieure très ancienne a été conservée. La responsable du lieu tient à ce que tous les produits vendus proviennent d'artisans de France et d'ailleurs, pour la plupart bio. Chaque jour, on peut y acheter des plats préparés pour un prix raisonnable. La boutique est ouverte 7 jours sur 7 de 8h à 20h30 en semaine et à partir de 10h30 le week-end.

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    N'hésitez pas à à jeter un oeil sur le site web et à pousser la porte de ce nouveau commerce de proximité, l'accueil y est sympathique.

  • Propreté : revoir la com' ?

    Voici une courte vidéo — 1'58" — qui nous vient de la ville de Lille et qui ne manque pas d'humour. Au-delà de l'augmentation du montant des amendes infligées aux contrevenants, pour être efficace, ne faudrait-il pas changer de braquet au niveau de la communication de la ville ?

     

     

  • La nouvelle manifestation culturelle du 10e ”Dix en Scène”, c'est parti !

    Peut-être connaissiez-vous les "Mercredix de l'art", qui depuis 2005 rythmaient chaque dernier mercredi du mois à 20h et qui permettaient de découvrir une discipline artistique (lecture, poésie, musique, théâtre, performance, danse) avec la performance d'un artiste ou d'une compagnie ou la programme d'un lieu du 10e.

    Cette manifestation sera désormais remplacée par "Dix en Scène" qui aura lieu tous les derniers mercredis de chaque mois de 14h à 22h, à partir du mercredi 27 mai, et sera décliné sur un des 6 thèmes artistiques : musiques, cinémas, danses, arts plastiques, arts du spectacle et littératures.    

    Dix-en-Scène, 

    L'inauguration officielle de cette manifestation aura lieu à 19h30 ce prochain mercredi 6 mai, et sera précédée par une scène ouverte aux collégiens du 10e de 14h à 18h, puis la projection du film-documentaire "Les gens du Monde" d'Yves Jeuland. Un concert de Jazz du Sylvestre Planchais Quartet achèvera la soirée en beauté.  

    Dix-en-Scène,

    Cliquez sur l'image pour télécharger le programme et le carton d'invitation

     

    Vous pouvez suivre l'actualité de Dix en Scène sur sa page Facebook ou via son compte Twitter @DIXenSCENE.

    Rendez-vous donc le 6 mai 2015 !

     

  • Dix en Scène : appel aux collégiens musiciens du 10e jouant dans un groupe !

    Nous avons évoqué hier la nouvelle manifestation culturelle du 10e : Dix en Scène (voir notre article de présentation).

    Pour la journée d'inauguration qui aura lieu ce prochain mercredi 6 mai, une scène ouverte de 14h à 18h permettra aux collégiens du 10e, musiciens et jouant dans un groupe, d'exprimer leur talent dans la salle des fêtes de la mairie du 10e. La mairie du 10e mettra à leur disposition une batterie et un régisseur.

    N'hésitez pas à faire circuler autour de vous cette information : l'inscription et la participation sont gratuites. L'inscription se fait simplement par email :

    dixenscene@paris.fr

    dix-en-scène,scène-ouverte

    Le meilleur groupe de musiciens collégiens (déterminé par un vote à l'applaudimètre) se produira en concert à 20h15, après l'inauguration officielle de Dix en Scène à 19h30 et avant le concert de Jazz de clôture !

     

  • 1er mai : bon repos !

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