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Rechercher : opération Barbès Respire

  • Conseil de quartier Lariboisière : on va parler de l'espace public

    Mardi 15 novembre à 19h, premier conseil de quartier Lariboisière-Saint Vincent-de-Paul après l'été. On va parler des nouveautés dans l'espace public avec trois thèmes principaux.

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    Tout d'abord, pour la Promenade urbaine de Barbès à Stalingrad, l'équipe d'animation a invité l'agence d'architecture autogéré (AAA) qui est chargée d'amorcer la concertation et qui propose des réunions, des animations place de la Chapelle pour faire émerger des propositions.

    Autre thème qui ne manquera pas de susciter les questions des habitants, la Brigade des incivilités tant attendue. Plusieurs responsables de la Direction de la prévention, de la sécurité et de la protection (DPSP) seront présents.

    La fermeture du bureau de poste de la rue de Dunkerque située à l'angle de la rue du faubourg Saint-Denis sera évoquée. Il semble bien que la Poste ait décidé de réduire la voilure, d'autres bureaux font l'objet de fermetures annoncées à Paris.

  • Cocobohème vous invite demain à une inauguration

    ..... celle de sa nouvelle boutique atelier

    jeudi 27 octobre à 19 heures

    au 38 rue Myrha

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    Il est recommandé d'annoncer votre participation à contact@cocoboheme.com 

  • Trois jours de vente solidaire au Secours Populaire

    Les fêtes approchent doucement et si vous voulez contribuer à aider le Secours Populaire, vous pourrez sans doute trouver votre bonheur pendant les trois jours de vente qui sont proposés par l'association ce mois-ci.

    Vendredi 18 de 15h à 19h; samedi 19 de 10h à 18h30; dimanche 20 de 11h à 17h.

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    C'est au 57, rue des Vinaigriers dans le 10e.

     

  • La SNCF travaille sous la rue d'Alsace

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    Le mur SNCF supportant la rue d'Alsace va être rénové. La structure de l'ouvrage sera renforcée depuis la rue d'Alsace afin d'assurer la fiabilité et la pérennité des infrastructures en lien avec la création du futur hôtel du projet "Balcon vert". (voir notre article du 6 juillet)

     

    Notez bien que pendant toute la durée des travaux :

    • La rue d’Alsace sera fermée à la circulation routière entre la rue de Dunkerque et la rue des deux gares et le stationnement sera interdit sur cette zone.
    • La rue des deux gares sera mise en double sens de circulation pour permettre les livraisons des commerces et l’accès aux riverains. Le stationnement sera interdit sur l’ensemble de la rue.
    • La sortie de la rue de Dunkerque se fera en direction de la rue La Fayette

     

    Calendrier des travaux : 

    Travaux depuis la rue d'Alsace : 

    Intervention en journée du lundi au vendredi – 7h00 à 19h00

     

    • Du 14 novembre 2016 au 3 janvier 2017

    Reconstruction de deux voûtes maçonnées en béton armé

     

    • Du 4 janvier au 27 mars 2017

    Travaux d’étanchéité de cinq voûtes

     

    • Du 28 mars au 30 mars 2017

    Remise en état de la chaussée et repli des installations

     

    • Le 31 mars 2017

    Réouverture de la rue d’Alsace à la circulation routière

     

    Pour limiter la durée d’intervention, des travaux de rejointoiement des maçonneries seront entrepris simultanément depuis l’emprise ferroviaire à l’intérieur de l’ouvrage

     

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  • Quartier Clignancourt-Ramey : Point sur la charte de la nuit

    Habituellement, les réunions pour faire le point sur la Charte de la nuit dans le secteur Clignancourt-Ramey réunissent autour de Mario Gonzalez (élu chargé de la médiation à la mairie du 18e) associations, collectifs de riverains et commerçants signataires de la Charte. Après avoir rencontré les gérants de bars, l'élu avait choisi, cette fois, de n'inviter que des riverains.

    Si les habitants invités ont reconnu qu'il y a bien eu quelques améliorations, ils ont ajouté que la charte n'était malheureusement plus respectée. Mario Gonzalez en a convenu en admettant que plusieurs cafés ne jouaient plus le jeu. Depuis l'été, des commerces ont changé de gérants, d'autres ont fait l'objet de sanctions avec demande de fermeture administrative. En bref, on sent une certaine exaspération du côté de la mairie face à quelques professionnels récalcitrants. Les horaires de fermeture de devanture ne sont plus d'actualité chez certains d'entre eux, les tables débordent sur le trottoir. Et comme les moyens de contrôle sont limités, les problèmes perdurent.

    Alors quelles propositions ?

    On pourrait décider de mettre un terme à la charte et revenir à la case départ. C'est à dire une fermeture selon la règle générale à Paris, soit 2 heures du matin (au lieu d'1 heure si l'on respecte la charte locale, ce qui ne semble pas être le cas). Au risque, par ailleurs, que certains cafés ne bénéficient plus d'autorisation de terrasse. Pas forcément la bonne solution.

    Autre possibilité, attendre la mise en place de la brigade de lutte contre les incivilités dans l'arrondissement. En effet, les agents pourront alors verbaliser le manque de civisme de certains clients (on pense aux épanchements d'urine et aux jets de mégots) mais également certains commerçants pour non respect des fermetures de devantures et débordement de terrasses et, sans doute à terme, les nuisances sonores. Et nouveauté importante, la brigade patrouillera une partie de la nuit et les week-end.

    Cela semble presque plus raisonnable, car l'hiver est moins propice aux débordements sonores, les devantures restant fermées. Nous avons toutefois noté que les riverains sont très sensibles à la musique que diffusent les bars; les basses traversent parois et plafonds, que les devantures soient ouvertes ou fermées. Il faudra en tenir compte dans la suite des négociations. 

    Nul doute que ces sujets seront débattus, en décembre, lors du prochain Conseil de la nuit auquel nous participons.

  • Ateliers gratuits au Civic Lab place de la Chapelle

    Installé depuis le mois de septembre place de la Chapelle près du square Louise de Marillac, le Civic Lab qui participe à la préfiguration de la promenade urbaine (PU) entre Barbès et Stalingrad propose des ateliers

    le 2 novembre à 14h00.

    Nous avons eu l'occasion d'utiliser les locaux pour la réunion de notre commission PU du 19 octobre dernier, locaux encore en cours d'installation.

    Vous aurez le choix entre un atelier de récup'créative ou comment créer des objets à partir de matériaux de récupération, un atelier de réparation d'électroménager ou encore un "mini makerspace" pour découvrir la création avec une imprimante 3D.

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  • Les kiosques à Paris

    Voilà 40 ans que la famille Lebcher tient le kiosque à journaux de Barbès au pied des marches du métro. Ce fut d'abord Jean-Michel, le père aujourd'hui retraité, puis maintenant le fils, Samir. Sa modestie dut-elle en souffrir, il est une figure de notre quartier comme le prouve un article paru en septembre dernier dans Le Parisien.

    Cette date anniversaire est pour nous l'occasion de nous intéresser à ces fameux kiosques parisiens, partie intégrante de notre environnement quotidien.

    Les kiosques

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    C'est l'architecte Gabriel Davioud qui dessina les kiosques parisiens en 1857. Tout comme les fontaines Wallace, les colonnes Morris ou les bouches de métro d'Hector Guimard, ces petits édifices sont dans notre quotidien. Ils sont aussi un élément fondamental de notre vie démocratique même si la presse écrite traverse aujourd'hui une crise.

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    Les quelque 400 kiosques parisiens sont gérés par la société MediaKiosk, dont l'actionnaire de référence est la société JC Decaux.  De fait, ces kiosques sont la propriété de la Ville de Paris et MediaKiosk les gère dans le cadre d'une Délégation de Service Public de 15 ans qui vient d'être renouvelée cette année (voir aussi les informations données par MediaKiosk sur le sujet). C'est la Ville qui décide de l'implantation des kiosques, bien sûr en accord avec le délégataire. Ce dernier a la charge de l'entretien des kiosques et se rémunère, entre autre, avec la publicité qui y est affichée.

    paris,kiosques,presse,démocratieLes kiosques actuels ne sont évidemment pas ceux d'origine. Ils ont été remplacés la dernière fois dans les années 70/80, notamment pour certains par ces affreuses structures en verre et alu. Beaucoup de ceux installés dans les années 80 sont en très mauvais état.

    Dans son offre pour la nouvelle DSP, le délégataire retenu, MediaKiosk a proposé le remplacement de 360 kiosques d'ici juin 2019, 49 autres devant être rénovés. La mairie de Paris a décidé donc du changement des kiosques de la capitale.

    Les nouveaux kiosques ont été conçus avec l'aide des kiosquiers eux-mêmes, le but étant de rendre leur travail plus facile, c'est-à-dire rendre les kiosques plus fonctionnels qu'ils ne le sont aujourd'hui. Mais également d'améliorer significativement les conditions de travail du kiosquier. Il s'agit aussi de pouvoir élargir leur offre, ne pas se contenter de vendre de la presse mais de proposer des cartes de téléphone, des petits souvenirs, des boissons ou des cartes postales, par exemple.

    Pour mieux comprendre la procédure et le résultat des appels d'offres, la lecture de l'exposé des motifs lors du débat au Conseil de Paris ne manque pas d'intérêt.

    Voici à quoi ils devraient ressembler :

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    Ce nouvel arrangement n'a pas manqué de générer une polémique, notamment auprès des défenseurs du patrimoine parisien comme le prouve une pétition mise en ligne ou cet article du magasine Challenge.

    Les kiosquiers

    Les kiosquiers sont des travailleurs indépendants. Ils sont rémunérés au pourcentage des ventes de la façon suivante : sur le prix de vente unitaire d'un journal, la répartition est la suivante :

    • 50% pour l'éditeur (Le Monde, L'Express, le Figaro par exemple)
    • 25% pour le kiosquier (à Paris)
    • 10% pour la messagerie
    • 10% pour les distributeurs
    • 5% autres prestataires

    Il s'agit là d'une répartition moyenne pour donner une idée de la place des différents acteurs.

    En coordination avec MediaKiosk, le kiosquier peut demander de vendre certains journaux comme c'est le cas de notre ami Samir qui diffuse des journaux d'Afrique du Nord et du Moyen Orient, la clientèle étant là. Il peut aussi se voir imposer certaines publications comme s'en plaint Samir dans l'article du Parisien mentionné plus haut.

    Il est indiscutable que les kiosquiers rencontrent pas mal de difficultés, à commencer bien sûr par la crise de la presse écrite qui a un lourd impact sur leur rémunération. Pour la quantité de travail fournie, il est clair que le compte n'y est pas. La Mairie de Paris en a pris conscience et a voté ces derniers temps le principe d'une aide aux kiosquiers mais cela ne rend pas l'avenir plus facile.

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  • Salle de conso : un premier point après l'ouverture

    La salle de consommation à moindre risque (SCMR) a donc ouvert ses portes il y a un peu plus de deux semaines maintenant. Il est bien sûr beaucoup trop tôt pour tirer quelque conclusion que ce soit de ce début mais nous pouvons néanmoins apporter quelques informations.

    Dans un entretien qu'elle nous a accordé récemment, la nouvelle directrice de l'hôpital Lariboisière se dit satisfaite de ce démarrage, aucun problème n'étant intervenu depuis l'ouverture. Selon les informations qu'elle nous a données, entre 70 et 110 passages quotidiens ont lieu dans la salle qui peut en accueillir 400 chaque jour. Petit à petit, cette quantité de passages devrait augmenter. Il faut noter que les personnels de différents services de l'hôpital, notamment celui des urgences, ont visité la salle et ont pu échanger avec l'association GAIA qui la gère. La Directrice confirme que tous les processus sont en place entre GAIA et l'hôpital en cas problème.

    Nous vous avons rapporté ce qui s'est dit lors du premier Comité de Voisinage et nous participerons au deuxième qui se tiendra le 21 novembre. A noter que l'hôpital Lariboisière fait également partie de ce comité.

    Depuis l'ouverture de la SCMR, il semble que le ton des articles parus dans la presse ait quelque peu changé. De sceptiques voire hostiles il y a encore quelques mois, les contacts que nous avons eus et ce qui a été écrit ces derniers jours, tout semble indiquer un changement, une vision plus équilibrée des choses. Pour preuve ce reportage fait par la RTBF, la télévision belge, qui nous a sollicités.

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  • Brigade de lutte contre les incivilités : quels changements pour nos arrondissements?

    La Brigade de lutte contre les incivilités, vous en avez forcément entendu parler tant la Ville a communiqué sur le sujet depuis la rentrée. Dire qu'elle est attendue comme le messie serait un peu excessif mais nous savons que les habitants du quartier espèrent qu'elle va inverser la tendance.

    Alors, nous avons voulu en savoir plus et le mieux était de s'adresser directement au responsable de la Direction de la prévention, de la sécurité et de la protection (DPSP - nouvelle entité qui regroupe cette brigade), Matthieu Clouzeau.

    Une nécessaire réorganisation des services

    Comment être plus efficace ? C'est la question que la Ville s'est posée l'an passé. Elle a ainsi décidé de réunir plusieurs services municipaux sous une seule et même direction pour agir contre les incivilités. Tout d'abord, la Direction de la prévention et de la protection (ancienne DPP) auxquels viennent s'ajouter des agents de la Direction de la propreté et de l'environnement (DPE) et de la Direction de espaces verts et de l'environnement (DEVE).

    Les effectifs vont donc passer de 1000 (actuelle DPP) à 1900 agents (tous en uniforme) en regroupant les agents qui avaient déjà un pouvoir de verbalisation. Pour être précis, 700 agents arrivent d'autres services, il y a donc 200 personnes en création nette de postes. A savoir, certains postes sont transformés en inspecteurs de sécurité et à la fin de la mise en place de tout le dispositif, on comptera une augmentation de 47% de ce corps.

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    Des horaires élargis

    Indispensable car on le sait bien, les contrevenants ne font pas de pause ! Il faut donc disposer d'une force de frappe à tout moment. Une unité sera présente le soir, de 16h à minuit et le week-end. Elle passe de 50 à 100.

    Un meilleur maillage du territoire

    On passera de 6 à 10 secteurs avec des changements dans nos 3 arrondissements autour du carrefour Barbès.

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    Ainsi, les 8e, 9e et 10e seront regroupés en une seule circonscription, ce qui nécessite de trouver des locaux plus grands et mieux adaptés. Le nombre d'agents y restera identique mais ils géreront un territoire d'action plus petit. La Ville est sur la piste d'un local mais rien n'est encore définitif et nous ne vous dévoilerons donc pas le lieu. Le 18e, étant donné la superficie de l'arrondissement et les problèmes qu'on y connaît, bénéficiera d'une circonscription tout à lui dédiée (il est avec le 9e pour le moment) et conservera son local actuel à Marcadet. Vous l'avez compris, il faudra patienter encore quelques mois. L'actuelle responsable de la circonscription (Circo'Nord), Coralie Lever-Matraja, restera en place. Elle était présente lors du rendez-vous à l'Hôtel de Ville et nous a déjà invités à lui rendre visite dans ses locaux. 

    Des exemples d'organisation modifiée

    Les agents de la DEVE ont parfois des difficultés à fermer les parcs et jardins lorsqu'ils sont seuls, certains "promeneurs" se montrant peu pressés de quitter les lieux. Ainsi dans les espaces verts, (notamment dans le square Léon et le jardin d'Eole, dans le 18e), des inspecteurs de la sécurité prendront le relais. Autre atout, ils seront prochainement équipés de vélos électriques pour réduire le temps de déplacement. En ce qui concerne la sécurité des points écoles (traversées de rues pour les enfants), la quasi-totalité est assurée par la DPSP.

    Des changements à venir avec la réforme du statut de Paris

    Actuellement, les Agents de surveillance de la Ville de Paris (ASP) sont sous la responsabilité de la préfecture de police mais payés par la Ville de Paris. Le concours d'inspecteur de la sécurité est depuis peu ouvert aux ASP qui souhaitent rejoindre la DPSP, une centaine a déjà franchi le pas. A terme, lorsque cette réforme sera effective — et pour cela, il faudra qu'elle soit votée au parlement, elle est déjà en débat au Sénat ce mois-ci —, les 1600 ASP rejoindront la DPSP pour lutter contre les incivilités, agir sur la circulation de proximité, veiller au respect des zones piétonnes, et verbaliser le stationnement gênant. Voilà un dernier point qui serait intéressant, on pense par exemple au non-respect de la zone piétonne boulevard de Denain ou encore de la dépose-minute rue de Compiègne mais aussi au stationnement sous le viaduc du métro aérien. On s'arrêtera là, la liste serait trop longue... Les agents de la brigade des nuisances sonores actuellement en poste à la Préfecture de police seraient eux aussi invités à rejoindre la Ville. Il faudra attendre avril 2017, sans doute, pour savoir si ces changements se feront. Reste à l'espérer ! Autre réforme possible : la Maire de Paris a récemment communiqué sur le stationnement qu'elle souhaite privatiser. D'autres villes en Europe ont déjà opté pour ce principe. Affaire à suivre donc, et si vous n'avez pas tout compris, Matthieu Clouzeau sera présent au prochain conseil de quartier Lariboisière-Saint Vincent-de-Paul qui aura lieu le 15 novembre, à l'école de la rue de Belzunce.

  • Le temps des Recyclettes est revenu chez Ange et Dam

    Nouvelle exposition chez nos artistes Ange et Dam de la rue Labat avec le vernissage le 18 novembre de 18 à 21h suivi de deux journées Portes Ouvertes samedi et dimanche dans le cadre des ateliers d'artistes d'Anvers aux Abbesses.

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    N'hésitez pas à découvrir ces artistes, l'accueil y est toujours chaleureux.

  • On parlera des bus et de leurs nouveaux itinéraires à la mairie du 9e

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    Nous avons déjà largement évoqué le sujet ici même en louant la qualité de la plateforme de la Mairie de Paris, très interactive, bien faite et que vous avez peut-être longuement explorée. Mais tout le monde n'est pas familier d'Internet et pour les personnes qui souhaiteraient poser des questions à des interlocuteurs en chair et en os, la Mairie du 9e a eu la bonne idée d'organiser une réunion publique sur le sujet. 


    Mercredi 9 novembre 
    à 19h

    Salle du Conseil de la Mairie du 9e 

    L'invitation précise :  

    Le Syndicat des Transports d’Île-de-France, présidé par Valérie Pécresse, a lancé la restructuration du réseau des bus à Paris. L’objectif est de le rendre plus lisible et mieux adapté à la demande, à travers la diminution des lignes en superpositionl’amélioration des correspondances bus-bus, des aménagements permettant de supprimer les points de circulation noirs et d’augmenter la régularité et la capacité des bus.
      
    Pour mémoire le projet est visible via ce lien : http://paris.grand-paris-des-bus.fr  

  • Du papier de soie peint en couleurs

    Dans le faubourg Poissonnière, comme ailleurs, les boutiques changent, de propriétaire, ou de gérant, ou encore de devanture. Ainsi, à l'angle de la rue du Delta et du Faubourg, la supérette qui causait tant de troubles dans le voisinage à cause de ses horaires très nocturnes et ses ventes d'alcool, a fait peau neuve. D'abord elle a été fermée par décision administrative il y a déjà plusieurs mois. Puis, il y a quelques semaines on a découvert un beau matin tous ses murs recouverts de jolies couleurs.

    Angle delta Faubourg PP.jpgCréation de Patrick Pinon et Rafael Gray

    On peut se demander s'il est bien permis de transformer un pied d'immeuble de cette façon sans en informer les habitants, ni même obtenir l'autorisation de la copropriété... Mais, en se rapprochant, on remarque vite que les briques dont est faite la façade sont en vérité recouvertes d'une fine couche de papier de soie peint. 

    Côté rue du Delta, on reconnait les portraits, des habitants du quartier pour certains. Ils avaient été exposés un temps sur les murs du restaurant Le Beaujolais. L'artiste est du quartier lui-aussi ... 

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    Création de Patrick Pinon et Rafael Gray

    Ce petit coup de pinceau, ou ce collage, même un peu sauvage dans sa mise en oeuvre, nous semble le bienvenu. Le local n'est pas en très bon état. La fermeture est intervenue après qu'un début d'incendie a eu lieu dans le sous-sol. Le magasin, outre ses horaires quelque peu excessifs, de 10h à 5h du matin dans un premier temps, raccourcis un peu plus tard, n'était pas une boutique de luxe. Juste un supermarché un peu minable, mettant en avant, bien en vue depuis la rue, ses bouteilles d'alcool accessibles une bonne partie de la nuit. Côté rue du Delta, un comptoir avait été créé également, pour y pratiquer la vente de cartes de téléphone de l'opérateur Lebara, dont les enseignes avaient fleuri un peu partout autour du Carrefour Barbès. Une de plus. 

    Nous ne connaissons pas le sort de ce lieu, s'il est vide, rénové, ou laissé en l'état après le début d'incendie, mais manifestement il est de nouveau à louer. Voir l'affiche au-dessus de la porte.