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vacances

  • Pause automnale

    Le blog marque une petite pause et sera de retour le 2 novembre prochain.

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  • Pause estivale

    Notre blog est en vacances pour l'été, nous nous retrouvons à la rentrée !

     

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    Rue du Delta (9e), juillet 2021

  • Fêtes de fin d'année : relâche

    Le blog prend quelques jours de vacances en cette fin d'année. Nous vous souhaitons de joyeuses fêtes et nous nous retrouvons en 2021.  Soyez prudents et pensez à vous protéger vous et les vôtres !

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  • Fêtes de fin d'année : relâche

    Le blog d'Action se met en vacance le temps des fêtes de fin d'année, nous vous retrouvons avec plaisir en 2020 !

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  • Pause estivale pour le blog

    Comme tous les étés, le blog d'Action Barbès prend congé, reprise du blog le lundi 26 août.

    Nous souhaitons un bel été à toutes et tous.

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  • C'est l'été dans le blog aussi

    C’est l’été !
     
    Les dernières réunions locales et mêmes les réunions de la mairie centrale ont eu lieu avant le 14 juillet, elles deviennent plus rares ensuite. Alors, oui, nous lâchons un peu nos claviers et relâchons même notre attention aussi… Bien sûr, nous garderons un oeil sur la messagerie @gmail.com, sur les messages privés qui arrivent sur notre compte Twitter et sur la page des Amis d’Action Barbès. Les réponses simplement seront souvent plus lentes. 
     
    Plus d’article donc qui relate les derniers événements du quartier. En revanche, vous serez surpris parfois, sans en être prévenus, de trouver un texte sorti de son temps ou de son espace. Il y aura notamment des « révélations » sur les rues de la Goutte d’or…. C’est à découvrir. 
     
    Voilà, on se retrouve à l’automne, et entre temps, nous vous souhaitons un bel été, qu’il soit à Paris, qui ne manque pas de charmes quand les foules délaissent la ville pour la campagne, ou dans votre petit village natal caché au creux du vallon…. (bon, on peut broder un peu, ça change tellement des poubelles qui débordent!)
     
    Bonnes vacances à tous !
    ___________________
     

    bd richard le noir marché et aménagement du terre plein

    Avant de partir, nous ne pouvons nous empêcher d'avoir une petite pensée pour notre promenade urbaine (pour les tweetos regardez à #PromenadeUrbaine) de Barbès à Stalingrad, et aussi à notre marché sous le viaduc... Ne pourrait-il pas inclure une fontaine du genre de celle qui se trouve boulevard Richard Lenoir ? Elle s'inclut parfaitement dans le marché, dont on voit les structures sur la photo ci-dessus. Un peu d'autorité de la part de la Direction de l'Attractivité et de l'Emploi (DAE) et du gestionnaire du marché pour que les abonnés dudit marché respectent la longueur des stands qui leur sont concédés, et pas plus....  Ainsi nous trouverons la place et l'espace de faire une fontaine et un lieu sympathique où prendre un café, tout en faisant nos courses. 

    On en reparle à la rentrée ? 

  • Vacances scolaires parisiennes

    On a beau ne plus avoir d’enfant en âge scolaire, les habitudes ont la peau dure. Demandez donc à votre boucher s’il a le même nombre de clients pendant ces quinze jours de vacances scolaires, et si ses approvisionnements ne s’en ressentent pas… Selon les quartiers de Paris, les différences sont sensibles : ici les Parisiens au pouvoir d’achat plus élevé auront déserté plus nombreux la capitale, là dans des quartiers plus populaires les parents auront recours aux centres aérés, pardon ! aux centres de loisirs de la Ville de Paris. Certains partent dans la famille, d’autres ne partent que le week-end chez Papy et Mamy, déposent les enfants et reviennent.. On n’a pas tous des semaines de vacances à rallonge.

    Ou bien ce sont les Papy et Mamy qui partent avec ou sans petits enfants, car ils en ont gardé l’habitude et savent qu’au printemps, la nature est plus belle, plus fraîche et que partout en France les hôteliers, les restaurateurs, les commerçants sont plus détendus, plus sympathiques… pas encore pris dans la tourmente du tourisme.

    Pour consoler ceux qui regardent peut-être à travers les vitres de leur bureau une certaine grisaille parisienne, voici une photo prise le 13 avril dernier, de la terrasse d’un troquet corse, situé à Oletta, un village sur la route entre Bastia et Saint-Florent. Les glycines étaient en fleurs, les toits en lauzes et au loin la mer en bleu. La Corse, quoi. 

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  • Le bureau est aussi à l'ouest...

    Pour compléter la série cartes postales du bureau, voici quelques photos du Cotentin. Il n'était pas facile la semaine dernière d'y arriver avec les nombreux barrages des agriculteurs dans la région. Ils n'étaient toutefois pas parvenus jusqu'en bord de mer.

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    Port de Barfleur

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    Vue depuis le phare

    cotentin,

    Un peu de calme sur les sentiers douaniers

  • Suite des nouvelles des membres du bureau ^_^

    A la tranquillité du Marais Poitevin, certains préfèrent la chaleur du golfe du Lion, côté Pyrénées. D'autant que la douceur de l'eau de la Méditerranée et la faible pluviométrie ne sont pas les seuls arguments qui peuvent attirer le Parisien en recherche de lieux de villégiature... 

    Regardez ce joli plateau de crustacés, et imaginez le glou-glou délicat d'un petit vin frais de pays, tenez, un Picpoul par exemple. Pas ambitieux, pas cher, mais tellement gouleyant ! 

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    Les huîtres de la Méditerranée tiennent la comparaison avec celles du bassin de Marennes Oléron, pas de problème. Celles-ci ont été achetées à Narbonne, et dégustées tout près pour ne pas risquer qu'elles se réchauffent !! 

    Bonnes vacances à tous ceux qui en prennent, bon courage aux autres. 

  • Des nouvelles d'un membre du bureau ^_^

    Une jolie photo qui a coûté un effort important à notre cher Didier, isolé du reste de l'équipe de la rédaction, dans son Marais poitevin.... Il faisait très chaud, et le déclic pour figer le souvenir de ces deux barques tranquilles sur l'eau verte du Marais a failli l'épuiser... C'est ce qu'il nous écrit ! On n'est pas obligé de le croire non plus. 

    marais-poitevin

     

    Vu le chevalet sous l'arbre, les deux pieds de parasols, nous dirions que notre cher collaborateur était peut-être en train de déjeuner à l'ombre ou de siroter un soda...  Epuisant, en effet. 

  • Le plus grand miroir d'eau du monde?

    Dernière carte postale de l'été 2013... car il faut bien que les derniers retardataires se décident à rentrer : les prochaines vacances n'en seront que meilleures!

    Mais de quel miroir d'eau parle-t-on? Nous ne faisons pas allusion à celui de la nouvelle Place de la République inaugurée à la mi juin (cf. nos deux articles spécifiques du lundi 17 juin et du jeudi 20 juin) mais évoquons aujourd'hui le miroir d'eau de Bordeaux  inauguré 7 ans avant son petit frère parisien, à la mi 2006

    Le site web de la ville de Bordeaux nous le présente en effet comme le plus grand miroir d'eau du monde par sa surface (3450 m²), équivalente à environ 1/3 d'un terrain de foot ou encore 13 terrains de tennis. En comparaison, le miroir d'eau parisien avec ses 270 m² ne représente même pas 1/10 de sa superficie.    

    Faisant face à la Place de la Bourse (autrefois dite "Royale", construite par Jacques Gabriel entre 1729 et 1733), ce miroir d'eau se situe sur les quais de la Garonne dans le périmètre du Port de la Lune désignant l'ensemble urbain et architectural exceptionnel  inscrit depuis 2007 sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

    Son concepteur est le fontainier Jean-Max Llorca, également l'auteur des colonnes d'eau du parc André Citroën à Paris 15e, qui s'est inspiré de la Place Saint Marc de Venise lorsqu'elle est légèrement submergée par l'Aqua Alta en hiver. Le scénographe de l'aménagement des quais, dans lequel s'inscrit le miroir d'eau, est le paysagiste-urbaniste français Michel Corajoud qui a d'ailleurs posté sur son site plusieurs vidéos de ce miroir d'eau.

    Les deux miroirs d'eau, à Bordeaux et Paris, fonctionnent de manière intermittente. Sur les quais de Bordeaux, le miroir d'eau alterne effet-miroir (durant 15 minutes, après le remplissage) et effet-brouillard (avec les brumisateurs en action durant 3 minutes après la vidange du bassin). A Paris, le fonctionnement intermittent alterne jets d'eau et brumisateurs. 

    Lorsque l'eau n'est pas troublée, comme en ce matin de début septembre, le bâti exceptionnel de la Place de la Bourse se reflète alors en prolongement des façades des quais, dont les ordonnancements classiques sont ainsi mis en valeur par l'effet-miroir. 

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    Crédit Photos F.Rémongin

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  • Arbres et écologie urbaine : l'exemple de la lutte biologique en milieu ouvert

    Une autre carte postale estivale de la Gironde: cette fois-ci, le vacancier, expéditeur de cette carte, a quitté les plages de la Côte Atlantique pour rejoindre le chef-lieu de la région, Bordeaux !


    bordeaux,espaces-verts,arbres,jardins,écologie,écocitoyenneté,biodiversité,vacancesEn plein centre-ville historique, classé patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2007, nous avons découvert une expérimentation "écocitoyenne" conduite par la mairie de Bordeaux, via le pôle innovation / qualité / biodiversité de sa direction des Parcs, des Jardins et des Rives (n
    ous remercions Eric Pesme, responsable de ce pôle, pour l'échange que nous avons eu avec lui). 


    Des affichettes sur les troncs de certains arbres informent les passants que la ville de Bordeaux "pratique la lutte biologique en milieu ouvert". Cette expérimentation concerne plusieurs centaines d'arbres dans la ville (∼ 800) : les érables champêtres (Acer Campestre) (que nous avons vu cours du Chapeau Rouge (à ne pas confondre avec notre "Château rouge, moins arboré...), le long du Grand Théâtre de Bordeaux), mais surtout et principalement les tilleuls de Crimée (Tilia x euchlora) très sensibles aux insecteurs nuisibles (comme ceux implantés sur les 350 mètres du cours Barbey).

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    "Lutte biologique en milieu ouvert" : quésako?

    Tout simplement, l'utilisation des éléments constituant habituellement l'écosystème naturel, et en particulier l'ensemble des êtres vivants qui le composent et interagissent dans leur milieu. C'est cette interaction qui permet le maintien et le développement de la vie: l'écosystème est une unité complexe dynamique, naturellement équilibrée.

    Concrètement, sur l'arbre, face au développement trop prononcé de ravageurs (dans notre cas : les insectes nuisibles comme les pucerons et les cochenilles), on va éventuellement (ré-) introduire un insecte prédateur appelé "organisme auxiliaire" prédateur (dans notre cas : les chrysopes et les coccinelles) qui sert alors à la protection du végétal, mais surtout offrir à cet insecte prédateur des zones-refuge (e.g. un habitat ou un abri, et dans notre cas : un sac en toile de jute). L'objectif est de procéder à un rééquilibrage écologique.

    En résumé, en lieu et place des méthodes chimiques (pesticides ou herbicides) de lutte contre les insectes ravageurs ou les plantes indésirables, on utilise des organismes naturels antagonistes. C'est d'une certaine façon un jardinage écologique: on bannit la protection chimique en la remplaçant par la protection biologique.

    Nous ne rentrons pas plus en détail dans cette méthode de lutte, mais vous pouvez consulter la littérature sur la lutte biologique, sujet passionnant et complexe... En outre,  le recours à la lutte biologique est variable dans le temps et dépend de plusieurs facteurs qui influent sur la prolifération des pucerons et autres insectes ravageurs (cf. pluviométrie, températures etc.). La manière dont les arbres sont implantés doit également être prise en compte : ainsi un arbre planté isolément sera-t-il plus vulnérable que des arbres plantés ensemble dans des grandes fosses plantées où les différentes strates de végétation (qui peuvent agir comme un petit écosystème auto-régulateur) permettent de pérenniser les auxiliaires biologiques à travers les saisons. Aussi la période pour le lâcher des auxiliaires prédateurs doit-elle être étudiée et adaptée; et ce lâcher n'est d'ailleurs pas systématique.

    A Bordeaux, cette utilisation de la lutte biologique a commencé en 2006-2007. La ville n'utilise donc plus de pesticides dans les espaces verts publics depuis 2009.

    Les affichettes posées sur certains troncs expliquent de façon didactique et plus en détail l'objet de cette expérimentation dans l'espace urbain et public de Bordeaux.

    Première affichette :

    "Ces arbres sont traités contre les pucerons

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    Les pucerons sont responsables de la sécrétion d'un liquide collant (appelé communément miellat) provenant de la transformation par les pucerons de la sève présente dans les feuilles. Ce miellat, lorsqu'il est abondant, s'écoule de la feuille et tombe au sol, occasionnant des désagréments sur les voitures et autres mobiliers.

    L'objectif est d'essayer d'équilibrer les populations de pucerons par son prédateur naturel : la coccinelle, afin de limiter les nuisances causées par les écoulements.


    Les chrysopes : moyen écologique de traitement

    bordeaux,espaces-verts,arbres,jardins,écologie,écocitoyenneté,biodiversité,vacancesLes chrysopes sont des auxiliaires prédateurs indigènes de notre région, utilisés en lutte biologique contre les pucerons. Une larve est capable de consommer au cours de son développement jusqu'à 400 pucerons. Il peut y avoir 3 à 4 générations par an et chaque femelle peut pondre jusqu'à 400 à 500 oeufs.

    Elles sont mises en place au stade larvaire dans des sacs en toile de jute disposés dans le houppier des tilleuls. Ces derniers servent également d'abris l'hiver."

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    Seconde affichette :

    "Ces arbres sont traités contre la cochenille

    La cochenille, insecte piqueur suceur, provoque par ses piqûres un affaiblissement général de l'arbre se traduisant par le jaunissement et la chute prématurée des feuilles, voire le dessèchement des branches.


    bordeaux,espaces-verts,arbres,jardins,écologie,écocitoyenneté,biodiversité,vacancesLa coccinelle à virgules : moyen écologique de traitement

    La coccinelle à virgules (Exochomus quadripuslatus) se rencontre dans nos milieux naturels (forêts, parcs et jardins...). Cette espèce arboricole se nourrit de pucerons et de cochenilles.



    La ville souhaite expérimenter ce moyen de lutte biologique pour limiter les traitements chimiques susceptibles d'être appliqués."


    Et à Paris, comment maintient-on ou développe-t-on la biodiversité dans les parcs et jardins? Abandonne-t-on les produits chimiques contre les insectes ravageurs? Nous nous demandons donc naturellement si la Direction des Espaces Verts et de l'Environnement (DEVE) de la Mairie de Paris développe de telles actions ? Nous n'en savons rien. Ce sujet fera peut-être l'objet d'un prochain article sur ce blog. Enquête en cours...

    En tout état de cause, les municipalités et les collectivités publiques peuvent échanger leurs bonnes pratiques et leurs retours d'expériences via une association nationale de mutualisation des connaissances et des initiatives : Plante & Cité. Nous supposons donc que la DEVE de Paris participe à leurs divers groupes de travail : nous nous renseignerons...


    L'écologie urbaine affirmée au coeur du nouveau projet urbain

    Faisons une petite parenthèse sur les notions d'écocitoyenneté et d'écologie urbaine sur lesquelles la mairie de Bordeaux communique régulièrement. En développant son nouveau projet urbain à l'horizon 2030, la ville affirme ses engagements en matière de développement durable et cherche à favoriser les initiatives citoyennes au niveau des habitants dans leur quotidien ou à l'échelle d'un quartier ou d'un groupe de personnes.

    Cette écologie urbaine doit agir sur les ressources (e.g. énergie), la construction durable, les déchets etc. et comprend à ce titre de nombreux axes, notamment celui de préserver, développer le patrimoine végétal public et privé, et protéger la biodiversité des quartiers. L'objectif est de faire face au défi de l'étalement urbain.

    Dans le cadre de cette préservation du patrimoine végétal, le Jardin Public et le Parc Bordelais ont reçu en 2011 le label de "Jardin Remarquable de France", et 7 arbres de la ville de Bordeaux ont été labelisés "Arbres Remarquables de France".      

     

    La connaissance du public via le développement d'un site web des arbres

    Nous avons découvert un outil numérique que les services de la mairie de Bordeaux (Parcs / Jardins et Rives, les services numériques et la Communication) ont conjointement développé dans le cadre de la Trame verte :

    www.arbres.bordeaux.fr

    Cette application permet de découvrir tout le patrimoine naturel de la ville de Bordeaux constitué par ses arbres. Ce site permet ainsi de visualiser les localisations des arbres, quelque soit leurs emplacements dans l'espace public (dans la rue, les squares, les jardins, les parcs), et d'identifier leurs essences, leurs hauteurs et leurs âges.

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    Son utilisation est facile pour accéder à des infos: il suffit de zoomer, et cliquer sur l'arbre qui nous intéresse. 

    Selon le site, "l'actualisation des données est réalisée en continu, en plus des quelques 26 000 arbres déjà recensés" (y compris les derniers arbres plantés) parmi les 45 000 arbres gérés par les services de la ville de Bordeaux dans l'espace public bordelais.

     

    Et à Paris, un tel inventaire a-t-il été élaboré par la DEVE? Existe-t-il un site participatif permettant de diffuser ces données? Nous avons parcouru le site assez bien renseigné de la Mairie de Paris sur les arbres (cliquez ici) mais les données ne semblent pas si facilement accessibles et utilisables pour le grand public que nous sommes : cf. cartographie via ParisData qui  diffuse toutes les données publiées par la Ville. Leur présentation nous a semblé peu ergonomique, assez absconse, davantage orientée vers un public très averti, voire professionnel.

    Pour le grand public, pour nous permettre de développer au quotidien nos connaissances, par exemple ludiquement lors de nos ballades, la ville de Paris ne pourrait-elle pas placer des étiquettes sur les arbres (au moins les principaux : les platanes, les marronniers etc.) afin de partager avec les piétons quelques informations élémentaires? A suivre aussi...


    En conclusion, cette expérimentation naturelle / écocitoyenne et cet outil numérique accessible à tous sont la preuve que la ville de Bordeaux n'est plus cette "belle endormie" dont on a longtemps parlé.

    Cette "perle d'Aquitaine" a pris conscience de ses joyaux : non plus seulement ses bâtiments, son patrimoine minéral caractérisé par l'architecture du XVIIIe siècle, mais aussi désormais son patrimoine naturel (sa flore et ses rives). La ville de Bordeaux cherche désormais par divers moyens à préserver et mettre en valeur son environnement pour rendre son espace urbain plus agréable à vivre.