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Rechercher : réunion sur le projet balcon vert

  • Réunion publique au Louxor sur le projet de promenade urbaine

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    Cinéma Le Louxor

    170 bd de Magenta Paris 10e

    En présence de : 

    Christophe Najdovski, Adjoint à la Maire de Paris chargé des Transports, de la voirie, des déplacements et de l’espace public

    Rémi Féraud, Maire du 10e

    Eric Lejoindre, Maire du 18e

    François Dagnaud, Maire du 19e

    Nous avons reçu l'invitation officielle dont nous vous parlions récemment. L'organisation d'un atelier pour enfants dans une des salles du cinéma est bien confirmée, donc n'hésitez pas à venir samedi, dès 9h45, l'heure d'ouverture des portes du Louxor, pour trouver une bonne place... ! Il est vrai qu'il est prévu dans le cadre de la concertation, d'offrir aux participants des ateliers sur des thèmes différents, et qu'il est judicieux de pouvoir échanger en toute tranquillité. 

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    Pour mémoire, nous vous rappelons que la préfiguration et la co-construction de ce projet a été confié au Collectif Civic Line, qui se présente ainsi sur sa page FaceBook, avec l'ensemble des collaborateurs co-contractants : 
     
    Le collectif CivicLine a été sélectionné par la Ville de Paris pour concevoir et réaliser les futurs aménagements de la Promenade Barbès - Chapelle – Stalingrad ensemble avec les habitants de ces quartiers.

    C'est une équipe pluridisciplinaire qui comprend des architectes, des paysagistes, des constructeurs, des écoles d'architecture, des associations locales et d'autres partenaires: AAA, AIR architectes, Atelier Georges, Halage, APPUI, REFER, REI, OREGON, Public Works, Raumlabor, Michael Silly, Actes et Cites, Yes We Camp, Etamine, Maître Cube, Alexandre Guilly, Doina Petrescu, Etudes Chantiers, Rurban, Gazibo, Espace Canopy, ICI!, ENSA La Villette, ENSA Belleville, MIT, 6B, La Paillasse, Graine de jardin, Vergers Urbains, Les Alchimistes, Le marché sur l’eau, Resto Passerelle, SOS Alterna, Debrouille Compagnie, La Bricolette et Recyclab. 
  • Réunion publique : Quels projets financés par les bailleurs sociaux ?

    Demain mardi 19 mars, la mairie du 18e organise une réunion afin d’échanger sur les projets financés par bailleurs sociaux au titre de la Politique de la ville.

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    Cette rencontre, en présence de Maya Akkari, adjointe au Maire du 18e arrondissement en charge de la Politique de la ville, et  de Mario Gonzalez, adjoint au Maire du 18e arrondissement en charge des relations entre les locataires et les bailleurs, et également des bailleurs sociaux, permettra de discuter du choix des actions en faveur du lien social et de l’amélioration du service rendu aux locataires des bailleurs, dans le cadre de la convention signée par la Ville, la Préfecture et les bailleurs sociaux.

    Concrètement, cela peut se traduire, par exemple, par des travaux d'amélioration des parties communes des immeubles, de leur interface avec la rue, ou encore de végétalisation. Une partie du quartier de la Goutte d'Or est concernée, comme en témoigne la carte ci-dessous. En plus de la présentation des actions engagées en 2018, le contenu de ces échanges permettra de compléter la programmation 2019 et d’envisager les premières pistes de programmation pour 2020.

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    C'est où ?

    Mairie du 18e, 1 place Jules Joffrin

    C'est quand ?

    Mardi 19 mars 2019, à 18h30

  • Réunion publique pour la conception du projet des Fermiers généreux

    Ce vendredi 4 octobre, une réunion publique pour la conception du projet des Fermiers généreux sur la Promenade urbaine (sur le pont de la Chapelle) se tiendra au centre Paris Anim’ La Chapelle. Les habitants, collectifs et associations sont conviés à ce rendez-vous pour envisager ensemble la configuration et les usages de ce futur espace de jardinage partagé.

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    C'est où ?

    Centre Paris Anim’ La Chapelle, 26 boulevard de La Chapelle, Paris 18e

    C'est quand ?

    vendredi 4 octobre 2019, à 18 h 30

  • Du vert près de chez moi !

    Au cours de sa campagne électorale, Anne Hidalgo s'était engagée à créer dans Paris de nouveaux espaces verts, dits "de proximité", à l'horizontale (jardinières, pieds d'arbres, jardins partagées, …) et à la verticale (murs végétalisés).

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    Rue Pajol, 18e (gauche) et place du 8 novembre 1942, 10e (droite)

    Après que le Conseil de Paris a adopté le vœu qui permettra que les Parisiens puissent choisir 200 lieux à végétaliser près de chez eux, c'est un appel à projets qui leur a été soumis (Voir notre précédent article expliquant les modalités de cette initiative: Tout savoir sur "Du Vert près de chez moi"!).

    On ne peut nier que cette initiative a motivé certains habitants, puisque plus de 500 projets ont été reçus pour toute la capitale, dont 106 pour le seul 10e arrondissement… beau score qui n’a pas été confirmé par la réunion publique organisée le 18 septembre par la mairie du 10e et qui a été loin de remplir la salle des Fêtes, préparée pour la foule des grands jours et qui a accueilli moins de quarante personnes. Celles-ci ont pu entendre Rémi Féraud, maire de l'arrondissement, Pénélope Komites et Sylvain Raifaud, paris,10e,espaces-verts,végétalisation,respectivement adjoints à la Maire de Paris et au Maire du 10e, tous deux chargés (entre autres) des espaces verts, Francis Paquot, responsable d’exploitation de la direction des espaces verts et de l’environnement (DEVE) de la Ville de Paris, et Florence Rebrion, chef de division du service d’exploitation des 8, 9, et 10e arrondissements de la DEVE, exprimer avec une belle conviction tout le bien qu’ils pensaient de cette opération et surtout tous les bienfaits que vont en tirer les habitants, en termes de cadre de vie comme de lien social.

    Mais, car il faut bien un "mais" pour tempérer un peu les enthousiasmes naissants ou déjà bien ancrés, des difficultés sont à prévoir : il faut non seulement trouver les lieux, mais aussi en gérer les contraintes, qu’elles soient techniques (sous-sol, voirie) ou d'entretien. En conséquence, bonnes gens, à vos pelles et arrosoirs : les projets retenus en priorité seront ceux dont les porteurs ont prévu de prendre en charge l'entretien.

    Pour l'instant, dans le 10e, la plupart des plantations en place sont confiées aux bons soins de la Régie de quartier et de Gilles Roux, l'ardent et efficace promoteur des jardins partagés ; pourront-ils s'investir dans des espaces supplémentaires ?

    Ce n'est pas parce qu'on est peu nombreux qu'on n’a rien à dire : d'aucuns ne se sont pas privés d'évoquer la transformation de certains de ces mini-espaces verts en poubelles, latrines ou pire encore ; et ce n'est pas parce qu'on représente la Ville de Paris qu'on propose des solutions réalistes : suggérer que c'est aux habitants de s'assurer que pots et jardinières ne sont pas maltraités relève de la plus parfaite utopie ! Et puis, il y a toujours des "ratés : on raconte qu'un service de la ville a consciencieusement "désherbé" un pied d'arbre amoureusement végétalisé quelques jours plus tôt par un autre service !

    paris,10e,espaces-verts,végétalisation,Comme, dans le 10e, l'imagination est au pouvoir, on ne peut que se réjouir de quelques propositions originales — dont la faisabilité reste cependant à étudier : des espaces réservés aux plantes potagères ou aromatiques, des jardins dans les écoles, avec un potager, et l'excellente nouvelle d'une proposition de bacs rue d’Alsace, entièrement pris en charge par les commerçants de la rue.

    Mais que penser de la forme donnée à cet appel à projets ? Son vecteur principal et presque exclusif, l'application DansMaRue a régulièrement cafouillé, par exemple en mêlant allègrement propositions de végétalisation et réclamations en tous genres, tandis que les Smartphones et autres outils mobiles, "plantaient" au moins une fois sur deux ! Et surtout, il est triste d'avoir oublié (?) que l'application proposée n'est pas vraiment accessible à tous (par exemple aux personnes handicapées visuelles ou cognitives), que tous les Parisiens ne la connaissent pas, et qu'un certain nombre d'entre eux n'ont pas accès à Internet, y compris et surtout parmi les populations qui auraient le plus besoin d'exprimer leurs souhaits en matière d'espaces verts. On a beaucoup insisté sur le lien social que créerait l'engagement des habitants d'un quartier autour de l'entretien courant d'un espace "verdi" par la DEVE, mais il est navrant d'avoir oublié (?) ces cadres privilégiés de l’information et de la concertation que sont les Conseils de Quartier et les autres instances de la démocratie locale. Et puis, certaines associations qui auraient eu leur mot à dire ont été de fait écartées de la concertation, ce qui est tout à fait regrettable.

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    Pieds d'arbres fleuris à Châtillon

    L’appel à projets vient d'arriver à échéance, mais on n'a pas fini d'en parler : après le choix des 200 projets, leur réalisation ne devrait plus tarder, le financement étant en place … il faudra juste tenir compte de la météo et de l’avis des habitants qui ne se sont pas exprimés.

  • Gare du Nord 2024 : mise à jour du projet de rénovation

    gare-du-nord,travaux,projet,2024Lundi 23 novembre 2020. La Ville de Paris, la SNCF, SNCF Gares et Connexions et la SA Gare du Nord 2024 viennent de signer un protocole actant le soutien de la Ville au projet de rénovation et de transformation de la gare du Nord.

    Avant d'en arriver là, nous avons assisté à quelques soubresauts du projet et la belle entente de départ entre la Ville et la SNCF a eu le temps de voler en éclats. Depuis 2014 un projet de reconfiguration était à l'étude pour résoudre les innombrables problèmes de la gare — dont sa saturation reconnue depuis des années. En 2017, Paris est confirmée ville olympique pour 2024. La SNCF lance alors un appel d'offre (juin 2017). Les choses s'accélèrent. Retour sur les dernières étapes.

    Le projet de rénovation et de transformation de la gare confié à une entreprise d'économie mixte, formée de SNCF Gares & Connexions et la foncière du groupe Auchan, Ceetrus, avait été présenté en juillet 2018 et approuvé par la Ville. S'en suivirent bientôt trois vagues de contestation.

    – L'avis des professionnels
    Une tribune dans Le Monde d'un collectif d'architectes et d'urbanistes de renom jeta un pavé dans la mare. Projet inacceptable ! Ils dénoncent la marchandisation d'un espace, vaste espace de quelque vingt mille mètres carrés, au détriment du confort des voyageurs, ils dénoncent l'allongement des parcours circulant au milieu des zones commerciales, ils dénoncent l'implantation d'un centre commercial de plus, voire de trop, au cœur des territoires du Grand Paris. Ils dénoncent le sacrifice de l'héritage architectural. En résumé, un projet signé trop visiblement Auchan...

    – Les doutes des élus
    Après la validation du projet par la Ville le 10 juillet 2018, des doutes s'expriment parmi les élus, trop commercial, densification excessive, programmation surdimensionnés, pas assez de considération pour l'ensemble de la zone d'activité de Paris et sa banlieue... Il faut revoir la copie. La Commission départementale d'aménagement commercial (CDAC) rend un avis défavorable le 27 juin 2019, notamment au regard de l'extension de la zone commerciale de 16 321 mètres carrés, plaçant ainsi le Préfet d'Ile-de-France dans l'impossibilité de signer le permis de construire (demande déposée le 21 mai 2019). Un recours est déposé par Stationord, la nouvelle dénomination du promoteur, auprès de la Commission nationale d'aménagement commercial (CNAC), qui rend un avis favorable à la limite de son temps d'instruction. Finalement le 6 juillet 2020, le Préfet d'Ile-de-France, Michel Cadot, délivre le permis de construire. On peut lire la satisfaction de Stationord sur son site ! Mais la Ville ne s'avoue pas vaincue. Et encore moins convaincue : "La nécessité de moderniser la plus grande gare d’Europe n’est guère discutée, surtout à l’approche des Jeux Olympiques de 2024. Mais le projet à 600 millions d’euros tel qu’il est pensé avec l’arrimage d’un paquebot commercial de plus de 300 m de long à l’est de la gare dans l’un des quartiers les plus denses de la capitale, et sans qu’aucune étude d’intégration n’ait été véritablement menée, ne passe toujours pas". (Le Monde du 17 juin 2020)

    En octobre 2019, des élus de la Ville enfoncent le clou de leur désaccord en publiant une nouvelle tribune, dans laquelle ils demandent "des évolutions significatives, qu’il s’agisse de protection patrimoniale, d’inter-modalité, de hauteur du bâtiment, tandis qu’Ile-de-France Mobilités et la RATP ont réclamé que le stationnement et la circulation des bus soient très nettement améliorés."

    – Les recours déposés par deux collectifs de citoyens venus en renfort
    L'affaire prend une tournure juridique, après la délivrance du permis de construire l'été dernier. La Ville espère toutefois que la force de ses arguments pourra infléchir les grandes lignes du projet avant d'en arriver au contentieux mais elle ne l'écarte pas. Le recours est envoyé le 3 septembre, le Préfet a deux mois pour y répondre. Parmi les arguments mis en avant, la densification du projet. La Ville espère réduire l'extension des surfaces commerciales de 15 000 m2 sur les 60 000 prévus. Elle reproche à l'Enquête publique de s'être limitée au quartier alors que l'impact est bien plus vaste. Ses avocats estiment par ailleurs que le permis de construire incombait à la Ville et non à l'État, comme c'est la règle habituellement (voir notre article de juillet qui l'explique). Même argument avancé par le Collectif des habitants Gare du Nord / La Chapelle dans leur recours gracieux déposé le 25 août. Une autre association, Retrouvons le nord de la Gare du Nord, dépose une requête devant la cour administrative d'appel de Paris, le 23 août, et met en doute l'augmentation prévisionnelle du nombre des passagers de la gare d'ici à 2030, démonstration non satisfaisante, juge-t-elle, mais augmentation qui pour les promoteurs du projet justifie l'extension programmée et lui confère sa qualité d'intérêt général. L'avocat de l'association conclut qu'"en réalité, le seul but de Gares & Connexions est d'augmenter les surfaces commerciales pour valoriser le foncier, ce qui ne suffit pas à déclarer ce projet d'intérêt général dans un quartier qui n'est pas dépourvu de surfaces commerciales." (Le Monde du 7 septembre 2020).

    Les "belligérants" ont finalement déposé leurs armes et conclu un accord, c'est ce fameux protocole signé le 23 novembre dernier. Qu'y trouve-t-on ? La réduction du projet est patente, mais pas autant que souhaitée.

    – les surfaces de commerces et de services ont été réduites de 15 %, soit 7 500 mètres carrés en moins ;
    – La nouvelle aile, dont la construction se situera à l'Est du bâtiment historique sera moins haute d'un étage et demi ;
    – Le jardin suspendu sera agrandi.

    Les aménagements prévus ou à l'étude : les modalités douces de déplacement sont gagnantes :

    – 3000 places de parkings sécurisés pour les vélos et 3 000 places supplémentaires à l'étude sur l'espace public ;
    – les taxis, les VTC et les deux-roues motorisées seront contraints au stationnement en sous sol dans un parking réaménagé ;
    – le parvis sera pacifié et dédié aux modalités douces ;
    – une passerelle qui permettrait d'ouvrir la gare vers le quartier de la Chapelle est envisagée, une étude de faisabilité sera lancée ;

    Le calendrier des travaux :

    – engagement d'améliorer les circulations entre la gare de surface et la gare souterraine pour les voyageurs du quotidien d'ici à 2022
    – reconfiguration du terminal Transmanche pour la Coupe du Monde de rugby en septembre 2023
    – terminal des départs terminé pour juin 2024

    Par ailleurs la Ville de Paris s'engage à un suivi des chantiers qui intègre le point de vue des riverains.

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  • Réunion loin de chez nous...

    « Les habitants parlent aux habitants » : une forme intéressante,
    puisque la présentation est faite par une association  à l'invitation de deux Conseils de Quartier.

    La communication avait été bien faite par l'association ASA Paris Nord Est 18, car la salle de l'école de la rue Maurice Genevoix était pleine, les chaises ne suffisaient pas, ce mercredi 31 mars.

    L’ordre du jour précisait
    « à la rencontre des habitants sur Chapelle International …. »

    En effet, ASA PNE 18 souhaitait que cette première présentation se fasse hors de la présence des experts (architecte ou autres) pour que les habitants se saisissent du projet et enrichissent la réflexion sans influences externes.

    Comme il est d’usage dans le 18e arrondissement, les deux élus référents, Pascal Julien et Frédérique Pigeon, ont mené les débats puisqu’ils sont présidents, de fait, des deux conseils de quartier, à l'initiative de la réunion. Très rapidement, c’est Olivier Ansart, président d'ASA PNE, crayon laser en renfort, qui a pris la réunion en main et présenté le projet, très grand projet, tant en surface qu’en ambition : 200 hectares sont à aménager entre la porte d’Aubervilliers et la porte de La Chapelle, empiétant au passage sur les deux communes voisines, Aubervilliers et Saint Denis.

     

    PHOTOS projet ensemble- réunion 31 mars ASA PNE Chapelle International jpg.jpg

    La présentation s'est articulée en quatre chapitres :

    - Condorcet 2, un campus universi- taire sur 30 ha, réunissant 7 universités et des écoles de prestige, comme l'EHESS, l'EPHE ou l'Ecole des Chartes, ouverture vers 2014-2015, comprendra aussi la requalification de l'échangeur de la porte de La Chapelle,

    - la gare des mines sur 22 ha, avec la couverture du périphérique, et l'implantation de « l'arlésienne », le fameux marché des cinq continents souhaité par Daniel Vaillant depuis des années et toujours à confirmer,
    - le secteur de Chapelle Charbon et des entrepôts du boulevard Ney, sur 23 ha.

    - et enfin, plus en détails, Chapelle international, qui se trouve - disons-le - un peu coincée entre les rails de la gare du Nord et l'axe de la rue de La Chapelle.

    Un détail d'importance n'a pas été annoncé dès le début de la réunion, à tort, nous semble-t-il, mais il faut savoir que ce projet d'urbanisme n'a pas le statut de ZAC, comme l'était le secteur Pajol ; non, c'est un projet d'opération d'aménagement privée (celui de la SNCF à qui le terrain appartient) poursuivant des fins d'intérêt général. C'est la SNCF, à travers sa filaile SNRF, qui, en lien avec la Mairie de Paris, a lancé le concours et choisi le cabinet d'urbanisme, même si des associations et des institutionnels étaient invités à participer à la sélection, en tant que jury. Ici, point d'enquête publique. Sauf, oui, sauf, s'il est décidé de construire deux, voire trois tours de 50 mètres, comme il en est question, car, dans ce cas, le PLU limitant la hauteur du bâti à 37 mètres, il y aurait modification de ce plan local d'urbanisme, voté il y a peu d'années après une période de concertation des habitants,  et donc obligation d'ouvrir une enquête publique avec consultation du dossier en mairie et permanence des commissaires enquêteurs.

    Le président d'ASA Paris Nord Est a donné toutes les informations actuellement disponibles. Pas vraiment impressionné par la récente présentation de l'architecte urbaniste, il a développé les craintes de son association, voire des critiques, quand il observe la part congrue réservée aux espaces verts, à peine 10 % de la surface totale du projet, le manque d'imagination du concepteur pour utiliser de façon performante le toit de la halle longue de  400 mètres,  la faible part consacrée aux équipements publics de proximité, son scepticisme quant au qualificatif de HQE (haute qualité environnementale) de l'ensemble de la réalisation. Un comité de suivi a été mis en place sur Chapelle International  et d'autres seront constitués pour chaque projet. Mais il faudra être vigilant sur la concertation. (F. Pigeon a précisé sur ce point qu'un local de concertation est envisagé...)

    Une «  Gestion urbaine de proximité » se réunira tous les mois pour faire des points réguliers sur ce qui ne va pas. Une façon de ne pas laisser les malaises se cristalliser. Peut-être une initiative de bon augure.

    D'autres voix critiques ou simplement inquiètes se sont élevées dans la salle au cours des débats :

    • Il n'y a pas de pilote dans l'avion ! Il faut que les habitants puissent s'adresser à un référent et ne pas courir après les services.
    • On ne crée pas un quartier. Où est la place ? Le cœur de ce futur quartier ? Avec une fontaine par exemple...
    • D'autres insistent sur l'importance de réfléchir à la place des commerces de proximité, des activités, de la place des jeunes, pas seulement des jeunes enfants...
    • Des réserves, voire des doutes,  sur la notion d'éco quartier se sont manifestées, ainsi que des inquiétudes pour l'accessibilité à l'espace public des personnes souffrant d'un handicap ou à mobilité réduite.
    • Quelle place est réservée aux étudiants dans ce quartier ? Alors que le campus est prévu à deux pas.
    • Des habitants s'étonnent de la disparition de la liaison avec la rue des Poissonniers...
    • Et à l'Est, pas de programme ? On ghettoïse, s'insurgent certains.
    • Attention aux 50% de mixité sociale. Il s'agit de grands appartements (80 m²), donc conçus pour des familles. Et pour les logements non sociaux, du parc privé, qui aura les moyens de s'installer ici ? (P. Julien précise qu'on ne connait pas encore la répartition des logements en PLAI, PLU, PLUS, ce sont les degrés d'aide pour chaque type de logement.)
    • D'autres réclament un point d'info visible, par exemple, au rond point de La Chapelle,(et non sous l'échangeur du périphérique que seuls les automobilistes peuvent voir, dans l'embouteillage...)
    • Vigilance sur l'occupation des locaux en rez de chaussée, préconisent beaucoup, échaudés par des locaux qui restent murés pendant des années, faute de preneurs et d'activités pérennes.
    • Certains demandent de prévoir un grand parking souterrain, mais d'autres n'y voient aucun intérêt si celui-ci ne se trouve pas près d'une station de RER.... A débattre.
    PHOTOS - réunion Chapelle International aérienne jpg.JPG

    Les échanges étaient riches, les suggestions fondées. Souvenons-nous, toutefois, que l'interlocuteur, M. Ansart, n'avait pas les réponses à tout, et sur tout, à la place de la SNEF (Société Nationale des Espaces Ferroviaires)...   l'aménageur de la SNCF. Voir le site d'Espaces ferroviaires sur le projet Chapelle International et notamment le plan masse. D'ici fin juin 2010, une réunion publique ouverte à tous sera organisée sous l'égide de la mairie du 18e avec l'aménageur SNEF et l'équipe d'urbaniste/architecte AUC.

    En fin de réunion, Pascal Julien a rappelé les trois points qu'il avait soulevés lors du comité de suivi du 20 janvier dernier.

    • La vue sur Montmartre mise en avant par le cabinet d'architecture... d'accord, mais sur les trois autres côtés des immeubles, que propose-t-on ?  Trois tours de 50 mètres ? Attention requise.
    • L'absence de centre dans le projet. Pas de centre, pas de cœur de quartier...
    • La norme HQE veut tout dire et n'importe quoi. On n'a pas obtenu de réponse claire sur l'énergie.

    Et fondamentalement ce souci : aurons-nous les moyens de vérifier ce qui se fera ? Il faut donc pouvoir consulter le Cahier des Charges avant sa signature.  Par ailleurs, il a suggéré la création d'un jardin partagé.

     

     

  • Parlons des Verts

    La première est la prise en compte des questions dites « environnementales » par les partis politiques traditionnels. Enfin, dans les discours des partis politiques. Du « Grenelle de l’environnement » aux résultats encore incertains promu par le gouvernement aux déclarations du Parti Socialiste sur la nécessité d’un développement durable, on reste dans des déclarations d’intention encore très générales qui ont certes le bénéfice de faire en sorte que l’approche environnementale soit transversale aux problèmes, c'est-à-dire partout, mais avec des résultats encore hypothétiques. Dans ce contexte, Les Verts ont été dépossédés d’un sujet qui leur était jusqu’à maintenant spécifique et n’ont pas su s’adapter à cette nouvelle donne. Disons pour leur défense que, contrairement aux Verts allemands par  exemple, Les Verts français ont néanmoins développer un discours qui n’est pas uniquement écologiste mais aussi social. Cela n’a pas suffit à Paris. Leur perte d’influence signifie-t-elle que les parisiens ont en 2008 un souci écologique inférieur à ce qu’il était en 2001 ? Probablement pas, mais le discours souvent brouillon des Verts, le fait que d’autres parlent d’écologie, la personnalité controversée de certains de ses leaders n’ont pas aidé, sans oublier les déclarations peu sympathiques de leurs « alliés » socialistes, cerise sur le gâteau.

    Les Verts traversent donc, tant à Paris qu’au niveau national d’ailleurs, un problème politique non seulement de positionnement – il n’y a plus de spécificité écologique dans « l’offre » politique - mais aussi de contenu programmatique qui reste assez faible sur beaucoup de points.

    La deuxième raison de la perte d’influence des Verts à Paris touche à la stratégie choisie par Denis Baupin et ses amis pour les élections de mars 2008 et aussi aux relations entretenues avec la Parti Socialiste et Bertrand Delanoë en particulier.

    Vouloir connaître sa véritable influence en comptant ses partisans demeure une approche profondément démocratique, cela n’est pas contestable, mais c’est peu dire qu’elle est à la fois naïve et risquée. C’est celle choisie, reconnaissons le avec courage, par Denis Baupin et ses colistiers. Fiers de leurs résultats à Paris, c'est-à-dire de l’influence qu’ils ont eue sur l’équipe Delanoë entre 2001 et 2008, Les Verts, d’une part, ont minimisé la récupération possible par les socialistes de leurs actions et, d’autre part,  se sont illusionnés sur la capacité des parisiens à clairement discerner ce qui leur était dû, ce dont les Verts étaient directement à l’origine. Les épisodes du PLU, du projet controversé des logements pour infirmiers prévus dans le 16ème et autres qui ont amené Les Verts à se désolidariser des socialistes au sein du Conseil de Paris ont contribué à brouiller l’image. A cela sont venus s’ajouter les péripéties de la campagne – le sinistre épisode de la « fumette » à la Maire du 2ème par exemple – et Les Verts se sont retrouvés dans la nasse sans bien comprendre ce qu’il leur arrivait. Naïveté sympathique mais pas politique pour deux sous.

    Certains dans le camp Delanoë se réjouissent que cet allié « turbulent » soit réduit à des proportions plus raisonnables. Pourtant, il n’est pas contestable que les militants socialistes, eux, soient favorables à cette alliance et l’ont indirectement imposée à Bertrand Delanoë à défaut d’un partenariat avec le MoDem dont ils ne voulaient pas. Avec moins de 10% des voix exprimées, Les Verts ont certes perdu en influence mais ont gagné en représentatité, leur score antérieur apparaissant assez artificiel. On peut le voir comme une leçon de démocratie ou comme un échec.

    On l’a déjà maintes fois répété dans ces colonnes, l’enjeu environnemental est crucial pour notre avenir. Il ne s’agit pas là de dramatiser la chose mais de faire en sorte que chacun prenne conscience que si rien ne change, l’avenir de notre planète deviendra incertain. Et comme nous sommes de ceux qui pensent que la politique joue encore un rôle essentiel, la place d’un parti comme Les Verts ne peut pas laisser indifférent. Analyser les raisons de leur perte d’influence – certains plus sévères parleront d’échec - dans une ville comme Paris devient un passage quasi-obligé.

    Pour Les Verts à Paris, les lendemains d’élection sont moroses. De 17 Conseillers, il n’en reste que 9 ! Ce ne sont pas les quelques postes d’adjoints au Maire avec des délégations non pas mineures mais enfin pas primordiales, à l’exception peut-être de celle touchant le développement durable, qui consolent. Dans le 9ème, plus qu’un seul représentant au Conseil d’arrondissement contre trois entre 2001 et 2008 ! Reflet de leur perte en voix, à Paris en général comme dans notre arrondissement en particulier.

    Les raisons de la perte d’influence des Verts sont de deux natures.

  • Réunion publique sur le projet d'une nouvelle entrée au métro La Chapelle

    Ce mardi 15 octobre, la Mairie du 10e et la Mairie du 18e organisent une réunion publique pour vous présenter la restitution des études menées par la RATP sur le réaménagement de la station de métro La Chapelle.

    Ces études avaient pour but de déterminer les possibilités d'amélioration des accès du métro La Chapelle. En effet, actuellement, les entrées et sorties de cette station entraînent des complications dans la circulation des passagers. Pour rappel : alors qu'il n'existe que deux accès à la station (côté Ouest), la RATP a séparé l'entrée, côté 18e, et la sortie, côté 10e, ajoutant ainsi des problèmes de circulation, déjà très difficile ici, pour les usagers. C'est pourquoi de très nombreux riverains, Action Barbès également, demandent depuis plusieurs années la création d'une ou plusieurs nouvelles ouvertures à l'Est de la station. Cette réunion donnera peut-être un peu d'espoir aux usagers du métro et de la Gare du Nord. Car rappelons aussi que cette station permet un accès direct à la Gare du Nord via un couloir souterrain.

    2019_8_Réunion publique - Métro La Chapelle.jpg

    C'est où ?

    Ecole Louis Blanc, 49 bis rue Louis Blanc, Paris 10e

    C'est quand ?

    Mardi 15 octobre 2019, à 19 h

  • Promenade urbaine : réunion publique de concertation du projet des ”Fermiers Généreux”

    Une réunion publique de concertation du projet des "Fermiers Généreux", se tiendra ce vendredi 5 juillet à 19h, au Centre Paris Anim' La Chapelle.

    En mars 2019, l’association Vergers Urbains, en collaboration avec Pépins Production et Urbanescence, a remporté l’appel à projet Les Pariculteurs pour prendre en charge l'espace dédié sur la promenade urbaine, sur le pont de La Chapelle. Action Barbès avait participé au jury de ce concours, nous avions alors déploré, comme beaucoup, que parmi les répondants il n'y ait eu aucun projet d'agriculture urbaine à proprement parler, c'est à dire une exploitation agricole professionnelle. Pour autant, parmi les candidats en lice, le projet des Fermiers généreux était celui qui nous plaisait le plus et nous lui souhaitons un bel avenir.

    Ce projet se déploiera sur une parcelle de culture de 700m2, avec un atelier bois, une cuisine partagée, une grainothèque et une "bricothèque" ; l'ensemble sera ouvert aux associations, collectifs et habitants du quartier.

    L'objectif de cette réunion est de présenter le projet aux habitants, associations et collectifs du quartier et de recueillir leurs idées et leurs attentes pour que ce lieu devienne "un espace collaboratif et participatif, tourné vers les besoins du quartier". Pour notre part, nous espérons un aménagement qualitatif qui réponde ainsi aux attentes exprimées par la très grande majorité des participants lors de la phase de concertation de la Promenade urbaine.

    La réunion s'organisera en deux temps, une présentation du projet et de l'équipe des Fermiers généreux, puis des ateliers de réflexions et de propositions en tables rondes. La réunion est évidemment ouverte à tous et particulièrement aux riverains du projet. 

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    C'est où ?

    Centre Paris Anim' La Chapelle, 26 boulevard de La Chapelle, Paris 18e

    C'est quand ?

    Vendredi 5 juillet 2019, à 19 h

  • Réunion de présentation du projet de réhabilitation des magasins Tati

    À noter dans vos agendas : Immobel, le groupe qui a emporté le marché pour transformer les anciens magasins Tati, et la Ville de Paris proposent une présentation du projet lors d'une réunion d'information en visioconférence le mardi 18 janvier 2022 à 18 h. Ce sra l'occasion de connaitre plus en détail ce projet qui va transformer le visage de Barbès dans un avenir proche.

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  • Salle de conso : une réunion en mairie

    La mairie du 10e a annoncé la tenue d'une réunion à propos du projet de salle de consommation à moindre risque (SCMR). Ce sera le mardi 12 Avril à 19h30 comme l'indique la lettre adressée par la mairie du 10e aux habitants du quartier.

    Les prises de parole prévues sont le maire du 10e évidemment, la présidente de la Mildeca Danièle Jourdain-Meninger, les adjoints de la Maire de Paris Colombe Brossel (sécurité) et Bernard Jomier (santé), la directrice de Gaia-Paris Elisabeth Avril, sur le contenu du projet et son fonctionnement, le représentant de la Préfecture de police M. Boulanger, la responsable de l'INSERM chargée de la double évaluation, sanitaire et sociale pour les usagers et citoyenne pour les riverains Marie Jauffret-Roustide (voir notre article de juin 2014), la responsable du centre d'addictologie AP-HP de Fernand-Widal Florence Vorspran, pour les liens entre la SCMR et les structures déjà existantes, plus un grand nombre de responsables ou partenaires du projet  tels que l'Agence Régionale de Santé, la Ville de Paris, d'autres arrondissements, ...

    Le principe d'organisation sera comme les réunions précédentes de 2013 : des interventions de tribune, un 1er échange avec la salle, un retour en tribune pour les autres interventions, puis un 2ème échange avec la salle. En essayant de tenir sur deux heures, et d'avoir un équilibre global entre les interventions et les échanges avec la salle.

    La mairie du 10e reconduit donc le schéma de la réunion de 2013 dont on ne peut pas dire qu'elle avait été un succès. Cela est d'autant plus inquiétant que depuis cette date les esprits se sont considérablement échauffés comme en atteste, sur un autre sujet, la lamentable réunion tenue à Dauphine à propos de l'implantation d'un centre pour SDF dans le 16e (voir l'article de Libération sur le sujet).

    Alors, le dialogue est-il encore possible ? Nous avons déjà posé la question ici (voir notre article du 14 février dernier), ce qui nous a valu une volée de bois vert. Pour notre part, nous pensons que les esprits sont bloqués. On parle beaucoup de radicalisation en ce moment, et bien sur ce sujet (la SCMR) comme pour bien d'autres, celle-ci est à l'oeuvre et est mauvaise conseillère. Oui, l'ouverture de la SCMR pose des questions et, sans doute même, des problèmes. Personne ne le nie. Mais les postures adoptées par les opposants au projet, doublées d'une récupération politicienne, font que nous sommes dans une situation de blocage que, probablement, rien ne viendra changer tant que la preuve ne sera pas faite que cette SCMR n'est pas le diable qu'on veut en faire.

     

  • Paris Nord-Est élargi : première réunion sur la mise en place de la concertation

    Le titre aurait pu reprendre l'expression de Paul Simondon, premier adjoint au maire du 10e, pour désigner l'entrée du 10e dans le projet : "la racine du faisceau". Mais nous avons préféré éviter les faisceaux... et évoquer le Nord Est parisien, élargi jusque dans le titre du dossier (Paris Nord Est Elargi) depuis que le bi-pôle des gares est entré dans le projet de réaménagement d'un territoire de 600 hectares, situé au nord-est de Paris et jouxtant de larges zones des communes de la première couronne.

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    C'est la seconde fois que nous participons à une réunion pilotée par Jean-Louis Missika, chargé de l'urbanisme, comme l'était Anne Hidalgo jusqu'en 2014. Chargé de l'urbanisme, l'adjoint est donc en première ligne dans la concertation qui s'organise autour de cet immense dossier. La précédente présentation avait été faite le 2 février 2015 à la mairie du 18e. Nous avions réussi à résumer dans notre article les interventions très riches et la présentation, incluant de nombreux liens pour les plus curieux. 

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    4 juin : Nouvelle réunion, cette fois plus restreinte, avec une cinquantaine d'invités parmi les acteurs locaux, les associations et les conseils de quartier qui participent à la réflexion. Pour nous des visages connus, par exemple celui d'Olivier Ansart, président de ASA PNE dont le site vous donnera tous les détails sur la partie du projet qui traite de Paris (PNE sans le dernier E!).

    Et à la tribune, autour de Jean Louis Missika, le directeur de l'Urbanisme Claude Praliaud, le conseiller délégué à l'architecture et aux grands projets de renouvellement urbain Jacques Baudrier, le premier adjoint du maire du 10e Paul Simondon, la représentante du Comité permanent de concertation (CPC) devenu dans le nouveau jargon Comité d'organisation de la concertation (COC), Mme Michèle Tilmont, dite "garante de la concertation".

    Ce COC là chante clair ! Notamment à la Maison des projets au 40, bd Ney (voir les heures d'ouverture sur le site) où est dispensée également l'information.

    La plateforme interactive qui est un des outils mis en avant par la Mairie de Paris pour améliorer l'information et la concertation avec les citoyens a un peu tardé à démarrer mais elle est désormais en activité. N'hésitez pas à vous inscrire. 

    Nous ne relaterons pas l'ensemble des échanges car la Mairie de Paris s'est engagée à faire un compte rendu de la réunion qu'elle mettra en ligne. Non, simplement nous voulons vous communiquer notre satisfaction de noter que le « balcon vert » de la rue d'Alsace (10e), d'une part, semble intégrer le PNEE, et d'autre part, notre « promenade urbaine » du boulevard de la Chapelle, entre Barbès et Stalingrad, est prise en compte officiellement dans les pages 19 et 25 du document analysé (ici dans son intégralité): voir ci-dessous

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