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Culture - Page 128

  • La Sorbonne c'est aussi porte de Clignancourt

    sorbonne, cligancourt 
    (Photo Barbara Vignaux)

    Au début de l'été, nous avons été quelques uns (plutôt quelques unes) à profiter d'une visite privée du Centre Clignancourt avec pour guide Frédéric Billiet directeur de l’UFR Musique et musicologie et un de nos membres du conseil d'administration responsable culturel. Nous y avons découvert un lieu bien agréable, bien équipé et aussi végétalisé.

    sorbonne, clignancourt

    sorbonne, clignancourt 
    (Photos Barbara Vignaux)

     

    C'est dans cet auditorium aux couleurs vives qu'ont lieu régulièrement des concerts du COSU (chœur et orchestre-Sorbonne Universités).

    sorbonne, clignancourt 
    (Photo Barbara Vignaux)

    Voici un avant-goût de la saison 14-15 intitulée "Musiques § cinéma: rencontres et connivences".

    Premier concert le 25 septembre à 19h30: Poulenc, Brahms, Rheinberger et Lukacic. Ce sera l'occasion de connaitre les autres événements de la saison.

    Attention, l'inscription est nécessaire. C'est ici. et c'est gratuit!

    Et du 3 septembre au 24 octobre, dans le hall du centre, une exposition de photographies de Léo Andrés qui a pris des clichés des musiciens et choristes en pleine activité.

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    Pour vous y rendre : c'est au 2 rue Francis de Croisset – Paris 18e - Métro Porte de Clignancourt. Et pour suivre en continu les activités du COSU : rendez-vous sur Facebook et sur www.culture.paris-sorbonne.fr/cos.

  • Excentric City à la Goutte d'Or

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    Béatrice Coron raconte des histoires en papier découpé. Elle vit aux Etats-Unis, où elle est très connue, ses oeuvres ayant entre autres décoré le métro de New-York. Sa conférence devant le prestigieux auditoire de Ted est devenue "culte" et a été visionnée plus de 800 000 fois sur le Net. Elle a choisi un éditeur français, les Grandes personnes, pour publier son premier livre grand public : Excentric City.

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    Ce livre sera présenté en avant-première Chez les libraires associés, qui consacrent une exposition à Béatrice Coron : Excentricités, du 19 septembre au 15 novembre.

    Vernissage le jeudi 18 à 18h30 en présence de l'artiste, et avec une performance de la compagnie Gazelle.

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  • Chat alors !

    Peut-être vous souvenez-vous de nos articles au cours desquels nous vous faisions part de notre découverte imprévue de M. Chat sur un pignon ou un pan de mur, au hasard, au détour d'une promenade? Ce fut épisodiquement, plusieurs années... en 2010, 2011 puis 2013. Souvenez-vous !

    L'édition du quotidien Le Parisien en date du 27 août dernier nous apprend que la RATP a décidé de poursuivre le graffeur franco-suisse qui se cache derrière notre "M. Chat", Thomas Vuille (37 ans), et ce, pour dégradations dans les couloirs de la station de métro Châtelet.

    Dans notre article du 5 janvier 2013, nous l'avions précisément aperçu, ce désormais fameux chat jaune à la grimace énigmatique mais sympathique, dans le métro, à la station Barbès-Rochechouart, sur un emplacement publicitaire inutilisé ou mis à nu. Ce fut une belle surprise! La photo prise alors, semble corroborer les propos de cet artiste dans Le Parisien: "Je ne suis pas quelqu'un de malveillant, je respecte les gens et les lieux où je peins".

    Le graffeur Thomas Vuille, devenu un artiste urbain incontournable de la scène Street Art, est désormais installé à Saint-Ouen, où il avait accepté d'être filmé dans son atelier (Vidéo via Le Parisien du 16.06.2014). Son personnage, M. Chat, a sa page Facebook "officielle", sur laquelle ses apparitions urbaines sont mentionnées: il revient par ailleurs sur ses ennuis judiciaires avec la RATP. Si le cœur vous en dit, vous pouvez le soutenir dans cette épreuve, soit sur cette page Facebook ou via cette page demandant le retrait de la plainte.       

     

    Nous avons même retrouvé notre M. Chat sur les deux souches de l'immeuble situé au 138 rue La Fayette, dans le 10e, à l'angle avec le boulevard Magenta. Pour l'anecdote, cet immeuble a été récemment totalement ravalé, mais les têtes de cheminée ont été conservées en l'état, arborant fièrement les grimaces de M. Chat.

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    Pour satisfaire votre curiosité, d'autres articles sur ce litige entre M. Chat et la RATP:

    Metronews (29.08.2014): "M. Chat sort les griffes pour défendre son matou"

    Le Parisien (29.08.2014): "Le Maire du 13e défendra M. Chat"

    Metronews (04.09.2014): "Le matou revient avec sa meute"

     

  • Exposition sur la Libération de Paris

    Nous avons relayé à plusieurs reprises les événements - expositions, colloques - autour de la célébration du centenaire de la Première Guerre Mondiale qui ont eu lieu dans le 10e arrondissement. Cette année 2014 est également le 70e anniversaire de la Libération de Paris. Une exposition y est consacrée à l'Hôtel de Ville. Il vous reste encore un peu de temps pour en profiter d'ici le 27 septembre, dernier jour prévu. Les visiteurs sont encore nombreux, beaucoup de touristes, mais pas d'attente pour entrer. Pour les plus jeunes qu'il faut parfois motiver... un jeu avec des questions est disponible à l'entrée.

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    Nombreuses photographies mais aussi documents, journaux, extraits radiophoniques, films d'archives.

    Si vous manquez de temps (ou de courage), vous pouvez visionner de nombreuses photos sur le quotidien des parisiens pendant l'occupation.

     

  • Polémique autour de la Commission du Vieux Paris

    paris,commission du vieux parisAction Barbès place la préservation et la mise en valeur de notre patrimoine dans ses sujets de prédilection. Nous avons approfondi notre connaissance en la matière dans le combat hélas perdu pour la sauvegarde du Louxor en son état originel de 1921.

    Dans la capitale, la Commission du Vieux Paris est au coeur du sujet. Nous vous avons déjà présenté cet organisme en février 2011 à l'occasion de la polémique à propos de l'extension du stade Roland Garros et du mauvais sort réservé aux serres d'Auteuil.

    En plein milieu de l'été, un court article paru dans le Canard Enchaîné annonçant que la maire de Paris avait l'intention de réorganiser la Commission (cf. article du 13 août 2014) et notamment ses champs d'investigation a mis le feu aux poudres ! Dans un article bien renseigné, Libération explique la situation.

    Il est vrai que le feu couvait depuis un moment et que la bataille entre la Ville de Paris, d'une part, et les associations de défense du patrimoine, d'autre part, s'est clairement radicalisée notamment avec les déconvenues judiciaires rencontrées par LVMH pour le projet de La Samaritaine rue de Rivoli ou bien la très vive contestation du projet de modernisation de la poste centrale du Louvre par La Poste sans parler du feuilleton du projet de la fameuse canopée aux Halles pour ne citer que des projets emblématiques. La bataille n'est d'ailleurs pas près de se terminer à en juger par un article très argumenté publié le 2 septembre dernier sur le site de La Tribune de l'Art et intitulé "La Samaritaine : une question architecturale ou de liberté de la presse" que nous vous incitons à lire avec attention malgré la longueur.

    Les associations de défense de Paris n'ont pas manqué de réagir, notamment SOS Paris qui a mis en ligne une pétition.

    Action Barbès s'associe à cette action et vous incite donc à signer cette pétition. Pourquoi ? Si certains avis d'associations de préservation du patrimoine nous paraissent quelques fois excessives, relevant d'un conservatisme pas toujours justifié (par exemple, les arguments des défenseurs du projet LVMH rue de Rivoli sont recevables), il est bon que les velléités des responsables politiques puissent être étudiées et parfois contestées par d'incontestables spécialistes comme ceux qui font partie de la Commission du Vieux Paris.