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  • Les parvis poétiques ont 30 ans

    Festival Permanent des Poésies dans le 18ème arrondissement "Tout un poème !"

    les parvis poétiques

    marc delouze

    présentent
     

    VoiX de fait

    Lectures, chant, danse... et puis à boire et à manger...

    dimanche 17 mars 2013 (16h30-19h) 

    Fondations Boris Vian
    6 bis Cité Véron 75018 Paris (Métro Blanche) 

    Entrée libre

    Les Parvis poétiques - Adresse postale : 7 rue Ernestine 75018 Paris France Tél. 01 42 54 48 70 - parvis@free.fr – www.parvispoetiques.fr

    _/_/_/

    En droit pénal, la voie de fait est une violence quelconque envers une personne ne constituant ni une blessure ni un coup (physiquement). Un acte de désobéissance aux demandes du représentant de la loi peut aussi être considéré comme étant une voie de fait.
    En droit administratif en France, la
    voie de fait est une illégalité manifeste de l'administration commise dans l'accomplissement d'une opération matérielle d'exécution. L'administration porte alors atteinte, de façon grave, au droit de propriété ou à une liberté fondamentale, soit en prenant une décision insusceptible de se rattacher à ses attributions, soit en procédant à l'exécution forcée injustifiée d'une décision, même légale. (réf. Wikipédia)
     

    Parce que la poésie peut – doit ? – être un acte de désobéissance aux demandes des représentants de la loi poétique en cours ;

    parce que la poésie ne peut être qu’une illégalité manifeste commise dans l’accomplissement d’une opération linguistique particulière ;

    et parce que la poésie est d’abord affaire de souffle, donc une œuvre du corps et de la chair en mouvement, depuis Orphée, les aèdes, les derviches, les troubadours...

    pour ces raisons nous faisons appel aux poètes et artistes dont les noms suivent afin de procéder à la présentation de leurs VoiX de fait en présence d’un public qui en jugera en toute liberté. 

    Avec

    Serge Pey
    Daniel Blanchard 
    (« poète latin » - Contre-ténor) 
    Marta Petreu (poète roumaine) 
    Anne-Emmanuelle Fournier
    Katia Bouchoueva (poésie/slam) 
    Céline Lefèvre (danse)

  • Une brève pour rencontrer l'Ecosse ce week end à Montmartre

    paris,écosse,pipes,défilé,montmartre

    Samedi 16 mars à partir de 11 h :
    défile des pipes bands et des confrèries folkloriques du Sacré Coeur à la place des Abbesses

    Dimanche 17 mars de 15 h à 17 h :
    dégustation "Spirit od Scotland" à la Commanderie du Clos Montmartre 

  • Le sable à Paris, le granulat de caoutchouc en banlieue ?

    De quoi s'agit-il ? De la disparition des bacs à sable dans les parcs de certaines communes de banlieue. C'est ce qu'on apprend dans un article du Parisien récent (Le Parisien du 10 mars 2013 Menace sur les bacs à sable

    L'aseptisation avance bon train... Et pourtant on n'a jamais constaté et déploré autant de "gastro" chez les enfants comme chez les adultes. Serait-ce aussi une question d'hygiène ? Il faut se laver les mains souvent... et ne pas se lasser de  le répéter.
     
    Inconvénient des granulats de caoutchouc, toutefois : ils durcissent en saison froide et sont rendus glissants. Quand les enfants tombent, le sol est loin d'être aussi tendre qu'en saison tempérée. Du coup, les parents se plaignent. En conséquence, les mairies ferment les parcs... Vous croyez peut-être qu'il s'agit d'une plaisanterie ? Pas du tout, reportez vous à notre article du 19 décembre 2012 : nous y avions montré l'affiche placardée sur l'entrée du square Alain-Bashung dans le 18e arrondissement de Paris, fermé à cause du froid et.... des sols synthétiques rendus glissants.
     
    L'avantage du froid dans le sable est qu'il tue une partie des parasites et des microbes... Pas les crottes de chien, c'est vrai ! Les propriétaires de chien, éventuellement.
     
    Le Parisien a testé les réactions de quelques parents rencontrés. La majorité d'entre eux restent attachés au bac à sable et ne sont pas angoissés par les risques de contamination. A lire ici.
     

    bac_a_sable.jpg

     

     
  • La neige, les trottoirs glissants..

    L'événement est rare parce que nous sommes à la mi-mars. Pourtant tous les ans, on assiste à des chutes sur les trottoirs parisiens, dès qu'il gèle ou qu'il tombe quelques centimètres de neige. 

    Le Parisien nous signale dans un article d'Eric Le Mitouard que 600 km de chaussée devaient être salés ce matin. La chaussée, c'est bien pour la circulation des automobiles. Mais les piétons, que fait-on des piétons ?

    Nous avons déjà traité le sujet le 14 janvier de cette année en rappelant que chaque immeuble, chaque commerce est responsable de son tronçon de trottoir. Il faut savoir ce que l'on veut ! Soit payer davantage de taxes locales pour des services municipaux qui seraient capables de saler les trottoirs (vu la longueur des trottoirs mis bout à bout, cela paraît quasiment impossible), soit individuellement ou collectivement (quand il s'agit d'une copropriété) se prendre par la main et déblayer son morceau de trottoir ! Les gardiens d'immeuble ou les entreprises chargées de la sortie des poubelles et du nettoyage pourraient fort bien disposer de sacs de sable ou de sel (plutôt de sable) en prévision des épisodes de gel. A quand la raclette à neige en vente dans le supermarché du quartier ? On nous rebat les oreilles avec les exemples nordiques de rigueur budgétaire, pourquoi ne pas les prendre en exemple quand il est aussi facile de le suivre?

    Au lieu de cela, toutes les personnes peu sûres de leur marche sont clouées chez elles, et même les plus agiles ne sont pas à l'abri de mauvaises chutes. Pourquoi cet abandon d'un acte civique et tellement utile à tous ? On peut même vous dire que cela se nomme en Allemagne le Verkehrssicherheitspflicht. Quelque chose comme "l'obligation d'une circulation sûre". Cette obligation n'est pas fédérale mais relève du réglement des communes. Rien ne nous empêche en France de le rappeler de temps en temps, puisque cette obligation existe aussi chez nous et, également, de prendre des mesures plus tard si elle n'est toujours pas respectée.

    Un extrait d'article lu sur un site allemand : Rheinische Post (RP online) pour les germanophiles.

     

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    Schneeräumen ist für viele im Winter Muss, denn Vermieter und Hauseigentümer haben eine so genannte Verkehrssicherheitspflicht.Das bedeutet, dass sie vor ihrer Haustür für begehbare Bürgersteige sorgen müssen. Eine bundesweit einheitliche Regelung für das Schneeschippen gibt es bislang nicht. Die genauen Regelungen findet man in der Ortssatzung der Städte und Gemeinden. 

  • L'ancêtre d'Autolib'

    La voiture électrique n'a pas attendu l'équipe de Delanoë pour trouver des sympathisants. Regardez cette archive de l'Ina datant de 1968, qui se termine par ce commentaire de la voix off : 

    "....ces voitures trop grandes, trop vides, inappropriées au trafic urbain... Pourtant sans trop rêver, on peut espérer que demain la voiture électrique apportera un remède à tout cela (l'enfer urbain de la circulation). Fabriquée à une grande échelle, la voiture électrique pourrait être la seconde voiture idéale, une voiture dont il ne serait pas nécessaire d'être propriétaire. Dans des stations service spécialisées, l'échange se ferait instantanément, sur simple présentation d'une carte d'abonnement.... "

    Étonnant, non ? Cela vous rappelle aussi quelque chose...