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     Et pour cet après midi, le temps de se remettre des libations de nouvel an, nous vous proposons un surf digestif sur le site de paris.fr qui propose une rétrospective des événements parisiens de l'année 2011. Tout n'est pas à prendre au pied de la lettre... Nous lisons par exemple en mars que les longues rencontres entre professionnels, élus, experts, et habitants sur la nouvelle réglementation des terrasses et étalages a conduit à interdire les rideaux en plastique, jugés inesthétiques. Non ? Sans blague ?

    Ne soyons pas trop critiques en ce premier janvier ! 

    Nous vous souhaitons à tous une très bonne année, une excellente santé, des bonheurs individuels et collectifs, vos souhaits les plus délirants exaucés, et plus.... si possible !

  • Pas de feu d'artifice à Paris ce soir....

    Ainsi en a décidé la préfecture de police, pour éviter les débordements et les accidents. Elle a même créé pour ses annonces par voie électronique un panneau d'interdiction on ne peut plus explicite :

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     Elle précise :

    Il est rappelé également que la vente et l’utilisation de tous les artifices de divertissement est strictement interdite pendant la période des fêtes de fin d’année car ils sont susceptibles de troubler gravement l’ordre et la sécurité publics (mouvement de foule, incendies, brûlures, etc.).

    La vente d’artifice de divertissement est sanctionnée par une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros, quant à l’utilisation, elle est, elle, punie d’une amende de 38 euros. S’ajoutent à cela, les conséquences des blessures occasionnées et des dégradations commises pouvant conduire à des poursuites pour mise en danger de la personne d’autrui ou l’établissement d’une procédure pour le délit de trouble à la tranquillité publique.

    Les marchands de pétards et autres objets de divertissement font la grimace. Les deux périodes fastes restent le Nouvel an et le 14 juillet, même si l'interdiction dont on parle dans la presse ces jours-ci n'est pas récente. On pouvait lire dans le Parisien le 30 décembre 2009 déjà ceci : 

    L'article 3 de l'arrêté préfectoral du 20 novembre 2009 est formel : « La cession, à titre onéreux ou non, des artifices de divertissement est interdite du 15 novembre au 4 janvier. »

    L'interdiction ne serait-elle pas totalement respectée ?

  • Pas de comète à Barbès !

    Ne rêvez pas ! La fameuse comète faite d'un gros, mais alors très gros, bloc de glace qui est passée au large du soleil n'est pas visible d'ici. Elle ravit les photographes de l'hémisphère sud, car elle laisse sa spendide trâinée laiteuse impressionner les négatifs.

    voici quelques liens vers des magazines de la presse scientifique qui présentent des photos de la "chose" :

    - dans Sciences et Vie.com du 23 décembre, quelques précisions :

    La comète Lovejoy, qui a croisé le Soleil à seulement 140 000 kilomètres de distance ce 16 décembre 2011,  commence à s’éloigner de notre étoile et, du même coup, à devenir visible depuis la Terre… La « grande comète de 2011 » est désormais bien visible à l’oeil nu, éclatante, juste avant le lever de soleil, dans la constellation du Scorpion. Une vision féérique, qui n’est malheureusement accessible que depuis les tropiques et l’hémisphère sud. Si vous êtes actuellement aux Antilles, à la Réunion, en Polynésie, en Nouvelle Calédonie, en Australie, en Amérique du Sud, en Afrique australe, vous pourrez suivre tous les matins, dans les jours qui viennent ce spectacle rare, exceptionnellement beau : celui d’une grande comète qui s’est brûlée aux feux du Soleil.

    Il est encore difficile de dire aujourd’hui si la comète Lovejoy a réellement survécu à son passage près du soleil : sur les images, c’est son immense chevelure qui est visible, mais son noyau, c’est à dire le bloc de glace et de poussière interplanétaire qui la constituent, n’est pas vraiment apparent. S’est-il désagrégé ces derniers jours ? Nous en saurons bientôt plus, lorsque les grands télescopes des observatoires professionnels pourront enfin être pointés sur cet astre extraordinaire. Actuellement, c’est impossible : la comète est encore trop basse sur l’horizon et trop proche du Soleil.

    Ici pour la photo.

    - dans Le Figaro, le 26 décembre ! ici

    Les premiers calculs faits après cette réapparition miraculeuse montrent que le noyau de la comète devait faire au minimum un kilomètre pour avoir réussi à éviter l'incinération. «On peut aussi imaginer que la comète était peu active, avec peu de glace exposée à la surface et qu'elle était recouverte de beaucoup de matériaux réfractaires, comme des poussières», estime Nicolas Biver, astronome à l'Observatoire de Paris-Meudon. Quelques heures après son passage derrière le Soleil, Lovejoy s'est réactivée, laissant derrière elle une double queue de poussières et de particules chargées, qui sont depuis visibles dans le ciel de l'hémisphère Sud peu de temps avant l'aube.

    ET pour finir, un saut à la Réunion, la veille de Noël, tôt le matin :

    comète-lovejoy;la-réunion

    Photo Luc Perrot, dans la Petite Gazette.

  • Lumières au coeur des nuits les plus longues de l'année

    1973.jpg

     

    la mairie du Xe arrondissement