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Rechercher : opération Barbès Respire

  • Quartier Louis-Blanc Aqueduc : 13e carnaval

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    Le Mexique à l'honneur

    Samedi 19 mars, le rendez-vous est fixé à l'angle des rues Louis Blanc/ Aqueduc dès 9h45 pour ce carnaval organisé pour les enfants des écoles du quartier Louis-Blanc Aqueduc. 

    Parents d'élèves, association CLR 10 (centres d'animation du 10e) avec le soutien de la mairie ont oeuvré pour cette matinée festive.

    Une bonne idée pour emmener ses enfants en espérant une météo clémente.

    Pour en savoir plus, visitez le blog du carnaval

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    Bon carnaval! Et pourvu que le temps soit de la partie comme sur les photos ci-dessous.

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  • Des tables rondes au CQ Goutte d'Or

    Dominique Lamy, président du conseil de quartier Goutte d'Or - Chateau rouge et toute l'équipe d'animation vous invite ce soir à la réunion publique du

    paris,18e,conseil-de-quartier,démocratie-locale,goutte-d'or,chateau-rouge,dominique-lamyConseil de Quartier

    Goutte d'Or - Château rouge

     

    La date : jeudi 24 mars à 19h

    Le lieu   : Ecole 5, rue P. Budin

    ESPACE PUBLIC : VOS PROPOSITIONS

    4 tables rondes pour en débattre

    • améliorer la sécurité  
    • propreté et incivilité
    • commerce : que faire ? 
    • réinventons l'espace public
  • Le Conseil local de santé mentale du 10e se réunit

    Le conseil de santé mentale du 10e arrondissement propose, dans le cadre de la  22e semaine images?q=tbn:ANd9GcTtM4Z4-wNQoxTD6GoiwwCZPwb0yRGnP-Y0HqBMHF0KcQQ6h1SUd'information sur la santé mentale, une table ronde sur « Jeunes, alcool et cannabis » à la mairie du 10e le 16 mars de 18 à 20h. Un sujet d'actualité puisqu'on constate depuis quelques années l'évolution de la consommation d'alcool et de cannabis (quantités, fréquences et façon de consommer).

    Action Barbès avait participé en juin 2009 à la réunion préparatoire de mise en place du Conseil local de santé mentale (CLSM), organisée par Olga Trostiansky, adjointe au Maire de Paris, chargée  notamment de la solidarité et de la lutte contre l'exclusion ainsi que de la santé dans le 10e.

    Rappelons que le CLSM a pour mission de rassembler élus, professionnels de santé, acteurs du domaine social, police, bailleurs sociaux, éducation nationale, représentants des usagers afin de prendre en charge l'accompagnement des personnes malades psychiques dans un partenariat transversal, réunissant ainsi l'ensemble des acteurs de la santé mentale.

    Ce conseil existe également dans d'autres arrondissements, comme le XXe où il s'intégre dans le réseau Paris Nord-Est Ados.

    Table ronde "Jeunes, Alcool et cannabis"

    Date ----------- Le 16/03/2011 de 18:00 à 20:00

    Intervenant ----- Conseil Local de Santé Mentale du 10e

    Lieu ------------ Mairie du 10e, 72 rue du Faubourg Saint Martin

  • Le Zeppelin était bien là à côté de la flèche de Saint-Bernard

     

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    voir notre article de samedi 12 mars

     

  • Faut-il mettre en double sens les Grands Boulevards ?

     Réunion publique le mercredi 30 mars à 19h

    au gymnase Jean Verdier, dans le 10e arrondissement

    En frontière de 4 arrondissements, les boulevards Montmartre, Poissonnière, Bonne Nouvelle, Saint-Denis et Saint-Martin sont en sens unique depuis le 20 août 1951.

    Annoncé pour voir le jour en 2013, à la fin des travaux de la place de la République, le double sens sur les Grands Boulevards pourrait devenir réalité plus tôt. Il semble que l'avis de Jacques Boutault, maire du 2e, ait prévalu. Il déclarait en effet au Parisien, en avril 2010 déjà, qu'il ne fallait pas attendre davantage mais réinstaller le double-sens dès 2011 : « Le projet prévoit une circulation en deux fois deux voies avec la création d'un couloir de bus et d'une piste cyclable. Nous allons supprimer des places de stationnement près de la place de la République pour réduire l'emprise de la voiture. »

    De son côté, le maire du 10e, Rémi Féraud, invite les habitants intéressés par le projet à une réunion publique le 30 mars, à 19h, au Gymnase Jean Verdier, dans le 10e, au motif que la décision a été prise de réhabiliter les Grands Boulevards, réduire la vitesse et la dangerosité de la circulation automobile, et redynamis

  • Démission à l'ICI

    La révolution tunisienne a décidément laissé des traces dans notre quartier, la dernière en date est la démission de Hakim El Karoui de la présidence de l’Institut des cultures d’Islam, installé rue Léon, en attendant la livraison d’un bâtiment rue Stephenson.

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    L'immeuble d'angle sera conservé et flanqué de constructions nouvelles, accueillant l'ICI.

     

    logo_ici.gifNous avons reçu un dossier de presse très complet la semaine dernière appelant à signer une pétition à l’encontre de M. El Karoui, nommé en mai 2010 par le maire de Paris. La révélation par Mediapart de ses notes datées des 12 et 14 janvier (voir dans le dossier de presse) au président Ben Ali, pratiquement à l’heure de sa fuite, sur l’art et la manière de juguler la révolte et d’enrayer le sentiment d’injustice… a jeté une ombre épaisse sur la capacité de l’homme à soutenir le formidable éveil du peuple tunisien à la démocratie et la liberté.

    Malgré un vote en conseil d’administration le 11 mars favorable à son maintien au poste de président de l’ICI, M. El Karoui a préféré rendre son tablier. Selon les propos de Bertrand Delanoë à l’AFP : « Ce choix s'explique par son souci de ne pas laisser les attaques qui l'ont récemment visé porter atteinte à la sérénité indispensable à la conduite de ce projet". "Les polémiques lancées contre Hakim El Karoui sont infondées et scandaleuses. Je lui renouvelle toute mon estime, ma confiance et mon amitié".

    Il n’était peut-être pas nécessaire d’en faire autant, même si notre maire, comme beaucoup d’élus et notables français, ont des attaches affectives avec la terre de Tunisie. Il est des liens qu’il faut parfois savoir dénouer.

  • Le poisson d'avril de Circul'livre

     paris,9e,circul'livre,marché-d-anvers,lecture,gratuit,bénévolesAvec les beaux jours, il était question de reprendre la tenue du stand de Circul'livre sous le kiosque. Finalement les bénévoles qui animent ce prêt bien particulier de livres de toutes sortes ont décidé de rester au coeur du marché, qui les accueille depuis l'automne. Ils ont préféré demeurer là où les chalands passent, l'attrait du marché et le nombre croissant d'habitants sur les lieux témoignant de la bonne santé de l'activité locale autour du square d'Anvers. 

    Les bénévoles vous attendent à partir de 17h - 17h30 sur le marché, pour vous proposer leurs dernières trouvailles : vous prenez un ou plusieurs livres, vous les lisez, puis vous les rapportez ici ou sur un stand d'un autre quartier, ou encore vous le ou les transmettez à un voisin, à un ami... c'est cela la philosophie de Circul'livre ! Le livre circule.

    Rien ne vous empêche de discuter littérature autour du stand. Nous avons des témoignages en ce sens sur des discussions très animées.

  • Ce soir le Choeur François Vercken chante salle Rossini

    fdlm3.jpgUne de nos adhérentes, choriste dans le Choeur François Vercken, nous rappelle qu'il se produit ce soir dans la grande salle Rossini de la mairie du 9e, à 20h30.

    Au programme des chants russes, des negros spirituals, de la musique française, allemande...

    L'entrée est libre, et le concert est toujours suivi d'un moment de convivialité autour de quelques boissons.

    Voir l'affiche.

     

    CONCERT

    Choeur François Vercken

    a capella (40 choristes) sous la direction d' Hélène Courtois

    Vendredi 4 février, salle Rossini, 20 h 30

    Mairie du 9e, 6 rue Drouot, métro : Grands Boulevards. Bus : 85.

     

     

  • Soyons nombreux à dire NON au nourrissage des pigeons

    La lecture des blogs d'autres associations de quartier parfois (et même souvent) donne des idées. Ce matin, c'est le blog du Quartier Hauteville Saint-Denis qui nous incite à renvoyer son message en écho.

    Outre le fait que le rédacteur a pris un temps d'avance en affichant le 25 avril 2011 (!) en haut de son article, il l'intitule "Un nourrissage nuisible pour leur santé". Les raisons données sont justes aussi : concentration des individus en un même endroit, transmission des maladies par hausse de la promiscuité, perturbation du rythme de vie du pigeon par un nourrissage souvent nocturne,etc. Mais nous préférons relater les nuisances induites auprès des habitants et insister sur l'interdiction formelle de procéder à un tel nourrissage. 

    La Ville de Paris qui affiche sur son site un long article sur les oiseaux en général et sur le pigeon en particulier, donne des raisons à leur prolifération rapide à partir du début du 20e siècle : l'absence de prédateur.

    Elle a opté pour une régularisation du développement des populations de pigeons bisets (90 % des pigeons parisiens), autrement dit, par un contrôle des naissances via l'implantation de pigeonniers dans les arrondissements.


    La Ville prend en charge les pigeons…
    envoyé par mairiedeparis. - L'actualité du moment en vidéo.

    Mais est-ce bien efficace ?PHOTOS - pigeons frise.JPG

    On continue de voir certaines personnes vider subrepticement le contenu d'un cabas ou d'une poche plastique dans un angle d'immeubles, ou un recoin de trottoir. L'action dissuasive du pigeonnier ne fonctionne pas bien et le nourrissage continue. D'autres villes ont opté pour des campagnes plus visibles. Par exemple, Carpentras comme le relate l'article de La Provence le 9 octobre dernier : de nombreuses maladies infectieuses sont propagées par les pigeons ; les fientes dégradent le patrimoine architectural ; les pigeonniers contraceptifs coûtent cher en entretien et en fourniture en graines...

    A Paris, ce serait une population d'environ 80 000 pigeons bisets qui volettent autour de nous. Rien d'étrange, si l'on sait qu'un couple vit de 6 à 8 ans, que la période de reproduction est d'environ 8 mois de janvier à fin septembre, que la femelle produit de 5 à 7 nichées, constituées généralement de 2 pigeonneaux...  qui naissent au bout de 18 à 19 jours. Un mois plus tard ils volent comme leurs parents.

    Au-delà de ces considérations ornithologiques, les pigeons sont trop nombreux pour être perçus comme un attrait romantique de notre ville. Il faudrait le faire savoir plus concrètement. Les explications certes complètes, mais infiniment trop confidentielles, du site de la Ville ne touchent pas les personnes qui persistent à les nourrir. Et globalement la menace d'une amende pas davantage, sauf quand elle les frappe directement ou une personne de leur connaissance.

    Un rappel clair et visible de l'interdiction de nourrir les animaux sauvages, ou redevenus tels, augmenterait peut-être les chances de limiter les dégâts qui sont imputés aux pigeons notamment.

     

  • Conseil de quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul hier soir...

    ... la parole est à la Mission Cinéma de la Ville de Paris

     

    PHOTOS - Louxor Bd de La chapelle.JPGLa salle, venue pour entendre parler du projet Louxor et de quelle manière le quartier pourrait contribuer à l’enrichir, piaffait d’impatience, une impatience contenue toutefois, pendant que l’élue référente du conseil, Alexandra Cordebard, répondait aux questions restées en suspend et pertinemment rappelées par Jean-Louis Pierrel, animateur chevronné du conseil de quartier Lariboisière Saint-Vincent-de-Paul.

     

    Le tour de Michel Gomez, délégué général de la Mission cinéma de la Ville, est arrivé : il a su en quelques phrases faire le point sur l’avancée du chantier, dire combien la phase actuelle est complexe, car l’édifice est fragile et les destructions, nécessaires pour rendre la salle exploitable dans le cadre du projet choisi, requièrent toute l’attention de l’entreprise et de l’architecte. Le parti pris était de faire une boîte dans la boîte, il a donc fallu stabiliser les fondations, foncer des micro-pieux, détruire les balcons, etc. Quelques photos projetées sur l’écran donnent une idée de l’ampleur du réaménagement intérieur.

    En ce qui concerne la progression de la rénovation -la transformation du cinéma-, il a été décidé de n’autoriser ni prise de vue, ni tournage, amateur ou professionnel, mais de fixer sur pellicule les mêmes angles à des espaces temps réguliers. Des prises de vues sont également faits par le Forum des images tous les trois mois. Des visites auront encore lieu, très encadrées, par groupe de dix personnes, pour des raisons de sécurité.

    PHOTOS - mosaïques Bd de La chapelle.JPGRevenant aux façades, Michel Gomez annonce par ailleurs l’arrivée prochaine d’une bâche. Bertrand Delanoë a opté pour une bâche sans publicité, éclairée de nuit, avec une image de synthèse représentant le Louxor. C'est-à-dire dans la ligne de l’habillage des palissades qui depuis le début d’année reproduisent les mosaïques des façades. Rappelons qu'elles sont inscrites et protégées au titre du patrimoine.  Michel Gomez précise que les photographies exposées sur ces palissades évolueront au fur et à mesure du chantier, pour en partager la progression avec le quartier. Pour poursuivre dans la communication, le délégué de la Mission cinéma annonce une lettre semestrielle dont le premier numéro devrait arriver en même temps que la bâche : elle donnera des informations sur le chantier, sera un lien avec les associations du quartier, les mairies d’arrondissements, elle livrera tous les secrets du fonctionnement des salles Art et essai… dont Michel Gomez nous dit qu’il a beaucoup évolué depuis les années soixante, n'étant plus limité au soutien de film d'auteur... On ne demande qu’à le croire pour le futur du Louxor.

    Pour terminer sa présentation, et avant de laisser la parole à la salle, Michel Gomez insiste sur le fait qu’aucun exploitant privé n’aurait assumé le coût d’une telle rénovation-transformation… La Mairie de Paris a choisi de consacrer un investissement important tant sur le plan de l’urbanisme, du patrimoine que du cinéma, parce qu’elle pense que le quartier en a besoin. Le cinéma peut contribuer à modifier un environnement, et les nouveaux quartiers sont demandeurs de telles implantations, semble-t-il. La livraison des salles aura lieu au premier trimestre de 2013 : d’ici là, un exploitant aura été désigné par le biais d’une délégation de service public (DSP) fin 2012. C’est la rédaction du cahier des charges de cette DSP qui est en cours et qui, selon les prévisions, passera en conseil de Paris en mai. C’est aussi ce cahier des charges qui préoccupe les associations : quelle est la place réservée au quartier dans la définition de ce qu’on attend de l’exploitant ?

    Certes, c’est bien l’exploitant qui prend les risques et la Ville ne peut pas entrer dans le détail des modalités d’exploitation. Elle ne peut qu’énoncer les orientations qu’elle souhaite. Par exemple, demander à ce que l’éducation à l’image et l’ouverture aux jeunes publics soient présentes, que la programmation réponde aux critères des salles dites Art et essai, que les tarifs soient accessibles à tous en adhérant aux cartes des groupements, etc. Enfin, l’établissement, comme tous les cinémas indépendants de Paris, bénéficiera des subventions attribuées par les différents organismes d’aide au cinéma et aux salles indépendantes.

    Les questions de la salle laisseront peu de sujets dans l’ombre :

    -          N’y aura-t-il vraiment que du cinéma dans le Louxor ?

    -          Les cinéphiles amateurs d’Art et essai ne sont-ils pas vieillissants ?

    -          Que se passera-t-il si la majorité change au conseil de Paris ?

    -          La Mission cinéma aura-t-elle son mot à dire sur le nombre de films, leur choix ?

    -          Des exploitants se sont-ils déjà déclarés intéressés par le Louxor ?

    -          Y aura-t-il une salle de lecture, une médiathèque, une librairie ?

    -          En quoi le Louxor peut-il prendre une dimension structurante pour le quartier, améliorer la vie quotidienne de ses habitants ?

    -          La Ville pourra-t-elle imposer, voudra-t-elle imposer certains dispositifs, comme des salles disponibles pour des activités associatives ?

    -          Comment la ville compte-elle peser sur l’environnement pour qu’il ne nuise pas à la fréquentation de la salle ?

    -          N’y-t-il pas une possibilité de proposer un embellissement de carrefour (implantation d’une œuvre d’art contemporain comme près de la place Clichy) en faisant appel aux artistes du quartier (Villa Garance rue du Faubourg Poissonnière par ex.) en accompagnement à l’ouverture du Louxor ?

    -          Les salles du Louxor verront-elles des cinéphiles mangeurs de pop corn entre deux plans ?

    -          L’exploitant aura-t-il le temps de s’imprégner de la vie du quartier avant de se lancer dans l’aventure, car Barbès présente des caractéristiques propres, disons singulières !

    -          Le projet tient-il compte des normes d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite ?

     

    Michel Gomez a répondu à tout sans esquiver : voici en vrac, les réponses.

    -          En sous sol, une des salles sera équipée d’une régie pour faire du théâtre ou de la musique, des conférences, éventuellement.

    -          L’Art et essai représente une gamme plus large qu’on ne le pense habituellement, et la Mission cinéma dit que les salles Art et essai se portent plutôt bien à Paris.

    -          En cas de changement de majorité municipale en 2014, rien ne se passera pour le Louxor : la DSP a une durée de 7 ans, durée nécessaire pour que l'exploitant puisse récupérer les premières années qui seront probablement déficitaires. Le projet s'inscrit dans la durée.

    -          La MCVP ne va pas infliger des contraintes de programmation à l’exploitant : il prend le risque et il est libre de ses choix dans le cadre du cahier des charges de la DSP.

    -          Le projet attire les exploitants ! les demandes sont nombreuses…

    -          Non, pas de salle de lecture, car, si la salle du rdc est grande, les espaces annexes sont petits. Pas de librairie non plus, car stockage impossible. Il y aura un café d’environ 50 m² et un hall d’entrée plus spacieux qu’à l’origine.

    -          Question conceptuelle de la mission structurante du Louxor ? Un cinéma, c’est un lieu abordable, connu de tous, accessible à tous. Il est au centre d'une circulation de personnes et génère des activités économiques. La ville souhaite recenser toutes les activités culturelles des quartiers proches du carrefour Barbès et inscrire le Louxor parmi elles, en créant des liens.  Elle choisira le meilleur projet pour le quartier et se réjouit que les candidats soient nombreux. Nous, avec elle !

    -          Difficile d’imposer la tenue de réunions associatives, en revanche des activités cinématographiques pilotées par des associations ou en collaboration, oui, pourquoi pas ? C’est avec l’exploitant qu’il faudra s’organiser. Nous pensons à une rétrospective du cinéma noir dans les bas fonds barbésiens…

    -          Propreté, vente à la sauvette et environnement ! Ce n’est pas vraiment la fonction de la MCVP mais elle participe au comité de suivi Barbès, piloté par le Secrétariat général de la Ville. Il se réunira bientôt, à la mi-mars, et les associations savent se faire entendre pour pointer tel ou tel point noir. [En effet, nous nous faisons entendre, mais le résultat n’est pas à la mesure de nos efforts, ni de ceux de la Propreté de Paris. La Préfecture devrait pouvoir mieux faire, la RATP aussi.]

    -          Le Louxor sera un cinéma neuf et toutes les normes d’accessibilité seront bien entendu respectées. Au niveau des normes il répondra également au label HQE de haute qualité environnementale.

    -          Un exploitant made in Barbès, ce serait idéal… La Mission cinéma promet de choisir le meilleur et non pas le moins disant, ou le moins ceci-cela. Elle regardera le parcours, le profil, le projet… avec minutie.

    •   Pour la vente du pop corn en salle… je n’ai pas entendu la réponse, désolée…

     

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    Pour conclure, signalons la remarque pertinente d’Alexandra Cordebard qui a relevé que, tout le monde ici souhaitait que le projet culturel du Louxor sache s’intégrer dans le quartier, qu’il se fonde dans sa spécificité, qu’il réponde à la demande, mais aussi qu’il change le quartier et qu’il lui apporte des améliorations. Sacré défi !

     

  • Mardi prochain : conseil de quartier LARIBOISIERE SAINT VINCENT de PAUL

     

    Mardi 25 janvier 2011

     à l’école élémentaire, 3 rue de Belzunce, de 19 h à 21 h

    Le « nouveau » Louxor : Point sur le projet, comment l’enrichir ?

    avec Michel Gomez, délégué de la Mission cinéma de la Ville de Paris 

    suivi des projets d’investissements (escalier Alsace) et  aménagements 2011.

     

     

    le 25 janvier vous sera offerte la possibilité de dire à la Mission cinéma combien ce lieu a besoin de s’ancrer dans le quartier si l’on veut qu’il vive réellement du et avec le quartier. Nous le répétons sans varier et sans être vraiment compris, que le choix du projet culturel, un cinéma Art et essai, s’il devait rester dans ces limites, ne pourrait à lui-seul attirer suffisamment de spectateurs pour atteindre un équilibre d’exploitation, sans non plus répondre aux besoins du quartier Barbès.

     

    Nous nous retrouverons sur place.

    L'affiche officicelle de la mairie avec le bulletin pour s'inscrire et intégrer l'équipe d'animation ici.

     

  • Place Turgot : dénouement.

    PlanPlaceTurgot.jpgVoilà, la place sans nom (regardez sur un plan de Paris) est devenue place Turgot dans les comptes rendus officiels comme elle l'était déjà dans l'esprit des habitants du quartier. La rénovation est terminée. L'équipe municipale viendra l'inaugurer demain matin à 11h30 et offrir une collation aux habitants, dans le café "Jolis mômes" (ex Le Turgot) rénové une nouvelle fois, pour l'accasion peut-être...  Il n'y aura pas d'attroupements car les écoles du quartier n'accueillent plus les enfants le samedi matin, depuis la dernière réforme du temps scolaire.

    C'était pourtant en pensant aux enfants, très nombreux à traverser cette place située au milieu de plusieurs établissements, que des membres de la commission d'urbanisme du conseil de quartier avaient demandé la création d'une zone de rencontre, là où la rue Condorcet longe la place. Un véto est tombé rapidement : il faudrait inverser le sens de la rue Condorcet (pourquoi donc ?) Il y aurait trop de véhicules automobiles empruntant cette voie, qui double les boulevards de Rochechouard et de Clichy de l'Est vers l'Ouest... Ah? Et alors? Justement ! Les enfants et leurs familles n'ont-ils pas droit à un ralentisseur, quelle que soit sa forme,  qui oblige ce flux de voitures à mesurer sa vitesse ?

    On est bien loin des engagements en faveur d'une ville plus sûre, plus conviviale, et plus respectueuse de ses habitants. Bien loin aussi des encouragements prodigués par les mêmes élus lors de la présentation du code de la rue, par le conseil de quartier en 2007, il y a  bien longtemps ! Code de la rue resté dans les tiroirs de la mairie de Paris. Il n'y a plus de volonté politique de réduire le nombre des véhicules à l'entrée dans Paris, ni de réduire leur vitesse.