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Rechercher : salle de consommation

  • Alcoolisation et sécurité

    Nous avons abordé la question de l'alcoolisation et de la sécurité dans les rues du 10e par un article publié la semaine dernière, la police et les relations publiques. Il serait idiot de croire que les problèmes s'arrêtent aux limites des arrondissements, aussi avons-nous regardé la même question côté 9e.

    Par l'arrêté préfectoral n° 2014-00204 du 10 mars 2014, deux grandes zones où à la fois la vente d'alcool et sa consommation sont interdites ont été délimitées. En voici la carte.

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    Cliquer sur la carte pour l'agrandir

    Bien sûr, l'interdiction de vente et de consommation d'alcool ne concerne pas les établissements ayant les autorisations nécessaires, en clair les bars et les restaurants.

    L'arrêté préfectoral indique que la vente et la consommation d'alcool sont interdites de 16h à 7h dans ces deux zones et précise que "troubles et nuisances sont occasionnés par des personnes consommant de l'alcool", motivant ainsi la décision (télécharger l'arrêté préfectoral). La Préfecture de Police de Paris est d'ailleurs très attentive à la question comme l'indique une page de son site web intitulée " Alcool et alcoolisation massive ".

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    Affiches diffusées par la Préfecture de Police de Paris

    On peut s'interroger sur l'efficacité d'une telle décision quand on regarde certains magasins du Faubourg Montmartre ouverts fort tard dans la soirée, sans parler d'un magasin de la rue de Rochechouart proche de la rue du Delta, en plein périmètre règlementé.

    Mais revenons plus près de Barbès.

    Le carrefour rues du Faubourg Poissonnière et du Delta fait l'objet de toutes les attentions de la mairie et du commissariat de police du 9e. L'endroit serait devenu un point chaud, notamment à cause d'un magasin vendant de l'alcool à cet endroit. Sa fermeture a été  annoncée plusieurs fois mais la mairie du 9e ne confirme pas cette information, la décision devant être prise par la Préfecture de Police. Pour mieux dissuader certains et surveiller le carrefour, l'installation d'une caméra de surveillance a été décidée pour le début de l'année 2015. Cette annonce a été faite lors du conseil d'arrondissement du 9e le 3 novembre dernier. Cette installation fait partie du plan de protection vidéo pour Paris, le fameux plan 1000 caméras (voir ci-dessous). Interrogée sur la question, la mairie du 9e nous a précisé que cela correspondait au "déplacement d'un dispositif prévu par ailleurs et dont la pertinence n'était plus avérée".

    Pour mémoire, rappelons que le plan 1000 caméras à Paris datant de 2008 a permis l'installation de caméras de vidéo-surveillance un peu partout dans la capitale comme le montre la carte ci-après.

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    Cliquer sur la carte pour l'agrandir.

    Voir aussi : Souriez ou ne souriez pas, vous êtes filmés

    La politique générale suivie par la Préfecture de Police de Paris en matière de vidéo-surveillance est décrite sur la page " le plan vidéoprotection pour Paris ".

    A en croire le document "Implantation des caméras par arrondissement" diffusé par la même préfecture, le 9e compterait 51 caméras.

    Reste à savoir si ces caméras dites "de vidéo-protection" mais que nous préférons nommer "de vidéo-surveillance" sont efficaces ? Pour la police, cela ne fait aucun doute. Elles permettent à coup sûr d'élucider pas mal de questions. Mais il nous a semblé comprendre que ces caméras étaient là surtout pour prévenir les dangers qui guettent le public. Et là, c'est beaucoup moins évident. A t-on connu une baisse sensible de la délinquance a Paris depuis l'installation de ces caméras ? Les problèmes de sécurité que nous connaissons à Barbès et aux alentours sont hélas une réponse claire nette et précise à cette question. NON.

  • La gare du nord mise en lumière

    Au Conseil de Paris des 16 et 17 juin, les élus ont voté la "Mise en lumière de la façade de la Gare du Nord".

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    Elise Fajgeles, élue du 10e chargée de la voirie et de l'espace public, avait présenté cette délibération en faveur d'une convention de financement avec la SNCF lors du conseil d'arrondissement du 10e le 10 juin dernier. "Une décision commune SNCF-Ville qui fait écho au vœu des riverains de donner un meilleur sentiment de sécurité aux abords de la gare" avait-elle précisé. Pour un coût d'environ 60 000€ HT à 50/50 pour les deux parties concernées par le projet et en respectant le Plan Climat sur la consommation d'énergie.

    Pour en savoir plus, cliquez ici: délibération

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    Cliquez sur le plan pour agrandir les détails techniques

     

    Voici deux croquis que nous devons à Elise Fajgeles, sans doute trop petits, ici, pour qu'ils soient très lisibles mais ils montrent que le projet est bien avancé et qu'il n'y a plus à attendre que la lumière soit... ! 

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  • Gare à l'alcool au volant, à Paris aussi

     

    Le bilan de l’accidentologie à Paris montre que le nombre des blessés n’est pas vraiment en baisse, malgré la forte augmentation du nombre des usagers de la petite reine au détriment des usagers de la voiture. Comme les piétons, les cyclistes sont plus souvent victimes que les conducteurs de 4 X 4. On le comprend aisément. Ils sont plus fragiles, non protégés par un habitacle.

    Au-delà du nombre de victimes chez les uns et des autres, en baisse ou en hausse, on oublie de prendre en considération la consommation d’alcool ou de produits stupéfiants ou psychotropes, qui, ici comme en zones périurbaines ou rurales, nuit gravement à la conduite. On pourrait penser que la circulation en ville limite la vitesse davantage qu’à la campagne, notamment à la sortie des discothèques. Celle-ci serait donc moins souvent en cause lors des accidents. C’est oublier les effets néfastes de la consommation d’alcool, souvent associée à la vitesse, parmi ceux-ci l’euphorie et la sous-estimation des dangers, la baisse des réflexes et la mauvaise appréciation des distances.

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    Les doses ci-dessus sont des doses pratiquées au café et ont des effets équivalents. Attention, les doses maison sont souvent plus généreuses. Le taux d’alcoolémie autorisé doit être inférieur à 0,5 g/l de sang, soit 0,25 mg/l d’air expiré. On l’estime à 2 verres d’alcool servis dans un café.

    Cette conduite sous l’emprise de l’alcool est sanctionnée de plusieurs manières : par des amendes qui vont de 135 à 100 000 euros, selon la gravité des dommages subis par autrui, par des retraits de points ou de permis, des annulations ou des suspensions de permis plus ou moins longues, l’immobilisation ou la confiscation du véhicule, des peines de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans. Et, ce qu’on oublie de mentionner souvent, la rupture du contrat d’assurance. C’est à dire que les victimes du conducteur en état d’ébriété ou sous l’emprise de stupéfiants seront certes indemnisées, mais l’assureur, après rupture du contrat d’assurance, se retournera contre son ex-client pour lui demander le remboursement des sommes engagées. A méditer.

  • Le Louxor : Bertrand Delanoë interpellé

    L'association Action Barbès, que Paris Neuvième soutient activement, a diffusé hier un communiqué de presse à propos du projet de réhabilitation du cinéma Le Louxor situé au carrefour des 9e, 10e et 18e arrondissements. Ce communiqué fait suite à l'annonce par la Mairie de Paris du choix de l'architecte en charge de mener les travaux. Voici le texte intégral :

     

    Projet Louxor boulevard de Magenta :

    Patrimoine en danger, projet bâclé, débat tronqué !

    Action Barbès – association regroupant des habitants du quartier Barbès Rochechouart (9ème, 10ème et 18ème arrondissements de Paris) – dénonce avec la plus grande fermeté le projet de réhabilitation du cinéma Le Louxor, boulevard de Magenta (10ème), tel qu’il a été approuvé et lancé par la Mairie de Paris.

    Un patrimoine en danger : le cinéma Le Louxor est l’une des dernières, si ce n’est la dernière, salle de cinéma existante à Paris conçue pour le cinéma muet en 1921. Elle constitue un ensemble architectural homogène, témoin encore authentique de l’époque de l’invention du cinéma, en excellent état de conservation contrairement aux apparences, avec son écran de cinéma et sa fosse d’orchestre juste en dessous, sa grande salle avec ses deux balcons, le tout dans un volume proportionné, unique, généreux. La salle vaut aussi par sa riche décoration que les travaux successifs n’ont pas détériorée : « colonnes papyriformes, lotus et papyrus, grille à disque ailé, corniche à gorge et tores, toute la grammaire égyptisante est présente, traitée en mosaïques multicolores » pour citer les propos d’un expert, consulté lors du rachat du bâtiment en 2003.

    Que ce soit donc le bâtiment lui même ou sa décoration, tant extérieure qu’intérieure, le Louxor représente un intérêt patrimonial certain. Or, tel qu’il est présenté aujourd’hui, le projet défendu par la Mairie de Paris et malgré ses déclarations, ne tient pas en compte la rareté de l’édifice. Les 3 salles de cinéma prévues impliquent des travaux lourds touchant à la structure du bâtiment, en détruisent la cohérence. Les travaux d’insonorisation prévus, que l’on aurait pu concevoir autrement, vont porter gravement atteinte au décor et à la volumétrie de la salle.

    En résumé, les travaux induisent une destruction pure et simple d’un bâtiment dont la structure est en très bon état, en construisant coûte que coûte, et à grands frais, trois salles de cinéma conventionnel.

    Sans être conservateur par principe, Action Barbès demande à ce que le projet intègre les  contraintes patrimoniales et adapte la programmation architecturale au bâtiment et non l’inverse.

    Un projet bâclé : confiée dès le rachat du Louxor par la Mairie de Paris à la mission cinéma de la Ville, la conception du projet se borne à mettre en place 3 salles de cinéma – que peut concevoir d’autre la Mission cinéma que du cinéma ? – dont une salle dédiée à la culture méditerranéenne.

    Dans toutes les déclarations de la Mairie de Paris sur le sujet, il avait toujours été question d’une certaine « polyvalence » dans les activités du Louxor réhabilité. Le projet « monolithique » cinéma d’aujourd’hui ne répond pas à ce critère de polyvalence. Action Barbès avait, dès l’origine, demandé à la Mairie de Paris de bien vouloir consacrer une partie du projet, certes minoritaire, pour des activités liées au quartier Barbès, par le biais, par exemple, des associations des arrondissements avoisinants et qui sont demandeurs. Rien de tout cela aujourd’hui.

    Un débat tronqué : la Mairie de Paris s’était engagée, dès le rachat du Louxor, à préparer le nouveau projet en consultant différents partenaires, notamment les habitants du quartier. Ces engagements ont d’ailleurs été réitérés, et avec force, lors de la récente campagne électorale municipale. Or, de consultation publique, point ! C’est ainsi que la Mairie de Paris a tranché seule sur le contenu du projet.

    Action Barbès interpelle donc Bertrand Delanoë, Maire de Paris, pour faire en sorte que le beau projet de réhabilitation du cinéma Le Louxor soit remis sur des rails :

     

    • plus conformes aux demandes des experts soutenus en cela par la population en ce qui concerne le respect du patrimoine
    • plus conformes aux attentes des habitants du quartier Barbès pour ce qui concerne le contenu du projet,
    • plus conformes aux promesses faites par lui-même et ses colistiers en ce qui concerne la concertation.

     

    Action Barbès reste mobilisée pour qu’une réelle concertation soit engagée dans un esprit constructif, faire en sorte que Paris dans son ensemble et le quartier Barbès en particulier profitent au mieux de ce projet.

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  • Le Louxor, c'est l'histoire du cinéma à Paris

    Se contenter d'affirmer que le Louxor est un des derniers témoins de l'histoire du cinéma est une bonne chose, mais regarder en détails la situation actuelle des salles de cinéma anciennes à Paris (construites avant la Seconde Guerre Mondiale) est encore mieux.

    Une liste des établissements établie en 2001 par l'Atelier Parisien d'Urbanisme (APUR) recoupée avec des informations un peu plus récentes comme celles données par le site Ciné-Façades nous donne une idée assez juste de la situation actuelle des salles anciennes à Paris. Vous trouverez cette liste agrémentée de quelques commentaires pour chaque lieu à la fin de cet article. Notez que cette liste ne prétend nullement à l'exhaustivité. Il y aurait eu plus de 2000 cinémas à Paris avant 1940 ! Les salles mentionnées sont celles remarquées par l'APUR et encore en place en 2001.

    Notons déjà que sur les 81 établissements recensés, seulement 7 sont encore en fonction, et encore faut-il y inclure Le Trianon boulevard de Rochechouart qui n'est pas exclusivement un cinéma ou encore La Madeleine qui ne l'est plus depuis longtemps ....

    Au sens strict du mot cinéma, ne restent en activité que Le Rex (2e), Le Champo (5e), La Pagode (7e), Le Majestic (11e) et le Studio 28 (18e) soit 5 salles.

    Si on prend les salles encore existantes au sens large, La Madeleine qui date de 1918 est la plus ancienne, suivie du Studio 28 de 1928, puis du Rex et de La Pagode de 1931. Le Majestic date de 1935 Le Champo de 1938.

    LISTE DES 7 SALLES DE CINEMA LES PLUS ANCIENNES A PARIS

    Par ordre chronologique

    Salle

    Année

    Arrondissement

    Le Louxor

    1920

    10ème

    Studio 28

    1928

    11ème

    La Pagode

    1931

    7ème

    Le Rex

    1931

    2ème

    Le Majectic

    1935

    11ème

    Le Trianon

    1935

    18ème

    Le Champo

    1938

    5ème

    Sept salles seulement donc. On voit très bien à partir de ces informations comment se situe Le Louxor. Construit en 1920/21, il est presque le doyen avec La Madeleine. Il est même le doyen si on considère La Madeleine comme un théâtre, ce qu'il est de fait aujourd'hui, et surtout, si on considère sa structure si particulière, entièrement conçue pour le cinéma, muet à l'époque, rappelons-le. Bien sûr il y a d'autres endroits de cette époque encore existants. Mais nombre de ceux-ci ont été transformés en magasins pour certains - on peut voir, par exemple près du Louxor, l'ancien cinéma Le Delta, boulevard de Rochechouart, ou le Barbès Palace, boulevard Barbès - ou restructurés en profondeur pour laisser place à des multiplexes sans âme comme le Belgrand à Gambetta. Certains ont connu un sort plus heureux comme Le Balzac, mais ils ne sont plus dans leur état d'origine.

    On peut donc affirmer sans risque d'être démenti que Le Louxor est aujourd'hui un des tout derniers représentants encore en place de l'essor du cinéma dans les années 1920, voire peut-être même le dernier. C'est ce trésor patrimonial, n'ayons pas peur des mots, que la Ville de Paris veut restructurer, dit-elle, détruire en fait pour laisser place à une copie.

    Liste de 81 anciens cinémas établie par l'APUR en 2001 à partir d'un recensement de 300 adresses d'établissements anciens ou en activité, croisée avec le site  Ciné-façades .

    Les cinémas de banlieue ne sont pas recensés. Seul est à évoquer le Family Cinéma de Malakoff, construit en 1920 par Emile Vergnes - exact contemporain du Louxor, avec lequel il est publié et auquel il ressemblait beaucoup - et détruit dès 1935.

  • Conseil d'arrondissement

    Un bon point pour la Mairie ! La bonne habitude de mettre en ligne sur son site web l'ordre du jour de la séance à venir semble acquise. Voilà plusieurs fois que cela se fait de manière systématique. Internet est aussi un moyen de pratiquer la Démocratie, dont acte.

     

    Conseil d'arrondissement le lundi 27 mars à 18h30, salle du Conseil rue Drouot. Rappelons que tous les citoyens peuvent y assister. Et ordre du jour de la séance sur le site de la Mairie donc, en cliquant ICI.

  • AUTOLIB' dans le 10e

     Autolib'

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    Elise Fajgelès, Adjointe au maire du 10e, invite les personnes intéressées par cette nouvelle possibilité de se déplacer dans Paris à participer à la réunion d'information qui se tiendra ce mardi 8 novembre  à 19 heures, dans la salle des mariages de la mairie du 10e.

    En présence de représentants de la section territoriale de voirie et du syndicat mixte Autolib. Réunion publique.

    Pour plus d'informations sur le sujet, voir les articles de notre blog ici ou ici.

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  • Conférence publique sur le peintre catalan Pere Créixams

    À l’occasion de l’exposition du peintre catalan Pere Créixams, du 4 mai au 2 juin, au Centre d’étude catalane de l’Université Paris-Sorbonne, la mairie du 18e vous propose une conférence pour découvrir ce peintre oublié de « l’école française ».

    19 mai 2011 à 19h

    Salle des fêtes (2e étage)
    Place Jules Joffrin

    Entrée libre

    conférencière : Anaïs Bonnel, historienne de l’art

     

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  • Ce soir conseil d'arrondissement dans le 18e

     

    Un conseil d'arrondissement, comme tout conseil municipal, est ouvert au public, mais seuls les élus débattent et votent des projets. Ce soir, il aura lieu à 18h30 dans la salle des mariages de la mairie du 18e.

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    Celui du 18e est retransmis sur l'internet et peut être suivi par tout un chacun. Si un sujet vous intéresse plus qu'un autre, repérez-le sur l'ordre du jour et assistez en direct aux débats de vos élus du conseil d'arrondissement sur votre écran d'ordinateur

     

  • CICA du 18e sur les transports publics

     

    « Les transports : quels services pour quelles mobilités ? Améliorations et projets dans le 18e ».

    Les membres des associations et des instances de démocratie locale du 18e sont invités à échanger sur le thème des transports publics, avec les services techniques et les élus. Le métro, le bus, le vélo : tous les types de transports - individuels et collectifs - seront abordés, tous les projets en cours et à venir seront présentés.

    La réunion est ouverte à tous à partir de 18h30, salle des mariages de la mairie du 18e.


    Mairie du 18e
    1, place Jules Joffrin
    Métro Jules Joffrin (L12)

     

  • CICA en vue à la mairie du 10e

    C'est ce soir jeudi 6 décembre que se tiendra le CICA (conseil d'initiative et de consultation d'arrondissement) sur le thème de la jeunesse. Le titre est précisément : De l'enfance à la citoyenneté.

    Comme certains n'atteignent jamais la citoyenneté, est-ce à dire que ceux-là restent jeunes ? Hum... 

    Le conseil se tiendra dans la salle des mariages de la mairie et commencera à 18h30, en présence d'Isabelle GACHET, adjointe au maire de Paris chargée de l'enfance. 

  • Rue Affre dans la Goutte d'Or : on en parle...

    On en parlera ce soir dans la salle Saint Bruno (9 rue saint-Bruno) à partir de 19 heures. 

    De quoi s'agit-il ? De planter des arbres, mais pas seulement.

    De revoir des aspects délaissés dans les petites rues de nos quartiers, quand elles n'ont pas encore eu leur lifting... Comme la rénovation des trottoirs, le stationnement qui souvent ne comprend pas d'aires de livraison, quand elles sont nécessaires, ou rien pour les deux roues. La rue n'est pas très longue, mais le réaménagement ne concernera cette fois que le tronçon situé entre la rue Cavé et la rue Saint-Matthieu.

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