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Rechercher : conseils de quartier

  • En l'absence des articles quotidiens sur le blog....

    Pourquoi ne pas profiter de l'opération d'une cinquantaine de bibliothèques parisiennes qui viennent à vous....  ? 

    Comme le clame la communication de paris.fr : Les bibliothèques envahissent la ville

    Tout l’été, les bibliothèques de la Ville de Pa­ris sortent dans les squares et jardins publics. Au moins une fois par semaine, les bibliothécaires mettent à la disposition des jeunes lecteurs, confortablement installés sur des tapis de sol, des albums d’images, contes et autres histoires à lire, à feuilleter ou à écouter. 50 bibliothèques participent à l'opération dans les squares et jardins. 

    jardins du Ruisseau 18e

    Les Jardins du Ruisseau (blog.velib-metropole.fr)

    Nous avons repéré pour vous une permanence de la bibliothèque Robert Sabatier aux Jardins du Ruisseau, mais attention l'opération prend fin le 21 juillet... il faudra se presser ! Elle se poursuivra toutefois par d'autres activités comme des moments de conte pour les tout petits au square de Clignancourt (le 4 août) ou encore des concours de dessin des héros et héroïnes de manga jusqu'à la fin de l'été avec retour dans l'espace jeunesse de la bibliothèque.

    D'autres jardins et squares vous attendent avec leurs lots de livres et quelques moments de calme ou de grande excitation ! Le mardi de 16h30 à 18h30 au square Léon... Au square Rachmaninov, des animations de la bibliothèque Maurice Genevoix, de 16h30 à 17h30 du mardi au vendredi.... Du 11 juillet au 30 août, la bibliothèque Robert Sabatier prend l'air tous les mercredis après-midi au square Clignancourt et tous les jeudis matins au square Léon Serpolet. A vous de chercher et de trouver le bon plan ! 

    Ces prestations font partie du programme "bibliothèques hors les murs". 

  • Ça va cogner !

    Les derniers coups de hache entendus dans le quartier de la Goutte d'Or n'ont pas laissé le meilleur souvenir. En effet, tout le monde se rappelle de l'épilogue de l'occupation de l'église Saint-Bernard par des sans-papiers en 1996, qui s'est joué à coups de hache donnés par les forces de l'ordre pour détruire la porte de l'église. Mais aujourd'hui nous allons pouvoir entendre d'autres coups de hache dans le quartier, de cognée en l'occurrence, beaucoup plus réjouissants ceux-là. En effet, depuis le 22 septembre dernier, un nouveau venu pour le moins insolite vient d'ouvrir ses portes à la Goutte d'Or : Les Cognées, une salle de lancer de hache. 

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    Installée dans un ancien garage au 5 rue Stephenson, cette nouvelle adresse est le premier lieu de lancer de cognée à ouvrir en France. Cette activité prisée au Canada consiste à lancer une petite hache, une cognée donc, sur une cible. Pas besoin d'être aguerri à l'exercice pour pratiquer le lancer de cognée, nous avons pu le tester en avant-première et étonnement, on acquière le bon geste assez facilement ; remercions ici Thomas pour son chaleureux accueil. Le jeu demandant plus d'adresse que de force, chacun peut s'essayer à ce qui peut être un excellent défouloir. 

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     Les Cognées

    5 rue Stephenson 75018

    téléphone : 01 71 20 14 45

    site internet : lescognees.com

    sur Twitter : @LCognées

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  • Mineurs isolés dans le 18e: où en est-on?

    Intitulée " Les mineurs isolés non accompagnés dans l’espace public et la situation dans le quartier de la Goutte d’Or", la réunion publique organisée salle Saint-Bruno mercredi 6 décembre par la mairie du 18e a fait salle comble. Certaines personnes ont même eu des difficultés à entrer pour des raisons de sécurité compréhensibles.

    Pour répondre aux questions et aux inquiétudes des habitants, c'est Eric Lejoindre qui présidait la réunion accompagné de deux adjointes à la maire de Paris: Dominique Versini chargée des solidarités, de la lutte contre l'exclusion, de l'accueil des réfugiés et de la protection de l'enfance et Colombe Brossel chargée de la prévention et de la sécurité. Présents également, Valérie Goetz commissaire du 18e, Laetitia Félici vice procureure de Paris, Gilles Petit-Gats, directeur général du centre d’action sociale protestant (CASP) et Jean-Paul Raymond directeur de la DASES (direction de l'action sociale de l'enfance et de la santé).

     

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    Une situation inédite

    De l'avis de l'ensemble des intervenants à la tribune, le problème est grave. Des mineurs non accompagnés arrivent essentiellement du Maroc et ce depuis environ un an, un phénomène constaté dans d'autres pays européens tes l'Allemagne et la Norvège.  On a appris qu'il y en avait également dans le sud de la France (Nîmes par exemple) et plusieurs milliers en Espagne.

    D. Versini a expliqué se retrouver face à une situation nouvelle et très difficile à gérer. En effet, les enfants et adolescents que nous croisons à la Goutte d'or mais aussi dans le 19e et le 10e refusent toute prise en charge. Ceux qui ont accepté parfois de passer la nuit dans un accueil d'urgence soit ont fugué soit ont commis des actes violents. Ils ont des comportements de fonctionnement en bande et pour certains vivaient déjà ainsi au Maroc. Que fait-on alors avec des mineurs qui se mettent en danger en consommant des substances telles qu'alcool et drogues et commettent des actes de délinquance ? On imagine aisément dans quel état d'hygiène et de santé peuvent être ces enfants. La ville a essayé de travailler avec les méthodes habituelles notamment en organisant des maraudes avec l'association Hors la rue. "A la ville, on a pris conscience qu'il fallait trouver d'autres pistes" a précisé D. Versini.

     Que propose la ville de Paris ?

    Un lieu d'accueil de jour dans le secteur nord ainsi qu'un lieu de mise à l'abri la nuit (hors de Paris) devraient être rapidement trouvés et opérationnels. Par ailleurs, une équipe fera le lien entre les deux dans la rue, 6 jours sur 7 du mardi au dimanche, 24h sur 24. C'est Gilles Petit-Gats du Centre d'action sociale protestant qui sera responsable de ce dispositif avec une vingtaine de personnes sur le terrain. Cette association, reconnue d'utilité publique, a une expérience pour avoir travaillé sur des secteurs comme les Halles et la gare Saint-Lazare depuis 1980. Il faudra du temps pour amener les jeunes vers une acceptation de protection à laquelle ils ne veulent pas croire. Dominique Versini a prévenu "on promet des moyens, une organisation, des professionnels mais il ne faut pas attendre des avancées dans huit jours!"

    Des contacts ont été pris récemment avec l'ambassade du Maroc et une association marocaine l'Amesip qui oeuvre depuis de nombreuses années auprès des enfants des rues (notamment à Rabat). Cette annonce et la possibilité de retrouver les familles de ces jeunes pour éventuellement recréer les liens dans leur pays d'origine a suscité des réactions très violentes de représentants d'une autre association française (qui n'a pas donné son nom), venus avec quelques mineurs. Pour eux, ces enfants ont déjà connu la violence dans leur famille donc pas question de les renvoyer au Maroc ; de plus des propos critiques ont été entendus sur l'Amesip. Des membres de l'Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF) ont regretté que tous les acteurs n'aient pas été consultés.

    Quant au quartier en lui-même, C. Brossel reconnait qu'il n'avait pas besoin d'un problème supplémentaire et admet une hausse objective des faits de délinquance. De nombreux riverains lui ont fait part d'un climat de peur qui a fini par s'installer ; des commerçants craignent de ne pouvoir rester plus longtemps. La ville a décidé de fermer le square Alain-Bashung squatté par ces jeunes et de lui attribuer la présence d'un gardien, mesure provisoire. Des efforts vont être faits pour l'éclairage (réparations et installations nouvelles) particulièrement sur la placette Polonceau qui devrait faire l'objet d'un réaménagement rapide. "Ce sera un chantier prioritaire" a ajouté l'élue.

    Le mot de la vice-procureure

    " Ces enfants sont avant tout en danger ; ils sont à la fois victimes et auteurs " a commencé Laetitia Félici. Chaque jour, le parquet des mineurs est saisi. La grande difficulté est de les identifier et donc de les connaître. Car ils ne donnent pas leur nom, leur âge et utilisent parfois des identités différentes. Les tentatives de placement (surtout la nuit) sont vouées à l'échec (fugues, comportements violents). On en récupère dans les Autolib fréquemment. Ils ont une capacité de résistance pour une quelconque prise en charge et retournent donc à la rue. "Il nous faut donc trouver d'autres méthodes et être modeste" a t-elle conclu.

    Le mot de la commissaire

    Avec son franc-parler habituel, Valérie Goetz a fait part des difficultés que ses agents rencontrent au quotidien, sans compter qu'il n'y a pas que des mineurs marocains dans l'arrondissement. Pour elle, une telle situation n'est pas arrivée depuis la seconde guerre mondiale où beaucoup d'enfants se retrouvaient sans famille. On a à faire à une vraie délinquance et pas seulement dans le 18e avec notamment des cambriolages dans les départements de la petite couronne. Dans le quartier de la Goutte d'or, la commissaire voit les plus jeunes dormir dans les sèche-linge de la laverie de la rue de la Charbonnière. Certains sont déjà sous la coupe d'adultes bien ancrés dans le secteur et participent aux trafics de cigarettes et de drogues. Ces mineurs sont en très mauvaise santé pour cause de malnutrition et de prises de stupéfiants, sans oublier un manque affectif flagrant mais qu'ils ne revendiquent pas d'après elle. "Je dois aussi penser à la protection des riverains et je ne peux pas faire ce que la loi ne nous permet pas de faire" a martelé V. Goetz.

     

    Une question est revenue plusieurs fois, celle de la toxicomanie ancrée dans ce quartier et qui touche aussi ces mineurs. Quelle prise en charge et quel statut pour des mineurs toxicomanes? a t-on entendu dans la salle.

    Deux mineurs se sont exprimés, leurs propos traduits par une responsable associative. La ville aurait peut être pu prévoir un traducteur mais à sa décharge elle n'imaginait sans doute pas que des jeunes seraient présents.

    En conclusion, on ne peut nier l'énormité de l'enjeu. En France, la loi avec l'ordonnance de 1945 impose de protéger les mineurs. Mais comment faire quand ils n'acceptent pas la protection de l'Etat? Les élus de la ville ont interpelé le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb face à un problème qui dépasse largement le 18e et Paris. La prochaine réunion devrait se tenir fin mars début avril; d'ici là espérons des réponses de l'Etat et bon courage aux acteurs de terrain!

  • Budget participatif, les projets à soutenir

    L'édition 2018 du budget participatif aborde la dernière ligne droite, à savoir le moment du choix des projets retenus par les services de la Ville. Ce sont les habitants qui, par leurs votes, détermineront les projets à réaliser. Cette année encore, Action Barbès en a présenté plusieurs.

    Commençons par le projet Lariboisière qui, lui, a été retoqué pour la seconde fois. De quoi s'agit-il ? En 2015, nous avions suggéré que les murs d'enceinte de l'hôpital, murs fortement dégradés rue de Maubeuge et boulevard de La Chapelle, puissent servir de support à des œuvres artistiques, en attendant les travaux du futur hôpital. Cette année-là, les services avaient estimé que ces murs, n'appartenant pas à la Ville, ne pouvaient donc pas bénéficier d'un budget d'embellissement. En 2018, encouragés par les élus, nous avons relancé cette idée. Il semblait, d'après nos informations, que cette fois, l'obstacle serait levé. Nouvelle déception. En effet, cette fois encore, la Ville nous a expliqué qu'il ne pouvait pas y avoir de budget participatif pour des projets non pérennes ! Voici la réponse:

    "Nous vous informons que le projet « Fresques temporaires sur les murs d'enceinte de Lariboisière » ne peut être retenu pour la raison suivante :

    Votre projet ne relève pas du budget d’investissement. En effet, la création de fresques temporaires représente une dépense de fonctionnement. Or, le budget participatif de Paris est consacré spécifiquement au financement de projets d’investissement ayant un impact durable sur le patrimoine de la collectivité.

    Sachez que vous avez la possibilité de vous associer à d’autres projets et de concourir à leur succès. Pour ce faire, rendez-vous sur la fiche du projet que vous souhaitez suivre et cliquez sur le bouton « je m’associe ». Cette fonction vous permet d’être informé·e de tous les temps forts liés à la mise en œuvre de ce projet.

    Pour toute question, vous pouvez consulter la foire aux questions du budget participatif ou nous écrire à budget.participatif@paris.fr

    L'équipe du budget participatif de la Ville de Paris"

    Or, début juillet, lors d'une réunion de "Tous mobilisés pour Goutte d'Or sud", nous avons pourtant constaté que le projet de frise provisoire sur le mur de la place Polonceau, projet du budget participatif, sera, quant à lui, bien réalisé. Allez comprendre...

     

    Les projets d'Action Barbès retenus

    Mais restons dans un esprit positif, car si le projet pour Lariboisière n'a pas été retenu, d'autres l'ont été.

    - Premier projet, pour le 18ème arrondissement : « Mettons en valeur l’église Saint-Bernard ! » qui concerne également la rue Jean-François Lépine (la page de présentation est par là). Il s'agit de mettre en valeur ce monument historique ainsi que la perspective monumentale qui l'y conduit.

    - Second projet, parisien celui-ci : « Barbès – La Chapelle – Stalingrad : Une promenade urbaine lumineuse et solidaire ». Cette proposition a pour but de compléter le projet de la promenade urbaine dont les travaux ont été lancés au début de l’été, notamment pour déployer un très beau projet d’éclairage pour mettre en valeur le viaduc du métro.  (la page de présentation est par là )

     

    Nous vous invitons à voter et à faire voter pour ces projets qui permettraient d’améliorer et valoriser le cadre de vie de nos quartiers.

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    Tous les parisiens peuvent voter pour le budget participatif, sans condition d’âge ni de nationalité. Pour voter, il suffit de s’inscrire en ligne sur le site dédié et de choisir de un à quatre projets parisiens, et de un à quatre projets pour son arrondissement : 

    Il est également possible de voter dans une des urnes dédiées au budget participatif.  La carte est des urnes disponibles est par ici.

  • Exposition à l'Echomusée

    L'Echomusée de la Goutte d'Or propose une nouvelle exposition artistique du lundi 10 au dimanche 23 Septembre 2018, une rencontre avec une nouvelle génération artistique avec 3 artistes de la QWC Gallery The QWC Gallery (The Queer Women of Color Gallery).

     

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    - Carol Vilela (Brésil) : Danse/Vidéo
    "Femme brésilienne, artiste chorégraphe, professeure, chercheuse en danse et observatrice mouvante; je reçois et, en images, je l'exprime"

    - Carisa Bledsoe (USA) :Dessins
    "Chercheuse, danseuse, chorégraphe, pédagogue et plasticienne, je suis à la fois une enfant, une femme, une queer et la mer"

     

    Échomusée

    21 rue cavé 75018

  • La nuit fût belle

    Les 31 août, 1er et 2 septembre derniers, l'église Saint-Bernard a abrité un très joli spectacle "son et lumière" de l'association Unexpected Consilium. 

     

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    Accueillis par un porche habillé de lumière, les spectateurs ont pu profiter gratuitement d'un très beau spectacle son et lumière, "La Nuit est belle", déployé à l'intérieur de l'église néo-gothique.

     

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    La Nuit est belle est un spectacle conçu et réalisé en 2014 par les bénévoles de l'association Unexpected Consilium. Cette année, il a donc été déployé dans l'emblématique monument historique de la Goutte d'Or, avec le concours de la paroisse Saint-Bernard de la Chapelle.

     

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    Cette mise en son et en lumière de l'église Saint-Bernard a permis aux spectateurs  d'apprécier l'édifice sous un jour inédit, comme en témoignent les quelques photos que nous reproduisons ici.

     

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    Saluons cette initiative bénévole qui a très joliment animé le quartier de la Goutte d'Or, offrant une dernière récréation aux habitants avant la rentrée.

    Et bien évidemment, Action Barbès n'est pas insensible à l'association lumière/église Saint-Bernard, une association qui renvoie à notre projet d'éclairage du monument que nous proposons au Budget participatif. Nous comptons sur vous pour choisir ce projet lors du vote qui aura lieu du 7 au 23 septembre!

     

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  • Le point sur le commerce dans le 10ème

    La commission extra Municipale "Commerce-Artisanat" du 10e arrondissement s'est réunie le 14 mai dernier afin de présenter un diagnostic commercial aux habitants présents. Des habitants d'ailleurs très peu nombreux. Au même moment dans une autre salle de la mairie se tenait une réunion sur les locations saisonnières, et qui avait, elle, attiré les foules.

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    C'est l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) qui a réalisé l'étude.

    Nous allons principalement nous concentrer sur la partie nord de l'arrondissement. L'intégralité du document est consultable ici.

    Quelques chiffres

    Le 10e compte 5 018 locaux en rez-de-chaussée, soit 6% du total parisien avec une forte densité de commerces et services commerciaux et une forte proportion de commerces alimentaires. A noter, une sur-représentation des bars et restaurants (22% contre 20% à Paris), et une faible part du commerce non-alimentaire. Ce dernier point ne concerne évidemment pas le nord du boulevard de Magenta qui concentre davantage de la mono-activité. Par ailleurs, à l'ouest de l'arrondissement et notamment avec la restructuration de la Gare du Nord, le nombre de commerces et services est en baisse, alors qu'il augmente à l'est.

    Encore trop de mono activité

    Ce n'est pas une surprise, le 10e a une sur-représentation des agences d'intérim malgré une légère tendance à la baisse. Même constat pour le nombre de bureaux de change qui lui, est en hausse, mais ce qui peut s'expliquer par la présence des gares. Hausse également de la téléphonie discount pourtant déjà bien implantée juste de l'autre côté du viaduc, boulevard Barbès! Les boutiques de vêtements de cérémonie sont très nombreuses dans notre quartier avec un chiffre stable. Rien de nouveau sous le soleil.

    L'action de la Semaest

    La Société d'économie mixte de l'est parisien (Semaest), qui permet d'installer et de développer le commerce de proximité et l'artisanat, poursuit ses rachats de locaux dans l'arrondissement dans le cadre de l'opération Vital'Quartier 2. Ainsi, de nombreux locaux ont pu être achetés et réaffectés à des commerces de proximité (librairie, boucherie...), mais essentiellement dans le secteur sud de l'arrondissement. La mono-activité importante tant sur le secteur Barbès-Gare du Nord que sur le secteur Louis Blanc ne permet pas de trouver des locaux à la vente. Seuls les baux changent de main.

    Autre outil à disposition des commerçants, le Groupement d'intérêt économique, GIE Paris : il propose  une aide aux commerçants qui cherchent des locaux. Il s’agit d’une structure créée en octobre 2017 par les trois bailleurs sociaux intervenant sur Paris ; son objectif est de recenser les locaux disponibles, et de définir leurs conditions d’attribution avec les mairies. Environ 10% du parc des locaux commerciaux au pied des immeubles du parc social sont traités par ce GIE ; 53 locaux ont été attribués depuis octobre 2017. La priorité est donnée aux commerces alimentaires, durables, aux structures d’expression artistique, aux associations.
    N.B. :la consultation de ce site est payante pour les commerçants, gratuite pur les mairies.

  • Journée du patrimoine à Jacques-Decour

    Nous sommes heureux de vous annoncer que le lycée Jacques-Decour sera ouvert
      le samedi 15 septembre 2018 de 9 à 13 heures
    à l'occasion des journées européennes du patrimoine.

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    Vous y êtes attendus nombreux pour une visite du grand parloir, du musée, de la cour d'honneur, du théâtre, de la chapelle, du couloir des plâtres et de l'ancienne bibliothèque !
    Le lycée dispose d'un site sur le net qui vous donnera de riches informations, y compris historiques grâce aux association locales, pour anticiper un peu votre visite. (c'est là)
  • Rencontres interculturelles dans le 10e

    Du 9 au 29 septembre aura lieu la 23e saison des rencontres interculturelles du 10e avec pour thème "Femmes dans la cité". Balades urbaines, conférences, expositions et débats seront au programme et l'évènement commencera par une fête sur le canal Saint-Martin le dimanche 9 septembre. Le groupe Beija animera la soirée d'ouverture lundi 10 à 19h à la mairie de l'arrondissement.

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    Pour connaître l'intégralité des festivités, cliquez ici.

  • C'est aussi la rentrée au Lavoir Moderne Parisien

    Dans notre article du 28 février, nous avions évoqué la renaissance du Lavoir Moderne Parisien et les difficultés rencontrées par la nouvelle équipe qui gère désormais le lieu.

    L'aventure continue puisque des spectacles sont déjà programmés pour cette rentrée. N'hésitez pas à pousser la porte du 35 rue Léon.

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    Consultez la page Facebook du LMP pour plus de détails sur la programmation et l'actualité du Lavoir. Soirée d'ouverture le 5 septembre ! 

     

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  • Des travaux attendus place Jan Karski

    Le réaménagement de la place Jan-Karski était attendu depuis longtemps. Les premiers coups de pioche auront lieu cet été pour une durée d'environ 6 mois. C'est l'aboutissement d'un long processus qui a commencé par un projet voté dans le cadre du budget participatif. Nous y sommes. Cette place sera réinvestie par les piétons et riverains, et la place de la voiture sera considérablement réduite.

     

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    Pour connaitre l'intégralité du projet, voir notre article du 3 mars 2017.

  • Des cadeaux ”made in Goutte d’Or”

    Noël approche et la chasse aux idées de cadeaux aussi. Pourquoi ne pas jouer la carte locale et dégoter de jolis cadeaux "made in Goutte d’Or" ? 

    Les Gouttes d'Or de la Mode et du Design, une association de professionnels qui regroupe bon nombre de créateurs du quartier, vous offre tout un choix d'idées de cadeaux souvent originaux, pour un Noël made in Goutte d'Or. Bijoux, petit mobilier, mode et accessoires de mode, carterie... la Goutte d'Or regorge d'artistes et d'artisans dont les créations valent le détour, pensez-y !

    Retrouvez toutes les adresses des Gouttes d'Or de la Mode et du Design sur le plan ci-dessous.

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