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Rechercher : conseils de quartier

  • Chapelle International : le point

    Une réunion publique ce soir pour faire lepoint sur le projet urbain de Chapelle International à la mairie du 18e, à 19 heures.

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    Vous trouverez toute l'informatiion disponible sur le projet sur le site de l'association ASA Paris Nord Est.

  • La mendicité mise à l'index

     “Les arrêtés anti-mendicité, qui concernaient les Champs-Elysées à Paris, ont été étendus au Louvre et aux grands magasins, une mesure "utile" contre la délinquance roumaine selon le ministre de l'intérieur, M. Guéant, mais stigmatisante aux yeux du maire PS de Paris, Bertrand Delanoë.”

    Cette brève parue dans Le Monde du 5 décembre et également dans la journée dans toute la presse (Libération, Le Parisien ) soulève quelques interrogations :

    Un arrêté interdit la mendicité sur les Champs Elysées. D’autres zones commerçantes ou touristiques, commerçantes et touristiques  (pléonasme ?) réclament la même mesure et l’obtiennent de M. Guéant.

    Quels sont les critères d’attribution ? Quelles sont les données qui ont permis d’en définir le périmètre ?

    Nous ne sommes pas fan’ de la mendicité, surtout quand elle commence à s’organiser et qu’on subodore parfois que les compteurs sont régulièrement relevés. On nous dit qu'il s'agit de réseau et on veut bien le croire. Mais selon quel principe faudrait-il réserver la mendicité à certains quartiers et en exempter les habitants et usagers de certains autres ? Ces personnes qui dépensent sans compter chez Louis Vuitton, chez Dior ou Guerlain, sont-elles trop sensibles pour supporter la vue de mendiants ? On peut facilement imaginer qu’elles se soustraient déjà aux sollicitations nombreuses dans les voitures du métro en ne l’empruntant pas, serait-il vraiment trop cruel de les confronter à un phénomène de notre temps, en permanente expansion, alors qu’elles « shopingnent » ? Sans doute sont-elles des proies plus intéressantes aussi... Les commerçants et boutiquiers ne sont peut-être pas étrangers à l’extension de cette mesure d'interdiction (en tête de liste les grands magasins du boulevard Haussmann gênés en période de fêtes) et l’on sait combien notre président et son staff sont à l’écoute du monde qui souffre.

    Encore deux questions :

    Par ailleurs, si les Roumains ont des défauts, M. Guéant ne contribue-t-il pas avec un peu trop d’insistance à en faire les parias de l’Europe ? Cela devient indécent. Les forces de l’ordre affectées à cette surveillance particulière, pour des intérêts particuliers, feront défaut ailleurs, n’en doutons pas…

    Nous ne sommes pas pour le boycott des Champs ou des grands magasins, mais faut-il à ce point mettre à contribution la force publique pour protéger les grandes fortunes qui se cachent derrière ces enseignes ?

    Nous sommes tombés sur une courte interview du maire de Paris que nous nous autorisons à recycler, car on la croirait faite à l'occasion de la présente interdiction, extension de la précédente qui est aussi prorogée. Or, non ! Elle date du 13 septembre 2011. Il semble que selon la formule très populaire : plus qu'ça change et plus qu'c'est pareil ! aurait dit ma gand'mère... Très triste tout cela. On constate que les méthodes que décrivait déjà en septembre le ministre de l'Intérieur ne donnent pas des résultats mirobolants. Ne seraient-ils pas adaptés tout simplement ?

     


  • Et si on prenait quelques vacances ?

    Joyeux Noëlnoel,sapin,

     

    Joyeux Noël


    Joyeux Noël

     

    Joyeux Noël

  • Quand l'accès aux films fait la différence...

    Sur les antennes de France Inter peu avant Noël, nous avons entendu Xavier Blom, le programmateur du cinéma des Champs-Elysées Le Lincoln, décrire les difficultés qu'il rencontre à obtenir les films art et essai les plus en vue, difficultés qu'il partage avec d'autres exploitants. En effet, un autre cinéma, dont l'équipe d'animateurs autour de Jean-Jacques Schpoliansky ne recule devant aucun effort pour fidéliser les cinéphiles, a fermé également entre le 21 et le 27 décembre. C'est le Balzac

    Ces fermetures ont eu un écho dans la presse et sur le net et c'était bien le but : alerter le public et les instances qui font autorité en matière de cinéma en France sur le recul des entrées dans les salles indépendantes - à Paris comme en province dans les centres ville - et sur les causes de cette baisse. C'est la distribution, clairement, qui est montrée du doigt et avec elle les circuits de diffusion.


    Les cinémas indépendants dans la tourmente par Nouvelobs

    La distribution en France, qui est-ce ? Essentiellement Gaumont-Pathé et UGC. Or, ces mastodontes de l'industrie cinématographique sont friands de films art et essai depuis que ceux-ci remplisssent les salles, et souhaitent les conserver dans leur réseau, au détriment des salles indépendantes. Concurrence, conurrence... Ne dit-on pas dans nos hautes sphères libérales que la concurrence est le meilleur rempart à la liberté du citoyen. Permettez nous d'en douter parfois.

    L'exploitant de la salle indépendante, le détaillant comme se qualifie lui-même Jean-Jacques Schpoliansky dans le reportage ci-dessus, est assez démuni face au poids et aux choix des distributeurs.

    Mais nous aimons sa vision, lui qui considère la salle art et essai comme une forme de service public, qui accueillerait les spectateurs avec une offre très large de films, y compris des coups de coeur et des découvertes. Oserons-nous dire aussi, ailleurs que dans un environnement sentant le Coca-Cola et le pop corn... Même si ces ventes grossissent elles-aussi le chiffre d'affaires et contribuent à l'équilibre de l'ensemble. 

    Ecoutez le encore ici, il demande à ce qu'on procure la plus large audience possible à son appel, ce que nous faisons bien volontiers.

  • C'est dimanche

    C'est dimanche, oui, et nous sommes en décembre, la préparation des fêtes de fin d'année, même à Barbès, cela prend du temps...
    Vous ne nous en voudrez pas si aujourd'hui nous faisons relâche ?

    Une devinette pour distraire les plus perspicaces : d'où cette vue sur le Sacré Coeur a-t-elle pu être prise ?

    paris,10e,sacré-coeur,photo-devinette

    La date ne vous aidera pas... Réponse lundi. Bon dimanche à tous.

  • Des boules, des boules, des boules...

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    Sous le dôme des Galeries Lafayette...

  • Propreté : la suite du CICA 10e

    Les blogueurs aussi ont des week ends prolongés qui perturbent leur communication…

    Ainsi l’article sur la propreté dans le 10e nous a échappé sans que nous ayons confié aux flux cybernétiques tout le fond de notre pensée et de votre information, éventuellement.

    Avant d’abandonner Paris pour des contrées moins polluées, nous évoquions jeudi matin les concentrations de mégots que nous avons tous vues devant les terrasses fermées de café, interdites au fumeurs depuis janvier 2008, mais aussi devant les immeubles de bureaux, que le personnel délaisse quelques instants pour une pause cigarette. Une des premières mesures de la Ville, a rappelé François Dagnaud, a été de renoncer à tout droit de voirie pour l’installation de cendriers privés sur le trottoir. En effet, la Ville perçoit une taxe pour tout mobilier implanté sur l’espace public, et cette implantation est soumise à autorisation préalable, quand les choses sont faites dans le respect du règlement…. La gratuité pour ces cendriers était une incitation réelle, mais elle n’a pas été suivie par un réel engouement, ni de la part des gérants de bars et de restaurants, ni même des responsables d’entreprises ou de leur comité d’entreprise, qui auraient pu prendre le relais.

    Il n’est qu’à observer au bout de combien de mois l’antenne de la préfecture de police située au 6 rue du Delta a enfin disposé un cendrier au seuil de ses bureaux. N’est ce pas pourtant ce type d’institution qui doit montrer le bon exemple ?

    paris,propreté,tabac,mégots,caniveaux,cigarettes, pisseurs, urinesLa DPE a également cartographié le 10e avec ce qu’on pourrait appeler les points noirs repérés, de façon à les observer sur le temps et sans doute à les traiter. Parmi ceux-ci les concentrations de mégots que nous venons d’évoquer, les lieux de dépôts sauvages récurrents, les rues ou tronçons de rue à chiens, les recoins à épanchements d’urine, à fientes de pigeons, etc.

    La coopération entre plusieurs services de la Ville a sans doute permis l’émergence de solutions plus ciblées : l’aménagement de l’espace public de façon à perturber les mauvaises habitudes. Par des ajouts de stationnement deux roues ou l’implantation de bacs à plantes, on peut peut-être dissuader les dépôts sauvages ou les « pisseurs »… On va le tenter en tout cas. L’avenir le dira.

    paris,9e,propreté,dpe,lavage-du-trottoir,collecteMais François Dagnaud a également mentionné les comportements inacceptables de certaines entreprises de rénovation qui se débarrassent à bon compte de leurs gravats ou de sanitaires usagés au pied des immeubles, très tôt le matin, ou même en fin de journée, en n’emportant pas la cuvette de WC cassée ou le receveur de douche, pourtant facturés au client sous l’intitulé désuet « enlèvement des gravois ». Comment les « coincer » en flagrant délit de pollution environnementale ? La DPE a négocié avec ses inspecteurs (la CAPP) des horaires de travail et de présence sur les lieux plus en phase avec la réalité du terrain. Cela suffira-t-il ?

    La verbalisation ne fait pas tout, mais c’est elle, néanmoins, qui a contribué à remettre dans le droit chemin nombre de propriétaires de chien qui ne respectaient pas les règles sanitaires urbaines. Il y a quelques années, l’amende qui les pénalisait quand un inspecteur les prenait en flagrant délit de fuite… s’élevait à 183 euros. Plutôt dissuasif. Mais bientôt, la Préfecture de police a rappelé que le code pénal limitait la sanction encourue pour déjection animale sur la voie publique à une amende de 2e catégorie dont le montant est… 35 euros. Pas sûr qu’à ce tarif, les crottes de chien ne soient pas restées encore plus longtemps sur nos trottoirs en grand nombre. Toujours dans le cadre de la prévention/répression, les OCNA (opération concertée de nettoyage approfondi) vont faire place à des opérations "civilité de proximité", plus courtes, deux fois trois jours, selon le même mode opératoire, d’abord information auprès du citoyen, particulier ou commerçant, puis verbalisation des infractions. Des courriers du maire seront envoyés en nombre pour rappeler les règles, puis des contacts entre les agents et les syndics et gardiens d’immeuble devraient sensibiliser la société au coût non négligeable que représentent les services de la propreté dans une ville comme Paris, à savoir un demi milliard d’euros par an !

    Pour relativiser la problématique, nous vous conseillons la lecture des échanges entre François Dagnaud et l'association Vivre le Marais ! (sur leur blog) qui fait grosso modo les mêmes reproches avec quelques variantes. On se sent moins seuls.

  • Exposition dans le lycée Jacques-Decour du 10 au 13

    Le collectif des arts 9e et 18e présente les artistes du quartier

    Le collectif des riverains des boulevards de Clichy et Rochechouart renouvelle son action en faveur de l'art et des artistes de notre quartier en organisant une exposition des oeuvres des peintres, des sculpteurs des aquarellistes, des photographes qui demeurent entre 9e et 18e. L'exposition a lieu dans l'enceinte du lycée Jacques-Decour et l'entrée est libre.
    Les horaires :
    vendredi 10 juin de 18h à 21 h
    samedi 11 juin de 10 h à 20 h
    dimanche 12 juin de 10 h à 20 h
    lundi 13 juin de 10 h à 19 h

    C'est une magnifique occasion (il faudra sinon attendre les journées du patrimoine en septembre) de découvrir également la cour d'honneur et les arcades.  Etablissement  austère de l'extérieur, Jacques-Decour séduit par son charme coloré à l'intérieur, grâce aux parterres de fleurs et aux mosaïques. L'occasion d'un peu de nostalgie pour les anciens élèves peut-être ?

  • Siné

    1412.jpgHervé Pauchon dans sa chronique quotidienne sur France Inter nous a remis en mémoire un "vieux monsieur indigne", aux déboires nombreux, dans la presse, dans les médias, soutenus par les uns ou mis à l'index par les autres.... nous n'entrerons pas dans le débat qui lui a valu de sortir de Charlie Hebdo un peu rapidement et de créer l'éphémère mais retentissant Siné Hebdo. Simplement nous voulions rappeler ici que c'est une des célébrités de notre quartier.

    Le guide de quartier "Trudaine - Rochechouart dans tous ses éclats", toujours en ligne sur le site de la mairie du 9e, nous présentait la boutique de ses parents, épiciers au 11 rue du Delta. Tous les villages et villes de France ont leur enfant du pays, et bien, nous aussi. L'épicerie était encore un petit restaurant il y a une quinzaine d'année, puis une agence de communication et très récemment, elle est devenue une habitation, derrière une vitrine transformée en fenêtres banalisées et discrètes.

    Dernièrement, Siné recevait le diplôme de l'école Estienne, où il a été élève, un bon élève même, mais tellement indiscipliné, qu'il a du la quitter avant qu'elle ne le renvoie. Et donc, sans diplôme. A 83 ans, il n'avait pas l'air de regretter ce temps, puisque c'est là qu'il a acquis l'art de la mise en page, de la lettre, de la mise en scène du dessin en un mot.


    En cliquant , vous avez la possibilité d'entendre le court reportage (6 minutes) d'Hervé Pauchon à l'Ecole Estienne.

  • Retour sur les vélos...

    Nous avons écrit un article le  1er décembre sur une activité qui nous paraissait louable, à savoir l’enlèvement par les services de propreté de la Ville des vélos abandonnés sur l’espace public.

    Mais le même jour, le site de Vélorution dénonçait la même activité, avec des arguments justes aussi.

    paris,cylce,épave,destruction,recylclageFatalement nous sommes sensibles à cette divergence d’opinion. N’avons-nous pas été un peu trop rapides à plébisciter cette initiative ? Par ailleurs, il nous faut dire aussi que les épaves d’automobiles que nous avons signalées aux commissariats de police locaux en novembre sont toujours à la même place, malgré nos signalements. Donc traitement différent. Même si, là, c'est la Préfecture qui se charge de l'enlèvement seule.

    Alors ? Comment Vélorution justifie-t-il sa position ? Et pourquoi appelait-il à manifester à Paris le 3 décembre contre cette mesure :

    Vélorution Paris dénonce la destruction illégale de milliers de vélos par la Préfecture de Police et la Mairie de Paris

    D’après les associations de cyclistes, il semble que la Préfecture de police ne fasse pas bien la différence entre des vélos qui pourraient mieux se porter ou dont l’entretien laisse à désirer, avec des vélos réellement abandonnés, parfois après un vol. A partir de cette constatation, elles comptabilisent les plaintes de propriétaires de cycles qui n’ont pas retrouvé leur bicyclette là où ils l’avaient laissée. Elles dénoncent aussi le manque de concertation. Et de façon à peine voilée, elles mettent en avant le statut privilégié des Vélib’ qui, eux, sont liés à de « juteux contrats de publicités »… Si cette accusation d’abus de pouvoir – car il faut bien appeler cet enlèvement par son vrai nom s’il est avéré – devait se confirmer, la Ville et la Préfecture devraient donner des explications crédibles.

    Le communiqué de presse publié par l’association Vélorution en octobre 2010 donnait suffisamment de détails pour être clair. Prenez le temps, comme nous, de le lire pour forger votre jugement. Vous trouverez un mini dossier de presse très complet.

    A l’heure où tous s’accordent à donner du poids au processus de recyclage des objets, quels qu’ils soient, nous ne voyons pas pourquoi il faudrait détruire des vélos, qui au mieux peuvent être réparés, et au pire, peuvent fournir des pièces détachées ?

    Les autorités locales devraient rattraper le train et oublier que nous ne devons plus être dans une société de consommation à tout va, dans laquelle on jette l’ancien pour acheter du neuf. Chez les particuliers aussi on s’habitue à faire de sérieuses économies. Il va donc falloir apprendre à réparer, faute de moyen pour acheter.

    C’est là qu’il faudrait prendre exemple sur les Allemands, sur l’attitude des citoyens face à la consommation et au recyclage et non pas sur la rigueur supposée de leurs dirigeants. La rigueur étant une discipline qui s’applique surtout aux autres….

    * Voir aussi la position de la mairie de Paris, dans un article du Parisien en février dernier, déjà, par la bouche de François Dagnaud responsable de la propreté dans notre ville. Mais qui dit la vérité ? On reste dubitatif quand on lit les informations sur le sujet en ligne sur paris.fr, à savoir :

    Le recyclage des épaves de vélo  : Les épaves de vélo sont recyclées ou confiées à des associations en vue de leur réemploi : depuis décembre 2010, une convention permet à la ressourcerie l'Interloque  d’utiliser les épaves de vélo en vue du recyclage de tout ou partie de leurs pièces.

    Un projet porté par l’association de cyclistes Vélorution pour la future Maison du Vélo s’inscrit dans cette démarche.

    Hum ? Recylclées ou passées au pillon par la préfecture ???

  • Théâtre des Bouffes du Nord

    Vincent Delerm au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, mise en scène de Macha Makeïeff, depuis le 6 et jusqu'au 30 décembre 2011.

    La programmation s’est beaucoup diversifiée depuis quelques mois au Théâtre des Bouffes du Nord. Les directeurs l’avaient annoncé clairement lors du départ de Peter Brook. Nous avons annoncé plusieurs spectacles de danses récemment, cette fois il s’agit de chansons et de théâtre, issus de la plume et du clavier de Vincent Delerm.

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    Vincent Delerm avait testé la scène, elle lui convient puisqu’il y revient…

    ....« avec un spectacle dont il est l'auteur, le compositeur, le metteur en scène et le comédien, épaulé par Macha Makeïeff, madame "Deschiens" récemment nommée à la tête de la Criée, Centre Dramatique National à Marseille. Vincent Delerm, auteur et compositeur de quatre albums studio fortement imprégnés de cinéma, avait déjà tâté du théâtre en tant qu'auteur avec Le Fait d'habiter Bagnolet, courte pièce à deux personnages, sur la rencontre amoureuse. Ici, il s'agit d'une forme théâtrale ponctuée de chansons qu'il interprétera accompagné sur scène par le musicien Nicolas Mathuriau. Son personnage, Simon, est obsédé par la fuite du temps et consacre le sien à le retenir à sa manière, intime et collective, collectionnant des souvenirs comme autant de traces pour son travail d'archéologue des époques. Le spectacle sera présenté du 6 au 30 décembre 2011. » (extrait du site des Bouffes du Nord)

    En lire plus ici dans un article du Figaro, rubrique culture, du 14 novembre dernier.

  • VOTATION CITOYENNE du 16 au 22 mai

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    VENEZ VOTER
    POUR LE DROIT DE VOTE ET D’ELIGIBILITE DE TOUS LES RESIDENTS
    AUX ELECTIONS LOCALES
    DU LUNDI 16 AU DIMANCHE 22 MAI 2011
    Dans les locaux des associations
    Dans l’espace public
    À la Mairie du 10e

    Tous les détails sur le document de l'association Ensemble nous sommes le 10e.