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Histoire - Page 41

  • La Commune de Paris et le 18e

    document?id=16858&id_attribute=111140 ans de la Commune de Paris :

    du 7 au 30 novembre, visitez l'exposition installée dans le hall central de la mairie du 18e.

    Adaptée de l'exposition « 1871, La Commune de Paris, une histoire moderne », présentée au Réfectoire des Cordeliers en mai et juin derniers. Cette exposition propose au visiteur une promenade dans les 20 arrondissements du Paris communard. La reconnaissance de l'égalité des salaires, le droit au logement, l'affirmation de la démocratie participative sont quelques-unes des décisions novatrices abordées dans le parcours proposé. Des thèmes qui ne manquent pas de résonner dans l'actualité malgré les 140 ans qui nous en séparent.

    Envisager la Commune en tant que laboratoire d'idées inédites et fructueuses, inscrites dans une géographie et un contexte singuliers donne à voir au visiteur la dimension moderne de cette période fondatrice pour l'histoire de Paris.

    Dans une scénographie originale et repensée pour l'arrondissement, cette exposition s'articule autour de trois thèmes : la démocratie communarde, la commune comme humanisme et la sociale.

    La Mairie du 18e vous propose également divers événements ouverts à tous et gratuits.

    Le mercredi 9 novembre à 20h00 en salle des Fêtes de la Mairie du 18e :
    Soirée musicale
    « Riton chante la Commune », récital de Riton la Manivelle et son orchestre

    Le Mercredi 22 novembre :
    18h00 / Inauguration de la plaque
    « Les Maires de la Commune » en présence de Daniel Vaillant, maire du 18e, député de Paris, ancien ministre, et Catherine Lassure, adjointe au Maire, en charge de la Mémoire et du Monde Combattant.

    Jean_Louis_Robert_1871_2.jpg19h00 / Conférence « la Commune de Paris (1871) - la révolution méconnue », animée par, Jean-Louis Robert (photo ci-dessus), Professeur émérite d'histoire contemporaine à l'Université de Paris I Panthéon-Sorbonne.

    Les amis de la Commune vous proposent deux balades thématiques :
    Samedi 19 novembre « Le 18e insurgé » / 10h30 devant la Mairie du 18e
    Samedi 26 novembre « Louise Michel » / 14h00 devant la Mairie du 18e

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    Le petit côté "anar" d'Action Barbès...? Voyez-vous même :

    Journal Illustré de la Commune de Paris / Making of by RaspouTeam from Cosmografik on Vimeo.

     

  • Du redécoupage des circonscriptions parisiennes

    Avant les grands matchs de campagnes présidentielle

    puis législatives du printemps prochain, revenons sur une décision entérinée il y a déjà deux ans sous la houlette du ministre Hortefeux.

    paris,circonscriptions,législatives,députés

    En effet, les circonscriptions qui entourent le carrefour Barbès ont été modifiées par rapport aux dernières élections législatives de 2007. Depuis 1986, le département de Paris, ou de la Seine pour les anciens, compte 21 députés, il n'en comptera plus que 18 en 2012. Ce redécoupage a été voulu pour rapprocher au maximum les zones redessinées d'une moyenne de 125 000  électeurs pour un siège de député.  Ce sont les fameux critères démographiques, chers au Conseil constitutionnel (décision rendue le 8 janvier 2008), qui doivent présider à tout redécoupage... Il a été analysé, modifié, retoqué, validé par la commission consultative prévue par la constitution en juillet 2009 et sera opérant lors des prochaines élections.

     On part de cette carte :

    75_4.png

    • 1re circonscription : elle comprend désormais 4 arrondissements du centre

    1er, 2e et 8e arrondissements ; majeure partie du 9e arrondissement (quartiers Chaussée-d'Antin, Faubourg-Montmartre et Saint-Georges, partie du quartier Rochechouart située au sud d'une ligne définie par les voies ci-après : rue Condorcet et rue de Maubeuge)

    Conséquence : Jusqu'en 2012 l'actuelle 4e circonscription réunit les 8e et 9e arrondissements et a à sa tête le député Pierre Lellouche, remplacé par sa suppléante Edwige Antier depuis qu'il siège au gouvernement. Autant dire que la découpe d'une petite partie du haut 9e - limite sud soulignée ci-dessus -, qui vote plus à gauche que le reste de l'arrondissement, ne perturbera pas la réélection du député UMP, qui s'y présentera. Dans la nouvelle découpe, la 1ere circonsription qui intègre donc les 1er et 2e arrondissements ne verra pas son profil sociologique très modifié puisque les quelque 10 000 inscrits pour chacun des 1er et 2e arrondissements restent d'un poids très relatif par rapport aux quelque 23 000 inscrits pour le 8e et 25 000 pour le 9e. D'ailleurs, une enquête d'un institut a hiérarchisé les chances pour la gauche de gagner des circonscriptions en 2012 et cette nouvelle 1ere circonscription de Paris arrive à la 462e place sur les 577 ! On peut donc se poser la question de l'arrière pensée qui a présidé à l'abandon de ce demi-quartier à la circonscription du 18e arrondissement.

    • 5e circonscription : elle comprend désormais 2 arrondissements au lieu du seul 10e

    3e et 10e arrondissements

    Conséquence : la députée du Parti de Gauche, Martine Billard, élue dans l'actuelle 1ère circonscription,  soit les 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements jusqu'en 2012, aura du mal à garder son siège face au candidat ou à la candidate qui se présentera à l'issu du choix fait par le PS pour remplacer Tony Dreyfus qui ne se représentera sans doute pas (élu depuis 1997). Selon Libération du 1er novembre, c'est même plus compliqué que cela, car les négociations en cours entre le PS et le parti Europe Ecoologie Les Verts laissent supposer que cette circonscription conviendrait plutôt bien à Cécile Duflot qui cherche un poste de députée sur Paris. Le Monde du 25 octobre donnait un éclairage toutefois un peu différent.... Affaire à suivre dans les prochains jours.

    • 18e circonscription : elle s'accroit d'une partie du 9e

    Partie du 9e arrondissement non comprise dans la nouvelle 1re circonscription, soit nord Rochechouart ; partie du 18e arrondissement non comprise dans les 3e (donc hors quartier Grandes Carrières Nord)  et 17e circonscriptions (donc hors quartiers Goutte d'Or et Chapelle), soit la Butte Montmartre jusqu'à la limite nord de Paris sur le Boulevard Ney/périphérique.

    Conséquence : aucune. La partie du 9e ajoutée vote dans le même sens que la majorité du 18e arrondissement et de la 18e circonscription a priori.

    Actuellement, le PS compte donc 11 députés, l’UMP 8, les Verts 1 et le Parti de Gauche 1 (Martine Billard avait été réélue avec l’investiture des Verts en 2007 avant de rejoindre le PG en 2009).

    On arrive donc à cette carte :

    75_8.png

    Faut-il croire ce qu'explique le géographe et spécialiste des atlas électoraux Frédéric Salmo dans un article du Monde datant de juillet 2009.  : "A Paris, le redécoupage électoral envisagé n'avantage personne" ? Depuis plusieurs élections, l'analyse des bureaux de vote, vus un par un, montre que l'électorat parisien se gauchise, rose et vert, selon les scrutins. Dans ce cas, toutes les interrogations sont recevables.

    Merci au site de Géolections de Frédéric Salmon pour ses cartes.

  • Ce soir à l'IMA : débat et projection du film "le silence du fleuve"

    Dans le cadre des Jeudis de l'Institut du Monde Arabe  et à l’occasion de la parution de la bande dessinée Octobre Noir (éditions Adlibris), l’IMA organise une soirée constituée d’un débat puis de la projection du film de Mehdi Lallaoui : Le Silence du fleuve

    salle du haut conseil - 18h30

    Institut du Monde Arabe

    img_nl_jeudima_oct61_0.jpgOCTOBRE 61 POUR MÉMOIRE

    Au cours des mois précédant la manifestation du 17 octobre 1961, 22 policiers sont tombés en France métropolitaine sous les balles des commandos du FLN (Front de Libération Nationale). A la demande des syndicats de police, un couvre-feu concernant les travailleurs algériens est alors instauré par le préfet de police de Paris Maurice Papon.
    Pour protester contre ce couvre-feu discriminatoire, la Fédération de France du FLN appelle les Algériens de la région parisienne à manifester pacifiquement, avec femmes et enfants, le 17 octobre, à 20h30, sur les Champs-Élysées.
    Le général de Gaulle, président de la République, donne carte blanche à Maurice Papon pour interdire et disperser la manifestation perçue comme une pression sur les négociateurs français et indépendantistes algériens qui traitent, à Evian, du futur statut de l’Algérie. Les forces de l'ordre affrontent les manifestants et en arrêtent de nombreux qu’elles embarquent en différents lieux … On ne sait toujours pas aujourd’hui le nombre des morts. On compte entre 100 et 200 disparus et 2300 blessés suite à cette manifestation.

    Avec : Didier Daeninck, écrivain ; Mako (Lionel Makowski), illustrateur de bandes dessinées ; Benjamin Stora, historien et universitaire ; Mehdi Lallaoui, réalisateur et écrivain ; Samia Messaoudi, militante associative et fondatrice de l’association « Au Nom de la Mémoire » ; Jean Daniel, écrivain et journaliste ; Aïssa Dérrouaz, responsable des éditions AdLibris ; M’hamed Kaki, responsable associatif.

    Voir également sur le site de Mediapart, en clair, le film et en association avec Au nom de la mémoire, des textes d'écrivains réunis dans le livre 17 octobre, 17 écrivains se souviennent.

  • Paris et ses hôtels particuliers

    expo hotel particulier.JPGLe projet de réhabilitation du Louxor a permis à Action Barbès de s’intéresser de plus près aux questions liées au patrimoine. C’est dans cette optique que nous vous recommandons vivement d’aller visiter l’’exposition L’hôtel particulier, une ambition parisienne qui se tient depuis le 5 octobre et jusqu’au 19 février 2012 à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine au Trocadéro.

    Beaucoup d’hôtels particuliers ont été détruits au cours des siècles, mais Paris en garde encore pas mal d’exemples. On peut même dire que ceux-ci ont structuré la ville. Du Marais et de la place des Vosges au quartier de la Chaussée d’Antin, à deux pas du carrefour Barbès, en passant par le faubourg Saint-Germain, la ville de Paris reste profondément marquée par ces demeures qui reflètent un art de vivre, certes réservé  à quelques très rares privilégiés, mais témoins d’une civilisation en plein épanouissement.

    Disons le tout net, l’exposition est remarquable ! Elle est en gros organisée en trois étapes qui nous font comprendre l’évolution de l’architecture des hôtels particuliers, leur place dans la ville et la floraison d’arts connexes liés à ce développement.

    La première étape est celle de l’évolution de la structure de l’hôtel particulier. De la Renaissance où l’organisation du bâtiment reste encore très simple autour de la chambre qui sert à la fois de lieu de réception, de repas et de repos jusqu’au salon du XVIIIème siècle, lieu de réception, pièce centrale de l’édifice, là où s’expriment l’art de vivre, la sociabilité, en passant par la pièce d’apparat du Grand Siècle, celui de Louis XIV, l’exposition nous explique, nous montre, cette évolution qui est assimilable à celle de la civilisation. Pour ce faire, et de manière très pédagogique, une suite typique a été reconstituée, formée d’un vestibule, d’une antichambre, d’un salon, d’un cabinet bibliothèque plus intime, puis d’une galerie, permettant de comprendre comment on passe de la cour au jardin, du vestibule pour l’accueil au salon pour la réception, dans un ordre social très structuré.

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    Hôtel de Thellusson par Jean Baptiste Lallment (1716-1803) (source WIkipédiA)

    La seconde étape nous montre quatre hôtels particuliers représentatifs de leur époque. Le plus ancien, celui de Cluny au Quartier latin, construit pour l’abbé de Cluny lors de ses séjours à Paris. Ensuite l’hôtel Lambert, joyau du XVIIème siècle à la pointe orientale de l’île Saint-Louis, œuvre de Le Vau. Puis l’hôtel de Thélluson, si typique du XVIIIème siècle et enfin  le Palais Rose construit au tout début du XXème siècle. Quatre représentants de leur époque dont, hélas, seuls l’hôtel de Cluny et l’hôtel Lambert subsistent aujourd’hui.

    Enfin, la troisième étape nous montre le développement de l’art de la décoration (peintures murales, mobilier) et des jardins.

    Autour du quartier Barbès, peu d’hôtels particuliers encore en place. Notons la maison de Thiers, place Saint-Georges, d’un intérêt en vérité limité, la mairie du 9ème, l’hôtel d’Augny, l'hôtel Wendel, mais surtout l’hôtel  Bourrienne au 58 rue d’Hauteville, véritable bijou du début du XIXème siècle avec sa décoration Directoire. Le visiter, c’est se remettre dans l’ambiance des fêtes de cette époque postrévolutionnaire, celle des Merveilleuses, de Mme Tallien, de Mme de Beauharnais, qui y vivaient des amours intenses et agitées.

    Donc en un mot comme en cent, allez visiter l’exposition L’hôtel particulier, une ambition parisienne.

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    Salon hôtel Bourrienne (source)

  • Journées du patrimoine ce week end

    paris,patrimoine,cultureLes journées du patrimoine tenues le week-end dernier nous invitent à regarder plus en détails certaines choses. On était bien curieux de le voir, cet hôtel qui a si souvent été mis à l'honneur par les "communicants" de la mairie du 9e... Quel hôtel ? mais l'ancien hôtel particulier des Wendel, rue de Clichy.

    La rue de Clichy d'abord. N'en doutons pas, la rue de Clichy fait bien partie de notre patrimoine. "Cette rue est sur l'emplacement d'un très ancien chemin qui conduisait de la rue des Bons-Enfänts (au Palais Royal ndlr) à une bifurcation (station de métro La Fourche) où il se divisait en deux branches allant respectivement aux villages de Clichy et de Saint-Ouen." nous dit J. Hillaret dans son Connaissance du Vieux Paris (Editions Princesse). On trouvera beaucoup d'informations à propos de la rue de Clichy sur la page que Wikipédia lui consacre.

    Anecdotes moins connues, c'est là, dans le Tivoli du bas de la rue de Clichy, à l'emplacement actuel de l'église de la Trinité, que Marie-Antoinette emmena se promener ses deux enfants (Marie Thérèse et Louis) la veille de la fuite à Varennes, donc le 20 juin 1791, pour donner le change aux Révolutionnaires. Et c'est toujours rue de Clichy que la voiture emportant le Roi, la Reine, leurs deux enfants, Mme Elisabeth soeur du Roi, passa. "A six heures du soir, le cocher allemand de Fersen, Balthasar Sapel, sortit la grande berline noire de chez le carrossier pour la mener rue de Clichy chez un riche Anglais" nous dit l'historien Timothy Tackett dans Le Roi s'enfuit (Editions La Découverte). A noter que cet Anglais, M. Crawfort, était l'amant de la baronne de Korff, identité utilisée pour le passeport de Marie Antoinette, mais aussi que la femme de ce M. Crawfort était la maîtresse du beau Suédois Axel de Fersen. Plus loin Timothy Tackett nous dit :"Il était alors minuit et demi, une heure plus tard que prévu. Alors que la famille s'embrassait et s'installait dans la petite voiture, Fersen prit les rênes avec Malden à l'arrière comme valet de coche, et se mit en route lentement pour ne pas attirer l'attention. Au lieu d'aller directement à la barrière Saint Martin, il passa par la rue de Clichy et s'assura que la berline n'y était plus." Au grand étonnement du Roi qui connaissait bien Paris.

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    Le W des Wendel sur la façade de l'hôtel particulier

    Au 10 rue de Clichy se tient donc l'hôtel Wendel ou de Wendel, les deux expressions sont utilisées. La famille de Wendel est d'ancienne noblesse et l'hôtel particulier "construit en 1864 par l'architecte Storez" nous dit le dépliant édité par la mairie du 9e, est en cette fin de 19è siècle le lieu où réside Charles de Wendel et là où il meurt le 15 avril 1870 (source Wikipédia).

    Le 9ème arrondissement de Paris présente deux caractéristiques qui le singularisent un peu par rapport aux autres arrondissements : sa population y est en forte croissance depuis une dizaine d'années et la quantité d'espaces libres y est proche de zéro. La municipalité actuelle saisit donc toutes les opportunités qui se présentent pour acquérir des lieux afin d'y installer des logements sociaux (moins de 5% du parc immobilier dans cet arrondissement), des crèches et des écoles car qui dit augmentation de la population, dit enfants. C'est dans ce contexte que l'hôtel de Wendel a été acheté en 2002 par la Ville de Paris pour y installer une école. Le projet n'allait pas de soi : comment concilier le respect du patrimoine et la création d'une école dans un même endroit ? Laurent Chabas, premier adjoint au maire du 9e en charge du projet nous explique la chose :


    Renovation de l'hôtel de Wendel par ParisNeuvieme

     

    "Le coût total de cette réhabiliation/création est de 12 millions d€, soit 2 millions de moins que le budget initialement prévu" dit avec fierté Laurent Chabas. Reconnaissons que le projet est bien réussi.

    L'hôtel de Wendel, construit donc en 1856, soit avant la construction de l'église de la Trinité (1861-1867), fait partie de ces demeures cossues, mais sans ostentation, de cette fin de 19e siècle. La vogue du retour aux styles fin 18e imposée par l'impératrice Eugénie, très nostalgique des époques Louis XV et Louis XVI, n'a pas manqué d'influencer l'architecture et le décor mais on y trouve un mélange de styles curieux allant d'Henri II pour la chambre de Monsieur, au style un peu Rocaille cher à la Pompadour dans le grand salon sans oublier le style Renaissance des voutes du passage des cochers à l'entrée. Décrite ainsi, la chose peut paraitre hétérogène mais finalement l'ensemble n'est pas laid.

    La rénovation entreprise par la Ville de Paris est de qualité. Les contraintes imposées à l'architecte relevaient du défi puisque le lieu doit respecter les règles modernes (accueil du public, des handicapés, environnement, etc ...) et bien sûr préserver le patrimoine historique. De plus, c'est une rénovation soignée. On a poussé le détail jusqu'à réinstaller des pavés en bois dans le passage des cochers (moins bruyants que les pavés en pierre), on a très bien étudié la circulation des personnes pour que les enfants puissent aller des salles de classe aux salons historiques, on a étudié l'acoustique et installer des panneaux spéciaux qui absorbent le son, on a étudié la lumière et les couleurs pour les salles de classe, etc. .. Dans le grand salon, on a fait appel à un artiste photographe qui a installé au plafond une grande photo de feuillage, donnant à la pièce beaucoup d'allure. Voici quelques photos.

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    Le Grand Salon mélange les genres : trumeau Grand Siècle (Louis XIV)
    mais dessus des portes style Rocaille (Louis XV) et plafond moderne


    Avec cette réalisation, le 9e arrondissement a désormais trois hôtels particuliers à la disposition du public : la mairie rue Drouot, la bibliothèque Chaptal rue Chaptal et l'école de la rue de Clichy.