Dans l'épisode 1, nous avons surtout évoqué les données chiffrées indiquées dans le rapport sur la propreté (voir notre article du 30 janvier).
Sans entrer dans les détails, contentons nous de lister les problèmes relevés et les leviers d'action pour tenter de les résoudre. A savoir : l'organisation interne du service de la propreté, la coordination des services intervenant sur l'espace public, le partage entre la régie et les prestataires privés et le co-pilotage entre les mairies d'arrondissement et la mairie centrale. Ces questions sont revenues souvent lors des auditions peut-on lire dans le rapport, aussi bien de la part des syndicats que des élus de la majorité comme de l'opposition. Il faut savoir que depuis 2017, les maires d'arrondissement disposent d’une dotation d’investissement d’un montant global de 500 000 €, afin d’acheter des petits matériels de propreté. Un montant insuffisant d'après les élus. On précise aussi dans le rapport que les plans de propreté sont co-élaborés avec les maires qui parfois y associent les conseils de quartier.