Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mairie-du-10e

  • "Trouble dans le portrait", expo photos à la Mairie du 10e

    Du 13 avril au 29 juin, la Mairie du 10ème arrondissement de Paris, en partenariat avec la galerie Ségolène Brossette, présente Trouble dans le portrait, une exposition qui réunit quatre séries du photographe Christophe Beauregard réalisées entre 2007 et 2021.

    Semantic Tramps (2007) se consacre à la désocialisation, à ses images et à ses clichés médiatiques. It’s Getting Dark (2011-2014) offre une réflexion, menée par l’image et le geste, sur le corps voilé. Le Meilleur des Mondes (2012) et Why Not Portraits ? (2019) pistent l’identité contemporaine sur fond de culture du narcissisme et d’uniformisation de l’image corporelle.

    Christophe Beauregard s’y fait entremetteur : il théâtralise ses prises de vue, recourt à la «photographie mise en scène», jusqu’à jouer avec ses modèles, devenus des otages de leur propre mise en image.

    Carole, WNP_, 2019.jpg

    "Carole"

    C'est où ?

    Mairie du 10e,  72 rue du Faubourg Saint-Martin

    C'est quand ?

    Du 13 avril au 29 juin 2022

  • "Créez une boite solidaire pour les personnes sans-abri"

    À l'occasion des fêtes de fin d'année, la ville de Paris et la Fabrique solidaire organisent une collecte de "boites de Noël solidaires" destinées aux personnes sans-abri. L'idée est d'offrir un colis de Noël qui sera ensuite distribué à une personne sans-abri.

    Pour composer votre boite, vous devez glisser dans une boîte à chaussures vide :
    • Un accessoire chaud : gant, bonnet, chaufferette, etc…
    • Un loisir : un jeu de cartes, un magazine, etc…
    • Un petit mot
    • Un produit d'hygiène (non entamé et non périmé) : crème pour les mains, savon, etc…
    • Une petite douceur (non entamée et non périmée) : du chocolat, quelques bonbons, etc…
    Ensuite, décorez votre boîte, indiquez s'il s'agit d'une boîte pour un homme (H) ou pour une femme (F). Votre boite est prête, vous pouvez l'apporter à un point de collecte proche de chez vous, par exemple : 
     
    10e (jusqu'au 20 décembre)
    Mairie du 10e
    72 rue du Faubourg Saint-Martin
    Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 17 h
    Jeudi, de 8 h 30 à 19 h 30
     
    18e (jusqu'au 18 décembre)
    Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 18e
    15 passage Ramey
    Mardi, mercredi et vendredi, de 10 h à 18 h 30
    Jeudi, de 13 h 30 à 19 h
    Samedi, de 10 h à 14 h

    La Cantine du 18e
    46 rue Ramey

    Du mardi au samedi, de 12 h à 22 h

    Le Centre Social Belliard
    145 rue Belliard

    Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30
     

    noël,solidaire,mairie-du-10e,boite

     

  • Projection-débat à la Mairie du 10e : "Les hirondelles de Kaboul"

    Ce vendredi 15 octobre, à l'occasion des quarante ans de l'abolition de la peine de mort en France, la Mairie du 10e propose la projection du film "Les hirondelles de Kaboul", réalisé par Zabou Breitman et Éléa Gobbé-Mévellec et tiré du roman éponyme de Yasmina Khadra. Un débat sera organisé avant la projection par l'association ECPM.
     
    L'entrée est libre, sur présentation du pass sanitaire.

    projection-debat,mairie-du-10e

    C'est où ?

    Mairie du 10e, 72 Rue du Faubourg Saint-Martin

    C'est quand ?

    Vendredi 15 octobre 2021, à 19 h


     

  • La Ville rêvée des enfants

    C'est le retour de l'exposition des maquettes de la "Ville rêvée des enfants" à la mairie du 10e. Et c'est toujours un plaisir de découvrir comment nos enfants projètent leurs rêves dans l'espace public de demain. Une belle occasion de se laisser entrainer dans une vision de la ville du futur, pas toujours réaliste bien évidemment, mais toujours pleine d'idées et de poésie.

    ville-rêvée-des-enfants,mairie-du-10e,exposition

    Photographies @philojuillet

    Imaginé et conçu en 2016 par les architectes Thomas Corbasson et Samuel Delmas, la "Ville rêvée des enfants" est un projet piloté depuis 2018 par l'architecte Emmanuel Leroy, administrateur de la Maison de l’architecture Île-de-France. Ce projet est une action de pédagogie active, destinée aux écoliers de 4 à 10 ans (plus de 1 700 élèves de maternelle et de primaire du 10e !).

    L'exposition est visible depuis le 12 décembre et le sera jusqu'au 11 janvier 2020, dans le grand hall de la mairie du 10e (entrée libre et gratuite).

    ville-rêvée-des-enfants,mairie-du-10e,exposition

    C'est où ?

    Mairie du 10e, grand hall, 72 rue du Faubourg Saint-Martin

    C'est quand ?

    Du jeudi 12 décembre 2019 au samedi 11 janvier 2020

  • Salle de conso: Montréal franchit le pas

    Longtemps hésitant sur le sujet des salles de consommation, le gouvernement canadien a tranché en février dernier pour lutter contre de trop nombreuses overdoses mortelles. Après l'ouverture d'une salle à Vancouver en 2003, trois lieux ont été identifiés à Montréal pour accueillir des toxicomanes dans des arrondissements centraux. Ils ouvrent aujourd'hui. Pour des quartiers plus éloignés, on réfléchit à la création d'une unité mobile.

    Un de nos adhérents a bien voulu se rendre dans la rue de la clinique Cactus, un des lieux choisis, pour prendre une photo. On peut le voir ci-dessous, il ne s'agit pas d'un lieu isolé.

    Paris, Montréal, toxicomanie, scmr

    L'idée de plusieurs lieux d'accueil dans une même ville ou région est sans doute à retenir en France. Nous avons regretté le plan de l'ancienne ministre de la santé Marisol Touraine que nous trouvions trop timide. Reste à espérer que le nouveau gouvernement aura davantage d'ambition en la matière.

  • Salle de conso : faisons le point

    La salle d'injection supervisée rue Ambroise Paré a ouvert ses portes en octobre 2016. Parmi d'autres associations et collectifs de riverains, Action Barbès participe au Comité de voisinage mis en place pour le suivi de ce projet. Nous en faisons régulièrement des comptes-rendus sur ce blog.

    Après un démarrage relativement calme pendant les trois ou quatre premiers mois suivant son ouverture, la situation s'est dégradée depuis quelques semaines. Des scènes de shoot dans la rue ou dans les halls d'immeuble et les seringues usagées qui vont avec sont réapparues. Des scènes de deals avec parfois des bagarres entre dealers, quelquefois la nuit, ont fait monter la tension dans le quartier de plusieurs crans. Le mécontentement voire la colère des riverains sont réels et justifiés (voir l'article du Parisien du 5 avril). Dans ce contexte, l'espèce de bienveillance de certains habitants à propos de cette expérimentation s'est transformée en hostilité et on peut le comprendre.

    Si la situation est aujourd'hui sérieusement dégradée et sans nier la réalité des faits qui se sont déroulés ces dernières semaines, il faut aussi se garder de les amplifier. Action Barbès a choisi de soutenir ce projet pour les raisons qui vous ont été expliquées longuement à travers l'ensemble des articles publiés sur ce blog. Malgré la mauvaise situation actuelle, on ne peut pas nier l'utilité de cette expérimentation attestée par les chiffres fournis pas l'association Gaia qui gère la salle. Mais la position de notre association a toujours été claire sur un point : la mise en place de cette salle de consommation de drogues à moindre risque doit se faire dans de bonnes conditions pour les riverains puisqu'une des raisons pour lesquelles nous approuvons ce projet est l'idée qu'il peut apporter une amélioration dans le quartier.

    Plus que des explications et des statistiques qui sont fournies lors des Comités de voisinage soit par le ministère de la Santé, la mairie de Paris, la police ou Gaia, aussi intéressantes soient-elles, nous attendons des actes pour que l'activité de cette salle se fasse dans de bonnes conditions. Que le quartier retrouve son calme et sa sécurité car il y a bien d'autres problèmes comme les diverses ventes sauvettes autour de Barbès. Et il y a urgence à cela.

  • Comité de voisinage de la salle de conso 4e édition

    salle-de-consommation,SCMR,Paris10e

    Ce fut une longue réunion... 3 heures ! Nous nous y attendions un peu à la suite de la rixe du 26 février et de la vidéo tournée par un voisin qui a fait le tour des réseaux sociaux pendant plusieurs jours. Vous verrez de quoi il s'agit si vous visionnez le documentaire tourné par une équipe du site Allodocteur et dont nous vous donnons ici le lien. (Reprise des quelques secondes de la rixe filmée par un riverain) Vous y retrouverez Elisabeth Avril, la directrice de l'association Gaïa, et Marie Jauffret-Rustide, chercheuse à l'Inserm qui continue à conduire son étude sur l'expérimentation de la salle. Egalement une habitante du quartier qui décrit la situation comme elle la vit, c'est à dire en dégradation constante depuis janvier. 

    Les médecins se sont exprimés en premier

    L'équipe de Gaïa, d'un côté, est satisfaite de l'évolution de la situation qui a été correctement évaluée avant l'ouverture. La salle est dimensionnée pour environ 200 passages jour et ils y seront bientôt. La moyenne actuelle est 180 avec deux pics par semaine supérieurs à 200. Elle n'ignore pas les conflits qui peuvent exister en dehors de la salle, les usagers de drogue ne sont pas toujours faciles à gérer et les conflits ont lieu parfois à l'intérieur aussi, "dans ce cas, on les gère plus facilement" ajuste Elisabeth Avril, avec un sourire. Peut-être la salle devrait-elle rester ouverte sur une plage horaire plus large, mais c'est une question de financement qui se pose dans cette hypothèse. Gaïa continue ses maraudes pédestres et son travail de médiation dans le quartier : elles donnent de bons résultats et permettent d'échanger avec les commerçants et au besoin de rencontrer des voisins qui peuvent aussi appeler Gaïa pour une visite (15 ont déjà eu lieu). Le médecin de la salle a expliqué son travail au sein de la consultation en donnant des exemples des cas qu'elle a pu traiter. Elle met l'accent sur le dépistage (VIH et Hépatites). Les autres soins sont des pansements, le soin des abcès, la prise d'antibiotique en cas d'infection, et beaucoup d'information pour prévenir les risques de contamination. Elle précise que les usagers de drogue malades, et dont le cas irait au-delà d'un soin classique réalisable à la salle, sont orientés vers le centre de soins de Gaïa dans le 11e, car le service des urgences de Lariboisière n'a pas vocation à soigner les usagers de drogues en particulier, mais en priorité les cas urgents. C'est une précision que donnera elle-même la directrice de l'hôpital, Mme Isabey. 

    Les habitants et les associations ont donné leur version de la situation

    Les riverains, certains opposés depuis le début à la salle, mais d'autres plus neutres, ont exprimé leur sentiment d'insécurité et leur vision de la situation : un mieux les deux premiers mois, puis depuis le début de l'année, une dégradation, davantage de toxicomanes dans les rues, des consommations sur les rebords de fenêtres quand la salle est fermée, des deals et des trafics très sereins en pleine rue... Au-delà du malaise et de la colère de riverains, qui ont écouté très attentivement les données chiffrées des médecins, et la description de certaines situations personnelles de toxicomanes, les élus présents ont voulu recadrer les circonstances de l'ouverture de la salle. Rémi Féraud a confirmé qu'il entendait la souffrance exprimée, les inquiétudes quant au nombre de toxicomanes qui fréquentent le quartier et la salle, les risques de conflits qui peuvent en résulter. Il a rappelé que la situation avant la salle était déjà problématique, tendue même parfois. La salle n'a pas été créée pour supprimer l'usage des drogues mais pour diminuer les injections à ciel ouvert, dans les entrées de parking, ou les halls d'immeuble du quartier ; pour réduire le nombre des seringues qui traînaient dans les caniveaux et la sanisette (rue Ambroise-Paré). Pour oeuvrer dans le sens de la diminution des risques, en bref. Et non avec la mission de faire disparaitre toute présence de drogue dans le quartier. On ne peut donc pas demander à la salle, au bout de cinq mois, de régler tous les problèmes qu'on n'a pas réussi à régler avec les méthodes de répression classiques en un demi-siècle.

    Qu'avons-nous entendu de la part des autorités policières ? 

    Le commissaire Vallot, comme lors des premières réunions du comité de voisinage, et comme les médecins, a énoncé des chiffres qui correspondent à des faits. Les policiers sont bien présents dans les rues du quartier, ils maximisent leur présence par des patrouilles pédestres. Ils ont déjà procédé à 600 interpellations pour détention de produits stupéfiants (on se souvient que le procureur a fixé des limites à la détention de drogue sur un périmètre précis, et que ces info  sont non communiquées), sur 2000 personnes contrôlées. 900 ont été redirigées vers la salle, sans être interpelées donc. Le commissaire ne nie pas le trafic de stupéfiants, ses hommes continuent à le traiter, y compris avec des déferrements quand il le faut. 

    Le commissaire souligne que le quartier est très bien doté en caméras de vidéosurveillance, elles sont au nombre de sept et fournissent une aide précieuse et instantanée en cas de problème signalé par des habitants, ou une patrouille sur le terrain, par exemple. La police est présente sous toutes ses formes : la BAC, fidélisée sur le secteur, lutte contre les trafics de stup' dans l'espace public, intervient sur les flagrants délits, la BST, en collaboration avec l'opération "Barbès Respire" un peu plus au nord, la brigade de police secours répond à des demandes des patrouilles pédestres ou en VTT et vérifie l'ampleur des problèmes signalés. Notons encore la brigade de soutien des quartiers qui tous les jours vient en appui sur les sites des parkings, et se rapproche des copropriétés pour signaler les failles de sécurité (portails mal ou pas sécurisés).

    Notre impression d'association qui a soutenu l'expérimentation

    Nous retenons le témoignage d'une habitante de la rue Ambroise Paré, qui se déclare neutre par rapport à la salle, pas opposante de prime abord, parce que les arguments avancés de diminution des risques l'avaient touchée. Elle nous a expliqué que dans les semaines qui ont suivi l'ouverture de la salle, elle avait la possibilité de parler avec les usagers de drogue qui "zonaient" au pied de son immeuble, elle pouvait le faire sans crainte, car elle les connaissait à force de les croiser dans la rue, et eux avaient pris l'habitude d'échanger. Mais depuis janvier, ils sont beaucoup plus nombreux, et elle perçoit cette affluence de nouveaux venus comme un handicap : on ne se reconnaît plus, on se craint d'un côté comme de l'autre, car il est rare que les passants ou les habitants soient aimables ou simplement décontractés au contact de la toxicomanie. Les échanges et même les saluts sont devenus impossibles. La tension est montée d'un cran. Les dealers lui semblent plus présents également.

    Le maire Rémi Féraud a déclaré qu'il entendait tout ce qui était dit de part et d'autre, y compris l'insistance de l'opposition municipale à vouloir la fermeture de la salle... mais le comité de voisinage est là pour faire remonter les problèmes et le comité de pilotage pour leur trouver des solutions. Le procureur Molins, qui assistait au dernier comité de pilotage, a bien martelé qu'il fallait une vigilance soutenue et une cohérence dans l'action des pouvoirs publics, de la police et de la justice.

    Le maire par ailleurs n'a pas ignoré la demande d'un réaménagement de la rue, peut-être, si cela permet de mieux maitriser la situation. C'est la tranquillité publique qui est en jeu, et la salle à elle-seule ne peut pas résoudre tous les problèmes de toxicomanie. Pas plus qu'elle les rend plus insupportables. En revanche, n'est-elle pas sous dimensionnée pour accueillir tous les injecteurs de Paris... la solution serait-elle une seconde, voire plusieurs autres salles ? 

  • Salle de conso : Comité de voisinage n°3

    Le 3ème Comité de voisinage dans le cadre du suivi du projet de salle de consommation à moindre risque (SCMR) s'est tenu le jeudi 26 janvier à la mairie du 10e arrondissement. Nous vous donnons ici l'essentiel de ce qui s'y est dit. Pour les personnes particulièrement intéressées, notez que les compte-rendus complets de ces réunions seront mis en ligne sur le site de la mairie du 10e, certes avec un certain décalage puisqu'il faut que ces documents soient approuvés d'une réunion à l'autre. (lien avec la page de la mairie du 10e dédiée au sujet)

    Tous les acteurs concernés étaient présents avec même la présence du nouveau commissaire du 10e arrondissement. L'ordre du jour consistait essentiellement en un point de la situation par l'association Gaia qui gère la salle d'injection et d'un point de situation du quartier avec les évolutions constatées.

    Gaia a remis en séance des tableaux de chiffres à propos de la fréquentation de la salle pour chaque mois depuis son ouverture (octobre 2016) et des statistiques de fréquentation pour les lundis et samedis.

    Lire la suite

  • Salle de conso : Pourquoi ne pas la visiter ?

    Des journées portes-ouvertes ont été organisées la semaine avant l’ouverture de la salle de consommation à moindre risque (SCMR) en octobre, puis les jeudis 17 et 24 novembre,  et les 8 et 15 décembre. Nous vous en avons parlé le 9 décembre dernier : salle de conso : une visite.

    Si toutefois vous n’avez pas eu la possibilité de venir à ces dates, que des personnes de votre connaissance ou des voisins souhaitent découvrir les locaux, rencontrer une partie de l’équipe de Gaïa, mieux connaitre le fonctionnement de la salle et tous les services qui sont proposés, l'association qui gère et anime le dispositif vous propose de nouvelles dates :

    Les visites ne peuvent se faire qu’en matinée, hors des heures d’ouverture de la SCMR aux usagers :

     -        Samedi 21 janvier 2017 de 10h00 à 12h30

    -         Jeudi 2 février de 10h00 à 12h30

    -         Jeudi 2 mars de 10h00 à 12h30

  • Salle de conso : Comité de voisinage n°2

    La deuxième réunion du Comité de voisinage dans le cadre de la salle de consommation à moindre risque (SCMR) s'est tenue le lundi 21 novembre dernier (voir notre article du 10 octobre dernier sur la première réunion de ce comité).

    Comme vous le montre la photo, l'assiduité des différents organismes membres du comité est réelle et les débats de très bonne tenue. L'ordre du jour de la réunion était particulièrement chargé, aussi vous ne trouverez dans cet article qu'un résumé aussi complet que possible de ce qui s'y est dit.

    Allons d'abord à l'essentiel : depuis son ouverture le 17 octobre dernier, la vie du quartier n'a pas été bouleversée et tout se passe relativement bien. Chacun reconnait tout au long de la réunion qu'il est beaucoup trop tôt pour tirer quelque conclusion que ce soit de ce mois d'opération. Un renforcement de la présence policière a été notée.

    La Charte du comité de voisinage a été définitivement adoptée au cours de la réunion. Celle-ci intègre les demandes de modifications qui avaient été faites au cours du premier comité. Sa lecture fixe bien les domaines de compétence du comité et son fonctionnement. Vous pouvez la télécharger : Charte du comité de voisinage.

    L'association GAIA qui gère la salle a donné des informations à propos de son fonctionnement depuis son ouverture : ...

    Lire la suite

  • Salle de conso : une visite ?

    GAIA, l'association qui gère la salle de consommation à moindre risque (SCMR) organise des journées "portes ouvertes" (attention dernière visite le 15 décembre)  pour permettre aux riverains mais aussi à toutes les personnes intéressées par la visite de la salle qui fonctionne depuis le 17 octobre dernier.

    Nous y sommes allés un jeudi matin et la première surprise fut de trouver tant de monde. Il y avait là quelques riverains, des personnes intéressées car cette salle est une première en France et aussi des personnels et étudiants de Santé venant s'informer.

    L'équipe de GAIA, Elisabeth Avril sa directrice en tête, accueille les visiteurs et par petits groupes la visite commence.

    Nous vous avions déjà parlé rapidement des principes de fonctionnement de la salle dans un article de janvier dernier. En équivalent temps plein, ...

    Lire la suite

  • Salle de conso : comment ça marche ?

    L'association GAIA qui gère la salle de consommation à moindre risque (SCMR) en partenariat avec la mairie de Paris et le ministère de la Santé a publié un petit document (format A5 quatre pages) résumant bien le fonctionnement de la salle d'injection supervisée. Le voici en images et vous pouvez le télécharger également - Des réponses à vos questions

    Des reponses a vos questions page 1.jpg

    Des reponses a vos questions page 2 1.jpg

    Cliquer sur les photos pour les agrandir