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Documentaire sur les urgences de Lariboisière à La Sorbonne

Le service culturel de Paris-Sorbonne propose la projection d'un documentaire sur les urgences de l'hôpital Lariboisière le 26 janvier à 19h30 dans l'amphithéâtre Richelieu, 17 rue de La Sorbonne. Ce film a été réalisé par Sylvain Calves, un thème d'actualité toute l'année mais plus encore en période hivernale. Cette projection, en présence du réalisateur, est à l’initiative de Jean-Christophe Abramovici, Professeur en littérature, spécialisé dans l’histoire des idées du dix-huitième siècle, qui a accepté de répondre aux questions d’Action Barbès.

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Comment en êtes-vous venu à programmer "Un hiver aux urgences" ?

Je connais l’un des monteurs qui a travaillé sur ce documentaire. J’ai été invité à la première. Outre l’intérêt personnel que j’ai trouvé à ce film, je me suis rapidement dit qu’il pourrait intéresser un public étudiant et plus généralement le grand public, à la fois parce que ce film parle de notre société et d’une précarité dont les étudiants n’ignorent pas grand-chose, et par ailleurs parce que c’est en soi un film intelligent qui me paraît pouvoir être étudié / médité par les étudiants travaillant dans les filières audio-visuelles.

Pouvez-vous décrire en quelques mots un passage du documentaire qui vous paraît particulièrement l'illustrer ?

Le réalisateur d’Un hiver aux urgences a passé de longs mois à Lariboisière pour tourner ce film, qui propose une plongée dans le quotidien des urgences hospitalières. Si je devais ne retenir qu’une séquence, j’évoquerais celle, récurrente, du guichet d’accueil, dont l’agent doit orienter au mieux les personnes qui se présentent, se montrer à la fois à l’écoute mais sans faiblesse et, quand elles n'ont pas de problèmes médicaux, gentiment mais fermement les éconduire…

Quel lien entretenez-vous avec le réalisateur et la société 1+1 Production ?

J’ai pu, à l’occasion de la première évoquée plus haut, rencontrer le réalisateur et les membres de la société 1+1, dont l’engagement et le travail me touchent particulièrement, sans que je les connaisse davantage.

En êtes-vous à votre première projection de cet ordre en Sorbonne ? Comptez-vous en présenter d'autres ?

L’Université Paris-Sorbonne et son service culturel mettent à notre disposition de magnifiques conditions de projection. J’ai eu l’occasion, en septembre 2014 de faire projeter, dans le cadre d’un colloque que j’avais co-organisé, le très beau film de Maria Pinto, Moi qui duperais le bon dieu, autre film produit par un petit producteur. J’espère bien avoir l’occasion dans l’avenir d’organiser d’autres projections similaires.

** Attention, pour assister à cette projection qui est gratuite, la réservation est indispensable (possible jusqu'au 26).

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