Web
Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Paris - Page 427

  • Un pigeonnier square Alban Satragne

    La mairie du 10e vous invite demain soir à une réunion d'information sur l'implantation imminente d'un pigeonnier contraceptif dans le square Alban Satragne. Pour les distraits, il s'agit de l'espace herboré à l'embouchure de la rue du Faubourg Saint Denis sur le boulevard de Magenta, qui s'étend derrière l'Hôtel Mercure.

    Mercredi 15 juin à 18h30 en salle des mariages à la Mairie du 10ème arrondissement.

    Une explication en vidéo tirée du site de la VIlle de Paris. Entre temps, d'autres pigeonniers ont été installés dans les arrondissements. Plus de dix à ce jour.

    La Ville prend en charge les pigeons… par mairiedeparis

    Depuis 2003, date à laquelle le premier pigeonnier contraceptif a été installé dans le 14e arrondissement de Paris, ces équipements ont fait des petits. A terme, tous les arrondissements devraient en être pourvus. Approuvé par la Société de protection des oiseaux des villes (SPOV) et par la Ligue de protection des oiseaux (LPO), ce dispositif est également en place dans plusieurs villes de France, de Nogent-sur-Marne (94) à Carpentras (84) en passant par Sablé-sur-Sarthe (72), et bien d'autres.

  • Les serres d'Auteuil toujours en danger

    paris,patrimoine,auteuilNous vous avons parlé en février dernier du problème posé par l’extension du stage Roland Garros tel qu’il a été accepté par la Ville de Paris. Maintenant que l'édition 2011 du tournoi est passée, les choses sérieuses vont commencer et l’association SOS Paris se mobilise, n’entendant pas, à juste titre, laisser faire les choses sans manifester son opposition.

    Mais que pèse une petite association devant tant d’intérêts, devant les structures qui les représentent, à commencer par la Fédération Française de Tennis et la Ville de Paris. Action Barbès en sait quelque chose suite à son combat pour sauver le Louxor. Aussi SOS Paris a besoin de nous. L’association lance une souscription et Action Barbès diffuse cette information bien volontiers.

    Est-il utile de préciser qu'en matière de sauvegarde du patrimoine,  notre approche n’est en rien conservatrice. Nous savons comme tout le monde que les choses doivent évoluer, changer, mais encore faut il que cela se fasse, n’ayons pas peur des mots, de façon intelligente.

  • Exposition dans le lycée Jacques-Decour du 10 au 13

    Le collectif des arts 9e et 18e présente les artistes du quartier

    Le collectif des riverains des boulevards de Clichy et Rochechouart renouvelle son action en faveur de l'art et des artistes de notre quartier en organisant une exposition des oeuvres des peintres, des sculpteurs des aquarellistes, des photographes qui demeurent entre 9e et 18e. L'exposition a lieu dans l'enceinte du lycée Jacques-Decour et l'entrée est libre.
    Les horaires :
    vendredi 10 juin de 18h à 21 h
    samedi 11 juin de 10 h à 20 h
    dimanche 12 juin de 10 h à 20 h
    lundi 13 juin de 10 h à 19 h

    C'est une magnifique occasion (il faudra sinon attendre les journées du patrimoine en septembre) de découvrir également la cour d'honneur et les arcades.  Etablissement  austère de l'extérieur, Jacques-Decour séduit par son charme coloré à l'intérieur, grâce aux parterres de fleurs et aux mosaïques. L'occasion d'un peu de nostalgie pour les anciens élèves peut-être ?

  • le double sens sur les Grands Boulevards vu du 9e

    ce soir à la mairie du 9e, Salle du Conseil, à 19 heures


    Une réunion publique de concertation concernant la mise à double sens des Grands Boulevards (depuis le carrefour Richelieu-Drouot jusqu'à la place de la République) se tiendra mercredi 8 juin à 19h à la Mairie du 9e. Vous avez des questions ? N'hésitez pas à venir vous exprimer.
    Mme Véron, adjointe au Maire du 9e, en charge de la Voirie, de l'Urbanisme et de l'Habitat, Mme Huard, chef du Service des Aménagements et des Grands Projets de la Ville de Paris, ainsi que Mme Céline Richet-Martin, de l'Agence de Conduite d'Opérations, seront présentes.

    Suite de la réunion du 30 mars, dans le 10e.

  • Qu'avons-nous appris au CICA Propreté du 10e ?

     

    Bien sûr, nous étions mardi soir dans la salle des mariages de la mairie du 10e, où se tenait le CICA, conseil d'initiative et de consultation d'arrondissement. Le CICA est l'équivalent d'un conseil d'arrondissement, dans lequel siègent tous les élus de l'arrondissement, venus entendre les associations sur un thème choisi par le bureau du CICA, élu à cet effet. Le thème choisi était donc la Propreté, dont on sait par ailleurs que le maire, Rémi Féraud, y attache beaucoup d'importance, puisqu'il a pris à sa charge cette délégation en plus de ses missions tradionnelles.

    Le Directeur de la propreté et de l'eau, Didier Dely, et l'adjoint au maire de Paris, chargé de la Propreté, François Dagnaud, étaient présents. Présent aussi Jean-Paul Bidaud, le chef de la section locale de la DPE pour le 9e et le 10e,  qui est parallèlement le coordonnateur de l'espace public du 9e. Nous connaissons particulièrement bien, les bureaux et locaux, situés 75 rue du faubourg Poissonnière, de l'époque  où les membres des conseils de quartier étaient réquisitionnés - sur la base du volontariat quand même - pour élaborer des relevés de malpropreté dans des rues tirées au sort, et cela à des heures matinales... Certains des lecteurs s'en souviendront !

    Dans la salle, beaucoup de représentants de copropriétés, de simples citoyens, des habitants, mais peu d'associatifs finalement, car la consigne avait été donnée au travers des conseils de quartier d'inviter tous les habitués de leurs réunions publiques. Saluons le coup de pouce démocratique et l'invitation à une plus large participation civique.

    "nettoyer mieux et moins salir"

    Je ne sais pas pour quelles raisons j'entends "travailler plus pour gagner plus" dans cette formule de François Dagnaud que nous partageons au demeurant. Peut-être parce que miser sur la communication, - le poids des mots, à défaut du choc des images - n'est pas aussi efficace que le pense l'adjoint au maire de Paris, comme d'autres au sommet de l'Etat l'ont pensé. Comme l'a fait remarquer Elisabeth Carteron, présidente d'Action Barbès, juste après l'introduction de François Dagnaud, une majorité des salisseurs ne sont pas les payeurs, et ne le seront jamais, car les moyens dont dispose la DPE en terme de contrôles, de respect des règles sanitaires, ne sont pas à la hauteur de la tâche, et ne le seront pas à l'avenir. La vraie question est : comment faire changer les comportements ?

    Il nous a toutefois semblé qu'on s'orientait vers des actions plus ciblées, moins globales. On s'adressera davantage aux individus qu'aux masses anonymes. C'est du moins ce que nous avons compris. Par ailleurs, il est apparu que la réflexion des services les conduit à repenser certains aménagements de voiries (je serai tentée de penser que l'observation transversale sur l'espace public n'y est pas étrangère...). En effet, le pisseur classique ne s'exhibe pas, il choisit un recoin, même sous l'effet d'un état éthylique avancé, il sait reconnaître un recoin, malheureusemenet souvent aussi un angle de portail. L'action de la DPE serait donc de repérer les recoins propices, puis de les transformer par l'ajout de bacs de plantation, ou de stationnements pour cycles....

    Autre exemple, les concentrations de mégots qui ont fleuri après l'interdiction de fumer dans les lieux clos. Restaurants, cafés, bars, mais aussi les bureaux, les surfaces commerciales...