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Ce n'est pas ordinaire de voir Barbès figurer entre les Champs Elysées et Saint-Germain-des-Prés ! C'est pourtant ce qu'on découvre en cliquant sur le lien de l'expo que propose la Mairie de Paris.
Il s'agit d'une expo en plein air qui se tient du 7 au 28 août, et dont on peut découvrir les détails sur le site de la Maire de Paris ici même.Les cartes sont interactives, amusez-vous à cliquer sur votre quartier.
« On ne naît pas Parisien, on le devient ». Dans la rue, au bureau, en soirée, au resto...
Laitue de saison? Vous n'y êtes pas. Il s'agit d'algues vertes, photo prise dans la baie de Douarnenez.
Pas très sympathique pour s'étendre sur une plage de sable fin. Certes, l'algue verte fait partie de l'écosystème breton, nous explique t-on sur le site du tourisme en Bretagne. A condition qu'elle soit dans des quantités limitées. Ce n'est malheureusement plus le cas depuis une trentaine d'années dans les baies de Saint-Brieuc et de Douarnenez notamment.
L’algue verte, en temps normal a besoin de beaucoup de lumière, d'eaux riches en azote et en phosphore, et assez calmes pour retenir sur place les nutriments. Mais une agriculture "non raisonnée" (1), pourrait-on écrire, ajoute aussi fertilisants et engrais en grande quantité apportés par les rivières jusqu’à la mer. Le soleil de l'été accentue le phénomène.
Les plages ainsi souillées représentent un coût non négligeable pour les communes car il faut bien ramasser si on ne veut pas voir fuir les touristes. Par ailleurs, les algues en décomposition dégagent des émanations d'ammoniac et un gaz très toxique à haute concentration, le sulfure d’hydrogène (H2S).
Heureusement, il reste encore de belles plages cachées dans les criques...
Crédits Photos E. Carteron
et pour ceux et celles qui restent dans la capitale, il y a Paris-Plages...
(1) L'agriculture raisonnée fait référence à une gestion des pratiques agricoles tenant compte de la protection des écosystèmes, donc de l'environnement, de la maîtrise des risques sanitaires, de la sécurité du travail et du bien-être animal.
De l'ancien garage concessionnaire Peugeot situé au 73 rue de Rochechouart, il ne reste plus aujourd'hui, 1er août, que sa grande enseigne avec son lion emblématique. Toutes les autres enseignes du magasin viennent d'être dévissées. Peugeot, vente de neuf et d'occasion, réparation et emplacements de parkings à louer, a définitivement plié bagage.
Juste en dessous, après le garage Renault, repris par Hyundai, puis transformé en Carrefour Market il y a un peu plus d'un an, notre rue de Rochechouart a ainsi perdu deux grands garages de ventes et réparations d'automobiles.
Je laisse à chacun le soin d'en penser ce qu'il voudra. Moi, je ne conduis pas. Mais je m'interroge sur le devenir de ce bâtiment industriel.
Tout comme nous inquiète aussi la prolifération des salons de massage (boutique rouge à droite)... mais cela, nous l'avons déjà dit !
En plein été, c'est un peu difficile d'aller à la recherche des bonnes informations, mais dès la rentrée nous nous mettrons en campagne pour savoir ce qu'il est prévu de faire sur cette parcelle. Encore un dossier à suivre...
Une ouverture exceptionnelle de 10 heures à 12 heures et de 15 heures à 17 heures dès jeudi dernier (là l'annonce est un peu tardive, ce sera pour lundi 5 août) : à ne pas rater. C'est une opportunité qui se répètera tous les jeudis et lundis du mois d'août, peut-être pour consoler les Parisiens qui sont restés en ville. C'est un coin de verdure calme et protégé, on dira pour faire littéraire, un havre de paix dans le quartier du Marais...
La bibliothèque historique de la Ville de Paris est installée dans l'Hôtel de Lamoignon : il fait l'angle entre la rue Pavée et la rue des Francs-Bourgeois. Il fut racheté en 1928 par la Ville et restauré de 1940 à 1968. Depuis lors, il abrite les collections de la bibliothèque historique de Paris. Voir ici le chapitre qui lui est consacré sur le site de la Ville.
Bibliothèque historique de Paris, 24, rue Pavée (IVe). M° Saint-Paul.